Ce sont les paroles de la chanson de Fabienne Thibeault. Le monde n’est-il pas détraqué ? Il n’y a plus d’harmonie sur Terre, le mal-être commence à nous atteindre.

J’ai la tête qui éclate

J’voudrais seulement dormir

M’étendre sur l’asphalte

Et me laisser mourir

Au milieu de ma nuit

Drôle d’époque pour les ados. Il suffit de discuter avec des lycéens pour réaliser combien les deux dernières années ont été difficiles pour ce public par essence fragile.

Une épidémie appelée « Covid-19 » (acronyme anglais de Coronavirus Disease qu’on traduit par « maladie liée au coronavirus ») a fait irruption dans nos vies à la fin de l’année 2019 et a totalement perturbé le monde et notre quotidien depuis bientôt deux ans.

Les indicateurs de Santé publique France en témoignent ; la période qui a suivi le premier confinement et les semaines après la rentrée de 2020 ont enregistré une forte hausse du passage aux urgences pour des troubles de l’humeur, des états dépressifs et des gestes suicidaires chez les adolescents. Le sentiment que « rien ne sera plus jamais comme avant » persiste chez de nombreux lycéens.

« C’est une pression mentale sans fin. Quand on est jeune, on est une éponge ; on s’imbibe de ce que l’on voit sur les réseaux sociaux ; après le Covid, on est désormais noyés sous des images de bombes, de Poutine, de blessés, de tanks. On vient d’être enfermés pendant deux ans et la troisième guerre mondiale va nous renvoyer dans nos appartements », se désole la jeune femme.

« Plus vous multipliez les angoisses, plus cela crée des angoissés », assure-t-elle.

30 % des étudiants sont déprimés : ce sont nos futurs cadres !

« Notre routine et notre quotidien ont été coupés brutalement lors du premier confinement, confie Raphaël, un élève de 18 ans. Et tout aussi brutalement, il a fallu reprendre une vie presque normale. Ça a été dur de passer d’une routine à l’autre et de retrouver nos habitudes. Aujourd’hui encore, presque deux ans après, on n’y arrive pas et ça entraîne beaucoup de stress. » Avec une franchise désarmante, sans exagérer leur souffrance, ces grands enfants évoquent des journées compliquées pendant le confinement, loin de leurs amis, de leurs amours, des journées passées dans leur chambre avec, pour seul lien au monde un téléphone devenu, depuis, un faux ami silencieux, un dealeur de lien social frelaté.

Le téléphone est devenu le seul trait d’union avec le monde.

On observe aussi la survenue de cas psychiatriques chez des adolescents borderline.

On est au centre d’un séisme psychologique. L’après-Covid donne lieu à une catastrophe. L’urgence sera de recréer du lien essentiel, au milieu de la nature. Des journées de marche, au grand air, plus proches des « Rêveries du promeneur solitaire » de Rousseau.

Voilà deux ans qu’on en parle : la Covid a profondément bouleversé nos vies. Pour autant, connaissez-vous réellement ses phases et ses risques ? Les tests sont-ils vraiment fiables ? Et surtout, la vaccination pour tous était-elle oui ou non la seule stratégie possible ?

La seule solution thérapeutique proposée : restez chez vous et prenez du Doliprane. D’ailleurs, pourquoi du Doliprane ? Cet antalgique prescrit larga manu présente des effets secondaires. Le paracétamol provoque la féminisation des garçons.

On a tout misé sur le vaccin « miracle » qui allait nous sortir de cette épreuve et pendant ce temps- là, il fallait rester cloîtré chez soi tout en mettant l’économie du pays à l’arrêt.

Pourtant des voix se sont élevées. D’abord pour proposer une médecine alternative, puis pour contester les chiffres, que ce soit ceux de la mortalité, mais aussi ceux dont les études affirmaient que les masques et le confinement étaient les seules solutions efficaces.

Maintenant, ce sont les chiffres de la vaccination et de ses effets, bénéfiques ou néfastes, qui font débat. Heureusement, tout le monde ne fait pas de formes graves. Même si on a pu observer des aggravations inattendues chez certaines personnes apparemment en bonne santé, la très grande majorité des formes graves surviennent chez des patients avec des prédispositions ou ce qu’on appelle plus communément des comorbidités.

Et pourquoi ces effets ravageurs surviennent chez de tels patients ? Pour chaque maladie le patient prend 3 à 4 produits chimiques, lesquels ne sont pas « acceptés » par l’organisme qui épuise l’immunité qui lui reste pour neutraliser les intrus iatrogènes.

Le rôle de l’anthropologue

Dès lors que l’on ne peut mentionner les minorités ethniques, les ethnologues, sociologues et anthropologues sont au repos. Ils ne peuvent identifier les causes des différents problèmes de la société. A qui profite la crime ?

