Jamais, dans l’histoire de l’humanité, nous n’avons eu à subir un si vaste déluge de polluants. Notre organisme est quotidiennement assailli par des toxines alimentaires, environnementales, atmosphériques ou iatrogènes qui agressent et débordent notre métabolisme. Tout homme est empoisonné

Devant ces maladies, la médecine officielle reste le plus souvent inopérante et préfère ignorer ces nouvelles pollutions ou se contente des mêmes parades allopathiques.

Les insecticides et les fongicides provoqueraient en France un « drame sociétal » au même titre que l’amiante.

Dans notre monde actuel, les sources d’encrassement ou de pollution de l’organisme sont aussi nombreuses que variées. La mauvaise hygiène alimentaire et la mauvaise hygiène de vie en général, le stress, le manque d’exercice physique, les pollutions atmosphérique, électromagnétique et sociale, les prises de médicaments allopathiques, les vaccins, ou encore les additifs chimiques de synthèse.

Si toutes les sources d’encrassement ou de pollution de l’organisme ne représentent pas toujours un réel facteur de destruction des tissus, elles constituent néanmoins un frein dans le fonctionnement et dans le renouvellement des cellules.

Avec l’encrassement et l’accumulation de toxines dans le corps, les liquides interstitiels et nourriciers sont également chargés de déchets et ne peuvent plus remplir pleinement leur rôle de transporteurs nourricier ou éliminateur. L’apport de nutriments au niveau cellulaire sera moindre, mais l’évacuation des déchets cellulaires ne sera pas idéale non plus et le métabolisme cellulaire de base fonctionnera au ralenti ; ainsi, le métabolisme cellulaire et tissulaire sera freiné.

De nombreuses pathologies sont dues au stockage de molécules anormales et agressives qui parasitent le bon fonctionnement enzymatique de nos cellules. Ces molécules toxiques et « biologiquement anormales » proviennent de notre mauvaise alimentation et des produits toxiques dénaturant celle-ci, mais elles proviennent aussi de nombreuses autres pollutions dont nous sommes victimes, auxquelles nous sommes soumis et auxquelles il est pratiquement impossible d’échapper.

Selon la nature des substances considérées apparaissent en général, après un certain nombre d’années d’évolution, soit des pathologies dites de surcharge (athérosclérose, obésité, diabète gras, etc.), soit des pathologies dites de dégénérescence (arthrose, maladie de Parkinson, Alzheimer, etc.), soit encore des « parasitages » induisant un mauvais fonctionnement cellulaire sans destruction des cellules considérées (fibromyalgie, dépression nerveuse endogène, certains cas de schizophrénie qui sont classées dans les maladies fonctionnelles ou d’encrassage. Il s’agit d’un stade précédant les maladies organiques dès lors que les organes ne sont pas encore véritablement atteints mais sont victimes, comme tout l’organisme, d’un ralentissement des processus physiologiques.

Les surcharges

Les pathologies d’encrassement sont induites par 2 types de surcharges différentes :

Les surcharges « colloïdales » ou « colles » :

Elles résultent du mauvais métabolisme des sucres et des corps gras. Habituellement, ceux-ci sont filtrés et drainés par le foie, la vésicule biliaire et l’intestin, sinon ils se transforment en « floculas » ou « viscosités » peu solubles – c’est ainsi qu’ils seront éliminés par d’autres « émonctoires de secours » (peau, vagin, carrefour ORL) et pourront générer des sécrétions telles que de l’acné, des pertes blanches, des rhinites, des sinusites, des glaires, des bronchites, etc.

Quand la « vitalité des métabolismes » faiblit, ces toxines et autres résidus forment des calculs dans la vésicule biliaire, dans les vaisseaux (athéromes) ou dans certains tissus (lipomes, kystes, adiposes, adhérences).

Les surcharges « cristalloïdales » ou « cristaux » :

Elles résultent d’un dysfonctionnement des protéines animales ou végétales et des acides organiques, sous forme de sclérose. Habituellement éliminées par les urines et la sueur, il arrive que ce drainage s’effectue sous forme de rashs cutanés secs (eczéma sec, prurigo, psoriasis, prurit…) ou d’inflammations (angine, conjonctivite).

