Jean Pierre Willem, fondateur de l’Association Biologique Internationale

Jean-Pierre Willem - crédit : Emmanuel Gomes de Araujo
Jean-Pierre Willem – Crédit photo : Emmanuel Gomes de Araujo

Qui suis-je pour me permettre de diffuser de telles informations inédites ?

Je suis docteur en médecine, chirurgien, anthropologue. Diplômé en acupuncture, homéopathie et médecine ortho-moléculaire. J’ai participé ou animé de nombreux congrès internationaux.

J’ai un demi-siècle de pratique médicale. La plupart de mon parcours s’est effectué dans un contexte de médecine humanitaire. Dans mon parcours planétaire, j’ai découvert des médecines traditionnelles (Médecine énergétique chinoise, ayurvédique, chamanique) et populaires, ce qui m’a permis d’élargir mes connaissances médicales et de disposer de thérapies efficaces.

J’ai créé, à cet effet, une association humanitaire appelée « Les médecins aux pieds nus » qui s’appuie sur l’anthropologie médicale que j’ai appelé « ethnomédecine » (médecine d’ailleurs) reconnue par l’OMS. Les volontaires exploitent la pharmacopée du pays et mettent au point des préparations galéniques. Voir ma biographie « Mémoires d’un médecin aux pieds nus » aux éditions Albin Michel.

Mes connaissances résident aussi dans des rencontres de personnages atypiques mais inspirés : des biologistes, des généticiens, des pharmacologues, des endocrinologues et autres aventuriers du vivant. Ma rencontre la plus riche et fructueuse fut le docteur André Gernez, diplômé à 22 ans. Doté d’une intelligence exceptionnelle. Parmi ses nombreuses découvertes, il explicita notamment le mécanisme du cancer en quatre points. La découverte de ce chercheur génial, mais surtout « découvreur », permit, lors d’une expérimentation à l’Inserm (sous les auspices du professeur Truhaut), la guérison de 94% de cancers greffés du foie chez les rats. Cette découverte exceptionnelle fut occultée par les universitaires et les politiques aux ordres des lobbies. Durant 30 ans, je fus porte-parole de l’association UBI d’André Gernez, un puits de connaissance. J’ai décrit la stratégie de cette découverte dans un livre « Le secret des peuples sans cancer », aux éditions du Dauphin.

Quel monde voulons-nous demain ?

Quelle société sommes nous entrain de construire, à une époque où la science en l’espèce et la biologie bouleverse nos conceptions traditionnelles et même nos plus profondes convictions ? Si les progrès des sciences sont spectaculaires, les dangers le sont tout autant, mais à terme… Il est grand temps que la médecine parvienne à cette double vision, celle d’en haut qui voit l’homme dans son intégralité et celle qui descend à la source, au niveau cellulaire.

Notre corps est constitué de 30 000 milliards de cellules génialement assemblées, en communication les unes avec les autres.

Il faut penser la médecine autrement, et ouvrir des horizons insoupçonnés que les universités n’enseignent pas encore. Il est grand temps de nous mettre face à notre propre univers cellulaire, celui qui est perturbé et celui qui est capable de se refaire, de se réparer et de se régénérer.

Je vous offre des propositions scientifiques innovantes, un regard nouveau sur de nombreuses maladies, des données rigoureuses sur les connaissances pathogéniques actuelles, une très riche bibliographie scientifique internationale, une étude clinique pointilleuse et détaillée, des hypothèses plausibles sur les causes d’un grand nombre de maladies au mécanisme inconnu, un outil précieux pour les médecins et les scientifiques et qui s’adresse aux nombreux malades qui ne disposent pas de solutions thérapeutiques.

Tout commence au niveau cellulaire

L’unité cellulaire représente le point de départ absolu : tout dysfonctionnement de cette dernière entraînera obligatoirement des perturbations au niveau de l’organe qu’elle constitue, ce qu’occulte bien souvent l’allopathie traditionnelle. En effet, nous avons tellement orienté les recherches scientifiques dans le but de soigner la conséquence d’une perturbation, que nous avons fini par en oublier son origine : le dysfonctionnement de la cellule elle-même.

Or nous allons voir que ce dysfonctionnement prend souvent naissance à la suite d’une moindre disponibilité en nutriments. Les éléments qui constituent notre substance corporelle et qui maintiennent notre énergie vitale viennent des aliments que nous consommons, ils sont essentiels à notre santé. C’est eux que l’on devrait appeler les « produits de santé » et non les médicaments qui sont destinés aux malades.

Ainsi les aliments nous apportent les nutriments permettant de construire nos cellules et de leur fournir l’énergie, mais aussi les éléments de protection contre l’usure de notre moteur fonctionnant à l’oxygène. De plus, ces éléments constituent des antidotes contre les agressions chimiques d’origine naturelle ou anthropogénique. Cet équilibre cellulaire subtil est la base de notre santé et son altération peut induire des atteintes transitoires ou irréversibles à nos fonctions vitales. Les atteintes possibles à notre santé, par notre environnement, constituent une préoccupation majeure de nos sociétés dites développées.

La vie moderne nous éloigne de nos racines, alors que la qualité nutritionnelle de notre alimentation s’est dégradée sous l’effet d’une agriculture productiviste et d’une industrialisation des procédés de préparation et de conservation. En fait, une abondance alimentaire apparente cache de profonds déséquilibres dans la couverture des besoins structurels et fonctionnels de nos cellules soumises à des stress actifs ou passifs liés à nos modes de vie.

Toute notre démarche consiste à comprendre ces déséquilibres cellulaires, le rôle des nutriments dans cette alchimie complexe, puis de vous proposer des stratégies visant à rétablir cet équilibre fondamental assurant notre maintien en bonne santé.

En reconstituant les schémas des échanges métaboliques qui se produisent en nous à chaque seconde on dispose d’un moyen original pour rétablir un dialogue plus intime avec notre corps.

Cela suppose qu’il faut adopter dès le départ une démarche inhabituelle pour la médecine occidentale. En se basant sur l’antique principe de l’intelligence intrinsèque du corps, on prend conscience que la cellule est le centre de la « santé optimale », elle sait ce dont elle a besoin et elle nous le dit.

Les différents articles mis à votre disposition représentent une occasion unique d’un voyage au plus profond des ressorts de notre santé.

J’aborderai les grandes pathologies chroniques et dégénératives : la maladie d’Alzheimer, les maladies des tiques, les pathologies cardio-vasculaires auto-immunes (dont 5 millions de Français sont atteints) métaboliques, génétiques, rhumatismales, cutanés et d’autres maladies délaissées par la médecine officielle.

Docteur Jean-Pierre Willem