Ce surprenant virus a déstabilisé la planète et a rendu plus difficile, à ce stade, de dégager une stratégie pour s’en protéger ou en guérir au plus vite. Si le recours aux produits de santé naturels est logique sur la base de données empiriques ou scientifiques, certaines font consensus, d’autres sont purement spéculatives. Dans ce contexte, il convient donc d’avancer très prudemment sur le terrain des recommandations et des applications.

A l’instar de l’allopathie, pour laquelle les chercheurs sont aujourd’hui en quête de réponses efficaces (et parfois se déchirent sur l’opportunité ou les risques de tel ou tel traitement, comme l’illustre la saga à rebondissements de la chloroquine), les spécialistes des médecines naturelles s’interrogent sur les meilleures thérapies préventives ou d’accompagnement de ce coronavirus, trop facilement transmissible.

Fruits d’une très longue tradition et de savoirs patiemment accumulés au fil des générations, les méthodes de santé naturelle ont fait la preuve de leur efficacité sur nombre de pathologies, parfois complexes ou graves, telle la gestion des épidémies, que se passe-t-il lorsqu’un nouveau virus apparaît ?

A mesure qu’évoluent nos connaissances sur le Covid-19, il est évident que ce virus agit différemment que d’autres infections virales respiratoires plus connues et facilement prises en charge par une médecine écologique.

Cette maladie virale renforcée par les multiples pollutions atmosphériques, des ondes électromagnétiques (le réseau 5G qui serait une attaque toxique sur la toile planétaire), une nourriture industrielle, et par ailleurs une médecine dépassée, inopérante, iatrogène, entretenue dans l’erreur par les multiples laboratoires de l’industrie pharmaceutique qui ne désirent en aucun prix guérir, mais simplement soigner afin de multiplier ses profits.

Pourquoi Béchamp, Tissot, Louis-Claude Vincent sont-ils oubliés alors qu’ils faisaient faire d’énormes progrès à la science et à la médecine ?

Il est temps de recourir à la médecine de terrain ou holistique qui privilégie la prévention.

Cette prévention dispose d’un vaste ensemble de remèdes naturels. Cette première étape est essentielle ; elle semble être oubliée par la médecine officielle.

RESTAURER LE TERRAIN (l’organisme).

« Le microbe n’est rien, le terrain est tout » proclamait Béchamp.

Booster les défenses immunitaires

On dispose d’une gamme de compléments alimentaires

Les champignons : le mycélium de Maitaké, Reishi, Shiitake…

Grâce aux beta glucanes, constitués de polysaccharides reconnus pour activer les macrophages et autres phagocytes, ce sont des acteurs du système immunitaire.

Les huiles essentielles (HE)

Les HE ont une action antibactérienne, antivirale, antiparasitaire et en plus une activité immunostimulante. Ce sont celles à phénol et monoterpènol (Clou de girofle, Origan compact, Tea tree, Ravintsara, Niaouli, Eucalyptus globulus et radiata…).

Les HE recèlent de nombreuses molécules aux actions synergiques. Cette diversité biochimique limite le risque de mutation qui générerait une résistance chez un agent pathogène.

L’huile essentielle, outre la déstructuration de la capsule virale et l’attaque du matériel génétique (ARN), agit parallèlement sur l’organisme en son entier.

Tout d’abord, l’action biophysique (modification des coordonnées bioélectroniques) des principes aromatiques tend à rendre le milieu impropre au développement bactérien ou viral.

D’autre part, la stimulation de l’unité psycho-neuro-endocrino-immunitaire apportée par les molécules aromatiques naturelles est un apport fondamental de constatation quotidienne.

L’échinacée

  • Permet d’augmenter le nombre de globules blancs et de macrophages.
  • Cette plante secrète de nombreuses substances naturelles : l’interleukine 1 (ou IL1), est le médiateur central de l’immunité et de l’inflammation.

Les alkylglycérols

Ces lipides naturels fabriqués dans le foie, sont capables d’enrayer l’infection et la réplication virale.

  • On a constaté un effet antitumoral par leur propriété anti-angiogénique.
  • Rendent les membranes cellulaires plus stables vis-à-vis des attaques radicalaires et des agents chimiques.

Les co-facteurs

1) Les vitamines B

Elles corrigent les carences dues à la malabsorption et luttent contre l’excès de production des radicaux libres (R.L).

