Les Français sont déboussolés et souffrent physiquement et mentalement. Nous sortons de quatre semaines d’une campagne électorale imprévues, impromptue et particulièrement clivante. En ce moment de pause estivale, beaucoup aspirent au repos, à la déconnexion, au ressourcement. Cependant, nous vivons encore à l’heure des tractations entre paris pour former une coalition susceptible de gouverner, les résultats des élections manifestant une France plus divisée que jamais. Le corps médical est sur le pont pour colmater les effets délétères générés par les médias et les députés complétement embourbés. 82% des Français contestent les partis politiques qui recourent à trois stratégies contestables.
L’expression « pensée unique »
L’expression « pensée unique » est généralement utilisée dans le monde politico-médiatique pour accuser de conformisme les idées considérées comme majoritaires dans leurs pays. Elle vise à dénoncer :
- pour les uns ce qu’ils considèrent comme une domination idéologique qui promeut certains choix de société, présentés comme seuls légitimes, concernant l’économie, le pouvoir d’achat, la sécurité, l’intégration européenne, la libéralisation des mœurs, l’immigration, etc.
- pour les autres ce qu’ils voient comme la permanence d’un esprit étatique, collectiviste, centralisateur et nationaliste promu comme seule voie respectable pour servir l’intérêt général et devant primer les libertés et responsabilités individuelles ainsi que l’ouverture sur le monde. Des groupes ayant chacun une pensée déterminée peut s’accuser mutuellement d’avoir une « pensée unique ». Il s’agit alors en fait d’une pensée de groupe.
Le bouc émissaire
Bouc émissaire : personne rendue responsable de toutes les fautes (par allusion à la coutume biblique qui consistait à charger un bouc de tous les péchés d’Israël et à le chasser dans le désert). C’est ainsi que parlementaire et médico se déchainent contre un membre ou l’ensemble d’un parti pour les affubler de tous les maux de la société : racisme, antisémitisme, nazisme, homophobie ect… En tant qu’anthropologue j’en ai constaté les effets ravageurs. 11millions d’électeurs se sentent offensés. Aux prochaines élections la clique politico-médiatique paiera les pots cassés.
Le communautarisme
C’est antidémocratique il représente une menace.
De tout temps, l’homme a cherché à se regrouper, soit d’un point de vue ethnique, religieux ou socio-professionnel. Est-ce par choix identitaire, par conviction spirituelle ou les deux ? Cette question est clairement d’actualité et le « vivre ensemble » doit nous inviter à une profonde réflexion autour de cette thématique. L’État, seul, ne peut répondre à cette question. Les responsables des grandes religions- catholique -juive-musulmane et autres communautés – sont des partenaires indispensables au ministre de l’Intérieur et des cultes afin d’établir une concorde pérenne au sein de notre pays. La France, terre des Droits de l’homme, peut parfaitement incarner les valeurs nobles de la démocratie aussi bien à l’intérieur que vis-à-vis des autres nations, même titre que le nationalisme, le communautarisme qui constitue un danger pour notre société car toute forme d’exclusion de l’autre, dès lors qu’il n’est pas comme nous, est à proscrire. Je crois fermement à une cohabitation fraternelle entre nous ; avec les impérieuses conditions du respect et de la tolérance envers l’autre, quelles que soient ses origines.
La reprise épidémique : le retour du Covid
Les Jeux olympiques vont se dérouler en pleine résurgence de cas positifs, « portée » par de nouveaux variants. Aux urgences des hôpitaux parisiens, le masque va redevenir obligatoire. Plusieurs experts nous décryptent la situation, sans alarmisme.
QUASIMENT aucun spectateur, distanciation physique et masque obligatoire dans les enceintes sportives… Les Jeux olympiques de Tokyo, reportés de 2020 à 2021, se sont déroulés sous une véritable cloche sanitaire. Trois ans plus tard, le Covid-19 va-t-il de nouveau jouer les trouble-fêtes pour l’édition 2024 de la compétition, qui a commencé ?
La situation n’a bien sûr « rien à voir avec celle d’il y a trois ans, lorsque les premiers variants émergeaient et qu’une grande partie de la population n’avait pas encore reçu ses deux doses de vaccin », pointe Yazdan Yazdanpanah, professeur de maladies infectieuses et tropicales à l’hôpital Bichat, à Paris, et directeur de l’ANRS maladies infectieuses. Mais le Covid-19 n’a pas disparu, loin de là. Une nouvelle « vague » épidémique s’est même propagée en juin, en France comme dans de nombreux autres pays, en parallèle de l’arrivée de nouveaux variants au sein de la grande famille Omicron. Leurs noms de code : KP.2 et KP.3. Ils sont baptisés FLIRT car ils comportent les mutations F456L et R346T dans leur génome. Celles-ci leur confèrent un échappement immunitaire accru par rapport aux souches précédentes. En clair, ces deux variants parviennent plus facilement à déjouer nos barrières protectrices et donc à nous infecter. C’est dans ce contexte que des millions de touristes vont venir en région parisienne et se retrouver parfois parqués dans des endroits très denses comme des bars. « Les grands rassemblements peuvent toujours entrainer des chaines de transmission et des risques sanitaires, comme récemment le pèlerinage de La Mecque », pointe l’épidémiologiste Antoine Flahault, directeur de l’Institut de santé globale de Genève. Le SARS-CoV-2 parmi six virus à surveiller en priorité Le SARS-COV-2 fait partie d’une liste de six virus (parmi une soixantaine) à surveiller en priorité dans les eaux usées pendant la compétition, recommandent des dizaines de scientifiques françaises dans une étude parue dans la revue « Euro surveillance » le 11 juillet « Nous sommes extrêmement vigilants », a garanti mercredi la ministre des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques, Amélie Oudéa-Castéra
L’infection peut nous secouer pendant plusieurs Jours, obligeant parfois à rester se reposer au lit, et pour un sportif, à se retirer d’une compétition. Sans parler de la nécessité de reprendre l’activité en douceur et du risque de Covid long, pouvant priver de sport à haut niveau durant plusieurs années. Plusieurs coureurs du Tour de France ont encore été testés positifs cette année, les obligeant parfois à abandonner.
