Dans toute pathologie thyroïdienne on procède aux analyses de la TSH, des deux hormones T3 et T4. La plupart des médecins oublient d’analyser le taux d’iode, même les endocrinologues ne le demandent pas, ce qui explique le peu de résultats. En revanche ils prescrivent toujours Levothyrox, produit toxique et inopérant dès lors qu’il ne stimule que la T4, hormone peu active.

Selon l’OMS une personne sur trois a un apport insuffisant en iode.

Auparavant, l’iode était un médicament universel. Aujourd’hui ce minéral serait maudit.

La synthèse des hormones thyroïdiennes ne peut se faire sans iode. Elément fondamental du fonctionnement de la thyroïde, l’iode entre dans la composition des hormones sécrétées par cette glande pour réguler de très nombreuses fonctions de l’organisme tant au niveau métabolique que tissulaire : développement de l’organisme, modification de l’activité d’un grand nombre d’enzymes (notamment dans le système d’oxydoréduction), fonctionnement du système cardio-vasculaire, régulation de la température corporelle.

Cycle de l’iode

L’iode est un élément de base dans la formation des hormones thyroïdiennes, il est fourni par l’alimentation, passe par la barrière digestive et circule dans le sang sous forme d’iodures plasmatiques. 20% sont captées par la plus importante pompe à iode de l’organisme : la thyroïde. Le reste est capté par les autres pompes à iode de l’organisme qui sont : les glandes salivaires, l’estomac, les plexus choroïdes (responsable de la sécrétion du liquide céphalo-rachidien), les glandes mammaires. 77% des iodures plasmatiques sont éliminés par les reins, le reste par les selles et la peau lors de la sudation.

La réserve importante formée dans le corps thyroïdien va permettre un débit constamment adaptable de la sécrétion hormonale même en cas d’apport alimentaire irrégulier.

La physiologie de l’iode se confond avec celle des hormones thyroïdiennes. La présence de la thyrosine, un acide aminé, est nécessaire pour fixer l’iode et donner naissance aux hormones thyroïdiennes.

Apports journaliers recommandés

Les apports en iode évoluent en fonction de l’âge.

Les apports recommandés sont de :

  • 150 µg/j chez l’adulte et l’enfant à partir de 12 ans ;
  • 200 µg/j chez la femme enceinte ou qui allaite ;
  • 50 µg/j chez l’enfant de 0 à 12 mois ; l’augmentation étant progressive avec l’âge ;
  • 90 µg/j chez le prématuré qui a des pertes urinaires d’iode très importantes.

Les besoins physiologiques en iode sont difficilement quantifiables. Un adulte présente une carence iodée quand ses apports sont inférieurs à 100 µg/j. En dessous de cette limite, des goitres peuvent se former.

Nos besoins physiologiques journaliers devraient être couverts par nos apports alimentaires.

Où trouve-t-on l’iode ?

On en trouve dans l’eau de mer et dans les aliments. L’eau de mer recèle autour de 60 µg d’iode par litre. La mer est au cœur du cycle de l’iode qui s’évapore dans l’atmosphère par l’action du soleil, puis rejoint la terre. La concentration atmosphérique diminue avec l’éloignement de la mer.

L‘iode pénètre dans notre organisme par deux voies : lors de la respiration (capté au niveau des poumons) ou par absorption digestive. L’iode rejoint la chaine alimentaire par l’intermédiaire des végétaux qui seront absorbés par les animaux.

La teneur en iode des aliments est très fluctuante. Les algues comestibles viennent en tête, avec ensuite les fruits de mer et certains poissons, les sels iodés, les œufs, certains entremets épaissis avec des algues.

L’iode dans les plats industriels

Les algues sont très riches en iode. C’est par le biais de dérivés d’algues, utilisés comme agents de texture, que l’iode se retrouve massivement dans les produits de l’industrie agroalimentaire. C’est le cas des agars (E406), des alignates (E401 et 402), des carraghénates (E407) utilisés pour la fabrication des entremets, desserts lactés et crèmes ainsi que les charcuteries.

