Un vaccin est une substance permettant de développer une immunité contre des agents pathogènes spécifiques. Le principe consiste en l’inoculation d’une forme atténuée ou tuée de germes (microbes, virus, parasites) ou de toxines afin que l’organisme produise des anticorps correspondants et soit préparé à réagir rapidement à une infection.

La question des vaccinations est une question de santé publique. Les médecins, qu’ils soient allopathes ou homéopathes, ont des opinions très différentes concernant l’efficacité, l’opportunité et les accidents des vaccins. Quelles que soient ces opinions, chaque médecin doit respecter la loi concernant les vaccinations obligatoires. Tout au plus, peut-on ajourner une vaccination en fonction d’un état de déficience momentanée (ou allergie).

Certains vaccins sont obligatoires parce qu’ils protègent de maladies graves aux conséquences terribles ou handicapantes. Mais leurs effets secondaires restent réels. La vaccination représente toujours une agression pour l’organisme. Parfois, vous avez le droit de refuser celles qui ne sont pas obligatoires. Certaines maladies bénignes d’à peine une dizaine de jours immunisent votre enfant tout aussi efficacement et naturellement.

Les réactions post-vaccinales sont le plus souvent bénignes : inflammation cutanée au point d’injection (avec ou sans fièvre), simulation a minima de la maladie contre laquelle est dirigé le vaccin. Il peut cependant exister des effets secondaires majeurs, locaux ou généraux : réactions d’hypersensibilité immédiate (choc anaphylactique, urticaire, œdème de Quincke, convulsion), demi- retardée (maladie sérique, vascularite) ou retardée (eczéma, déficit immunitaire).

Après l’affolement lors de la grippe A-Hl NI (hiver 2009-2010) les gens ont réalisé que les vaccins n’étaient pas des anges tombés du ciel, mais contenaient des produits dangereux comme de l’aluminium et du mercure, qu’ils pouvaient être contaminés par un virus mal atténué dont on voulait vous protéger ou par un autre virus lors de sa culture sur des produits animaux. Leur croyance dans le bienfait des vaccins a chuté et le taux de vaccination a diminué en 2010 de 15 %.

Historique

Officiellement, la vaccination scientifique a commencé à la fin du XVIIIe siècle, avec le médecin anglais Edward Jenner qui, afin de protéger les Hommes de la variole entreprit d’inoculer la vaccine (maladie spécifique des bovins proche de la variole, elle-même maladie tout aussi spécifique des êtres humains).

L’idée n’était pas sans intérêt, car elle favorisait la prévention. Les Anciens avaient déjà observé que le fait de contracter une maladie infectieuse et contagieuse, tels les oreillons, protégeait ensuite de cette maladie : c’est le principe de la « mithridatisation ». Mais encore eût-il fallu s’assurer de la justesse des mécanismes mis en jeu et de l’innocuité des procédés.

Jenner a en fait simplement remplacé le pus variolique, obtenu lors de l’atteinte par la variole, par du pus d’abord prélevé sur des vaches, puis purifié. C’est ainsi que ce premier vaccin « artisanal » et empirique a été administré tel quel à des milliers de personnes à travers le monde.

Le génie de l’Homme a donc réussi, à la fin du XVIIIe siècle, à bouleverser l’écosystème humain en facilitant le passage de micro-organismes d’une espèce à une autre. La barrière d’espèce était franchie : c’étaient les prémisses de l’« animalisation » de l’Homme ou « minotaurisation de l’espèce humaine ». Évidemment, cette façon de procéder était contre-nature. Jenner s’est comporté en apprenti sorcier. Il ne sera pas le seul.

Le rôle du vaccin

Les vaccins reposent tous sur le même principe : susciter une réponse du système immunitaire en lui apprenant à reconnaître le virus cible et in fine à le détruire. Cela implique d’éduquer en quelque sorte le système immunitaire afin qu’il soit prêt le moment venu.