La vitamine B3

Elle est liée à la vitamine B6 comme coenzyme et au tryptophane nécessaire à la synthèse des protéines.

  • Elle répare les brins d’ADN.
  • Elle protège les LDL et les AGPI de l’oxydation.

La vitamine B6

Elle est nécessaire à l’assimilation du magnésium

  • Elle intervient sur les métabolismes du calcium et du potassium
  • Elle assure toutes les voies de neurotransmission
  • Elle interfère dans les pathologies de stress oxydant
  • Elle est impliquée dans l’intégralité et la fonctionnalité immunomodulatrice du génome.
 2) Les oligoéléments
  • Le fer : anti anémique et immunostimulant. Il capte l’information.
  • Le zinc est protecteur de l’ADN et l’ARN. Il lutte contre le vieillissement cellulaire (cérébral, sexuel) et dans la stimulation des défenses naturelles.
  • Le cuivre est un élément majeur du système immunitaire. Associé au fer il favorise la formation de l’hémoglobine, de l’élastine et du collagène.

Tous ces nutriments qui favorisent l’ensemble de l’immunité sont concentrés dans un seul médicament : le STIMU+. 2 fois 2 gélules.

Ceux qui en ont fait une cure (avant l’hiver) ont échappé aux pathologies hivernales.

On trouve ce fabuleux produit incontournable au labo Phyt’Inov. Tel : 00 41 324 66 89 14.

Autres compléments alimentaires

Pré et probiotiques

Ce symbiotique associe un ensemble de souches de probiotiques semblables au milieu intestinal naturel et une fibre alimentaire prébiotique soluble provenant de l’alcool. Il contribue à rééquilibrer le microbiote intestinal et renforcer les défenses naturelles.

La gélule doit contenir plus de 10 milliards de bacilles.

Les vitamines

Certaines vitamines sont indispensables pour renforcer le système immunitaire : la vitamine C liposomale, la vitamine D (dont 80% des Français sont en carence) et la vitamine E

La quercétine

De préférence liposomale, elle recèle des flavonoïdes très performants. Ce pigment est un bouclier qui protège de toutes les pathologies chroniques. Elle est antivirale, bronchodilatatrice. On en trouve dans les oignons, les capres et la livèche.
La propolis est aussi vivement conseillée dans les rhumes, les bronchites et dans les problèmes du carrefour ORL.
Labo Phyt’Inov 2 fois 2 gélules.

Le sureau

La baie de sureau contient l’acide caféique (un phénol antioxydant), qui s’est révélé particulièrement efficace pour lutter contre certains coronavirus tels le HCov-NL63 humain.

Il contient également des substances immunostimulantes par augmentation importante de la production de cytokines (notamment les interleukines IL-1, IL-6 et TNF-Alpha).

Par ailleurs, le sureau noir contribue à faciliter les sécrétions bronchiques et la fonctionnalité des voies respiratoires, tout en soutenant les défenses naturelles de l’organisme. Classiquement on recourt à cette baie en traitement de la grippe.

A prendre en prévention ou aux tout premiers stades de l’infection.

Attaque antivirale

Le système immunitaire est capable de reconnaître des millions d’envahisseurs différents, et de créer des anticorps spécifiques, réagissant chacun avec un seul antigène.

Les partenaires du système immunitaire sont la moelle osseuse, la glande du thymus, la rate, le système lymphatique, les amygdales, l’appendice, les plaques de Peyer (ganglions lymphatiques de l’intestin grêle), le tissu réticulo-endothélial et le système du complément.

Ce système sophistiqué comprend plusieurs lignes de défense, qui ne sont pas limitées à une seule cellule ou organe. Il est admirablement équipé pour répondre aux innombrables agresseurs quotidiens.

Toutefois quand l’ennemi est supérieur en nombre -ce qui est le cas dans l’attaque de certains virus, très virulents- seules les huiles essentielles peuvent enrayer l’assaut.

Nous savons que les antibiotiques n’ont aucune action sur les virus. En revanche les huiles essentielles, de la famille biochimique des alcools sont aptes à neutraliser et à tuer les virus. Les phénols et les monoterpénols sont les molécules les plus antiseptiques que l’on puisse rencontrer dans une plante. Ce sont d’excellents antiviraux. Ils neutralisent directement les virus par destruction de leur capsule.