Un pic atteint… ou pas
Un pic de circulation virale dans les eaux usées a néanmoins eu lieu début juillet, et on est désormais à trois semaines consécutives de baisse, d’après le rapport de Santé publique France paru mercredi « Cela ne veut pas dire que la vague est terminée, car il reste la moitié des contaminations pendant la phase descendante, mais c’est le moment idéal, à condition que ce pic se confirme », pointe Antoine Flahault. Pour une raison simple : toutes les personnes infectées depuis début juin devraient rester préservées ces prochaines semaines.
La prudence reste cependant de mise. Depuis le début de la pandémie, on a parfois vu un pic se transformer en simple phase de transition avant que la courbe ne remonte. D’ailleurs, le taux d’incidence des cas de Covid-19 rapportés par le réseau de médecins généralistes Sentinelles est reparti à la hausse la semaine dernière. « Même si on est en phase descendante, on peut toujours avoir une nouvelle hausse, et je pense qu’on l’aura pendant les JO. Alors, plus on partira de bas, mieux ce sera », pointe Yazdan Yazdanpanah.
Reste que le Covid-19 n’est pas la seule menace infectieuse. Plusieurs autres maladies comme la rougeole ou la coqueluche sont en forte recrudescence depuis plusieurs semaines. C’est pour cette raison que le masque chirurgical sera obligatoire ces prochaines semaines pour les patients, les professionnels et les accompagnants aux urgences de l’Assistance publique Hôpitaux de Paris
Les Bleus prennent leurs précautions
L’ombre du Covid-19 plane à l’approche de Paris 2024 S’ils ne sont pas tenus de présenter un test négatif pour s’aligner, les athlètes se garderaient bien d’être diminués avant le jour J, voire d’être contraints de renoncer. Plusieurs cas se sont déclarés : la footballeuse Selma Bacha, l’athlète Cyréna Samba-Mayela, des judokas, des nageurs ou des coureurs du Tour de France. Un mystérieux « syndrome viral » s’est aussi incrusté parmi les Bleus du basket.
Il est demandé aux médias de ne pas s’approcher trop près lors des zones mixtes, d’autant que le port du masque n’est pas requis.
D’autres vaccins sont à prévoir
Trois vaccins pour les seniors
Déjà très chargé, le calendrier vaccinal va l’être un peu plus. Mais c’est pour la bonne cause, se réjouissent les médecins. Deux nouveaux vaccins contre le « virus respiratoire syncytial » (VRS), responsable des bronchiolites chez les bébés et de formes graves chez les seniors, devraient être proposés aux personnes âgées à la rentrée. Les deux vaccins, baptisés Arexvy (laboratoire GSK) et Abrysvo (Pfizer), pourront être utilisés sans préférence. Is sont d’ailleurs déjà accessibles en pharmacie… A condition de payer au moins 250 €.
Comment faire avec trois vaccins ?
Cette recommandation sera « réévaluée dès lors que des données seront consolidées ». Cela dépendra, en particulier, de l’efficacité « en vie réelle » sur les hospitalisations et les décès liés aux infections à VRS et du suivi des effets indésirables. Infections à VRS, Covid, grippe…
Trois injections seront désormais recommandées aux personnes âgées chaque automne, faute d’un vaccin « combiné » unique. Se faire immuniser contre le Covid et la grippe (une piqure dans chaque bras) est déjà recommandé depuis 5 ans… aussi cela fait trois vaccins au lieu de deux.
Pour en savoir plus sur tous ces sujets de réflexion, consultez les sites suivants qui ne sont absolument pas complotistes, mais en général très rigoureux sur le plan scientifique mais aussi très objectifs. Pas étonnant qu’ils puissent déplaire à certains responsables gouvernementaux qui ne cessent de les censurer.
reinfocovid.fr/articles-scientifiques/
www.aimsib.org/les-lettres-demma-kahn/
www.aimsib.org/blog/
www.youtube.com/user/azyx1986
odysee.com/@ColCovMed-Reunion:9
Malgré tous ces bouleversements, il est important de rester optimistes et positifs. Il reste à œuvrer sur la société d’après et sur des systèmes de soins qui vont se développer à côté du système de santé fondé sur la pensée unique qu’on est en train de nous imposer par la force. La nature reprend toujours ses droits et nous ferons tout pour que des réponses médicales personnalisées continuent d’exister pour ceux qui les recherchent.
Comment se prémunir ?
Le virus se développe lorsque les défenses immunitaires sont défaillantes : prendre
STIMU+, 2fois 2gélules durant un mois
Restaurer le microbiote (bactéries intestinales) :
ORTHOFLORE, 1 gélule le matin avant petit déjeuner pendant un mois
Neutraliser les virus :
LYSOVIR, 2 gélules avant les 3 repas pendant 15 jours.
Antalgique :
TOPAGIL 2 gélules
Stress :
QUIET FULL 2fois 2gélules
Vitamine C cynorrhodon, 3 gélules le matin au labo Phyt-Inov, tel : 00 41 32 466 89 14 (une naturopathe vous guidera).
Lire mon livre « Tout savoir sur les virus et y faire face » Ed. Dauphin (14€). Vous y trouverez le traitement.
Dans l’espoir que nos athlètes ramènent de belles médailles d’or !
Je vous souhaite de belles vacances.