Le mécanisme vaccinal apporte deux types de réponses :

  • une réponse primaire : le premier contact antigénique entraîne une augmentation lente (pic en 2 à 4 semaines) et différée des anticorps à faible niveau, suivi d’une décroissance rapide de leur taux.
  • une réponse secondaire : un contact ultérieur au même antigène met en jeu la mémoire immune et entraîne en quelques jours une élévation importante et durable des anticorps protecteurs.

La vaccination a donc un seul objectif : celui de stimuler le système immunitaire, une première fois, en amont d’une infection. La réponse du système immunitaire sera la création d’anticorps spécifiques de la maladie dont on souhaite être « immunisé ». Et comme l’organisme conserve une mémoire (les lymphocytes B mémoire) spécifique de l’antigène, lorsque l’on sera de nouveau en contact avec le virus pathogène, la production d’anticorps sera plus rapide et la réponse immunitaire efficace et adaptée.

Le vaccin et l’immunité

Dans le système immunitaire, il y a deux réponses possibles :

1. L’immunité innée

On la reçoit à la naissance. C’est une réponse immédiate, qui est due à plusieurs facteurs :

  • Les barrières naturelles : les microbiotes de la peau, des muqueuses, de l’intestin, l’acidité gastrique, les larmes, la salive, les tissus épithéliaux ;
  • Le système du complément (ce sont les cellules du tissu réticulo-endothélial : monocytes et macrophages) ;
  • Les cellules phagocytaires (les macrophages), qui ingèrent l’intrus ;
  • Les cellules tueuses naturelles (cellules NK pour Natural Killer).

Dit autrement : l’immunité innée est une première ligne de défense où interviennent :

  • Des barrières physiques (peau, muqueuses), chimiques (sécrétions, mucus) ;
  • Des cellules fantassins (macrophages, globules blancs neutrophiles), qui vont combattre l’agresseur ;
  • Des cellules dites « dendritiques », qui ont pour rôle de parfaitement identifier l’agresseur au cas où il revienne;
  • Des petites protéines (ou cytokines), qui stimulent les troupes immunitaires.

Lors d’une infection, dans les premières heures, c’est d’abord cette immunité qui est activée. Normalement, ce système est à lui seul efficace. Toutefois, l’immunité innée n’a pas de mémoire immunologique.

2. L’immunité acquise (ou adaptative)

L’immunité adaptative est celle qui nous intéresse dans le cadre d’une épidémie virale, puisqu’elle est spécifique de l’antigène (ou virus). Elle fait intervenir les lymphocytes T et B, qui sont des cellules immunitaires. Le mécanisme de base est le suivant : l’antigène est présenté aux lymphocytes T, qui activent les lymphocytes B (produits par la moelle osseuse), lesquels produisent des anticorps appelés « immunoglobines G ».

L’immunité adaptative comporte deux formes qui se complètent :

La forme cellulaire fait intervenir des globules blancs, les « lymphocytes T », qui peuvent être :

  • Cytotoxiques (les CD8+) : leur mission est de détruire les cellules infectées ;
  • Régulateurs (les CD4+) : leur objectif est de coordonner et de diriger les attaques des CD8+.

La forme humorale produit des anticorps (immunoglobulines), qui neutralisent l’agresseur à partir de globules blancs appelés « lymphocytes B ».

À noter que les tests sérologiques, dont la fiabilité est loin d’être parfaite (beaucoup de faux négatifs), ne concernent que l’immunité humorale (présence ou non d’anticorps).

Sachant qu’un vaccin agit sur cette immunité acquise et non sur l’immunité innée, la question de l’immunité conférée aux millions de personnes qui dans le monde ont à ce jour survécu après avoir contracté la Covid-19 devient un sujet de premier plan : combien de temps vont-elles être protégées ? Peuvent-elles être contaminées de nouveau ? Quel type de protection un vaccin doit-il assurer ?

Les différents types de vaccins

Auparavant, les vaccins contre la grippe étaient constitués de virus entiers inactivés, puis ont succédé des vaccins à virus éclatés purifiés pour en limiter les effets secondaires.

