De plus en plus de patients atteints par le coronavirus se plaignent que les symptômes persistent ou réapparaissent, même après plusieurs semaines.
« Ce virus est une vacherie !» Il y a un peu plus d’un mois, la liberté de ton avec laquelle le président du conseil scientifique avait évoqué le Covid-19 avait pu surprendre. Mais au fil des semaines, l’image utilisée par le professeur Delfraissy s’est révélée d’une terrible justesse. Aujourd’hui encore, alors que notre pays est en phase de déconfinement et que les indicateurs sont au vert dans un nombre grandissant de territoires, ce coronavirus réserve des surprises empoisonnées.
Plusieurs patients qui se croyaient guéris illustrent parfaitement la sournoiserie de la maladie. Plusieurs semaines après l’apparition des premiers symptômes, parfois plus de deux mois, certains malades font des rechutes. Difficultés respiratoires, fièvre, anosmie, les manifestations sont multiples et vont à l’objet de nouvelles études. Un phénomène qui sonne comme un rappel à l’ordre. Si certains indices laissent penser que le combat évolue dans la bonne direction, ce n’est pas le moment de baisser la garde.
C’est presque toujours la même histoire : en majorité des femmes, la quarantaine, souffrant d’immense fatigue, de douleurs musculaires, quatre à six semaines après le début des symptômes. En général, il y a un répit, qu’on peut assimiler à une lune de miel, entre le 15e jour, date de fin de la maladie, et le 30e jour, puis ça repart Comme une bobine de fil à l’envers, les signes réapparaissent un à un. De quoi déboussoler le médecin qui n’a jamais assisté à un tel scénario. Mais que faire ?
Ce sont surtout des personnes qui ont présenté, durant le confinement, une forme bénigne de la maladie. Parfois, le test qui indique la présence du virus s’avère négatif, puis positif des semaines plus tard. Les examens sanguins, eux, ne révèlent rien.
Un syndrome post infectieux
Ce pourrait être l’inflammation induite par le virus et non le virus lui-même qui serait à l’origine de la réapparition des symptômes.
Certains infectiologues pensent que cela arrive chez des gens qui n’ont pas développé d’anticorps, peut-être parce qu’ils sont immunodéprimés. » Son nom : « le syndrome post-infectieux ». « Les gens se plaignent de quelque chose, donc il y a quelque chose, il faut investiguer, clame le professeur Stahl. Peut-être qu’il s’agit de dégâts provoqués par le coronavirus sur certains organes via le récepteur ACE2 » Le raisonnement paraît logique.
Covid yoyo !
Il ne s’agit pas cette fois-ci de symptômes qui réapparaissent. Des malades, y compris ceux qui n’ont pas eu de forme grave, s’en plaignent.
Pour en avoir le cœur net, une étude française Cocorec, permettra de mieux comprendre cette résurgence de l’infection, de savoir si les malades avaient d’autres pathologies ou s’ils ont effectué une mauvaise réponse immunitaire. Cette étude tentera aussi de déterminer s’ils sont toujours porteurs du virus.
« Ça commence à faire beaucoup ! Maintenant, c’est aux chercheurs de se pencher sur nos cas. Il y a une urgence, les scanners n’ont rien révélé… », implore un quinquagénaire.
Son cas est pourtant loin d’être unique. Ils sont des centaines, voire des milliers, à s’être tournés vers les réseaux sociaux pour partager leurs craintes dans ce long combat. A l’instar de Rachida : « C’est à la fois rassurant et inquiétant de découvrir que nos histoires se ressemblent autant. Au moins, je me suis sentie moins seule. »
Un signe annonciateur
Cette jeune femme, contaminée qui ne présente qu’un seul signe clinique : l’anosmie, autrement dit une déficience olfactive. Deux semaines après, elle sent à nouveau les fleurs de son balcon. Elle a vaincu ce satané virus ! Mais, que nenni ! Ce signe apparemment banal, renvoie à une altération cérébrale. Le virus a franchi les cinq barrières censées nous protéger. La dernière étant la barrière hémato-encéphalique. On va droit dans quelques années vers la maladie d’Alzheimer. Le système olfactif renvoie au cerveau limbique qui recèle l’hippocampe, le centre de la mémoire et l’amygdale, l’organe de l’émotion.
