La situation n’était plus tenable, dans tous les sens du terme pour les Français comme pour le gouvernement. Il fait beau, il fait chaud, l’épidémie recule, les services de réanimation se vident et la campagne de vaccination va bon train. Impossible de faire comme si rien ne changeait !

Le couvre-feu était devenu difficilement applicable car les bonnes nouvelles le rendaient moins accepté et les dérogations devenaient de plus en plus légitimes. C’était aussi une question d’autorité pour l’exécutif, qui a adapté la règle à la réalité plutôt que de subir une intuition qui, de toute façon, allait enfreindre la règle.

Vaccinés, délivrés !

Voilà le sentiment qui prédomine chez les personnes immunisées contre le Covid-19.

Heureux comme un Français vacciné… Ils sont déjà plus de 17 millions à avoir reçu les deux injections salvatrices (et 32 millions, une seule). Le vaccin, quel que soit le fabricant, n’exonère pas de tout risque (et il y en a plus qu’annoncé), mais il offrirait une certaine protection. C’est ainsi que les Français retrouvent le goût de la vie. Les projets affluent. Ils commencent à jouir d’une liberté entravée depuis un an.

On les croit rétifs au certificat sanitaire comme on les pensait vaccino-sceptiques ? Gageons qu’ils seront nombreux à brandir fièrement leur sésame pour prendre l’avion ou aller au musée. L’Europe a mis un mouchoir sur les divergences de ses membres, pour adopter un certificat sanitaire avant l’été tant il est urgent de relancer la circulation entre les Etats, les affaires et le tourisme…

Le fait d’être complètement vacciné contre le Covid offre deux privilèges majeurs : limiter fortement les risques de tomber malade et encore plus de contracter une forme sévère ; être débarrassé du masque et des contraintes de distance physique avec d’autres personnes dûment immunisées.

Mais beaucoup de précautions doivent être maintenues, comme le rappellent les messages sanitaires diffusés à la télé ou la radio « Ce n’est pas parce que l’on est vacciné qu’il faut y renoncer, il y a des variants qui pourraient être moins sensibles au vaccin, en particulier le virus indien. Et puis, même si les vaccins sont très efficaces pour empêcher d’être malade, ils n’éviteraient pas à 100 % le portage asymptomatique du virus ».

En clair, si vous êtes vacciné, vous ne tomberez pas malade a priori, mais en l’état actuel des connaissances, il y a encore une petite probabilité de transmettre le virus. D’où la nécessité de conserver les gestes barrière dans certaines situations. Mais d’abord, à quel moment serait-on complètement protégé ? Avec les vaccins de Pfizer-BioNTech et de Moderna, l’immunité serait considérée comme totalement acquise deux semaines après la seconde dose. Pour l’AstraZeneca, douze semaines après la première injection.

Qu’en pensent nos experts ?

Epidémiologiste de renom et membre du conseil scientifique, le professeur Arnaud Fontanet juge raisonnable l’allégement des mesures mais prévient : il faut en profiter pour se vacciner car septembre pourrait être difficile.

« Lever le couvre-feu dix jours plus tôt que prévu, est-ce acceptable ? Professeur !»

« La situation s’y prête. L’amélioration de l’épidémie est considérable. Son évolution positive va plus vite que prévu. On est tous agréablement surpris par la vitesse avec laquelle les cas décroissent !

Partant de là, le passage à l’étape suivante, qui est le retour à la vie normale, n’est pas illogique. Il faut le faire de manière intelligente mais je pense vraiment que les gens ont compris…

« Je ne peux m’empêcher un parallèle avec l’an passé : en mai et en juin derniers, le virus était déjà au ras des pâquerettes. Cette année, les conditions climatiques sont encore plus favorables. On a une chaleur sèche que le virus déteste. Elle accentue sûrement les 50 % de contaminations en moins que l’on subit en période estivale. Mais, attention, cela ne suffira pas pour tenir dans la durée. Ce qui prendra le relais, c’est le taux de couverture vaccinale. Il faut qu’il soit le plus élevé possible en septembre, car une menace pointe, le variant indien. Il faut regarder attentivement ce qui se passe en Grande-Bretagne, leur situation préfigure ce que nous connaîtrons en France à la rentrée. Les Anglais ont deux mois et demi d’avance. Je n’ai pas de boule de cristal mais, d’ici-là, le plus plausible est que le variant indien, soit devenu majoritaire sur notre territoire. Reste à connaître sa virulence. Si la hausse des cas outre-Manche s’accompagne d’une hausse des hospitalisations, cela ne sera pas bon signe pour nous.