La biologie actuelle permet de limiter la virulence des virus grâce à des vaccins vivants atténués, avec une approche plus adaptée que la méthode classique de passages successifs en culture.

On dispose de plusieurs types de vaccins :

a) les vaccins vivants atténués : ils sont fabriqués à partir d’agents pathogènes que l’on fait muter pour qu’ils perdent leur pouvoir infectieux (rubéole, rougeole, variole, tuberculose, oreillons) ; ils présentent les caractéristiques suivantes :

  • Efficaces après une dose unique ;
  • Protection immunitaire accélérée et prolongée ;
  • Présence de manifestations retardées de nature infectieuse.

Ce sont les vaccins les plus performants : le plus souvent, ils permettent d’être protégés à vie après une seule administration ou injection.

b) Les vaccins inactivés (ou dits « inertes ») : ils sont fabriqués à partir d’agents pathogènes que l’on a tués auparavant (grippe, tétanos) ; ce sont des polyosidiques dits « conjugués » ; ils présentent les caractéristiques suivantes :

  • Dépourvus de pouvoir infectant ;
  • Entiers ou fractions antigéniques (anatoxines, antigènes capsulaires ou membranaires) ;
  • Renforcement de la protection souvent nécessaire par la répétition de doses espacées dans le temps ;
  • Inefficaces chez les enfants de moins de 2 ans ;
  • Manifestations précoces de nature toxique ou d’hypersensibilité.

Les vaccins issus de protéines virales dont on a inhibé les gènes responsables du pouvoir infectieux (hépatite B) et que l’on peut produire à l’identique par génie génétique (protéines dites « recombinantes ») ou extraire de cultures cellulaires infectées par le virus contre lequel on veut se prémunir. Il faut ensuite, pour que ces protéines suscitent une réaction immunitaire, qu’elles soient portées par un vecteur qui, là encore, est un virus, mais non pathogène pour l’Homme (par exemple, un adénovirus vivant ou inerte).

Les vaccins potentialisés par des adjuvants tel l’aluminium (un métal neurotoxique) pour booster l’immunité : ce sont des techniques plus récentes qui cherchent à induire une immunité à partir d’acides nucléiques viraux (ARN, ADN) pour lesquelles différents vecteurs adéquats existent.

Les vaccins récents : des vaccins atypiques

Les vaccins classiques reposent sur l’injection du virus cible, inactivé ou atténué. Toutefois, de nouvelles technologies vaccinales viennent bouleverser les pratiques, notamment celles qui utilisent des molécules d’ADN ou d’ARN messager (ARNm). Ces dernières sont injectées au patient afin de faire produire directement par ses cellules une partie du virus et ainsi stimuler une réponse immunitaire avec élaboration d’anticorps protecteurs.

Dans le cas des vaccins à ARNm utilisés contre la Covid-19, on injecte directement les ingrédients – des brins de code génétique -nécessaires pour la fabrication des protéines Spike (protéine S), présentes à la surface du SARS-CoV-2.

Techniquement, l’injection d’ADN est plus compliquée car, une fois injecté dans la cellule, le virus à ADN doit aussi franchir la membrane nucléaire (le noyau). À l’inverse, le virus à ARN est actif immédiatement après avoir passé la membrane cellulaire. Par contre, le virus à ADN est moins fragile et la production de protéines S est de meilleure qualité et se maintient plus longtemps.

Ces deux techniques présentent l’avantage de gagner du temps dans l’élaboration du vaccin. C’est leur principal atout. Mais elles posent un problème de logistique : les vaccins à ARN doivent être stockés à très basse température, à environ -80 °C, alors que les vaccins tritionnels sont stockés à environ -20 °C (Moderna).