Il est courant de voir des pertes d’odorat chez des personnes enrhumées. Mais chez des malades du Covid-19 qui n’ont pas le nez bouché, c’est du jamais- vu. Plusieurs hypothèses sont à l’étude : une inflammation logée au fond du nez ou des lésions des rameaux olfactifs ?
La perte de l’odorat persiste, dans 10 % des cas. Certains restent très handicapés et récupèrent seulement la moitié de leur capacité. Dans ce dernier cas, c’est plus préoccupant, car le délai de récupération prend plusieurs mois. Face à la persistance de l’anosmie, des ORL de la Fondation Rothschild et de l’hôpital Lariboisière ainsi que des infectiologues de l’Hôtel-Dieu, sont à la recherche d’un traitement. Je rappelle que ce signe implique l’effondrement des 5 barrières et notamment l’atteinte du cerveau.
Le temps des hypothèses
Devant tant d’inconnus, tant de mystères, tant d’impasses, le médecin puis l’expert (virologue, infectiologues…) se torturent les méninges. Y-a-t’il une cause ou une litanie de facteurs favorisants ?
Avec le développement de la maladie, les processus métaboliques et les voies de signalisation connaissent des modifications nombreuses et profondes : il est de plus en plus difficile d’avoir prise sur celles-ci, et elles se renforcent les unes les autres.
Une approche systémique
Pour guérir la maladie, il faut un concept systémique qui s’applique à éliminer de manière individuelle les véritables causes de la maladie et, qui brise de manière ciblée ces mécanismes interdépendants, d’où la nécessité de placer le traitement sous la surveillance d’un médecin sensibilisé à une démarche systémique. Ce n’est pas une évidence, puisque notre médecine actuelle est fortement marquée par un cloisonnement par spécialités. Sur le fond, la médecine pratique ne procède pas autrement que la recherche médicale. La vision est de plus en plus détaillée, mais à se focaliser sur un détail grossi, on perd de vue l’ensemble.
Les pathologies complexes, demandent des solutions globales qui ne peuvent généralement être élaborées et mises en pratique que par une équipe interdisciplinaire d’experts.
Le principe d’une approche globale selon laquelle l’être humain doit être considéré dans toute sa complexité systémique n’est cependant pas nouveau. Dès 1946, l’Organisation mondiale de la santé en fournissait une définition. D’après celle-ci, la santé est “un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité”.
Tous les experts médicaux, doivent développer une nouvelle conception face à la rechute, oublier l’hypothèse d’une fatalité et comprendre qu’il s’agit d’un processus biologique, complexe, certes, mais sur lequel nous pouvons influer.
“Avant d’inventer le traitement, les dieux inventèrent le diagnostic !” Voilà un adage qu’Hippocrate, père de la médecine moderne, n’aurait certainement pas renié, il y a de cela 2 500 ans. Aujourd’hui, il est plus que jamais valable. Car les possibilités de nuire au patient en cas de diagnostic erroné sont extrêmement nombreuses. Le devoir de ne pas aggraver l’évolution clinique par la prise de remèdes chimiques inappropriés représente une part importante du serment hippocratique, et les médecins s’y sentent toujours tenus.
Ainsi, la priorité n° 1 est de colmater tous les symptômes à l’origine de la maladie. L’anamnèse doit donc reconstituer les comportements et conditions qui entraînent une fatigue intense, des douleurs interactives, tachycardie, tremblement, persistance de l’anosmie, etc.
Le stress oxydatif
Monsieur Jean Claude Leunis, docteur en Sc. Chimie biologie, s’est penché sur la détection des virus et les nouvelles approches thérapeutiques « On commence seulement à entrevoir le rôle et les conséquences des radicaux libres dans la propagation virale et la notion de « stress oxydatif au niveau mitochondrial permettra de comprendre le processus d’apoptose (mort cellulaire programmé par fragmentation de l’ADN).