Autres sources d’iode : l’érythosine (E127), un colorant utilisé dans les céréales enrichies, les fruits au sirop ou confits, les crèmes et les pâtisseries. L’agriculture intensive utilise aussi abondamment les dérivés iodés comme désinfectant et comme minéral alimentaire pour l’élevage des bovins et des poulets. Les sous-produits animaux tels les laitages et les œufs contiennent des concentrations en iode de plus en plus importantes.

Les algues

Il existe un risque que les algues aient absorbé de l’arsenic, des métaux lourds, du dispersant utilisé pour lutter contre une marée noire, de la radioactivité ou d’autres polluants de l’eau de mer polluée. Par ailleurs les algues perdent une grande partie de leur contenu en iode après avoir été ramassées, puis conditionnées en comprimés et stockées dans des entrepôts pendant des mois.

Le sel raffiné iodé

Un gramme de sel iodé est censé contenir en moyenne 0,075 microgrammes d’iode. Mais cette mesure est prise à l’usine. Au moment où le sel arrive dans un supermarché, la moitié de l’iode contenu dans le paquet fermé s’est « évaporé », le sel s’est « sublimé » dans l’air. Quand on apporte le paquet de sel dans la cuisine et qu’on l’ouvre, de l’iode s’en échappe encore. Plus on garde le sel longtemps, moins il y a d’iode dans le sel. Un paquet de sel iodé ouvert perd la moitié de sa dose d’iode en vingt à quarante jours. Après tout ce processus quand il est ingéré, seulement 10% de l’iode dans le sel est assimilable.

Quand on prend en compte la perte d’iode dans l’air, la consommation effective d’iode intégré au sel est complètement théorique. La quantité qui est ajoutée au produit n’est pas celle que l’on obtient lorsque l’on met du sel sur ce que l’on mange. Pour résumer, personne ne sait quelle quantité d’iode on peut absorber en mangeant du sel iodé. Il y a trop de variables. Est-ce que le sel a été stocké longtemps avant que vous l’achetiez ?

Les chercheurs signalent également que le sel n’est pas un produit facile à enrichir parce que le chlorure de sodium, qui est un halogène, est en compétition avec l’iode, ce qui le rend moins efficace.

Les causes de la carence en iode sont multiples

  • Apport alimentaire insuffisant.
  • Consommation d’aliments goitrigènes (crucifères, choux, choux-fleurs, manioc, rutabaga, sorgho, patate douce) qui libèrent des thiocyanates, bloquant la captation de l’iode.
  • Certaines plantes prises en excès (tabac, orge, ail, chou, navet, soja, millet), contrarient la bonne absorption de cet oligo-élément.
  • Accélération de l’élimination rénale de l’iode (manioc).

Tests pour évaluer le taux d’iode

L’iodurie

Le plus connu est l’iodurie, à savoir le taux d’iode dans l’urine. Ce test est rarement effectué alors qu’il est essentiel. Par ailleurs il n’est pas remboursé par la sécurité sociale (coût 24 euros), c’est dire le peu d’intérêt de la médecine dominante pour ce nutriment.

Le test de charge en iode sur 24 heures.

Le principe est le suivant : si le taux d’iode du corps est adéquat, la plus grosse partie des 50 mg d’iode ingérée au début du test sera rejetée dans l’urine dans les 24 heures suivantes.

Si le corps est carencé, une partie significative de la dose d’iode ingérée avant le test sera retenue dans le corps. La quantité rejetée dans l’urine sera faible.

Tout test qui montre une saturation inférieure à 90% suggère que le patient est en carence d’iode.