De nombreuses interrogations

Dans cette course que se livrent les scientifiques, Pfizer et BioNTech ont incontestablement gagné une manche : ils sont les premiers à rendre publics des résultats intermédiaires de leurs essais. Mais il faut être extrêmement prudents, mettant dans la balance, face à cette bonne nouvelle, une litanie d’interrogations. Le résultat est remarquable, mais ce sont des résultats intermédiaires : il faut donc attendre les résultats finaux et rester prudents, d’autant plus qu’il subsiste encore trois interrogations essentielles : quelle est la durée de protection de ce vaccin ? Quelle sera son efficacité chez les personnes à risques ? Le vaccin est-il sécurisé ?…

L’efficacité dans le temps de l’injection est conditionnée par le taux d’immunité obtenue un peu plus d’un mois après la vaccination, explique le virologue Yves Gaudin, de Paris-Saclay. Il est encore tôt pour se prononcer sur une protection durable.

La durée de l’immunité, enjeu essentiel

Une autre inconnue complique l’équation : la durée d’immunité garantie par le vaccin. Protègera-t-il quelques mois, ou beaucoup plus ? On n’a encore aucune certitude, note l’infectiologue Dominique Salmon. Cette donnée est l’une des plus attendues par les scientifiques, qui nuancent l’enthousiasme général en parlant de manque de recul.

D’autres médecins ou scientifiques sont prudents pour trois raisons :

1/ La période d’observation n’est pas close ;

On ne connaît pas la durée d’efficacité du vaccin, qui a été créé en un temps record (en seulement neuf mois, alors que le processus prend d’habitude plusieurs années !) ;

2/ Il n’y a pas de recul sur les effets secondaires : ceux-ci peuvent surgir rapidement ou dans plusieurs années ; attendons donc de voir…
Il faut savoir que, chez l’Homme, l’immunité adaptative après infection par un coronavirus est assez variable :

Les anticorps liés à la pandémie du Sras-CoV en 2002-2004 (très agressive mais de faible ampleur) ont persisté environ trois ans chez les survivants ;
Les anticorps liés aux coronavirus responsables de rhumes bénins persistent seulement quelques mois ;
Il semblerait que les anticorps liés à la Covid-19 deviennent faiblement neutralisants après un délai variant de trois semaines à trois mois.

3/ Pour bloquer le virus, il faudrait obtenir 70 % d’immunité collective ; cela signifie que les gens se vaccinent en masse. Or, on connaît les réticences d’une partie de la population à ce sujet.

Mais d’autres paramètres entrent également en ligne de compte. Le débat sur le risque d’effets secondaires, qui ne va pas manquer d’être lourd dans les prochains mois, pourrait rebattre les cartes ; de même que le mode d’administration du vaccin, mieux accepté s’il est fait par le pharmacien ou le généraliste que dans un centre de vaccination de masse.

Pour atteindre la ligne à l’arrivée de l’immunité collective, il faudrait que les campagnes sanitaires aillent plus vite que la propagation de l’épidémie, au niveau mondial : « Les gens voyagent, nous ne vivons pas dans une bulle hermétique, et on ne connaît pas le temps qu’il faut pour immuniser le monde… », rappelle le Dr Benjamin Davido, infectiologue.

Les risques et bénéfices

Un dogme sécurisant

Il fut une époque où notre société favorisait les vaccins. Nous étions devenus des consommateurs dépendants, toujours désireux d’en « avoir plus ». Les fabricants avaient bien compris qu’ils n’avaient qu’à entretenir cette dépendance. En effet, le vaccin reflétait bien à lui seul notre conception de la maladie, du rôle du médecin et de la prise en charge de la santé au niveau individuel et collectif. « Le vaccin évite de se responsabiliser, de s’investir », écrit Sylvie Simon dans son livre Vaccination, l’overdose. Au départ, on a procédé aux vaccinations sans connaître les mécanismes des microbes, des bactéries, des virus et encore moins du système immunitaire. Malgré cette absence de connaissances, la vaccination s’était très vite généralisée dans la pratique médicale.

