Qui n’a pas la sycose ? la majorité des Français souffrent des conséquences de la sycose selon plusieurs niveaux
Quesako ! Ne pas confondre avec la cirrhose ou la psychose !
Vous qui souffrez de jambes lourdes, de la cellulite, rétention aqueuse, épaississement du corps…Nous avons le remède ! Mais avant lisez ce texte ; il n’est pas érotique mais combien réconfortant pour celles qui pensent avoir trouvé la solution aux problèmes qui gâchent leur vie.
Au XVIIe siècle, Hahnemann, le pionnier de l’homéopathie avait classé les maladies chroniques fondamentales en trois modes réactionnels particuliers qu’il a appelé diathèses, ou prédispositions : la psore, la sycose et la luèse. Ce sont trois façons pour l’organisme de réagir à un contexte pathologique.
L’observation clinique d’Hahnemann a précédé les découvertes des scientifiques fondamentalistes.
Cette façon d’expliquer les différentes manifestations cliniques peut prêter à ricaner, mais les études immunologiques ont apporté une justification scientifique aux imprégnations correspondant aux différentes réponses immunitaires : anergie, allergie, exaltation immunitaire due à des perturbations du système HLA (Human Leukocyte Antigen) qui donnent lieu à des maladies auto-immunes.
La sycose, deuxième intoxication métabolique, est l’empreinte d’une biologie déficitaire encouragée par une civilisation qui accepte sans réaction la décadence lente de son mode de vie et de sa culture. L’élan de la réaction centrifuge et bénéfique de la psore va s’atténuer, s’éteindre ; elle porte de moins en moins vers la périphérie. L’infiltration interstitielle de la sycose va se traduire par une rétention aqueuse, un épaississement du corps, un psychisme déficitaire centré sur l’agitation stérile, anxieuse, et la tendance aux idées fixes.
Le mode réactionnel propre à la sycose se caractérise par :
- La tendance à la prolifération cellulaire : verrue, polype, végétation, condylome, molluscum, adénome, fibrome, cancer et à la production de petites tumeurs cutanées, semblables à des figues (sycon : figue, en grec) d’où le nom de sycose.
- Une infiltration générale des tissus par rétention hydrique (œdèmes, cellulite).
- Une catarrhe chronique des muqueuses.
- Un développement lent, insidieux, progressif, tout à fait différent du rythme de la psore, dont les éliminations sont centrifuges et s’évacuent par la peau, celles de la sycose sont centripètes : elles restent confinées dans les tissus.
Une litanie de causes
Les malades, atteints par cette diathèse, sont généralement frileux, leurs symptômes étant aggravés par le froid et l’humidité, améliorés par le mouvement, et ils montrent facilement une tendance psychique dépressive.
Cet état sycotique se rencontre :
- Après toutes les vaccinations et sérothérapies.
- Après les antibiotiques, la chimiothérapie et autres produits chimiques (corticoïdes, hormones et contraceptifs).
- Après certaines infections chroniques (colites colibacillose…).
- Toute agression à action lente, répétée, génère la sycose : vaccins répétés, introduction de sérums alimentaires, intoxications déclenchant des réactions allergiques immédiates. Ce sont de véritables organismes sentinelles.
La sycose est une dégradation progressive du milieu intérieur, que la médecine ignore.
Pollution environnementale
Hygiène alimentaire défectueuse, suralimentation, cultures de sol alourdies par l’adjonction d’engrais potassique, déficit magnésien accentuant la rétention potassique, vie moderne et pollutions atmosphériques de toutes sortes (détergents chimiques polluants, benzopyrène, dérivés du soufre, mazout, le tétraéthyle de plomb, produits capillaires et industriels, additifs alimentaires), la liste des poisons de l’environnement est inépuisable, et tous les contrôles de l’État sont insuffisants, mais la gravité réside dans l’absence d’effets polluants immédiats, qui en feraient de salutaires signaux de danger.
La clinique
Les premiers signes de la sycose sont l’insuffisance rénale débutante, la rétention hydrique, qui se traduit par l’apparition de sueurs aux parties découvertes, sous la forme de fines gouttelettes à la lèvre supérieure, des œdèmes apparaissent aux mains, avec le fameux signe de la bague, l’impossibilité de libérer l’alliance ou de fermer la main au réveil (Natrum sulf, Aranea diadema). La main froide et moite indique un trouble lymphathique de rétention hydrique ou d’éliminations périphériques encombrées.
L’œdème persistant apparaît aux chevilles, le bassin s’arrondit par adiposité. C’est la fameuse et irréductible culotte de cheval chez les hydrogénoïdes. Bien entendu, la rétention d’eau va s’aggraver la nuit, par immobilité. L’eau se dépose dans la région lombaire, rénale, dans les membres inférieurs, infiltra les tissus conjonctifs, les aponévroses, les ligaments, les tissus périarticulaires. L’état rhumatismal se caractérisera par l’aggravation au réveil et aux premiers mouvements.
L’aggravation par l’humidité fera des sujets sycotiques d’authentiques baromètres, et Natrum sulfuricum (un remède de la sycose) sentira le changement trois jours avant tout le monde.
