Messieurs de la communication, faites en sorte que la transparence ne soit plus un vain mot. Le bon peuple de France réclame cette transparence. Evitez la dislocation de la société !
Quant à la vaccination je ne suis pas contre dès lors que l’on refuse délibérément ou par ignorance de l’existence de thérapies qui préviennent et guérissent l’ensemble des virus (excepté le VIH). Rappelons que les médecins qui recourent aux huiles essentielles sont exclus de l’Ordre des médecins. Dans quel régime sommes-nous ?
Je pourrais féliciter ceux qui se sacrifient pour leur « frères en souffrance » et acceptent avec joie ou résignation, ces 3 injections (prévoir 4 ou même 5 et plus). Le font-ils par altruisme, par patriotisme ou pour éviter qu’un de leur parent n’aille ad patres ? Dans ce cas je comprends leur acte de bravoure.
Il faut préciser que l’objectif de la vaccination est de stopper l’emballement du virus qui atteint la planète. Mais a-t-on prévenu les futurs vaccinés de la litanie de misères qu’ils vont endurer toute leur vie ?
Le héros grec
Je me permets de citer Murielle Szac, spécialiste de la mythologie grecque. « Si on pense que les grands héros mythologiques sont courageux parce que ce sont de grands combattants et des héros sans peur, on a tout faux ». Le courage du héros grec, c’est d’avoir de l’empathie pour ceux d’en face. D’ailleurs, aux Champs Élysées, séjour des héros après leur mort, ne sont accueillis que ceux qui ont fait preuve de courage, de bonté et d’hospitalité. La pandémie nous a confrontés de manière plus visible que d’ordinaire à la mort. Quel est le courage du héros grec face à la mort ?
Dans ce récit, avoir le courage de faire confiance apparaît plus difficile que le courage de se confronter à la mort… est peut-être ce courage-là qui nous est utile en ce temps d’épidémie.
Le courage implique parfois de dire « non », parfois de dire «oui». Quelle est la part négative et la part positive du courage à vos yeux ?
«Ceux qui ont dit non », présentent des figures de courage et de résistance derrière chaque « non », il doit y avoir un « oui ». Si vous dites «non» à l’injustice, vous dites « oui » à la justice. Si vous dites « non » à la violence, vous dites « oui » à la non-violence. Si vous dites « non » au racisme, vous dites «oui» à la fraternité. Et là, il en faut du courage ! Il n’y a aucun courage à être dans une rébellion qui ne construit rien. Le «non» qui n’est que négatif détruit tout. Ce qui est courageux, c’est de s’opposer et de proposer.
Face à la pandémie, accepter de ne pas savoir demande du courage.
La presse, le 2ème pouvoir
Qui peut me recommander aujourd’hui un média qui ne mente pas ? Je rappelle la définition du média : « Tout support de diffusion de l’information (radio, télévision presse imprimée, livre, ordinateur, vidéogramme satellite de télécommunication, etc.) constituant à la fois un moyen d’expression et un intermédiaire transmettant un message à l’intention du peuple.
Je m’adresse à cette presse et plus particulièrement aux « journalistes de la pensée unique » : Pensez-vous que vous serez toujours crédibles ? Sauf auprès des pauvres d’esprit, des lissencéphales (Q.I effondré) et des candides !
« Ils ne sont pas seulement « orientés » : ils jugent, censurent et excluent du débat tout ce qui n’est pas « politiquement correct »… Au point d’en arriver à manipuler complètement l’opinion publique ».