Convaincus que la vaccination était une panacée, les tenants de cette pratique l’ont imposée dans le monde entier sous forme de campagnes vaccinales, de calendriers vaccinaux, de programmes élargis de vaccinations, de lois d’obligation vaccinale, etc.

La vaccination est ainsi devenue culturelle, telle une idéologie pour laquelle on doit être prêt à immoler un petit nombre afin de sauvegarder le groupe. Solution de facilité, approche sécurisante, la vaccination offre une alternative commode que nulle autre pratique médicale ne possède. Certes, sa mise au point nécessite un investissement chiffrable, mais qui est vite amorti par des bénéfices alléchants, lesquels poussent à une surenchère commerciale incessante.

Toutefois, depuis plusieurs années, la vaccination connaît un certain recul. Les médecins sont moins convaincus et hésitent à pratiquer le rituel de la vaccination, d’autant que le carnet vaccinal des enfants s’est considérablement rallongé (11 obligatoires alors que leur immunité est encore « immature »)

Risques des vaccins

Les vaccins sont des produits standards que l’on inocule à des individus aux caractéristiques génétiques et immunitaires variables et différentes. Chez des singes, vaccinés avec de l’anatoxine diphtérique, le taux d’anatoxine dans leur sang pouvait varier dans une proportion de 1 à 7000, alors qu’ils n’ont pas la même constitution HLA. Les molécules HLA ont un rôle clef dans le déroulement de la reprise immunitaire et dans le développement des maladies auto-immunes.

Les déficits immunitaires

  • Un déficit immunitaire de naissance (1 enfant sur 500). On ne fait aucune analyse pour le chercher avant de vacciner ;
  • Le déficit immunitaire acquis (SIDA), et pourtant on les hyper vaccine, prétendument pour les protéger des autres virus ;
  • Immaturité du système immunitaire du nourrisson. Il a peu d’interleukine 2, peu d’interféron et moins de cellules T. Le lait maternel apporte les anticorps qu’a faits la maman. L’accouchement en clinique met le bébé en contact avec des virus inconnus pour la mère qui n’a pas fait les anticorps correspondants, d’où l’engouement dans certains pays pour l’accouchement à domicile ;
  • Engorgement immunitaire de l’enfant. Une forte dose d’antigène peut provoquer une absence de réponse à cet antigène. Normalement, le jeune enfant réagit rapidement à une faible dose d’antigène. Pourtant les enfants sont vaccinés avec des plus fortes doses d’antigène que les adultes. Ils sont vaccinés contre plusieurs maladies à la fois, l’organisme va peut-être faire des anticorps spécifiques de ce mélange, mais pas spécifiques à chaque maladie ;
  • Malnutrition et parasites. On vaccine les gens des pays sous- développés qui ont une immunité déficiente à cause de la malnutrition (atrophie des organes lymphoïdes, du thymus, des amygdales, de la rate, diminution des lymphocytes T cytotoxiques, des cytokines et de l’interleukine 1) ;
  • Le stress : l’immunité baisse en période de stress ainsi que pendant une dépression nerveuse. On le vérifie avec les périodes de couvre-feu et de confinement.

Les risques liés aux virus

  • Retour à la virulence
  • Recombinaison possible entre virus
  • Mutation des virus et apparition de variantes

Les risques liés aux additifs

Tous les vaccins contiennent des adjuvants, des conservateurs et des stabilisateurs, dont certains sont allergisants voire cancérigènes.

Le mercure

Le mercure (thiomersal) est un antiseptique utilisé souvent au départ de la production pour éviter une contamination (diphtérie, tétanos) ou pour inactiver une souche bactérienne (coqueluche) ou lorsque la stérilisation est difficile (grippe). Enfin il peut être ajouté en fin de production comme conservateur, comme cela est fait dans les collyres. Mais ce mercure traverse la barrière hémato-encéphalique qui protège le cerveau. Or il est fortement suspecté d’être à l’origine de cas d’autisme.

L’aluminium

La plupart des vaccins en contiennent depuis longtemps, utilisé au départ sous forme de phosphate d’alumine ou d’alun (sulfate double d’aluminium et de potassium).