Fait remarquable, ces huiles essentielles attaquent uniquement les germes pathogènes et préservent les « bons » germes (bactéries saprophytes, hôtes habituels de notre intestin). Elles modifient puissamment le terrain biologique dans un sens favorable à la santé. Ce sont des stimulants immunitaires et des molécules positivantes.

En aromathérapie, la voie interne et la voie cutanée sont, en permanence, conjointement utilisées pour assurer le maximum d’efficacité aux traitements. La quasi-inexistence d’inconvénients dans des conditions normales d’utilisation montre que les molécules aromatiques (d’origine naturelle) sont, dans l’immense majorité des cas, parfaitement bien acceptées par l’organisme.

La prescription la plus simple est d’absorber les HE en gélules.

LYSOVIR (Niaouli. Origan compact, cannelle de Ceylan, Tea tree) :

2 gélules avant les 3 repas pendant 3 semaines puis 2 fois 2 gélules pendant 15 jours.

Cet antiviral est disponible au labo Phyt’Inov (Tel : 0041324668914 (Suisse)).

Je vous propose trois formulations (en pharmacie)

Huiles essentielles par voie orale

  • HE Eucalyptus globulus 2 ml
  • HE Cannelle de ceylan 1 ml
  • HE Origan compact 1 ml
  • HE Thym à Thymol 2 ml
  • HE Ravintsara 1 ml

4 gouttes du mélange sur mie de pain ou dans le miel de manuka 3 fois/Jour, ou

Huiles essentielles par voie cutanée

HE Cannelle de ceylan 10ml
HE Niaouli 10ml
HE Eucalyptus globulus 20ml
HE Thym mentholé 10ml
HV Calophylle Inophyle 50ml
Masser le thorax et le haut du dos avec la valeur d’une cuillère à soupe du mélange 3 à 5 fois par jour.

On peut recourir aussi à ce protocole dans toutes les pneumopathies virales (70.000 morts par an en France) et de la grippe avec atteinte pulmonaire.

En diffusion atmosphérique

La diffusion d’huiles essentielles semble être un atout préventif dont on aurait tort de se passer.

En plus d’assainir l’intérieur des habitats, un diffuseur d’huiles essentielles, en fonction des huiles choisies, purifie également les poumons et les bronches à travers les voies respiratoires.

Bien qu’en aromathérapie les voies orale et transcutanée soient les plus couramment pratiquées, l’inhalation, est aussi terriblement efficace.

Les composés volatils des huiles essentielles, disloquent littéralement l’enveloppe du coronavirus SRAS, et ainsi qu’il a été montré lors d’études in vitro et in vivo celle du coronavirus de la grippe aviaire à plus de 95%.

Acheter :

  • Lyso-Home (Eucalyptus radié et globulus). Mettre 20 ml dans un diffuseur atmosphérique. Diffuser 2 à 3 fois 20 mn.
  • Lyso-Spray en pulvérisation nasales au labo Phyt’Inov.

Quand la situation se complique…

Au départ il est difficile de savoir -dès lors que l’on est atteint du virus- qui va s’en sortir, avec ou sans séquelles ou qui va aller « ad patres », ce qui suscite une certaine peur, voire une angoisse chez chacun d’entre nous. Et pourtant ! il faut savoir que nous disposons d’un terrain particulier, constitué d’un ensemble de dispositions métaboliques spécifiques. C’est ainsi que l’on distingue les personnes âgées atteintes de comorbidités et les plus jeunes au terrain altéré. Pourquoi ces deux catégories sont les premières atteintes ? Evoquer les pathologies, suppose la prise de produits chimiques pour chaque pathologie. Et comme l’affirme Roselyne Bachelot, ex-ministre de la santé, « tout médicament est un poison ».

Dans les séquelles d’infarctus, dans l’hypertension artérielle, dans le diabète, dans le cholestérol et dans les pathologies neurodégénératives, les patients engloutissent quotidiennement une litanie de produits chimiques qui agressent l’organisme et sollicitent l’immunité en permanence. Leur terrain s’altère au fil des nombreuses années. Toutes les barrières censées nous protéger s’effondrent, depuis la barrière immunitaire intestinale qui s’enflamme et se perfore, laissant passer les débris alimentaires et les germes (bactéries, virus) jusqu’au dernier filtre : la barrière hémato-encéphalique (BHE) qui, effondrée aboutit à la maladie d’Alzheimer, ou au Parkinson et ou à la Sclérose en plaques.

