Les complications dues aux vaccins ne sont pas rares. Une étude publiée dans la revue Nature Medecine indique que le risque de développer une maladie cardio-vasculaire est accru de 55% par rapport aux personnes n’ayant pas fait de Covid. Mais là encore on étudie surtout les personnes qui ont été hospitalisées, et pas les autres. Or, avec un traitement ambulatoire précoce les hospitalisations sont bien plus rares ! Rappelons que les patients hospitalisés pour Covid ont souvent une fragilité cardiovasculaire (hypertension, diabète, obésité…). C’est pourquoi cette étude comporte des biais et est inutilement inquiétante.

Ainsi, la vaccination anti-Covid entraîne régulièrement des hypertensions, des myocardites, mais aussi des élévations des D-dimères et vient largement compliquer ces mécanismes expliquant les Covid longs. Le vaccin pourrait même, dans certains cas, en être le facteur déclenchant ou aggravant, voire la cause principale. Mais cette constatation personne ne veut l’étudier, car les laboratoires n’ont rien à y gagner.

Dans les Covid longs, un bilan cardiovasculaire sera donc souvent proposé aux patients chez qui les symptômes sont évocateurs d’une « complication » de cet ordre. En particulier dans le cas de douleurs thoraciques persistantes. Elles doivent absolument faire rechercher une myocardite ou une péricardite, qui nécessitent une prise en charge spécialisée.

Toutefois, les atteintes pulmonaires peuvent aussi donner des douleurs thoraciques, comme d’ailleurs le stress et l’anxiété, qui entraînent des douleurs parfois importantes, à type d’aiguille, souvent du côté du cœur (à gauche). Il est donc nécessaire de faire le diagnostic différentiel de ces douleurs avec les atteintes myocardiques pour ne pas passer à côté d’une réelle pathologie.

Pour l’aspect « microthrombose », dans le Covid aigu, les médecins qui proposent un TAP (traitement ambulatoire précoce) vont prescrire des anticoagulants ou tout au moins de l’aspirine au moindre doute ou en cas d’élévation des D-dimères.

Mobilisation de la recherche

De nombreuses études en attestent : la vaccination contre le Covid-19 est considérée comme efficace. Mais comme toute injection, elle entraine aussi un risque de certains effets indésirables à l’échelle individuelle. C’est notamment le cas, depuis juillet 2021, des myocardites et des péricardites (inflammations au niveau du cœur) avec les vaccins à ARN messager de Pfizer-BioNTech et Moderna. Jusqu’à présent, leurs conséquences possibles sur la durée étaient assez peu connues.

Pour la première fois, une étude s’est penchée sur le long terme, à savoir dix-huit mois.

L’observation est française ! Les chercheurs sont membres du groupement Epi-Phare, qui réunit l’Assurance maladie et l’Agence nationale de sécurité du médicament. Ils ont pris en compte l’ensemble des personnes âgées de 12 à 49 ans hospitalisées pour myocardite, du 27 décembre 2020 (début de la campagne de vaccination) au 30 juin 2022, date à partir de laquelle très peu de jeunes adultes ont reçu une nouvelle dose de vaccin.

« Nous sommes la seule équipe au monde qui apporte autant de connaissances sur ce sujet », avance l’épidémiologiste Mahmoud Zureik, directeur d’Epi-Phare. Ce qui les a motivés à se lancer dans cette nouvelle étude ? « Au départ, beaucoup de gens disaient qu’après une myocardite post-vaccination, c’était rapidement jugulé et qu’il n’y aurait pas de complications. On voulait voir si c’était vraiment le cas », répond-il.

Des complications peu fréquentes

Résultat : 558 myocardites survenues après une injection contre le Covid ont été recensées chez les moins de 50 ans. Ce décompte est exhaustif dans cette tranche d’âge, car il recouvre toutes les hospitalisations durant cette période. Chez les personnes plus âgées, « les études ont montré une relation extrêmement faible ou une absence de relation entre la vaccination et la survenue d’une myocardite », indique Mahmoud Zureik

La plupart des personnes souffrantes après avoir été vaccinées se sont rétablies sans développer de complications cardiovasculaires, lesquelles apparaissent même un peu moins fréquentes que chez les autres patients souffrant aussi d’une myocardite. En revanche, un suivi médical et des traitements étaient nécessaires dans autant de cas.

