L’année touche à sa fin. À l’heure de la pause, de la possibilité de tout recommencer grâce à l’année nouvelle qui s’approche, on se concentre sur ce qui nous importe le plus. Ces nuits les plus longues ouvrent dans le temps une brèche bouleversant nos vies quotidiennes. Là s’invite le merveilleux et se faufile le Père Noël, rappelant des rites anciens liés au foyer, à l’arbre, à l’enfance…
L’entrée dans l’Avent, le temps liturgique qui nous prépare à Noël, est ce qu’on appelle dans le jargon journalistique un marronnier, c’est-à-dire un sujet récurrent.
En l’occurrence, il faudrait parler ici de sapin.
Et ce beau sapin colporte des images de boules scintillantes, de guirlandes chamarrées, de cadeaux multicolores…
Soyons sincères, nous aimerions parfois bien nous identifier à cette belle histoire, véhiculée par la publicité, qu’on se raconte, lovés au creux d’un canapé, en évoquant Joseph, Marie et l’Enfant-Jésus, entourés de l’âne, du bœuf, des bergers et des moutons.
Mais l’histoire de Noël est toute autre: «L’Évangile montre en effet que la pauvreté touchait tous les aspects de la vie du Christ», dit Léon XIV dans son exhortation apostolique Dilexite (n°19). Reprenant les épisodes de la vie de Jésus où il a été rejeté, de sa naissance à sa mort, il ajoute : «C’est à cette condition que l’on peut résumer de manière claire la pauvreté de Jésus. Il s’agit de la même exclusion qui caractérise la définition des pauvres : ils sont les exclus de la société.(…)
Il se présente au monde non seulement comme le Messie pauvre, mais aussi comme le Messie des pauvres et pour les pauvres. »
On voudrait annoncer la nouvelle au monde entier pour que la joie remplisse les cœurs. Des millions d’étoiles sont allumées dans la nuit. Les anges veulent annoncer la naissance de Jésus au monde entier. Et l’ange précise : « Je vous annonce une grande joie pour tout le peuple : » Car la joie ne peut être une vraie joie que si tout le monde peut la vivre. C’est pour cela que les premiers à qui elle est annoncée sont d’humbles bergers.
Le récit de Noël n’est pas une historiette merveilleuse. Il parle d’espérance maigre tout, d’une étoile qui vient guider les voyageurs égarés, d’un désir exaucé après une longue attente, de la fragilité d’un nouveau-né proposée comme accomplissement de la puissance divine. Une bonne nouvelle oui, à fêter comme il se doit évidemment, mais qui ne fait l’impasse sur aucune épreuve de la vie.
L’obstination que l’on mit à perpétuer la fête de Noël, en dépit de l’estompage progressif de sa dimension religieuse, montre à quel point l’humanité a besoin de repères fermement ancrés.
Alors, en cette année, si troublée et pleine d’incertitudes, contemplons nos crèches de Noël avec le regard de toutes celles et ceux qui vivent des vies difficiles et qui trouvent un grand réconfort autour de cet enfant démuni, qui vient au monde dans la mangeoire du bétail au milieu des bergers. Et soyons solidaires, ensemble, pour porter cette espérance à tous.
Jésus veut ainsi nous signifier que seule la vie de l’homme a de la valeur à ses yeux, que tout le reste est éphémère et insignifiant. Sa pauvreté matérielle et son détachement des biens d’ici-bas lui donnent la force de dire leur quatre vérités aux puissants de ce monde et d’adresser des mots de compassion à tous les persécutés de la terre.
Nous savons bien que le vrai partage de Noël se situe avant tout dans la relation. C’est la chaleur de l’échange les uns avec les autres que nous cherchons tous à Noël. Les cadeaux ne sont vrais que s’ils sont un signe de cette relation. Comment donc vivre Noël en évitant que des personnes restent seuls, isolées, oubliés ? Sinon, ce ne serait plus vraiment Noël.
Noël, comme un itinéraire sacré, une route intérieure qui nous mènerait tout droit vers la fraternité, pas celle des beaux discours, mais celle des mains tendues par-delà les souffrances et la mort, la haine et l’indifférence. Haute voie de l’impossible qui, soudain, devient chemin escarpé des possibles. Et l’homme qui marche, qui grimpe ce sentier, s’élève et se relève et grandit à chaque pas qu’il fait vers la cime de la Parole qui lui murmure, toujours et sans cesse : « Viens, suis-moi ! » Chemin rude, chemin à perdre souffle, Car la vie nous est lourde, difficile, déprimante et inattendue, telle que nous la subissons aujourd’hui avec cette épée de Damoclès qui annonce la guerre.
Faisons notre plus que jamais cet enseignement que Jésus est venu apporter sur terre : Aimons-nous les uns et les autres, aimons même ceux qui se comportent comme des ennemis. Le temps est venu pour la période de la compassion, de la réconciliation, de la compréhension, du pardon et de l’amour.