La force vitale déclinante, ces résidus se déposent sous forme de calculs (reins, vésicule biliaire, voies salivaires), qui enflamment les articulations, irritent les nerfs (névrites, zonas) ou sclérosent les tissus (artériosclérose, fibroses). On constate que chaque type de surcharge donne lieu à des troubles différents.

Les colles provoquent un encrassement dont résulteront des accumulations de mucosités (hypercholestérolémie, athérosclérose, obésité, diabète gras). Cependant, les problèmes provoqués par des surcharges cristalloïdales sont bien souvent plus douloureux (arthroses, douleurs chroniques et récidivantes).

Dès que le taux de surcharges dépasse un certain seuil, si les émonctoires sont encore fonctionnels, la personne développera alors vraisemblablement une maladie dite d’« élimination ». La gêne ne s’installe généralement pas d’emblée. Il y a en effet des signes avant-coureurs, tels que les crises d’élimination aiguës qui représentent des sonnettes d’alarme dont il faudra tenir compte.

Si l’on ne prend pas en considération ces symptômes précurseurs et si l’on ne restaure pas l’ensemble du terrain dès leurs premières manifestations, on atteint la chronicité ou, dans la maladie organique, une atteinte plus grave, d’autant plus que les surcharges cristalloïdes, ont tendance à acidifier un terrain propice au développement de pathologies aussi nombreuses que variées et aussi bien bénignes que malignes, allant de la simple fatigue aux cancers.

Causes de l’encrassage

Les causes de l’encrassage sont l’ensemble des pollutions, notamment les pollutions alimentaires (les aliments ultra transformés). La cause première des effets secondaires est l’alimentation moderne, qui comporte :

  • Des additifs et des OGM ;
  • Des métaux lourds et des nanoparticules ;
  • Du sucre et du sel en excès ;
  • Des aliments cuits.

Ajoutons à cela :

  • La pollution environnementale (de l’air, de l’eau et du sol) ;
  • La pollution due aux champs électromagnétiques ;
  • Les vaccins ;
  • Les médicaments chimiques.
  • Les plaines maraîchers polluées par les eaux usées de Paris
  • La pollution médicamenteuse

Dans le jargon médical, on la désigne sous le terme « iatrogénèse ». Ce sont les produits chimiques qui causent des maladies graves. Toutes les thérapies chimiques se comportent comme des éléments agresseurs qui effondrent, au fil du temps, les cinq filtres destinés à nous protéger.

Avec la banalisation des prescriptions médicales et l’accès « libre-service » aux médicaments, le grand public fait désormais figure de « consommateur » peu scrupuleux dans l’ensemble des pays développés. Produits de consommation à part entière, les médicaments ont aujourd’hui leur place dans la publicité et en tête de gondole, les plus récents se voyant prescrits de façon massive sous l’influence de la promotion des marques.

Les personnes âgées consomment toutes sortes de médicaments, en particulier des remèdes psychoactifs et cardio-vasculaires. La surconsommation de médicaments à lieu de plus en plus tôt, parfois dès l’âge de 40 ou 50 ans. Cette situation est nouvelle par rapport à l’époque qu’ont connue les professionnels de la santé il y a seulement quelques dizaines d’années. L’être humain non médicalisé est aujourd’hui une exception. La science médicale « guérit » de plus en plus de maladies… pourtant il n’y a jamais eu autant de malades !

Dans ces conditions, il convient de posséder les connaissances permettant d’éviter tous les effets indésirables liés à l’usage des médicaments, pour offrir à la population le meilleur service possible, en faisant la part entre les spéculations, les probabilités et les cas documentés d’interactions médicamenteuses.

Une interaction médicamenteuse correspond à l’action réciproque qui s’exerce entre deux ou plusieurs médicaments prescrits simultanément à un individu et éventuellement à l’origine de modifications importantes en termes d’efficacité ou d’effets indésirables. Presque tous les médicaments consommés à doses pondérables et au long cours induisent en un premier temps une hyperperméabilité intestinale et un stress oxydant par production de radicaux libres oxygénés.