A la télévision, dans les radios ou dans la presse écrite, c’est la purge des journalistes qui refusent de céder aux diktats du politiquement correct » lit-on dans « Boulevard Voltaire »
Les ressorts de la contestation
Selon les sociologues (Pierre Rosanvallon) et les anthropologues (dont je fais partie), les gens descendent dans la rue pour autre chose que des intérêts matériels. C’est fondamental car toute l’histoire des manifestations en France s’est fondée sur des conflits sociaux ou culturels et a donné le premier rôle aux syndicats. Avec ces mouvements, nous sommes entrés dans un nouvel âge de la contestation, dans lequel ce ne sont plus des intérêts mais des émotions qui sont en jeu, qui proviennent d’un sentiment de mépris, d’injustice, de discrimination et, de plus en plus, d’incertitude. Certes, le gouvernement a régulé les grands vecteurs de l’incertitude, la perte notamment du revenu. Mais de nouvelles peurs émergent, liées au climat, à la géopolitique et à l’insécurité psychologique qui se superpose à présent à l’insécurité sociale ou économique, et conduit chacun à se demander de quoi est fait l’avenir. 65% des Français ont constaté le déclin de la France.
Dans cet univers devenu mouvant, c’est le sentiment d’avoir perdu les repères de la certitude qui détermine de plus en plus les comportements politiques. Jusque-là, on décryptait la société par les distinctions en termes de conditions sociales et les divisions idéologiques. Celles-ci n’ont pas disparu, mais ces épreuves d’arrogance, de l’injustice, de la discrimination ou de l’incertitude sont devenues prégnantes.
Un exercice de comptage fantaisiste
Selon la police, le nombre de marcheurs les samedi après-midi, chuterait régulièrement. Autrement dit, si cette chute continue, dans 6 mois il n’y aura plus qu’une poignée de paumés ! Un journaliste se permet d’enfoncer le clou « la pluie ne suffit pas à expliquer cette mobilisation famélique ».
Si les chiffres n’ont cessé de reculer, le 21 août ils étaient 357100 selon le collectif militant. Mais ce qui est plus grave ce sont les chiffres relatifs au dénombrement des effets secondaires du vaccin. Je lis dans un quotidien : » On ne le répétera jamais assez. Sur l’ensemble de la planète, plus de 5 milliards d’individus ont reçu au moins une dose, sans qu’une catastrophe sanitaire ne surgisse. «
Où sont les courageux ?
La plupart des athlètes et des sportifs en général recourent aux médecines alternatives, la judokate Clarisse Agbégnénou ne prend aucun produit chimique mais des huiles essentielles (Le Parisien le 26-05-2021).
Promouvoir ou non le vaccin, un sujet clivant chez les sportifs.
Rares sont les champions à s’être investis en faveur de la vaccination contre le Covid-19. Il faut dire que le terrain peut être glissant…
Attention, sujet clivant. Depuis quelques mois, on a pris l’habitude d’entendre un peu plus les sportifs s’exprimer sur des thèmes sociétaux et s’afficher ouvertement contre le racisme ou l’homophobie. Il semble plus difficile en revanche d’aller faire du prosélytisme sur le terrain intime de la santé. Ce qui peut se comprendre. Quelle légitimité supérieure à un médecin ou un chercheur peut bien avoir un champion, fût-il olympique, pour encourager ou non ses fans à courir se faire vacciner ?
En France, peu de stars du sport ont ainsi fait la promotion du vaccin contre le Covid-19. Fin avril, le ministère de la Santé prévoyait d’utiliser l’image de quelques têtes de gondole pour une campagne de sensibilisation. Un timing délicat au moment même où commençait, presque en catimini, la vaccination des athlètes qualifiés pour les JO de Tokyo, afin de ne pas trop froisser l’opinion publique. « Pour moi, le vaccin est une décision personnelle, glisse Rudy Gobert, la star des Utah Jazz. Il y a des gens qualifiés pour dire les choses et ce n’est pas mon rôle de dire aux gens de se vacciner ou pas. »
Il n’y a guère que Kylian Mbappé pour avoir posté, fin mai, sur les réseaux sociaux, une semaine après son coéquipier au PSG Neymar, une photo de son bras droit orné d’un petit pansement. L’initiative de l’attaquant des Bleus, saluée par le président Macron lors d’un passage à Clairefontaine, lui avait valu une flambée de réactions complotistes.