On appelle iatrogénèse, les dégâts causés par ces pollutions chimiques qui aggravent le Covid-19.

Dès lors, on ne sera pas étonné de l’hécatombe survenue dans les EHPAD.

Il en est de même au Nord de l’Italie où la population est vieillissante avec son cortège de seniors atteints de plusieurs pathologies.

Et encore les vaccins

Autre erreur du corps médical, quand il donne des anti-inflammatoires, des anti-algiques, des anti pyrétiques qui rendent plus virulents le coronavirus.

Il en est de même des vaccins, en particulier celui de la grippe qui sévit parallèlement au covid-19. Cette année la grippe saisonnière cause moins de dégâts. Ainsi on peut se dispenser de ce vaccin qui aggravait la situation.

Autre constatation : peu avant l’invasion du virus, on a vacciné la population à Bergame (au Nord de l’Italie) avec le vaccin anti-méningocoque. Malheureusement c’est dans cette région qu’on a recensé le plus de morts !

On a observé, lors de la grippe espagnole qui a causé 50 à 70 million de morts, que ceux qui avaient refusé la vaccination échappaient à la maladie.

La réanimation

Pour ceux qui sont atteints par le covid-19 et présentent une difficulté respiratoire ou une douleur thoracique qui peut être un précurseur de l’accident cardiaque, on recourt aux machines pour apporter de l’oxygène et bien souvent on les intube pour procéder à la réanimation.

Cette saga thérapeutique est vécue comme un chemin de croix. On endort le moribond avec des sédatifs, des benzodiazépines, des hypnotiques et du curare pour supprimer la contraction des muscles (on se souvient du curare qui avait plongé Chevènement dans un long coma).

Ceux qui en sortent vivants, souffrent de séquelles qui peuvent s’éterniser sur de longs mois ; insuffisance respiratoire chronique, arthralgies, escarres du visage (ou les place sur le ventre durant 2 à 3 semaines) myocardite, et surtout des troubles psychosomatiques (dépression…).

Des morts inexpliquées

Une jeune fille est morte à 16 ans. Aucune explication n’est donnée sur tous les plateaux TV.

Il faut savoir que la prise d’oestroprogestatifs enduit une réduction de l’activité des enzymes métabolisant les substances étrangères (enzyme cytochrome p450) et favorise la rupture de la barrière hémato-encéphalique dont la fonction est de protéger les neurones contre l’invasion des substances étrangères (virus).

Chronologie de la maladie

Premier jour : la contagion.

5ème au 6ème jour : incubation (durée maximum de 12 à 14 jours)

7ème jour : survient une zone critique (la tempête cytokinique).

7ème au 21ème jour : apparition des symptômes (céphalée, toux sèche, fièvre, conjonctivite, douleurs musculaires).

Atteintes particulières

Perte des sens olfactif et gustatif

8 patients sur 10 perdent l’odorat (anosmie) et le sens gustatif (agueusie). C’est parfois leur seul symptôme. Il semblerait que le virus ne reste pas confiné uniquement dans les voies respiratoires mais colonise aussi le système nerveux central. Le pronostic pourrait être plus réservé même si c’est l’unique signe.

Certains patients atteints du Covid-19 présentent, en plus des symptômes respiratoires, des signes neurologiques de type maux de tête, nausées et vomissements.

Il faut signaler que le premier signe de la maladie d’Alzheimer est la perte de l’odorat. Ce trouble olfactif est un signe pathognomonique. L’atteinte du système nerveux central suppose l’effondrement des cinq barrières, censées nous protéger. Ainsi la perte de l’odorat doit être suivi ultérieurement.

La tempête cytokinique

Après la phase virale (invasion massive des virus) survient la phase inflammatoire. Par contrer cette attaque brutale toutes les lignés immunitaires montent au front.

L’activation du lymphocyte induit une réponse immune avec production de cytokines pro-inflammatoires (parmi lesquelles l’IL1, ITL2, ITL4, ITL6 l’ILl0 l’IL12 et les TNF, responsables de l’inflammation du tissu pulmonaire.

