Course aux vaccins ! qui n’a pas reçu sa 3ème dose ?

Les Français se posent la sempiternelle question : y vais-je ? ou n’y vais-je pas ! Je ne suis pas du tout emballé pour la piquouse ! Tous les jours j’entends parler d’effets secondaires autour de moi !

La première contre-indication est l’allergie.

C’est l’état d’un organisme dont le système immunitaire réagit d’une manière spécifique, inhabituelle et excessive à une substance chimique étrangère.

Officiellement le porteur d’allergie peut être dispensé de vaccination en exhibant un certificat de son médecin. On peut alléguer, mais comment l’éviter ?

Tout vaccin, systématiquement iatrogène pourrait déclencher une œdème de Quincke ou un choc anaphylactique, avec possibilité de mort. Qui peut en porter la responsabilité ? Les fabriques ?

Les maladies auto-immunes.

Il y en aurait autour de 50 maladies auto-immunes, ce qui représente plus de 5 millions de Français. (Les cellules TH3 agressent les cellules du soi qu’induisent l’autodestruction des organes).

On se souvient du jeune médecin américain mort à la suite d’un vaccin. Il souffrait d’une uvéite antérieure aigue (iridocyclite ou iritis) une maladie auto-immune.

Les comorbidités

Les patients atteints d’HTA, de diabète, de cholestérol recourent chaque jour à plus de 4 produits chimiques pris de longues années ; ces remèdes chimiques sont des agresseurs de l’organisme qui ne reconnait pas ces différents antigènes. C’est ainsi que le corps procède à des parades biochimiques pour les neutraliser grâce à son système immunitaires qui est déjà sollicité quotidiennemt et que le comorbide ne dispose plus de défenses naturelles.

Pour aggraver le décor on lui injecte un vaccin, un des médicaments les plus iatrogènes. On devine la suite quant à la pléthore d’effets secondaires qu’il doit subir ! La médecine dominante s’interdit de quantifier l’ensemble des dégâts.

La pilule

La prise de contraceptifs oraux (qui induisent une réduction de l’activité des enzymes métabolisant les substances étrangères [enzymes à cytochrome P. 450], sont des circonstances favorisent la rupture de la barrière hémato-encéphalique dont la fonction est de protéger les neurones contre l’invasion des substances étrangères arrivées par voie sanguine.

La pilule contraceptive et par extension les traitements hormonaux substitutifs (la TSH) ainsi que les anti-inflammatoires stéroïdiens induisent également des carences avérées en vitamines B3, B6, B9, B12 et C qui génèrent le stress oxydant et la déminéralisation.

Je rappelle que le recours au traitement hormonal substitutif (TSH) lors de la ménopause provoque 40% de cancer du sein.

LA PRISE EN CHARGE

C’est ainsi que chaque année avant l’arrivée des virus, il est vivement conseillé de renforcer votre immunité.

On dispose de plusieurs ingrédients pour renforcer nos défenses : Les 3 champignons (Shitaké, Maïtaké, Reishi), les Huiles essentielles (les 2 Eucalyptus et le Ravintsara), l’échinacée, la spiruline (phycocyanine), l’Aphanizomenon, la quercétine…

+Renforcer la flore intestinale : les bonnes bactéries sont nos petits soldats qui montent sur le front dès la première attaque (ORTHOFLORE), Phyt-Inov ou (LACTOSPECTRUM), Le Stum.

+Vérifier l’état du foie (transaminases et gamma GT.

SILYDIUM (Phyt-Inov), Han Hépa (Han Biotech).

+L’état des poumons : l’oxygénation est essentielle face aux virus à tropisme respiratoire (bol d’air de Jacquier).

+Le sport : si peu motivé, faire le sport ou coaching (Tel : 06 30 20 32 31).

+Restaurer l’écosystèmes intestinal (charbon végétal activé, choucroute, persil et surtout la chlorophylle : QUANTAPHYLLE, 2 gélules le soir (labo PhytoQuant).

La pollution environnementale et iatrogène

+Eliminer les toxiques environnementaux (les métaux lourds, les nanoparticules, les perturbateurs endocriniens, les additifs, les benzènes…).

C’est bien l’accumulation (même à faibles doses) de molécules étrangères qui induit le phénomène d’accélération puis de ralentissement de la chaîne respiratoire mitochondriale qui conduit à l’apoptose et à la mort cellulaire, via les radicaux libres oxygénés (RLO).

Le schéma se déroule selon un mode séquentiel toujours identique :

• En un premier temps : Présentation de l’antigène au lymphocytes T4 qui sont alors activés et induisent une réaction immune avec production de cytokines pro-inflammatoires IL1, IL2, IL4, IL12, les TNF et surtout l’IL6 dont on connaît l’impact délétère sur l’endothélium vasculaire. Les cytokines induisent une inflammation tous azimuts en particulier de la muqueuse intestinale qui génère une malabsorption intestinale, une hyperperméabilité intestinale voire une atrophie villositaire.
• En deuxième temps : Parallèlement, il y a production d’anticorps spécifiques par les lymphocytes B ; l’association antigènes-anticorps forme les complexes immuns. Quand ces complexes immuns sont secrétés avec un excès d’antigènes ils sont les plus pathogènes et les plus enclins au dépôt tissulaire.

Ce statut en anticorps et en lymphocytes B producteurs est fonction du terrain génétique et de la biodisponibilité en nutriments immunomodulateurs (vitamine B3, vitamine B6, tryptophane, calcium, magnésium, ainsi que les oligo-éléments).