Le tennis très divisé
Une solidarité qui n’existe guère dans le tennis, où à peine la moitié des membres de l’ATP et de la WTA est passée par la case piqûre. Avec des pour et des contre bien identifiés.
Il y’a pourtant de sérieux et médiatiques réfractaires, comme l’actuel roi du circuit, Novak Djokovic, ou Stefanos Tsitsipas, n° 3 à l’ATP. « Personne n’a fait du vaccin une obligation. À un certain stade, je devrai le faire, mais, jusqu’ici, cela n’a pas été obligatoire pour jouer, donc je ne l’ai pas fait, a lâché le Grec avant l’US Open. Le vaccin n’a pas été suffisamment testé. Pour les jeunes, il est bon selon moi de surmonter ce virus pour bâtir son immunité. »
Le champion Riner dit non à l’instrumentalisation. Il avoue qu’il est de plus en plus sollicité. « Mais pourquoi un personnage public devrait-il donner un avis sur tout ? La notoriété grandissant, on me demande pour qui je vote, de me positionner politiquement. Je n’ai pas un avis sur tout a donner. Je suis en revanche conscient que nous parlons à un public très large, notamment aux jeunes, et que nous avons valeur d’exemple donc nous devons être attentifs. »
En gros, mieux vaut rester dans son domaine de compétence.
Vivre avec malgré tout
On en rêve tous de ce bout du tunnel, annoncé à intervalles réguliers. Las, à chaque fois, l’espoir laisse place à une nouvelle vague épidémique. Ces jours-ci pourtant, avec une courbe légèrement descendante, la configuration pousse à l’optimisme. La 4e vague refluerait, malgré des taux de vaccination qui s’effondrent.
Mais que nous réserve l’avenir ? Difficile d’espérer à l’extinction spontanée de l’épidémie quand chaque semaine surgit un nouveau variant, dit «d’intérêt» ou «préoccupant».
À peine prend-on connaissance de Mu, identifié en Colombie en mai dernier et dont on craint qu’il échappe au vaccin, voilà qu’un nouveau mutant sud-africain émerge à son tour. Son nom : le « C.1-2 ». Sa caractéristique ? Il muterait, disent certains, deux fois plus vite que les précédents… Les experts ont dénombré une dizaine de cas en Europe, la France reste vierge. Et les spécialistes confirment la tendance à savoir : des variants plus contagieux ou plus dangereux peuvent émerger, en circulant dans des populations non vaccinées à travers la planète. Comment pourrait-on alors éviter une 5e vague, 6e vague ou… 20e vague ? Elles existeront, mais pas de panique, temporise le professeur Éric Caumes, spécialiste des maladies infectieuses, « on les verra à peine : le pouvoir de nuisance de ces mutants sera peu à peu étouffé par notre immunité collective, naturelle ou vaccinale. La piqûre, si elle ne nous protège pas complètement de l’infection, est suffisamment efficace pour empêcher les formes graves, qui ne toucheront désormais que les non-vaccinés. Les autres enchaîneront des rhumes bénins. Demain, scénario réjouissant, nous coexisterons avec ce coronavirus comme avec les quatre précédents, dont le plus ancien, l’OC43, est apparu en… 1890 ! »
D’autres variants vont surgir
Le monde entier est entré dans une course avec les mutations du virus. La souche Delta domine, mais d’autres formes, telles le Miu, plus agressives risquent d’essaimer sur la planète.
Les mutations du Covid-19 imposent une adaptation permanente des politiques sanitaires.
Pour l’heure, le variant Delta maintient sa domination sur d’auto-souches potentiellement plus dangereuses. Chimère ou réelle menace ?