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Réponses aux questions

Docteur ! que pensez-vous des vaccins ?

J’attendais cette question !…

Malheureusement l’explication était dans un précédent article. En résumé : si vous ne recourez pas aux huiles essentielles, seule thérapie efficace, alors faites-vous vacciner pour donner à l’humanité une immunité collective. Ainsi la pandémie risque de s’éteindre plus vite. Evidemment vous subirez une litanie de dégâts à court terme et surtout à long terme.

Je n’ai jamais été adepte des vaccins, j’en connais les limites et les dégâts secondaires. Ainsi je ne les ai jamais préconisé au départ. C’est le remède le plus iatrogène parmi tous les produits chimiques. On met en avant l’équation Bénéfice/Risque, pour essayer de démontrer qu’il est inoffensif. Et pourtant que de morts à recenser après l’injection (les EPHAD peuvent en témoigner).

Je serais enclin à recommander les vaccins sans adjuvants, à la rigueur !…

Convaincus que la vaccination était une panacée, les amis de Big Pharma l’ont imposée dans le monde entier sous forme de campagnes vaccinales, de calendriers vaccinaux, de programmes élargis de vaccinations, de lois d’obligation vaccinale, etc.

La vaccination est ainsi devenue culturelle, telle une idéologie pour laquelle on doit être prêt à immoler un petit nombre afin de sauvegarder le groupe. Solution de facilité, approche sécurisante, la vaccination offre une alternative commode que nulle autre pratique médicale ne possède. Certes, sa mise au point nécessite un investissement chiffrable, mais qui est vite amorti par des bénéfices alléchants, lesquels poussent à une surenchère commerciale incessante.

Toutefois, depuis plusieurs années, la vaccination connaît un certain recul. Les médecins sont moins convaincus et hésitent à pratiquer le rituel de la vaccination, d’autant que le carnet vaccinal des enfants s’est considérablement rallongé (13 vaccins !).

Il faut savoir qu’aux États-Unis il existe un tribunal des vaccins. En 2019, 4,2 milliards de dollars ont été versés en indemnités aux « victimes » des vaccins…

Selon la médecine officielle, la santé est l’absence de maladies, ce qui a généré ce que l’on appelle « la médecine préventive ». On peut vérifier que la véritable prévention ne consiste pas à multiplier les vaccins pour « prévenir » les maladies. Il est grand temps d’abandonner cette logique de guerre contre les microbes, car sans eux la vie n’existerait pas.

Il est d’autant plus important d’être avertis que les vaccins ne sont pas des médicaments : ils sont destinés à des êtres en bonne santé, dans le dessein de prévenir une maladie hypothétique et la plupart du temps bénigne ! Aussi, lorsque l’on parle du rapport bénéfice-risque des vaccins, il ne faut pas le comparer au dilemme qui peut se poser lors d’une très grave maladie ne pouvant être soignée que par un médicament qui met en péril votre vie : nous ne sommes pas dans ce schéma pour ce qui concerne la vaccination.

En outre, la vaccination de masse empêche l’installation de l’immunité naturelle conférée par la confrontation avec les virus et les microbes : immunité qui se transmet d’une génération à l’autre. On constate que les mères n’ont qu’une immunité vaccinale, qui est loin d’être permanente et qui ne peut se transmettre à leurs enfants. Si bien que l’absence d’immunité naturelle permet à certaines maladies de l’enfance de se manifester plus tard.

Si nous continuons sur cette lancée, nous risquons de disparaître avant notre planète (tout aussi menacée…)

Que pensez-vous de ces observations qui interpellent ?

Débriefing de Haim Yativ, ingénieur, et Dr Hervé Seligmann, de l’Unité de recherche sur les maladies infectieuses et tropicales émergentes de la Faculté de médecine, Université Aix-Marseille. Tous deux ne déclarent aucun conflit ou lien d’intérêt, autre que celui d’avoir des enfants en Israël.

Ils nous présentent leurs dernières analyses, qui s’appuient à la fois sur des données d’Israël publiées par le ministre de la Santé, et sur la base de données européenne Euromomo. Leurs études portent sur l’évolution de la mortalité mais aussi sur les effets des vaccins, en particulier sur la jeunesse. Ils rapportent notamment que « le nombre de vaccinés augmente le nombre de cas covid-19 » et que les effets des vaccins deviennent protecteurs seulement après quelques semaines.