Ces antigènes étant omniprésents dans le modèle socio-économique de tous les pays occidentaux, et compte tenu des exigences et de l’ampleur des défis que requiert cette prévention, l’indispensable prise de conscience ne peut être qu’individuelle : à chacun de faire en sorte de ne pas s’exposer à trop d’antigènes, pour éviter «sa» maladie cardiovasculaire, « son » cancer ou « son » Alzheimer… C’est une entreprise difficile, voire une gageure.

Ainsi l’essentiel de la prévention reste la lutte contre l’hyperperméabilité intestinale et son cortège de troubles qui perturbent l’enzyme de l’organisme.

Comment se désintoxiquer ?

En cette période de campagne vaccinale, nous sommes confrontés à de nombreuses questions concernant les différents produits dont on peut disposer à la suite de l’injection.

Face à la présence d’oxyde de graphène (substance nocive hyper-oxydante qui serait à l’origine de caillots dans le sang) dans les différents vaccins à ARN messager.

Il est primordial de conseiller du Glutathion pour neutraliser cet oxyde de Graphène ; 300 mg de glutathion peut enrayer ce carbone pathogène.

GLUTATHION FORT, 1 cp par jour à sucer, boite de 30 cps. Labo Fenioux, tel : 02 54 27 16 94.

Ou RADICOLYSE (L. Glutathion réduit, R. Alpha lipoïque, Coenzyme Q10.

2 fois 2 gélules, 3 semaines, boite de 150 gélules. Labo Phyt-Inov, tel : 00 41 32 466 89 14.

Ajoutez la Propolis, qui grâce à sa valeur ORAC extrêmement élevée permettra de jouer un rôle antioxydant très développé.

PROPOLIS, 2 fois 2 gélules, boite de 200 gélules, Labo Fenioux.

Ou PROPOLIS BRUNE PURIFIEE, boite de 60 et 200 gélules, labo Phyt-Inov.

Autre antidote naturel majeur de l’oxyde de graphène : La Teinture Mère d’aiguilles de pin sylvestre : « l’arbre aux mille vertus »

Elimination des toxines

CHLOR & PHYL (chlorelle, chlorophylle, ortie, avoine).

2 gélules 10 mn avant 2 repas, boite de 200 gélules, labo Fenioux.

La meilleure technique pour évacuer les métaux lourds, toxines, perturbateurs endocriniens, additifs… reste le sauna sec japonais qui recèle des infrarouges longs et 150 semi-précieuses pierres.

Les maladies d’élimination

Les enzymes et, en particulier, les mucines intestinales, acteurs essentiels de la digestion ne parviennent pas à digérer, à scinder certaines molécules issues de l’alimentation moderne. Les globules blancs (macrophages) vont se charger de les neutraliser. Les résidus seront évacués vers les émonctoires comme la peau, l’estomac, le côlon, les voies aériennes supérieures (nez, sinus, poumons). Cette évacuation donne lieu aux maladies d’élimination.

La plupart des sinusites sont causées par un afflux de toxines de l’intestin encombré vers le carrefour ORL, d’où on traite les intestins.

Régime hypotoxique ou originel (Dr Seignalet)

A suivre dans toutes les pathologies chroniques et auto-immunes :

Aliments interdits :

• Blé dur et blé tendre (froment) : pâtes, semoule, pain, farine, pizzas, croissants
• Brioches, gâteaux, galettes, biscuits, biscottes, son
• La plupart des céréales : seigle, orge, maïs, avoine
• Laits animaux et leurs dérivés : beurre, fromages, crème, yaourts, glaces
• Sel blanc raffiné
• Chocolat non biologique
• Confitures
• Huiles raffinées
• Margarines
• Bières
• Conserves

Aliments déconseillés : Tous les aliments cuits, et en particulier :

• Charcuteries cuites
• Viandes cuites
• Foie
• Rognons
• Œufs cuits
• Poissons cuits
• Crustacés
• Huîtres cuites
• Oléagineux cuits

Si on souhaite cuire certains produits, le faire soit très brièvement, soit à l’étouffée ou à la vapeur douce.

Aliments autorisés :

• Oméga 3 EPA DHA (huiles de poisson) – 2 grammes par jour
• Huiles obtenues par première pression à froid (huile d’olive bio, colza, lin…).
• Viandes crues, carpaccio
• Charcuteries crues
• Œufs crus
• Poissons crus
• Crustacés
• Fruits de mer
• Produits fumés (modérément)
• Légumes verts ou secs (cuits à l’étouffée ou à la vapeur douce).
• Crudités
• Fruits frais
• Fruits secs
• Oléagineux crus
• Miel
• Pollens
• Riz, sarrasin
• Graines germées de céréales ancestrales et de légumineuses
• Sel complet (Symbiosal) de Han Biotech
• Sucre complet
• Eau de Mont-Roucous ou Volvic (très peu minéralisée)
• Chicorée, infusions, café et thé (modérément)
• Toutes les boissons alcoolisées (modérément) sauf la bière artisanale

L’homme est adapté sur le plan nutritionnel à l’état sauvage et non à l’état civilisé. L’homme moderne s’est complètement écarté des lois naturelles, du reste aucun animal ne consomme spontanément :

• Du lait à l’âge adulte, de surcroît d’une autre espèce
• Des céréales domestiques
• Des aliments cuits
• Des huiles frelatées.

Ces erreurs sont fréquemment responsables de nombreuses maladies.

Le meilleur traitement et la meilleure prévention de ces troubles sont la pratique d’une alimentation proche de celle des temps préhistoriques (crue), à laquelle l’homme est beaucoup mieux adapté.