Le mental
Quant à l’aspect psychique de cette intoxication, il est également lourd de conséquence : à la viscosité physiologique, due à la rétention d’eau, se superpose une viscosité mentale. Dans son état normal, notre cerveau maîtrise idées et images, quelle que soit leur intensité. Dans la sycose, lorsqu’une idée envahit le champ de conscience, elle devient idée fixe, un véritable corps étranger capable de nourrir l’angoisse jusqu’à l’extrême limite de l’obsession. La défense psychique s’organise dans le désordre par suite du fléchissement du contrôle supérieur de la volonté et de son aliénation passive.
La rumination apparaît, d’où le développement d’une certaine catégorie de malades, les hypocondriaques, prisonniers d’une même préoccupation chronique qui perturbe leur état de santé et la perception des moindres sensations émanant de leur corps. Ces malades fondent d’immenses espoirs sur le corps médical qui ne peut que les décevoir mais multiplie sur eux les expériences médicamenteuses… en vain !
Ce n’est pas seulement la description intellectuelle confortable d’une pathologie parmi d’autres, elle représente un chapitre de pathologie à part entière en ouvrant la voie à la limitation de l’autodéfense ou de la prévention naturelle et à un vieillissement prématuré plus marqué que la sénescence physiologique.
Aux médecines naturelles ou énergétiques, et particulièrement à l’homéopathie, revient le mérite d’évoquer la sénescence en termes de qualité de vie. Seules ces thérapeutiques savent en effet s’attarder sur les notions de terrain et de maladies chroniques. Cette démarche originale s’inscrit dans le cadre d’une investigation logique, qui considère l’homme à un autre niveau que celui d’un simple élément dans la « théorie des machines ».
Rien de comparable avec la médecine officielle !
Quel est l’impact de la médecine allopathique, avec son arsenal chimique destiné à les secourir ? N’a-t-il pas été la cause de préjudices que l’on aurait sans doute évité si l’on s’était contenté d’évoquer de simples notions d’hygiène, dans un cadre correspondant à leur mode de vie ? Les vaccinations, le matraquage par des antibiotiques de plus en plus puissants et par des tranquillisants destinés à atténuer leur détresse morale, ont pollué des organismes alors qu’ils auraient pu se préserver de ces intoxications chimiques, en adoptant une médecine de terrain.
Comme le constate le docteur Mahler, ancien directeur général de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) : « La plupart des écoles de médecine préparent les médecins, non à prendre soin de la santé des gens, mais à une pratique médicale qui n’est sensible qu’à la maladie et à la technologie pour la traiter… L’empire médical et l’industrie agressive qui le flanque, en lui fournissant ses armes de diagnostic et de thérapeutique, ont parfois l’effet paradoxal de nuire à la santé elle-même… Traiter un mal, ou même seulement le diagnostiquer, peut en faire naître un autre, que ce soit par effet secondaire ou par iatrogénèse. »
En s’adressant aux médecins généralistes…
Pourquoi une maladie chronique devrait-elle se définir comme un purgatoire qu’on impose au malade, en attendant la dégradation irréversible de ses organes ? Comment le médecin, face à une maladie chronique, peut-il ne prendre en compte que les symptômes observés ? « C’est l’addition de ces empreintes dynamiques qui s’inscrit dans nos tissus, et c’est l’approche du mystère du corps qui doit nous ouvrir la conduite préventive de la santé », constate Roland Sananès, homéopathe de renom et mon formateur.
Cela signifie pour le médecin généraliste (et allopathique) qu’il lui faut aller à la quête en profondeur du diagnostic, retrouver le point de départ et l’enchaînement des étapes de la maladie et lui prescrire le bon remède qui colmate tous les aspects cliniques défectueux.
La thérapie est conditionnée par l’ensemble des signes cliniques. En revanche le traitement de la cellulite, du surpoids, de la rétention hydrique est facilement abordable. Avec un remède homéopathique (7 euros) vous pouvez perdre de 10 à 20 kilos en 2 mois !!! qui dit mieux ! pas la pub « Comme j’aime » qui nous casse les oreilles 4 fois par jour depuis des années.
Pour les autres problèmes de surcharge toxique j’ai proposé un ensemble de protocoles dans mon livre « Pollutions et santé ». Ed. Dangles.
Toutefois je vous recommande ABDONORM pour la prévention correctrice de l’invasion lipidique abdominale et des risques cardiovasculaires associés (chez les femmes et les hommes), ce qui donne :
Normalisation du tour de taille et de la masse adipeuse.
Prévention des pathologies métaboliques (diabète, cholestérol).
Mode d’emploi : 2 cp matin, midi et soir aux repas, durée optimale 3 à 4 mois.
Boite de 90 cp pour 15 jours. Labo HanBiotech, tel : 03 88 23 58 31.
Pour ceux qui pratiquent l’homéopathie je leur conseille « Ma bible de l’homéopathie ». Ed. Le Duc, du docteur en pharmacie Albert Claude Quemoun, le maitre de tous les homéopathes.
Après ces explications, vous portez-vous mieux ?
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J’ai été médecin de Jean Paul Belmondo il y a 10 ans, un personnage généreux, délicat, très adorable, très curieux. Je vous en parlerai.
Bonjour, je me retrouve dans votre excellente parution concernant les épaississements du corps après la ménopause qui m’a fait prendre + de 5 kgs tout en étant raisonnable sur mes apports nutritionnels. je souhaiterais savoir si ABDONORM était compatible avec mon traitement sous anti coagulants. je vous remercie pour vos excellents articles.