L’anthropologue est apte à relever l’ensemble des désordres sociétaux. Quotidiennement; on est assailli par moult problèmes, ces petits stress finissent par générer un mal-être, prenons pour exemple l’information. On vit une période où les Français sont devenus addicts à la télé, certains français en font confiance. Il faut noter que la grande majorité des journalistes pratiquent la pensée unique, ils essaient de nous prouver que 1+1 font 3 !

Personnellement je privilégie C.News où je retrouve quotidiennement des éditorialistes compétents et libres. Le journaliste auquel j’accorde ma confiance est Ivan Rioufol. Il s’exprime librement sur les sujets devenus tabous. C’est ainsi que gagné par le doute, il s’interroge sur l’instrumentalisation de la peur. France Soir lui a offert un espace d’opinion :

« Face à ces marchands de peur, plus personne n’a été autorisé à « exprimer des doutes élémentaires », constate Ivan Rioufol, qui explique que les spécialistes qui dédramatisaient la situation ont été priés de se taire. Une situation qui n’est pas sans rappeler les ressorts de la pensée totalitaire. Il décrit une presse aux ordres qui accompagne le discours officiel et ne s’en cache même plus :  » la presse n’est plus un contre-pouvoir », regrette l’éditorialiste, qui constate qu’à de rares exceptions près, journalistes, chroniqueurs, animés d’un esprit sectaire qui s’est installé au motif humaniste qu’il fallait sauver des vies, ne font même plus l’effort d’exprimer des doutes élémentaires ». Un mimétisme inquiétant tandis que dans une cascade informationnelle, les slogans des laboratoires, repris par les « médecins de plateaux », les gouvernements et les médias semblent exacerbés dans un désir de convergence et de ressemblance.

Ce qui est apparu, c’est l’effondrement de la démocratie à travers l’effondrement de tous les contre-pouvoirs : le Conseil d’État, le Conseil constitutionnel, le Parlement, le Sénat qui ont avalisé les mesures successives d’urgence sanitaire et sécuritaire ».

N’hésitant pas à user du mot de dictature pour qualifier une situation où seule la parole gouvernementale est admise, et où chaque citoyen est sommé de la croire ; il dénonce un sanitairement correct, prolongation du politiquement correct qu’il définit comme un acquiescement à une parole officielle, à une parole d’État, par paresse et par conformisme » ».

Que sera demain ?

Si la crise du Coronavirus représente un grand tournant dans l’histoire de l’humanité vers quel futur nous dirige-t-elle ? Vers quelle autre société déshumanisée ? Va-t-on connaitre un sursaut de conscience destiné à bouleverser nos modes de vie et à relever les autres défis qui vont se présenter.

Doit-on redouter une dictature planétaire techno-scientiste qui va accélérer notre processus fatal de croissance énergivore en nous imposant une société de contrôle numérique ?

Qui vivra verra ! Que sera sera !

Le courage de certains professeurs

Mais si la corruption règne en maître aux États-Unis, la France n’est pas en reste dans ce domaine. Dénonçant les agissements d’un « establishment corrompu », relayé par les médias, le professeur Péronne n’hésite pas à révéler la grossière manipulation des statistiques de la mortalité par Covid pour imposer des obligations, des restrictions de vie et des produits expérimentaux alors que des traitements précoces ambulatoires ont été ignorés (immunostimulant, huiles essentielles, Ivermectine…).

Il regrette également que l’Ordre des médecins se plient aux injonctions des autorités et rappelle que cette institution pourrait avoir des comptes à rendre notamment en matière de politique vaccinale, tandis que l’efficacité de ces thérapies alternatives est de plus en plus remise en cause, à mesure que les Français constatent leur inefficacité à freiner la propagation du virus. S’agissant de la toxicité des vaccins, le professeur Péronne n’hésite pas à dénoncer des produits dangereux et fustige les propos du Président de la république, stigmatisant les non-vaccinés tandis que la plupart des pays révèlent que ce sont les personnes vaccinées qui font les formes les plus graves. En faisant produire la protéine Spike par les cellules, vacciner revient à inoculer la maladie.

Le professeur Péronne révèle avec beaucoup de courage et de détermination des discours qui manquent d’impartialité et des décisions qui présentées « au nom de la science » sont en réalité viciés par les liens d’intérêts.

La puissance des huiles essentielles

S’il y a un domaine où les huiles essentielles ont prouvé une grande efficacité, c’est bien leur capacité à tuer les microbes et les virus.

Dès 2007, des scientifiques de la Manchester Metropolitan University (MMU) ont montré que 90 % des bactéries dangereuses, que l’on trouve souvent dans l’atmosphère des hôpitaux, sont détruites par la diffusion d’un mélange d’huiles essentielles.

En diffusion, une étude a montré que l’huile essentielle d’Eucalyptus globulus pouvait détruire le virus de la grippe en dix minutes.

Et pourquoi ne pas avoir utilisé des huiles essentielles en diffusion, dans les hôpitaux, les crèches, les écoles et les maisons de retraite (EHPAD), pour assainir l’air ambiant et éviter les maladies nosocomiales ?