Ceux qui vivent dans la misère et l’humiliation quotidienne ont une façon particulière de partager le rituel de Noël et de lire l’Evangile, à partir de leur expérience de vie. Comment se fait-il que la fête de Noël soit si importante dans le cœur des plus pauvres, même de ceux qui ne sont pas chrétiens ? Remémorer et entretenir les souvenirs peut procurer plus de plaisir que les cadeaux. Ne se retrouvent-ils pas profondément dans l’histoire de la naissance de Jésus ! La joie de la naissance de cet enfant porte en elle l’espérance des pauvres ; dans la plupart des dénuements ce besoin de partager avec ses proches cette période particulière de paix, d’éclairage et de réconciliation est salutaire et réconfort.
Car la nuit de Noël peut constituer une grande épreuve de solitude, comme en témoigne notamment l’association SOS Amitié qui reçoit dans cette période beaucoup plus d’appels de détresse que le reste de l’année. Noël est une manière de réduire un instant la distance entre « ceux qui ont» et « ceux qui n’ont pas». La générosité est symbolisée par la présence d’un être unique et mystérieux, foncièrement bon, le Père Noël. Tout le monde peut, pour un instant, l’incarner.
Prions pour que nos enfants n’aillent au casse-pipes pour que nos dirigeants retrouvent la raison et abandonnent leur ambition pour que la mafia médicale respecte les médecins qui guérissent.
Il est né le divin enfant, chantons tous son avènement.
Joyeuses fêtes de Noël et belle année 2026
Comment devenir centenaire ?
C’est un des thèmes que je viens de traiter en chine lors d’un congrès.
L’état de santé est conditionné par trois éléments
- La génétique (parents, grands-parents)
- La gestion du stress
- L’alimentation
On commence à vieillir à 25 ans.
Bien vieillir, c’est faire le point sur sa santé – consulter régulièrement des médecins de terrain – et ajuster son mode de vie aux besoins corporels. Les uns devront adapter leur alimentation, les autres mieux gérer leur stress, leur environnement… Car un corps fatigué et stressé est un corps qui vieillit vite et mal.
Bien vieillir, c’est conserver son «état de vitalité» sans médicaments qui ne sont que des béquilles. Pour vous situer, faites un état des lieux : vous sentez-vous globalement bien ? Le cerveau répond-il à toutes les sollicitations ? Les efforts et le lever du matin sont-ils difficiles ? Avec les années, tout l’enjeu est d’éviter d’entrer dans un « état de fragilité générale » connu des gériatres mais mal dépisté. Pour faire face à des problèmes de santé successifs, le corps puise dans ses réserves souvent mal compensées par les seuls apports alimentaires. Alors, il puise sur le système immunitaire, enzymatique, neurobiologique. Une litanie de signes émerge : une déprime, un mal-être, une fatigue persistante, une fonte musculaire, des infections à répétition, une marche titubante, un caractère changeant… Autant de clignotants d’alerte à prendre en compte.
Pratiquer un bilan
Etat inflammatoire – Etat du foie, de la thyroïde, du pancréas, de la prostate…
En premier lieu restaurer l’état des défenses immunitaires :
STIMU+ comprend :
- Des bêta-glucane (les champignons : Maïtaké, Shiitake, Réishi)
- Les huiles essentielles (immunostimulantes) : Tea tree, Origan compact, Girofle.
Restaurer les enzymes : ils stimulent tous les métabolismes. (Enzy 20)
Vérifiez l’état de la thyroïde : TSH, T3, T4, Iodurie.
Restaurer le microbiote : probiotiques (l’intestin est un 2ème cerveau).
La gestion de stress qui fait chuter l’immunité.
HE : Marjolaine, Encens, Verveine citronnée, Pruche du Canada.
Restaurer l’ensemble des métabolismes : AFALG (algue Aphanizomenon), 3 fois 2 gélules.
Assurer un bon sommeil : répare les synapses.
Activité physique
Le cerveau devient plus performant : 40 minutes par jour (vélo, marche, natation…),
Fait chuter de 40% le risque de cancer, Alzheimer, maladies cardiovasculaires.
Alimentation
Alimentation vivante et bio (non cuite), à la vapeur, à l’étouffée.
Boire de l’eau peu minéralisée (les minéraux ne sont pas assimilables par les reins)
Évitez les aliments transformés, les laitages et fromage (caséines insolubles).
Les caséines génèrent une malabsorption intestinale causant une déminéralisation (calcium, magnésium, potassium). Elles bloquent les polyphénols (flavonoïde).
Le calcium est nécessaire pour la transmission nerveuse.
Eteindre l’inflammation : curcumine, Bromélaïne.