Ce test n’est pas disponible en France. On peut le trouver aux Etats-Unis ou sur Internet (labo Hakala labs)

Les produits neutralisants de l’iode

Les bromures

La carence en iode est peut-être en partie une maladie liée à la prépondérance du brome. Une des causes sous-jacentes de la carence en iode vient sans doute de notre exposition constante aux produits bromés à travers les retardateurs de flamme, les pesticides, les additifs alimentaires, et même la farine aux Etats-Unis, dans laquelle on a aouté du bromate de potassium qui neutralise l’iode. Le brome éjecte de ses récepteurs le peu d’iode que l’on absorbe dans notre nourriture.

En France, le bromate de potassium n’est pas autorisé comme additif alimentaire. Les termes « brome » et « bromure » sont interchangeables dès lors qu’on évoque le pouvoir de tout produit chimique lié au brome d’inhiber l’absorption de l’iode.

Ce qui nous expose le plus au brome sont les produits chimiques suivants : les retardateurs de flamme bromés (RFB). Ils sont présents dans les tapis, les voitures, les matelas, les revêtements de fauteuils, les appareils électroniques, les pyjamas d’enfants, les rideaux et d’autres objets comme les jouets pour enfants.

Ils sont présents dans différents équipements électroniques (téléviseur, ordinateurs), les matelas, les tissus, les meubles rembourrés, les vêtements, les peluches etc. Ils sont également imposés dans les lieux accueillants du public comme les cinémas et les théâtres. Les retardateurs de flamme les plus utilisés sont les polybromodiphényléthers (PBDE). Il s’agit de composés bromés, connus pour leurs effets nocifs pour la santé. Ils peuvent migrer des rembourrages et s’accumuler dans les poussières domestiques, puis être inhalés ou ingérés. Suspectés d’être des perturbateurs endocriniens, ils seraient également responsables de troubles de développement du système nerveux : hyperactivité, déficit d’attention, trouble du comportement…

La supplémentation en iode modifie la compétition entre le brome et l’iode, et aide à expulser le brome. Du coup, la prépondérance du brome diminue et les enzymes impliquées dans le métabolisme de l’iode peuvent à nouveau fonctionner.

Les fluorures

Ils entrent aussi en compétition avec l’iode.

Le fluor est un poison. Il n’a pas sa place dans le métabolisme des humains, des animaux ou des plantes. Il détruit les os et les dents et fait des ravages sur tous les systèmes du corps. Le fluor est un des éléments les plus courants des médicaments.

La médecine moderne, basée sur les médicaments, dépend du fluor. Les premiers symptômes d’empoisonnement ne sont pas généralement reconnus comme tels, parce qu’ils sont très courants. Ils peuvent inclure une salivation excessive, des nausées, des vomissements, la diarrhée et les douleurs abdominales.

Ces symptômes sont insidieux parce qu’ils indiquent le début de plusieurs problèmes métaboliques graves qui entraînent des maladies des glandes endocrines, telles que l’hypocalcémie, l’hypomagnésémie, l’hyperkaliémie et l’hypoglycémie. Ces problèmes de santé peuvent avoir des retombées dans tout l’organisme quand ils deviennent chroniques. Des déséquilibres infracliniques dans n’importe laquelle de ces substances essentielles (le calcium, le magnésium, le potassium et le sucre) peuvent causer des dommages à long terme ou même permanents.

L’empoisonnement au fluor peut aussi causer des dommages neurologiques qui incluent des maux de tête, des tremblements, des spasmes, des contractions tétaniques, des réflexes hyperactifs, des attaques et des faiblesses musculaires. En fin de compte, le fluor, qui est tératogène, est la cause des pires sortes d’anomalies congénitales. Sans oublier les nombreux problèmes cardio-vasculaires (arythmie, arrêt cardiaque).

Prendre un médicament qui contient du fluor, c’est prendre un risque. Aucun avertissement n’y figure sur les boîtes de médicaments contenant du fluor.