La question de l’immunisation des jeunes

Autrement dit, « les myocardites post-vaccination sont de vraies myocardites, avec un pronostic plus favorable que pour les autres », indique Mahmoud Zureik. « Soit le vaccin induit des myocardites moins graves, soit on a eu une tendance à hospitaliser plus facilement des gens qui venaient d’être vaccinés », développe-t-il. Seul un malade parmi les 558 du groupe « vaccin » est décédé pendant la période d’étude, soit 0,2 %, contre 4 dans le groupe « myocardites post-infection Covid » et 49 dans celui « autres myocardites » (1,3 % dans les deux cas).

Ces résultats ne remettent absolument pas en cause l’intérêt de la vaccination des jeunes adultes en 2021, selon Mahmoud Zurelk : « De 2020 jusqu’à fin août 2021, il y a eu plus 75.000 hospitalisations et environ 700 décès liés au Covid chez les moins de 50 ans. Si l’on prend en compte ces données en face des 558 myocardites dont un seul décès, on a bien fait de vacciner les jeunes. »

Par ailleurs, « il ne faut pas exclure que les myocardites induites par le vaccin soient plus fréquentes que celles induites par le Covid, surtout avec le variant Omicron, mais les risques en cas d’infection ne se limitent pas aux myocardites ! » ajoute l’épidémiologiste. On pense notamment au Covid long, ces séquelles sur la durée qui peuvent toucher les enfants comme les personnes âgées.

La réponse à la question « faut-il vacciner les jeunes » serait en revanche moins tranchée aujourd’hui, sachant qu’une très large majorité d’entre eux sont déjà immunisés (grâce aux premières doses reçues et du fait des Infections). Ces résultats « devraient être pris en compte dans le cadre des recommandations en cours et futures concernant les vaccins à ARNm », écrivent enfin les auteurs.

Tout est question de balance bénéfices/risques

Concrètement, si de nouveaux vaccins à ARN messager contre la grippe, certains cancers ou le zona étaient disponibles ces prochaines années, une vigilance particulière pourrait être apportée aux jeunes adultes. Reste que tout est question de balance bénéfices/risques, les premiers pouvant malgré tout l’emporter sur les seconds.

Comme le résument certains épidémiologistes, « un vaccin qui n’a aucun effet indésirable possible n’est pas un bon vaccin ».

La Myocardite

La myocardite est une atteinte inflammatoire du myocarde de causes variées, dans laquelle les artères coronaires sont saines, contrairement à une cause ischémique.

Ainsi, la myocardite pourrait être due aux vaccins, mais peuvent être la conséquence de virus à tropisme cardiaque (Parvovirus B19, virus herpès de type 6, les virus Coxsackies et les adénovirus)

La maladie peut être asymptomatique (sans signes cliniques) jusqu’à son terme, ou elle évolue spontanément vers une issue favorable (guérison) ou non (risque de mort subite).

Lorsqu’elle est symptomatique, elle peut se manifester de diverses manières :

  • douleur thoracique, parfois de type péricarditique, prolongée et inhibant la respiration. La présence d’un frottement péricarditique à l’auscultation cardiaque est inconstante mais assez évocatrice ;
  • fièvre, notamment dans les cas d’infection ;
  • palpitations, tachycardie (pouls rapide) ; hypotension artérielle ; Syncopes ;
  • Insuffisance cardiaque : dyspnée (essoufflement), œdème des membres inférieurs, œdème aigu du poumon ;

Si elle est grave, la détérioration du fonctionnement cardiaque peut être à l’origine d’une mort subite causée par des troubles du rythme cardiaque ou d’une insuffisance cardiaque.

On parle de myocardite aigue face à une insuffisance cardiaque récente, sans maladie coronarienne ni valvulaire évolutive.

La myocardite est dite fulminante si les premiers signes cliniques apparaissent très vite (en quelques jours) souvent alors induite par un virus à tropisme cardiaque comme le parvovirus B19, le virus herpès de type 6, les virus Coxsackies, et les adénovirus. Le risque d’une dégradation de la santé avec défaillances viscérales, voire arrêt cardiaque, implique une prise en charge dans un établissement disposant d’assistance cardiaque.

Des formes plus progressives et subaiguës demandent un traitement conventionnel pour insuffisance cardiaque et parfois immunosuppresseur ou immunomodulateur (selon l’étiologie de la myocardite).