Aujourd’hui, on utilise l’hydroxyde d’aluminium. La neurotoxicité de l’aluminium a été démontrée dès le milieu des années 70 chez les insuffisants rénaux dialysés. Il est suspecté d’être un facteur intervenant dans la maladie d’Alzheimer.

Une nouvelle maladie vient d’être attribuée à l’aluminium contenu dans les vaccins : la myofascite à macrophage (MAM), donnant des douleurs musculaires, de la fatigue, parfois des douleurs articulaires, des douleurs abdominales, des maux de tête et des troubles respiratoires.

Le Phénoxyéthanol

Une expertise de l’INSERM, publiée en 1999, a montré que ce produit a une action hémolytique (éclatement des globules rouges) et qu’il atteint la fonction reproductrice.

La bêta-propiolactone

Provoque des cancers (notamment des sarcomes) aux points d’injection à des rats.

La formaldéhyde

Classée cancérigène pour l’homme.

Le vaccin anti-papillomavirus

En 2008 est inventé « un vaccin contre le cancer de l’utérus ». Il faut savoir qu’il n’existe aucun vaccin contre le cancer. C’est simplement un vaccin contre le papillomavirus (HPV). On sait que 90 % des infections à HPV guérissent spontanément entre six et quatorze mois. Chez les femmes qui les gardent de deux à quatre ans, 15 à 25 % seulement des lésions cervicales évoluent vers un état précancéreux. On est loin des affirmations des laboratoires, qui les rendent responsables de cancer pour 70 à 84 % de cas, suivant le virus. Il existe une cinquantaine de virus différents et les vaccins ne contiennent que quelques souches variables selon les laboratoires.

Ce vaccin contient 225 μg d’aluminium et du plysorbate 80 qui rend les souris stériles et est soupçonné d’être mutagène. Je conseille de lire le livre de Sylvie Simon Vaccins, mensonges et propagande pour avoir plus de détails sur les accidents et tous les intérêts financiers derrière ce vaccin.

Pour augmenter le pactole, le labo conseille de vacciner des gamins de 12 ans et les jeunes gens. On navigue dans le cynisme et la cupidité. Alors qu’il est très facile de colmater le papillomavirus avec des ovules contenant des huiles essentielles. Personnellement j’ai traité plus d’une centaines de jeunes filles et femmes. Aucun échec.

Voir mon livre « Huiles essentielles antivirales ». Ed. Trédaniel (p. 155).

Le vaccin contre le tétanos

Ce vaccin contient aussi de l’aluminium. Nul ne conteste que le tétanos est une maladie non immunisante, vous pouvez l’attraper plusieurs fois. Comment espérer faire mieux que la nature en voulant protéger du tétanos avec une toxine atténuée, alors que la toxine elle-même n’immunise pas ? Pour le BCG, c’est la même chose ; la tuberculose n’immunise pas.

Le vaccin ROR

Ce n’est pas la vaccination qui a fait baisser la mortalité. De bénignes, la rougeole et la rubéole sont décrétées maladies graves aux conséquences lourdes par le Pr Roux, comme par hasard directeur général de la santé quand le vaccin vient de sortir.

Le vaccin antirougeoleux provoque une chute des plaquettes, le vaccin antirubéoleux provoque des complications articulaires et le vaccin anti-ourlien provoque des méningites. L’association des trois serait à l’origine de beaucoup de cas d’autisme.

Le vaccin universel

C’est un terme marketing. Ce serait un vaccin à large spectre. Serait-il un vaccin ?

Attendons la suite avant de l’exclure.

Il faut demander trois critères à un vaccin :

  • Être nécessaire,
  • Être efficace,
  • Ne pas être dangereux, primum non nocere (d’abord ne pas nuire).