La stimulation des lymphocytes T augmente l’activité respiratoire au niveau cellulaire, la plupart du temps sans production d’ATP, mais avec forte production de radicaux libres de l’oxygène qui, paradoxalement activent la production de nouveaux lymphocytes T, niches écologiques de virus. L’accumulation de radicaux libres provoquent la sécrétion de TNF alpha par les cellules du système immunitaire, cette cytokine va stimuler les macrophages et la production d’interleukine-2(IL-2) ce qui entraîne une activation de la chaîne respiratoire et accumulation de nouveaux radicaux libres.
Les conséquences en sont évidemment dramatiques puisque les radicaux libres sont responsables de la peroxydation lipidique et l’on peut constater que la concentration de malonyldialdéhyde (MDA) augmente dans les viroses chroniques.
Dans les cas de viroses chroniques (SIDA-Hépatite B-Hépatite C-CMV-HSV species -EBV etc.…) les mécanismes antioxydants font défauts ou sont dépassés par l’excès de radicaux libres
La décompensation hépatique et la malabsorption intestinale provoquent une déplétion des cofacteurs d’épuration des radicaux libres, la synthèse du glutathion n’est plus assurée car la cystéine fait défaut et la glutathion peroxydase n’est pas active par manque de substrat et de sélénium.
Dans l’infection à HIV on a mesuré que la concentration intracellulaire en glutathion réduit était diminuée de plus de 30%.
Il semble que cette chute soit liée à une augmentation anormale du glutamate extra-cellulaire qui empêcherait l’échange du glutamate contre de la cystine ce qui bloquerait la formation de cystéine au niveau des macrophages.
L’introduction de la B2 et d’antioxydants dans le traitement des viroses inhibent la réplication virale, suppriment l’apoptose et augmentent le nombre de lymphocytes T4 ». Medisearch 94, Juin 1996
Maladie hétéro-immune
« Cette maladie sans fin » serait la conséquence d’une réponse immunitaire et inflammatoire dirigée contre certaines structures, autrement dit une maladie auto-immune ou plus précisément hétéro-immune ; cela suppose de recourir au système HLA (Human Leucocyte Antigens = Antigènes des leucocytes humains).
Ces molécules HLA ont un rôle clef dans le déroulement de la réponse immunitaire et dans le développement des maladies auto-immunes.
Les molécules HLA de classe I sont ubiquitaires. Elles sont présentes sur presque toutes les cellules de l’organisme.
Les molécules HLA de classe II ont une distribution plus restreinte. Elles sont rencontrées essentiellement sur les cellules présentatrices des antigènes (CPA), principalement les monocytes/macrophages, sur les lymphocytes B et sur les lymphocytes T activés. En somme sur les cellules qui participent à la réponse immunitaire, présentes sur les astrocytes et les cellules endothéliales chez les malades au moment des poussées.
Ainsi le premier gène de susceptibilité pourrait être HLA-DR.
Le deuxième gène de susceptibilité est lié au sexe féminin. La prédominance féminine lors des complications du Covid-19, sa survenue chez la femme en période d’activité génitale, sont en faveur d’une action favorisante des œstrogènes par le biais d’une sécrétion exagérée d’interféron γ. Ce médiateur est le seul capable d’induire une expression aberrante des gènes HLA-DR.
Le premier facteur de l’environnement pourrait être une bactérie. L’intervention d’un agent infectieux est démontrée par les foyers d’épidémie (cluster), se déclarant dans des communautés jusqu’alors isolées et soudain mises en contact avec des humains venus d’autres régions.
Des bactéries intestinales pourraient être le point de départ. C’est en effet au niveau de l’intestin que séjournent la grande majorité des germes contenus dans un organisme humain. La bactérie ne quitte pas la lumière du grêle, c’est ainsi qu’un peptide bactérien peut fort bien traverser la barrière intestinale, passer dans le sang, gagner le système nerveux et s’accumuler dans certaines cellules.
Plusieurs bactéries ont été impliquées dans la pathogénèse du coronavirus notamment des pneumocoques. Rappelons que l’orage cytokinique serait dû à la « coopération » du virus avec une bactérie opportuniste (Mycoplasma ou Chlamydia Pneumoniae) dont la prévalence du portage (15 % des patients) correspond au taux des patients infectés développant des complications : cette bactérie opportuniste, très sensible à l’azithromycine, possède un « super antigène », sa protéine P1 connue pour produire des orages cytokiniques chez des adultes et des syndromes de Kawasaki chez les enfants.