Les traitements symptomatiques, à force de reculer l’échéance d’un vrai traitement de la cause, finissent par induire un phénomène « d’échappement thérapeutique » (loi d’inversion) qui annonce une polymédication, laquelle ne fait qu’aggraver le stress oxydatif.

Les victimes de produits phytosanitaires

Vivre près d’un vignoble, c’est subir une surexposition massive aux pesticides. C’est ce que confirme avec une ampleur inédite l’étude PestiRiv menée par Santé publique France et l’Anses sur 2 700 personnes dont 742 enfants de plus de 3 ans.

Dans six grandes régions viticoles, soit plus de la moitié du territoire métropolitain, des relevés ont été réalisés dans 265 zones entre octobre 2021 et août 2022.

56 substances ont été recherchées : fongicides (cuivre, folpel), herbicides (comme le glyphosate) et des insecticides (comme les pyréthrinoïdes).

Les vignes font partie des cultures recourant le plus aux produits phytopharmaceutiques.

Des PFAS dans l’eau dite potable

1276 communes d’Ile-de-France ont été testées. Dans certaines communes on a recensé dans le sang, 20 substances polyfluoroalkylés (PFAS). On a analysé le TFA toxique pour le reproduction et qui représente 90 % de tous les PFAS et les PFOA classé cancérogène.

Dans ce tableau figurent les risques de l’exposition aux PFAS

Comment prévenir et traiter l’encrassage ?

La cause première des problèmes d’encrassage étant l’alimentation moderne, il convient de proposer un régime sans céréales, sans produits laitiers, riche en aliments crus et en huiles biologiques, accompagné de magnésium, de minéraux, de vitamines et de ferments lactiques. Il est donc conseillé de recourir au régime hypotoxique du Dr Jean Seignalet.

Les apports en molécules nocives étant fortement diminués, les capacités d’élimination de l’organisme vont lui permettre de se débarrasser progressivement des déchets accumulés. Le décrassage des cellules atteintes prévient ou guérit une maladie.

Quand les résultats positifs se font attendre, prescrire du plasma de Quinton isotonique, eau de mer rendue isotonique, dont la composition est analogue à celle des liquides de la matrice extracellulaire, et qui effectue un véritable rinçage des tissus.

Comme le décrit très bien le Docteur Paul Carton : « La force vitale recherchera toujours à rejeter hors du sang le plus de toxines possibles. Mais ce qu’elle ne peut éliminer par les émonctoires sera repoussé dans les profondeurs du corps. Les toxines vont ainsi pénétrer jusqu’à l’intérieur des cellules. »

Importance des émonctoires

Les émonctoires sont des organes qui éliminent les substances toxiques au cours des processus de désassimilation.

Notre corps est composé d’environ 70 % d’eau. Nous devons maintenir cet équilibre hydrique tout au long de notre vie pour hydrater suffisamment nos cellules et permettre à notre organisme de remplir correctement ses fonctions, notamment d’élimination des déchets. Les voies essentielles de l’évacuation de l’eau sont nos reins, nos poumons et notre peau.

L’eau est à l’origine de tous les phénomènes vivants, car elle est, avec l’oxygène et la lumière du soleil, une condition nécessaire à la photosynthèse. Cette précieuse eau nous a d’ailleurs entourés et protégés de notre conception. Nous avons tous été un jour des fœtus nageurs, baigneurs insouciants dans de l’eau intra-utérine. Par la suite, l’eau a envahi notre organisme, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de nos cellules.

Elle circule en permanence dans tout notre corps, transporte les nutriments et l’oxygène jusqu’aux cellules, évacue les déchets, régule notre température, nous permet de respirer, participe à notre système de défense, nourrit notre cerveau qui est composé à 82 % d’eau, structures matériaux dont nous sommes composés, hydrate notre peau… Les apports en eau influent donc à la fois sur nos capacités physiques et mentales.