Contre les virus aussi, les huiles essentielles sont remarquablement efficaces. Elles ont montré une activité contre de très nombreux virus, comme celui de la grippe, celui de l’herpès, de la fièvre jaune et aujourd’hui du Coronavirus. Malheureusement les HE sont inopérantes face au HIV !

Leur grand avantage est qu’elles ont plusieurs modalités d’action. Certaines HE détruisent l’enveloppe des virus. D’autres attaquent leur ARN, ce qui provoque leur mort. D’autres encore évitent que le virus n’adhère à la paroi de la cellule.

Et parmi toutes les huiles essentielles potentiellement efficaces contre le nouveau coronavirus, il y en a une qui fait l’unanimité des spécialistes : l’HE de Ravintsara (Cinnamomum camphora CT cinéole). C’est une des HE les moins toxiques qui existent. Il n’y a donc aucun risque à l’utiliser, en prévention ou en traitement contre le coronavirus.

D’ailleurs, une partie des Français ne s’y sont pas trompés : au mois de mars 2020, il y a eu une telle ruée sur le Ravintsara que les pharmacies ont été en rupture de stock pendant des semaines !

Pourquoi ne pas avoir conseillé aux personnes vulnérables de s’appliquer quelques gouttes de ces HE d’Eucalyptus globulus et radié et l’HE Ravintsara, sur la peau, matin et soir, en plein pic épidémique ?

« L’embaument vivant » qui consiste à appliquer un volume très élevé d’HE (10 ml) sur le thorax et le haut du dos 3 à 4 fois par jour permet d’éviter la réanimation.

Dès 2008, on savait qu’une huile essentielle (Laurier noble) avait une activité in vitro contre le virus SARS-CoV-2.

Au centre hospitalier de Montélimar, depuis plus d’une dizaine d’années les cancérologues utilisent les huiles essentielles couplées aux traitements anti-cancéreux classiques.

Ce ne sont pas de simples « arômes » : ce sont de vrais médicaments, hyper-concentrés. Leur puissance est liée à leur mode de distillation : 10 kilos de thym sont nécessaires pour fabriquer un tout petit flacon d’huile essentielle de thym, (voir le livre « Big Pharma démasqué ». Xavier Bazin. Ed. Guy Trédaniel).

Dans chaque faculté de médecine, l’aromathérapie est au programme avec enseignement et délivrance de diplôme de phyto-aromathérapie. Aujourd’hui les professeurs sont mis au silence et au repos.

Vraiment le monde est stone

J’ai plus envie d’me battre

J’ai plus envie d’courir

Comme tous ces automates

Qui bâtissent des empires

Que le vent peut détruire

Comme des châteaux de cartes

Le monde est stone

Laissez-moi me débattre

Venez pas m’secourir

Venez plutôt m’abattre

Pour m’empêcher d’souffrir

J’ai la tête qui éclate

J’voudrais seulement dormir

Merci Fabienne ! m’inspirant de ta chanson tu m’as offert une belle conclusion ; pour te récompenser je te recommande l’huile essentielle de Pruche bio de ton pays le Canada (1 flacon coûte 8,50 euros).

Cette HE est énergétique et équilibrante, elle facilite le lâcher-prise et la dissipation des angoisses. Elle est souvent utilisée pour accompagner les transitions ou les personnes en fin de vie. Elle est aussi connue pour donner de l’inspiration.

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N.B : Chers amis ! J’allais vous quitter sans vous manifester mon désappointement ; il s’agit de mon manuel relatif à l’ethnomédecine qui est une alliance entre science et tradition. Ed. Jouvence – Biocontact.

Je vous rappelle que j’en ai fait la promotion il y a 3 ans pour venir en aide à des enfants orphelins ou abandonnés à Madagascar. Dans un article, j’avais poussé un cri d’appel et proposé la vente de mon ouvrage. Je n’en ai vendu qu’une centaine ! J’en ai déduit que vous avez des oursins dans votre poche !

Le manuel est disponible à mon bureau au : 9 Rue du Général Beuret 75015 Paris, au prix (sacrifié) de 10 euros + 5 euros pour envoi postal.

On vient de me signifier qu’on peut le trouver à la FNAC et à AMAZON au prix de 50 à 60 euros (ouvrage usagé) alors qu’il n’est plus en vente.

Les MAPN s’occupent de ces enfants aux côtés d’une sœur, qui dirige une grande institution religieuse. Cette mère supérieure est aussi infirmière, elle a pris en charge 1500 enfants (école, nourriture) avec des religieuses malgaches. C’est une Mère Teresa dont la mission est de secourir les plus démunis.

Aujourd’hui le Sud de Madagascar est devenu désertique (faute de pluie), les enfants abandonnés mangent des racines et même de la terre.

Dans les religions monothéistes on trouve cet aphorisme « sauvez un enfant, c’est sauver la planète »

Réveillez-vous !

« Les nobles sentiments refoulés au fond des cœurs se réveillèrent ». Châteaubriand. Mémoires d’outre-tombe.