L’interleukine 1 (ILL), est le médiateur central à la fois de l’inflammation et de l’immunité ; elle est produite par toutes les cellules immunitaires (lymphocytes B, T, cellules phagocytaires (polynucléaires surtout neutrophiles et éosinophiles, monocytes, macrophages).

L’interleukine 2 (IL2) joue un rôle primordial dans la cascade des cytokines produites au cours des réponses immunitaires à médiation cellulaire.

L’IL 2 stimule non seulement l’immunité cellulaire (lymphocytes T) mais également la production d’anticorps par les lymphocytes B stimulés par assaut viral. Cette réaction immunitaire excessive correspond à un phénomène auto-immune. Il ne faut pas surtout plus booster l’immunité mais la freiner.

Le virus se multiplie très rapidement et sans opposition immédiate, pouvant déboucher dans certains cas sur une infection aiguë des voies respiratoires. Une fois l’infection bien installée, elle finit tout de même par être détectée par les cellules immunitaires qui vont alors mobiliser – en retard et en masse – un gros pic d’interféron, avec des réactions immunitaires en chaîne. Si ce pic et la réaction immunitaires sont démesurés, c’est la « tempête cytokinique », une sorte d’hyper- inflammation se traduisant par une détresse respiratoire ou une défaillance multiviscérale potentiellement mortelles. C’est ce processus qui est à l’œuvre dans la plupart des cas graves.

Ce qui signifie aussi qu’en fonction de la stratégie antivirale adoptée par la médecine conventionnelle, la faculté du virus à devenir plus résistant, et donc, plus dévastateur, pourrait s’accroître jusqu’à devenir beaucoup plus dangereux pour des systèmes immunitaires sains.

Ce type de mutations a été observé avec d’autres coronavirus, comme celui de la grippe aviaire ou IBV l’herpès, ou encore la grippe A, H1N1

Il est donc évidemment nécessaire d’être plus que jamais attentifs à l’optimisation de nos défenses immunitaires ainsi qu’à leur capacité d’évolution leur permettant de reprendre le dessus sur l’univers viral moderne.

Toutefois, il est déjà possible que ces précautions ne soient plus suffisantes.

L’interminable bataille immunitaire

N’oublions pas qu’aux origines du monde, les êtres humains sont issus de virus ayant la capacité de s’adapter à leur environnement et de muter.

C’est ainsi que le système immunitaire s’est comporté, en quelque sorte comme un chef d’orchestre, qui « réorganise sa partition à chaque fausse note ».

Il est utile de se souvenir de la grippe espagnole qui a causé plus 50 millions de morts en trois pics (1918-1919)

Tant que le principe de disposer d’une bonne immunité ne sera pas largement compris et admis des coronavirus ordinaires, pourront causer des dégâts sanitaires plus meurtriers que la tragédie de la grippe espagnole, sur le long terme, en plusieurs vagues, mutant et finissant par renverser les systèmes immunitaires les plus solides.

Tant que le monde de la science et de la santé ne s’accordera pas pour prendre en considération et appliquer des méthodes préventives et curatives contre les coronavirus :

  1. qui n’affaiblissant pas les défenses immunitaires du patient,
  2. qui s’opposent aux mécanismes de mutation du virus,
  3. qui ne provoquent pas des maladies iatrogènes (dues aux médicaments chimiques).

En résumé, tant qu’aucune solution respectant la planète en général et le vivant en particulier ne sera librement comprise et mise en application, cette « guerre » contre nous-même est perdue d’avance.

Notre système de santé souffre d’au moins deux lacunes : le peu de recours aux médecines naturelles dans l’élaboration des politiques de santé et «l’imperméabilité» du système de santé aux «lanceurs d’alerte aptes à proposer des thérapies dans l’attente d’un traitement efficace et du fameux vaccin».

L’épidémie de COVID-19 finira bien un jour. Nous servira-t-elle de leçon pour améliorer notre système de santé, voire notre capacité à vivre ensemble ? Nous incitera-t-elle à un examen de nos certitudes et de nos pratiques ? Les bons résultats obtenus en Asie du sud-est tiennent en grande part à l’expérience acquise dans ces pays par la première épidémie de SRAS et par celle à H5N1. Il est possible qu’inversement notre expérience des épidémies de H1N1 et de « la vache folle », bien moins graves que prévu, ait incité nos gouvernants et nous-mêmes à trop de prudence et peu d’anticipation.