Examens complémentaires

Prise de sang

La prise de sang montre une inflammation (élévation de la CRP ou C Réactive Protéine et de la V.S vitesse de sédimentation) et une augmentation des marqueurs cardiaques (troponine et CK).

Le dosage de la troponine : son élévation est plus tardive, 2 à 6 heures après l’apparition des signes cliniques. Par contre, elle est beaucoup plus spécifique, ce qui veut dire qu’il y a peu de causes d’erreur. Son élévation est maximum à la 12e heure et persiste jusqu’au 9ème jour. L’absence d’élévation de la troponine 6 heures après une douleur thoracique permet, en pratique, d’éliminer le diagnostic d’infarctus du myocarde.

La CRP est une protéine synthétisée dans le foie : cette synthèse augmente de façon considérable au cours des processus inflammatoires, quelle qu’en soit la localisation.

La concentration normale est inférieure à 6 milligrammes par litre (6 mg/l).

Des concentrations comprises entre 6 et 12 sont suspectes, et celles supérieures à 12 mg/l sont sûrement pathologiques.

D-Dimères plasmatiques

Lorsque se produit une coagulation du sang dans les vaisseaux, une protéine soluble du plasma, le fibrinogène est transformé en une protéine insoluble, la fibrine, qui forme un caillot pouvant obstruer un vaisseau sanguin. Une partie de la fibrine est ensuite dégradée, coupée par des enzymes. Les fragments libérés portent le nom de D-dimères.

Normalement, chez les sujets adultes de moins de 70 ans, la concentration plasmatique des D-dimères est inférieure à 0,4 microgramme par millilitre (µg/ml). Elle augmente chez les sujets plus âgés.

La concentration plasmatique des D-dimères augmente dans 2 circonstances, et son dosage revêt alors un intérêt notable :

La coagulation intravasculaire disséminée (ou CIVD) : redoutable survenue d’une coagulation dans de très nombreux vaisseaux.

Une thrombose veineuse profonde, susceptible de libérer un caillot dans la circulation sanguine avec le risque d’embolie cérébrale ou d’embolie pulmonaire.

ECG : l’électrocardiogramme

Il montre des signes similaires à l’infarctus du myocarde
Les anomalies ne sont pas spécifiques et peuvent être complètement absentes. On retrouve parfois des troubles de la repolarisation cardiaque avec une onde T négative dans plusieurs dérivations et des anomalies du segment ST.

  • L’échographie cardiaque n’est discriminante : elle peut être normale, montrer une hypokinésie globale ou de certains segments, ce qui ne permet pas de faire la différence avec un infarctus. Elle peut montrer un simple épanchement péricarditique, sous forme d’une lame de liquide entourant tout ou partie du cœur, témoin d’une péricardite associée.
  • Actuellement, l’IRM cardiaque est le seul examen permettant de manière non invasive le diagnostic de myocardite. Il montre des images, après injection de gadolinium, de nécrose dans la partie médiane et sous épicardique du muscle cardiaque, différente de celles d’un infarctus. Les images apportées par l’IRM à 10 minutes de l’injection sont les plus significatives en vue d’un diagnostic différentiel avec des images de nécrose myocardique (infarctus du myocarde). Lors d’une myocardite, on peut observer en effet des nodules diffus, sans distribution coronaire systématisée. Lors d’un infarctus en revanche, les images présenteront un aspect habituel de rehaussement tardif en bande superposable à un territoire coronaire.
  • Coronarographie : L’infarctus du myocarde pouvant se présenter comme une myocardite, une coronarographie doit être faite en cas de doute diagnostique. Cet examen se révèlera alors normal en présence d’une myocardite isolée (sans coronaropathie associée). La coronarographie présente toutefois l’inconvénient d’être un examen invasif (impliquant de « monter » vers le cœur un cathéter via l’artère radiale ou fémorale), examen non exempt de complications pouvant dans certains cas être graves ou même très graves.

Pronostic

Il arrive que la myocardite évolue vers la guérison sans séquelle, même en cas d’anomalies de la contraction notées initialement qui peuvent régresser complètement.