Neutraliser les radicaux libres avec des antioxydants : le glutathion, le thé vert Matcha.
Désintoxiquer l’organisme (métaux lourds, nanoparticules, perturbateurs endocriniens, additifs…)
A éviter : les médicaments IPP, Alpha et bêta bloquants et tous les remèdes chimiques qui sont efficaces durant 3 mois puis ils agressent tous les métabolismes. D’autres maladies surviennent.
Prévention du cancer
- L’âge (accumule les altérations cellulaires)
- Patrimoine génétique (mutation)
- Système immunitaire s’effondre
- Virus : provoque mutation génétique
- Environnement quotidien (Métaux lourds, aliments transformés)
- Régime alimentaire (Le cancer se nourrit de sucre, il vit en anaérobiose, il n’aime pas l’oxygène.)
- Inhaler de l’oxygène (bol d’air de jacquier). Labo Holiste. (D’où pas de sucre (glucide) avant 13 h. Le sucre inhibe le tryptophane, nécessaire pour la neurotransmission)
- Mettre l’organisme en acidose (réduction alimentaire), évite le cancer.
- Si candidoses (qui survient dans un terrain acide) : bicarbonate. (Eau St Yorre)
- Intérêt du jeûne (10 jours). 1 Français sur 4 pratique le jeûne.
Après 7 jours disparition du diabète, cholestérol, goutte + meilleure immunité.
Sauter un ou plusieurs repas (jeûne séquentiel)
Prévention de l’Alzheimer
Pour retrouver la mémoire : + Inhaler l’odeur de l’HE de Romarin à cinéole + Manger cru : protège le cerveau limbique (hippocampe) + Prendre IVERMECTINE, Bocopa
Voir mon livre « Alzheimer et odorat – quand les aromes restaurent la mémoire » Ed. Trédaniel
Irruption de la grippe et autres covid
Prévention
Avant tout il est essentiel de restaurer nos défenses naturelles qui permettront d’échapper à ces pathologies hivernales et au cancer.
STIMU+ : 2 fois 2 gélules / 1 mois
AFALG : Algue aphanizomenon qui restaure 5 métabolismes – A prendre à dose progressive
2 gélules : 2 jour
2 fois / 2 gélules : 3 jours
3 fois / 2 gélules : 1 mois
Homéopathie
En préventif
Sérum de Yersin 15CH / 1tube
Influenzinum 9CH / 1tube
10 granules de chaque 1 fois par semaine
Oscillococcinum 200 / 1 dose par mois
Le vaccin antigrippale injectable est la souche du virus de l’année précédente, alors que c’est un nouveau virus qui sévit.
Prendre la vitamine C
En curatif
Gelsemium Sempervirens 30CH
Eupatorium Perfoliatum 30CH
Belladonna 30CH
3 granules de chaque : 6 fois par jour / 3 jours, puis 3 fois pendant 7 jours
Huiles essentielles
HECT Romarin CT cinéole 2ml
HECT Thym CT thujanol 2ml
HECT Épinette noire 1ml
HECT Eucalyptus mentholé 2ml
HV Noyaux d’abricot 3ml
12 à 15 gouttes sur le thorax ou le haut du dos 6 à 8 fois par jour, et 5 gouttes en bouche dans un peu de miel ou sucre de canne ou huile végétale pendant 3 à 5 jours.
La grippe est traitée dans mon livre « 55 questions de santé et leur traitement naturel » Ed. Dauphin
Après la gestion du Covid qui a été catastrophique et laissé des séquelles telles le covid long, beaucoup de médecins généralistes se sont orientés vers les médecins naturelles.
La plupart ont acheté mes 3 livres qui regroupent plus de 260 maladies :
« 100 Ordonnances naturelles pour 100 maladies » Ed. Trédaniel
« 104 Maladies du XXIème siècle » Ed. Testez
Et le dernier qui vient de sortir et que je vous recommande :
« 55 questions de santé et leur traitement naturel » Ed. Dauphin
J’y traite :
3 cancers : colorectal, pancréas, sein
Les maladies auto-immunes (6 millions de Français sont atteints)
La DMLA (1,2 millions en sont atteints)
L’ostéoporose – déminéralisation
Acouphènes, mycoses, constipation
Les soins anti-âge
Fibromyalgie, électrosensibilité
Et combien d’autres,
Un beau cadeau à offrir
Le premier février je fais une conférence à 16h40 au salon Bien-être (Porte de Versailles), seront présents des patients que j’ai guéri d’un cancer – notamment celui du foie et du pancréas.
Nos missions humanitaires
Je continue mon œuvre avec les religieuses à Madagascar auprès des enfants orphelins, et au Chili avec les religieuses qui disposent d’alambic. Elles traitent les patients qui affluent dans leur dispensaire.