Médicament contenant du fluor :

  • anesthésiques
  • anxyolitiques (Prozac)
  • antiacides (les I.P.P)
  • antibiotiques (fluoroquinolones) : Ciflox…
  • antidépresseurs
  • antihistaminiques
  • antifongiques
  • antimétabolites (chimiothérapie)
  • antipaludéens
  • antirhumatismaux
  • neuroleptiques
  • stéroïdes
  • hypolipémiants (les statines)

Effets de la carence en iode

Dès lors que chaque cellule du corps contient de l’iode, il est difficile d’expliquer le mécanisme d’action de l’iode. La seule façon de définir la carence en iode est de faire la liste des symptômes qui ont disparu avec la prise d’iode.

Au cours des quarante dernières années, les niveaux d’iode mesurés ont diminué de plus de cinquante pour cent. Les conséquences de ce déclin sont sévères et incluent une augmentation pratiquement épidémique de certaines maladies du sein, des ovaires, de l’utérus, de la prostate et de la thyroïde.

En premier lieu : l’hypothyroïdie dans laquelle on relève une trentaine de signes cliniques.

L’iode est le chainon manquant qui permet à la thyroïde de jouer pleinement son rôle.

L’iode et le sein

Alors que la consommation d’iode a diminué, les taux de cancer du sein ont augmenté.

La consommation d’iode par les américains a diminué de 50% depuis les années 1970, alors que les taux de cancer du sein augmentent. Dans la « Ceinture du Goitre », aux Etats-Unis, là où les taux d’iode dans le sol sont plus bas, les taux de cancer du sein sont supérieurs aux autres régions.

D’autre part, depuis les années 1970, aux Etats-Unis et dans plusieurs autres pays, les produits chimiques bromés qui bloquent l’iode ont été ajoutés à la farine, à certains sodas et à des médicaments, ce qui a exacerbé la carence générale en iode.

Pour comparer, il est intéressant de noter que l’incidence et la sévérité du cancer du sein sont moindres au japon qu’en Europe ou aux Etats-Unis ; cet écart peut dépendre des différences du régime alimentaire. Les femmes japonaises consomment 25 fois plus d’iode dans leur alimentation que les femmes d’Amérique du Nord, et leur taux de cancer du sein est moindre.

Pour les patientes qui ont une maladie du sein, les mécanismes d’action thérapeutiques de l’iode ont au moins trois aspects : hormonal, biochimique, génétique.

Plus précisément, l’iode désensibilise les récepteurs d’œstrogène, modifie les mécanismes chimiques et affecte les gènes, ce qui entraîne une moindre croissance des cellules et a un effet anticancéreux en permettant l’apoptose (la mort programmée) des cellules malignes.

Il y a beaucoup de récepteurs d’iode dans le sein, ce qui permet aux canaux galactophores et aux autres tissus de fonctionner de façon optimale. On a observé que l’iode permet de détoxifier les fluides présents dans le sein et d’éliminer les kystes qui hébergent les toxines.

On a montré que les algues riches en iode ont un effet anticancéreux sur les rats et, en laboratoire, sur des cellules de cancer du sein humain.

Ajouter des algues à la nourriture des rats retarde l’apparition et les nombre des tumeurs mammaires.

Lorsque les patientes qui ont une mastopathie prennent de l’iode, la fibrose et la taille des seins diminuent.

Pour les femmes qui ont des seins douloureux en plus d’une mastopathie, l’iode améliore et soulage les symptômes dans plus de 50% des cas de femmes qui ont pris 6 mg d’iode pendant 6 mois et les algues brunes aident à faire disparaître les douleurs et les nodules dans 94% des cas.

L’iode est un nutriment antitumoral. Il :

  • Désensibilise les récepteurs d’œstrogènes dans le sein ;
  • Réduit la production d’œstrogènes dans les cancers hormono-dépendants ;
  • Réduit la mastopathie qui précède souvent le cancer du sein ;
  • Permet de détruire les cellules cancéreuses, de ralentir la division cellulaire et la croissance des veines qui alimentent les tumeurs ;
  • Permet de tuer plus de cellules cancéreuses que le fluorouracile, médicament utilisé en chimiothérapie ;
  • Permet aux rats d’éviter le cancer, quand on leur donne le DMBA, produit chimique qui provoque le cancer du sein.