Toutefois, elle peut se compliquer d’un tableau d’insuffisance cardiaque pouvant être gravissime (« myocardite fulminante ») et pouvant nécessiter parfois une assistance ventriculaire, voire une transplantation cardiaque. Si le patient survit au cap aigu, il guérit dans la plupart des cas sans séquelle. Les formes intermédiaires (« myocardite subaiguë ») peuvent, par contre, évoluer vers la constitution d’une cardiomyopathie de type dilatée avec un tableau d’insuffisance cardiaque chronique.

Les troubles du rythme ventriculaire ont un mauvais pronostic.

L’insuffisance cardiaque

Cette maladie, qui touche un million de personnes en France, n’est pas à prendre à la légère. Heureusement, des signes peuvent alerter.

Le cœur a la taille d’un poing, mais c’est un muscle très puissant ! Il est capable de pomper le sang de tout le corps pour le faire circuler vers l’ensemble des organes, afin d’assurer leurs besoins en oxygène. Mais, dans certains cas, il doit fournir plus d’efforts pour bien remplir son rôle. Et à force de tirer sur la corde, il se fatigue vraiment, d’abord à l’effort, puis même au repos. On parle alors d’insuffisance cardiaque.

L’essoufflement est le premier signe tangible d’insuffisance cardiaque. Il se manifeste d’abord par une difficulté à respirer, liée à l’engorgement de sang dans les poumons. Puis un véritable essoufflement apparait à l’effort, qui peut s’observer même au repos. Signe d’aggravation majeure : le fait d’être essoufflé même quand on est allongé, plus encore qu’assis. Une fatigue importante se fait également sentir, même pour un petit effort, qui limite l’activité quotidienne.

L’organisme réagit aussi en retenant l’eau et le sel, d’où un gonflement des veines du cou, des chevilles et des jambes, avec une prise de poids importante et rapide de l’ordre de 1 kilo par jour. N’hésitez pas à consulter rapidement si vous éprouvez l’un de ces symptômes, ils peuvent ne pas apparaître ensemble.

L’insuffisance cardiaque est la première cause d’hospitalisation chez l’adulte en France (160 000 par an). Une échographie cardiaque confirmera le diagnostic.

Des causes variées

Outre, les effets délétères dus aux vaccins, l’insuffisance cardiaque est le résultat de maladies pouvant gêner la bonne circulation du sang dans les artères, à commencer par l’hypertension artérielle mal ou non traitée. Elle peut, à la longue, aboutir à un épaississement du muscle cardiaque, qui s’est heurté pendant des années à une forte pression des artères et a dû pousser plus fort pour maintenir un débit constant. Egalement incriminées, les valves, des petits clapets qui séparent les quatre cavités du cœur (deux oreillettes et deux ventricules), peuvent se rétrécir ou fuir, amenant le muscle cardiaque à faire des efforts pour accomplir sa mission.

Autre cause possible : les cardiomyopathies, qui résultent d’une difficulté d’une partie du muscle cardiaque à bien se contracter, parfois après un infarctus.

Des médicaments pour soutenir le cœur

On peut bien vivre malgré l’insuffisance cardiaque, à condition que celle-ci soit contrôlée. L’activité physique (marche quotidienne) et une alimentation équilibrée limitant l’apport en sel complètent la prise de médicaments.

Une intervention chirurgicale peut être nécessaire pour remplacer une valve défectueuse ou revasculariser des artères obstruées. Enfin, si le traitement médicamenteux ne suffit pas, la pose d’un défibrillateur automatique peut être envisagée, afin de prévenir un arrêt brutal du cœur.

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Le cœur est l’organe central de notre organisme, il faut le ménager :

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Cet expert des sciences humaines observe l’homme dans la société et prévoit les événements.

A l’approche de la désignation des futurs ministres, je me permets d’en désigner un au ministère de la santé. C’est le docteur Claude Malhuret qu’on surnommait « tête de piaf », ex-maire de Vichy, ex député et aujourd’hui sénateur, une sinécure ! Aujourd’hui, il veut être ministre de la Santé. On l’a vu roder avec son patron Larcher autour de Michel Barnier. Peut-être pense-t-il qu’il serait ensuite un excellent chef de gouvernement. Mais comme disait Victor Hugo « Il est courbé comme un vieillard sous le poids des années ».

Pour montrer son non-adhésion aux médecines naturelles, il a proclamé que les huiles essentielles étaient inopérantes et sans preuves scientifiques, alors que l’aromathérapie est enseignée dans les facultés de médecine. Attendons la suite !