Par ailleurs, ils montrent que « les dégâts collatéraux suite au vaccin sont de plus en plus graves si on descend en âge », et que ces vaccins se montrent considérablement plus dangereux que protecteurs pour les jeunes.
Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org :

Les différentes conclusions évoquées, en bref :

Mars 2021, d’après les analyses des données d’Israël publiées par le ministre de la Santé via différents canaux (Dagan et al/Ynet/Corrective.org) :

  • Entre les doses de vaccin, multiplication par 3 des incidences de covid-19. Soit, plus de risques de mourir du covid-19 entre les deux doses de vaccins que sans vaccin. Ceci a été confirmé par le prof Raoult le 11 mai 2021. Les deux hommes nous font savoir que le NEJM (New England Journal of Medicine) refuse de publier leur réponse à Dagan et al.
  • D’après leurs analyses des données de corrective.org, les vaccinés ont plus de risques de mourir du covid-19 après la phase totale de vaccination, s’ils en sont atteints. Ceci a été confirmé par les analyses de juin sur toute l’Europe (ci-après).

Le 8 mai 2021, analyse des données de surplus de mortalité en Israël :

  • Augmentation de la mortalité en février – mars 2021, particulièrement chez les jeunes de 20 – 40 ans. Ceci pourrait être en partie dû à la vaccination.
  • Extrapolation pour les plus jeunes, qui mène à la prédiction suivante : les effets de la vaccination seraient encore plus catastrophiques pour eux.
  • Le nombre de vaccinés augmente le nombre de cas covid-19 (Israël/Inde/États unis/Portugal).

En juin 2021, analyse des données de 22 pays européens (Euromomo.eu) :

  • Corrélation entre la mortalité totale et la population vaccinée.
  • Plus on est jeune, plus la corrélation est forte et durable.
  • Chez les moins de 15 non vaccinés, ils soupçonnent un phénomène de shedding de protéine Spike artificielle, ou autres dérivés du vaccin, qui seraient produits par le corps après la vaccination, et causeraient des effets indésirables.
  • Corrélation entre l’augmentation de la mortalité des personnes atteintes du covid-19 avec la vaccination. La vaccination augmente les risques de mourir du covid-19 pour les gens qui contracteraient tout de même la maladie malgré le vaccin.

*Auteur(s) : FranceSoir :  Publié le 14/06/2021 à 10:52 – Mise à jour le 15/06/2021 à 18:55

Merci aux adeptes de Big Pharma ! Je rappelle qu’il y a eu 110.000 morts dus à l’absence de traitement en dehors de l’injection vaccinale. Mais combien d’autres ont échappé à ce destin macabre ? Rappelons que 40% de Français sont adeptes des médecines naturelles et connaissent l’impact des HE. Si vous visitez le magasin AROMA-ZONE, c’est la foule qui se précipite vers les HE à phénol et monoterpénol.

Ayant lu une partie de vos commentaires dont certains désobligeants, à mon tour de vous demander qu’elle fût votre participation pour faire passer le message du bienfait de ces petites bombes biochimiques. Vous disposez d’internet, il vous est loisible de conseiller tous vos proches et amis. Ce qui suppose que vous disposer de mon livre « Tout savoir sur les virus et y faire face ». Ed. Dauphin. Vous pouvez connaitre ce que je pense des vaccins. Par ailleurs, je donne le protocole anti-covid comprenant 4 HE qu’on peut prendre en gélules, diffusion, massage et suppo.

Aujourd’hui mon autre combat est la prise en charge de la maladie d’Alzheimer. J’ai annoncé que tous ceux qui souffrent de troubles olfactifs développeront tôt ou tard cette maladie neurodégénérative. Dans mon livre « Alzheimer et odorat : quand les arômes restaurent la mémoire ». Ed. Trédaniel, j’évoque la parade pour stopper son évolution ou la contourner. Cette découverte fait le tour du monde. Le livre a été traduit en chinois, anglais, portugais et bientôt russe. En France, cinq journalistes m’ont interviewé sur cette maladie pour laquelle la médecine officielle ne propose aucune thérapie. Tous les malades qui entrent dans un EPHAD n’en sortent pas (sauf dans trois EPHAD où on applique mon protocole).

Dans ma faculté libre de médecines naturelles (FLMNE) on forme des gens en aromathérapie. Nombreux se sont inscrits pour traiter leur famille, d’autres pour soigner des patients dans des structures hospitalières ou des EPHAD. En attendant le jour où la sagesse gagnera le cerveau de la nomenclatura médicale et fera appel cette médecine incontournable. A la demande des autorités médicales chinoises, nous avons envoyé en Chine des jeunes filles formées dans notre faculté pour former à leur tour de jeune chinois.

Profitez des beaux jours de l’été pour vous aérer et retrouver une vie sociale.