L’iode et les pathologies masculines

Les bienfaits apportés par l’iode sont impressionnants. Il gomme l’hypertrophie bénigne de la prostate et la prostatite. Il combat l’impuissance. L’iode fait augmenter la testostérone. Appliquer 20 gouttes d’iode et l’huile végétale de jojoba sur les testicules et le périnée. Ajouter de la vitamine K2. Il augmente la libido et la fertilité.

L’iode et le mental

Augmente la concentration, la clarté d’esprit. L’OMS cite la carence en iode comme la cause la plus facilement évitable de retard mental. La carence en iode n’est pas un problème réservé aux pays en développement. Si les bébés ne sont pas nés avec des anomalies congénitales graves du cerveau, même avec une carence légère en iode, beaucoup de bébés sont significativement moins intelligents qu’ils ne pourraient l’être. Notez aussi que les taux d’autisme augmentent de façon significative.

La prise d’iode génère une acuité intellectuelle soudaine.

L’iode indiqué dans la plupart des pathologies (infections, cardiovasculaires, dépression, obésité, problèmes cognitifs, dermatologiques, libido…)

Liste des effets de l’iode sur l’organisme

  • les maladies auto-immunes (thyroïdite d’Hashimoto) ;
  • les allergies (asthme, eczéma) ;
  • les infections (virales, vaginales, herpès, parodontose, gingivite) ;
  • les douleurs (mastopathie, fibromyalgies) ;
  • les pathologies de la thyroïde (hypothyroïdie, nodules) ;
  • les problèmes cardio-vasculaires (arythmie, pression artérielle, cholestérol…) ;
  • les pathologies métaboliques (diabète 2, obésité) ;
  • les problèmes digestifs (constipation, refluxgastro-oesophagien) ;
  • les problèmes mentaux (difficultés à se concentrer, à mémoriser, dépression…) ;

Avant de traiter toute pathologie, vérifier si vous être en carence d’iode.

Faire :

– une iodurie ;

– le test de charge en iode sur 24 heures.

Le principe est le suivant : si le taux d’iode du corps est adéquat, la plus grosse partie des 50 mg d’iode ingérée au début du test sera rejetée dans l’urine dans les 24 heures suivantes.

Si le corps est carencé, une partie significative de la dose d’iode ingérée avant le test sera retenue dans le corps. La quantité rejetée dans l’urine sera faible. Tout test qui montre une saturation inférieure à 90% suggère que le patient est en carence d’iode.

Sur internet, le laboratoire Hakala Labs fait aussi le test de charge en iode, et peut envoyer le test en Europe.

Compléments alimentaires

Nutriments auxiliaires pour détoxifier et restaurer le terrain :

  • Iode
  • Iode ascophyllum. L’algue Ascophyllum nodosum 215 mg, dit iode naturel 150 mg, 1 gélule/ jour 1 à 2 mois selon l’évolution.
  • Magnésium = Magnétione 110 mg, vit. B6, B8. 60 gélules, 2gélules/jour 1 à 2 mois.
  • Vitamine C (3g/jour) = camu-camu 500mg, 60 gélules, 2fois 2 gélules 1 à 2 mois.
  • Coenzyme Q10 (cofacteur ATP) stress oxydatif – vieillissement cellulaire = Co-qtion 10 (45 gélules), 2 à 3 gélules/jour, 2 à 3 mois.
  • Zinc 10mg (problèmes de peau, diabète, prostate…), 30 gélules, 1 gélule/jour pendant 2 mois.
  • Xenosulf : extrait de pissenlit, romarin, olivier, chlorelle, iode, sélénium. Chélation des métaux lourds, dépose d’amalgames dentaires. 80 cps, 40 jour, 1 cps matin et soir, à renouveler.

Ces 6 produits sont au labo Le Stum (tel : 02 57 88 15 88).

  • Sélénium (sélénométhionine) : 200 µg
  • Vitamine B3 (niacine) : 500mg
  • Vitamine B2 : 100 mg