À notre époque, nous ne pouvons plus subir des informations truquées. Avant de se faire vacciner ou de faire vacciner son enfant, tout le monde devrait se renseigner en lisant les livres qu’ont écrits les partisans de la vaccination (trop souvent des laboratoires) et les livres écrits par les opposants à la vaccination. Grâce à Internet (en triant et en comparant), il devient de plus en plus difficile de cacher la vérité.

Lire mon livre « Tout savoir sur les virus et y faire face ». Ed. Dauphin. 2020. Prix : 14€.

Le marché du vaccin

La fabrication et la commercialisation des vaccins constituent des enjeux mondiaux et leur marché est en pleine expansion. Pour faire accepter les vaccinations par les populations du globe, il faut lancer une intense propagande que leurs promoteurs osent appeler « information » alors qu’il s’agit d’avantage d’un matraquage publicitaire.

En fait, l’industrie pharmaceutique impose, par l’entremise des organisations internationales et des gouvernements des pays riches, ses vaccinations, ses prix, sans se soucier de l’avis des consommateurs. Les industriels de la pharmacie ont de l’appétit et cherchent à absorber leurs concurrents ou à se regrouper avec eux, ce qui leur permet de s’implanter sur de nouveaux marchés. Ils sont plus puissants pour se défendre contre d’éventuels procès, intentés par les victimes d’accidents post-vaccinaux. Une autre conséquence de ces restructurations a été le changement de conception dans le management des entreprises, qui était auparavant plutôt scientifique et médical, et qui est aujourd’hui de type marketing et recherche de rentabilité maximale.

Tout individu est maître et responsable de son corps. Nul ne peut être contraint de subir contre son gré un traitement, qu’il soit préventif ou curatif.

La loi 94-653 du 29 juillet 1994, relative au respect du corps humain, prévoit dans les articles 16-1 et 16-3 que : « Chacun a le droit au respect de son corps. Le corps humain est inviolable » et qu’ « il ne peut être porté atteinte à l’intégrité du corps humain qu’en cas de nécessité thérapeutique pour la personne ». L’obligation vaccinale est une atteinte à cette loi. Les partisans des vaccinations ne manquent pas de faire remarquer que ces vaccinations sont non seulement destinées à protéger les individus qui les reçoivent, mais aussi l’ensemble de la population par la création d’une barrière d’immunité (l’immunité de troupeau). Mais des gens meurent à cause des vaccins.

Les essais vaccinaux faits sur des enfants demandent le consentement des parents. Ces derniers sont informés sur les effets nocifs mineurs, mais on oublie de noter les effets graves et les décès

Pour imposer les vaccinations (rougeole, oreillons, rubéole, hépatite B et papillomavirus pour prendre les exemples les plus récents), on fait croire à des fléaux par des campagnes médiatiques. Le record a été battu pour l’hépatite B : les fabricants ont parlé de transmission par la salive et d’un million de cas en France. On rassure en mentant aussi sur les dangers de la vaccination : « Les effets indésirables du vaccin sont anodins (irritation ou douleur locale transitoire, nausée ou poussée de fièvre légère) »

Vaccinations déconseillées

Tout est une question d’immunité. Après vaccination beaucoup de séniors comorbides (diabète, hypertension, maladies cardio-vasculaires) ont une immunité effondrée par la prise d’une plèthore de produits chimiques, auxquels on ajoute un vaccin, le plus antigénique et iatrogène des remèdes chimiques.

En principe les allergiques sont dispensés de vaccin. Leur immunité est très sollicitée. Ajoutée aux vaccins les défenses immunitaires explosent et s’anéantissent.

Il en va de même des 6 millions de Français qui souffrent d’une des 55 maladies auto-immunes. L’immunité est débordée, autrement dit le patient en est complétement démuni. Une épée de Damoclès plane sur sa tête.

L’une des toutes premières victimes fut un docteur californien qui justement souffrait d’un purpura trombocytopénique idiopathique, une maladie auto-immune.