À chaque apparition d’un nouveau variant, l’inquiétude surgit en même temps que les questions sur sa virulence, sa contagiosité et une éventuelle résistance à la vaccination. C’est cette dernière caractéristique qui a entraîné le classement du variant Mu, de plus en plus répandu en Colombie, dans la catégorie « à suivre ».
Cette nouvelle souche ne représente pourtant que 0,1 % des cas dans le monde et n’a pas été détectée en France. C’est encore le variant Delta, responsable de 98 % des cas dans l’Hexagone, qui tient le haut de l’affiche. Il impose déjà des restrictions aux vaccinés, et devrait pousser à changer la formule des sérums.
Des mutations inéluctables ?
« Les mutations sont inhérentes au virus lorsqu’on le laisse circuler, poursuit le virologue. La vaccination limite l’émergence des variants en limitant la circulation virale. Néanmoins, le Covid-19 étant désormais installé dans l’espèce humaine, on va voir surgir d’autres variants. » Dans cette course, quatre mutations se hissent actuellement au rang de variant préoccupant sur l’échelle de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) : Alpha (anglais) et Delta (indien), mais aussi Bêta (sud- africain) et Gamma (brésilien). L’institution en classe cinq autres « à suivre », dont le désormais fameux Mu colombien, ou le variant Lambda (détecté au Pérou), ajouté en juin.
Ce tableau est la conséquence de la réplication du virus, dont chaque transmission est une photocopie imparfaite, comme l’explique la professeure Astrid Vabret, cheffe de service virologie au CHU de Caen : « Si on regarde les virus du Covid-19, c’est comme la population mondiale. De loin, ils semblent tous être les mêmes, mais de plus près, on peut distinguer des groupes. En regardant d’encore plus près, chaque individu est même différent. Comme tous les virus à molécule d’ARN, le coronavirus entre dans la cellule et il prend la main. Cette cellule infectée lui fait fabriquer des descendants qui ne sont pas identiques ». Le virus évolue donc au fil des contaminations, jusqu’à des modifications observées de manière répétée sur des gènes identifiés, qui entraînent un nouveau classement.
Quand on attend le successeur du Delta !
« Ses qualités promettent au Delta de tenir le devant de la scène plus longtemps que le variant Alpha, qu’il avait balayé en trois mois en France, selon Yves Gaudin ; « On va avoir du mal à trouver plus contagieux. Mais on pourrait avoir un virus plus résistant à la vaccination. Des variants qui n’avaient pas pris l’ascendant pourraient le faire dans le contexte actuel car ils sont plus à l’aise avec le système immunitaire.
Le moment où cela pourrait arriver ? Les capacités infectieuses et le caractère pathogène plus ou moins prononcé de cet éventuel variant ? Ce qu’on craint, c’est l’émergence d’un variant pas forcément plus contagieux mais qui envoie plus de personnes à l’hôpital. » En France, les autorités sanitaires doutent que le variant Mu soit celui-là.
Chaque année, on réinjecte un peu de H1N1 lors de la vaccination de la grippe, mais, pour le Covid, cela dépendra du dernier variant en circulation. Les boosts de l’immunité (les rappels) ne suffiront pas, donc il faudra un vaccin 2.0, c’est une certitude.
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Après cette crise du coronavirus – devenue une saga – un combat de titans va s’enchainer. Une lutte sans merci entre deux camps violemment opposés. Les enjeux sont immenses. Nous avons un choix de civilisation à faire, entre deux voies possibles :
- Soit l’approche écologique, les remèdes naturels, la liberté et un nouvel humanisme.
- Soit Big Pharma, le « tout-chimie », la pensée médicale unique, le dénigrement et la censure.
Qui va l’emporter ? Cela dépend de notre sursaut et du combat à mener.
Il est grand temps de démasquer le système de santé dévoyé par Big Pharma !
N’oubliez pas de recommander l’unique livre sur les virus, les vaccins et les huiles essentielles : « Tout savoir sur les virus et y faire face ». Ed. Dauphin.