Pour maintenir un bon équilibre hydrique, il est important que les pertes quotidiennes d’eau soient compensées par les apports. On estime ces derniers à 2,5 litres par jour en moyenne. L’eau fournie par nos aliments devrait représenter un litre, le reste devant être couvert par l’eau de boisson et par les jus de légumes et de fruits fraîchement extraits.

L’eau, élément essentiel pour l’équilibre de notre vitalité, transporte les nutriments vers les cellules et assure l’élimination des déchets et des toxines jusqu’aux organes d’évacuation. Son rôle essentiel n’est pas d’apporter des sels minéraux, comme l’alimentation solide, mais de faire circuler, de faciliter le drainage général des toxines et des déchets produits par les insuffisances de métabolisme.

Les enzymes

Sans les enzymes digestives, aucune vie organique ne serait possible. Ce sont des catalyseurs de réaction, qui décuplent les réactions biochimiques de notre digestion.

Notre corps recèle plus de 15 000 enzymes. La complexité de la digestion se dissimule dans les propriétés des enzymes, substances providentielles ayant la propriété d’accélérer les réactions chimiques sans y participer tout en agissant à la température du corps. Ne participant pas à la réaction, on les retrouve identiques à elles-mêmes à la fin de la réaction et capables de réagir de nouveau. Ce sont des catalyseurs.

Leurs fonctions essentielles sont accomplies par une machinerie biochimique dont les bases sont à peu près identiques. Dans l’organisme humain, certains organes jouent par ailleurs un rôle clé.

Les vertus du jeûne

Le jeûne est un excellent moyen de détoxiquer et de désintoxiquer l’organisme. Il permet de récupérer et de recharger son énergie vitale par une action de fond. Le jeûne nous permet à la fois de nous reposer, de régénérer nos batteries et de disposer de plus d’énergie vitale, créatrice, affective, émotionnelle et spirituelle.

D’un point de vue biologique, le jeûne met notre système digestif au repos, dès lors que nous n’ingérons plus de nourriture solide. Notre organisme commence par « faire le ménage » en évacuant les toxines et les toxiques accumulés au fil des jours, des mois et des années par une alimentation inadéquate. Cette phase d’élimination, parfois pénible, peut durer plusieurs jours et causer divers troubles, dont une grande fatigue.

L’alimentation entre en jeu dans plus de 80% des causes de mortalité telles que maladies cardio-vasculaires, cancer, affection digestive.

Les vertus des aliments crus et vivants

Les aliments crus et vivants épargnent nos fonctions digestives, notamment notre banque enzymatique interne, puisqu’ils contiennent leurs propres enzymes.

Ils contribuent à éliminer de notre organisme les toxines et les toxiques générés respectivement par de mauvais choix alimentaires, par des dysfonctionnements digestifs et métaboliques, ainsi que les pollutions externes véhiculées par notre alimentation, par l’eau et par l’air.

Ils préservent notre système immunitaire, car ils sont physiologiquement adaptés à notre organisme.

Ils véhiculent de l’oxygène, ce qui contribue à une meilleure assimilation des nutriments.

Ils nous offrent une qualité énergétique de premier ordre, par leur proximité avec la photosynthèse, dont le point de départ est la chlorophylle.

Ils sont riches en phytohormones, en flavonoïdes, en huiles essentielles, en alcaloïdes et en pigments.

Ils contribuent à la santé et à la vitalité de notre flore intestinale par un apport massif de bactéries amies.

Le nomadisme médical

Dès lors que tous les émonctoires sont encombrés, l’ensemble des métabolismes sont bloqués. Les médecins généralistes ne s’attardent pas sur cet environnement pollué. C’est ainsi que les gens trainent leur maladie et consultent d’autres médecins pour terminer par des professeurs.

La seule solution est de libérer les émonctoires.

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On peut dépolluer les 9 organes (foie, vésicule biliaire, poumons, reins, peau, appareil génito-urinaire, carrefour ORL, intestin frêle, système lymphatique)

Pour approfondir et mieux comprendre je vous invite à consulter mon dernier ouvrage « 55 questions de santé et leur traitement naturel sans ordonnance » Ed. Dauphin, ou le livre Pollution et santé Ed. Dangles. Ainsi vous retrouverez la voie de la guérison.