Traitement homéopathique

A donner au cours d’une vaccination

  • Belladonna 30 CH, une dose entière à prendre immédiatement après la vaccination pour éviter la fièvre et toute inflammation (locale ou méningée).
  • Thuya occidentalis 9 CH, une dose entière le deuxième jour (le matin à jeun), pour éviter que le terrain de l’enfant devienne sycotique (blocage de l’immunité et installation d’une maladie chronique comme des rhumatismes), pour éviter de faire ressortir une maladie familiale comme l’eczéma et l’asthme, comme le faisait beaucoup le BCG.
  • Thuya occidentalis 15 CH, une dose entière le troisième jour (le matin à jeun).
  • Thuya occidentalis 30 CH, une dose entière le quatrième jour (le matin à jeun).
  • Le vaccin injecté en 30 CH, une dose entière le cinquième jour et le vingtième jour (le matin à jeun), pour éliminer les effets spécifiques du vaccin injecté ce jour-là.

Mais en France, ces dilutions des vaccins ne sont plus disponibles.

En fonction des symptômes

  • Aviaire 5 CH : fragilisation du système immunitaire. Rhinopharyngites à répétition.
  • Mezereum : éruption prurigineuse post-vaccinale, sous forme de vésicules évoluant rapidement vers l’ulcération, avec pus blanc qui sèche et laisse place à des croûtes blanchâtres. Prurit nocturne empêchant de dormir.
  • Silicea 5 CH : suppuration du lieu d’injection, amaigrissement.
  • Sulfur : éruption pustuleuse, rouge, brûlante, prurigineuse, douloureuse, aggravée par l’eau, après vaccination.

Thuya occidentalis : médicament de prescription systématique à titre préventif. Utile en cas de conjonctivite, kératite, d’asthme, de diarrhée, d’insomnie après une vaccination. Indiqué particulièrement chez le patient présentant une infiltration de type gynoïde.

Relancer les défenses immunitaires

  • Cuivre-Or-Argent : 1 ampoule le matin à jeun.
  • Vitamine C Acérola : 1 c à soupe de poudre le matin.
  • Propolis pure : 2 gélules, 3 fois par jour. (Phyt’Inov).
  • Echinacea complexe (Lehning) n° 40 : 3 fois, 20 gouttes
  • STIMU+ : 2 fois 2 gélules (Phyt’Inov)

Huiles essentielles

6 gouttes du mélange sur le thorax et le dos, 3 fois par jour pendant 15 jours.

Éliminer les toxines

Gemmothérapie

  • Élixir Dépuratif :

Comprend élixirs de Boldo, Bardane, Bouleau, Romarin.

Cette association a pour but de drainer l’organisme et de favoriser l’élimination des toxines de l’organisme. Cet élixir est utilisé pour faciliter l’élimination des déchets et purifie le sang. Il a la propriété d’enlever à la masse des humeurs (toute substance liquide ou demi- liquide contenue dans l’organisme) et particulièrement au sang, en complément de mesures diététiques. Il a également une action bénéfique sur le foie. On le recommande comme désintoxiquant du sang et en cas d’acné ou d’eczéma. Il assurera un nettoyage de l’ensemble de l’organisme. Flacon de 200 ml.

Mettre 3 cuillères dose dans une bouteille de Volvic ou Mont Roucous. Boire la bouteille un jour sur deux.

Ou Gémo-Draineur

Comprend trois macérats : Cassis, Tilleul, Genévrier.

Cette association a pour but d’aider à éliminer les toxines de l’organisme. Le Genévrier a une double action, il stimule le foie et le rein, cet effet sera potentialisé par le Cassis et le Tilleul favorisant l’élimination des impuretés et des toxines.

Les tissus embryonnaires de ce complexe apportent un concentré de force des plantes pour restaurer le terrain. Il convient à une personne qui veut nettoyer en profondeur son organisme, éviter les séquelles postvaccinales, drainer son foie et favoriser l’élimination de l’eau.

Flacon de 15 ml.

10 gouttes le matin dans un grand verre d’eau.

La Royale N° vert : 00 800 29 06 82 76.