Le Mycoplasma Pneumoniae serait présent chez certains patients (personnes âgées ou immunodéprimées) à bas bruit, et pourrait jouer le rôle de catalyseur en favorisant la réplication virale, mécanisme qui permet alors au virus d’essaimer avec l’appui des récepteurs ACE2 qui agressent un ensemble d’organes (cœur, rein, peau, appareil génito-urinaire…). Le coronavirus se multiplie dans les poumons et l’ensemble des organes en s’attachant à un récepteur appelé « enzyme de conversion de l’angiotensine 2 » ou ACE2. En recourant à une métaphore : si l’on considère le corps humain comme une maison et le coronavirus comme un voleur, dans ce cas cet enzyme ACE2 représente la poignée de la porte grâce à laquelle l’intrus pénétrera.
Ne soyons pas étonné de voir des patients « carbonisés, déconnectés et figés » dans la douleur après le passage diabolique subi en réanimation.
Le second facteur de l’environnement est l’alimentation moderne.
L’influence du mode nutritionnel conditionne l’état de santé. L’alimentation moderne peut jouer un rôle indirect important :
- En favorisant la prolifération de bactéries causales.
- En agressant la muqueuse intestinale, ce qui entraîne l’augmentation de sa perméabilité.
- En court-circuitant les cellules M, ce qui empêche l’établissement d’une tolérance orale pour le peptide bactérien.
Le troisième facteur de l’environnement est le stress et la dépression qui sont très souvent mis en évidence lors de l’interrogatoire des malades.
Le stress augmente le taux de cortisol qui, lorsqu’il est trop élevé, devient toxique pour le cerveau, et tout particulièrement pour l’hippocampe qui œuvre à consolider notre mémoire II accroît également un certain nombre de facteurs de risque parmi lesquels la glycémie, la graisse corporelle, le risque d’obésité, les fringales de sucre, l’hyperperméabilité intestinale et l’inflammation qui en résulte, la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique, la libération de calcium et l’hyperstimulation des neurones, et le risque de maladies cardio-vasculaires.
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Si angoisse : granions de lithium 2 à 3 ampoules par jour.
D’autres facteurs de l’environnement sont suspectés. Au premier rang, la litanie des vaccins qui nous sont infligés. La réponse immunitaire induite par le vaccin peut dérégler le métabolisme des organes et provoquer une libération d’interféron y, de TNF-a, de radicaux libres ou autres substances participant à la genèse de différents symptômes.
Examens de labo
Il est indispensable d’investiguer l’état des lieux avant de proposer une stratégie thérapeutique.
- La numération de formule sanguine (NFS)
- L’état inflammatoire : V.S, C.R.P + cytokines
- L’état du foie : Transaminases + gamma GT
- Les interleukines (cytokines): IL1, IL2, IL4, IL6, IL12 et les TNF qui sont les médiateurs de l’inflammation.
L’interleukine 1 (IL1)
C’est le médiateur central à la fois de l’inflammation et de l’immunité, elle est produite par toutes les cellules immunitaires (lymphocytes B, T, cellules phagocytaires (polynucléaires surtout neutrophiles et éosinophiles, monocytes, macrophages).
L’interleukine 2 (IL2)
Elle joue un rôle primordial dans la cascade des cytokines produites au cours des réponses immunitaires à médiation cellulaire. La surexpression du récepteur de l’IL2 est corrélée avec l’augmentation du catabolisme du tryptophane constatée chez des malades au long cours. Cette augmentation du catabolisme du tryptophane entraîne dans son sillage, celle de tout l’attelage immunomodulateur (tryptophane-vit. B3-vit.B6- calcium), auquel on recourt dans les maladies auto-immunes.
L’IL 2 stimule non seulement l’immunité cellulaire (lymphocytes T) mais également la production d’anticorps par les lymphocytes B.
L’interleukine 6 (IL6)
Elle est produite par :
- Les phagocytes (monocytes, macrophages)
- Les lymphocytes T (globalement défenseurs du système immunitaire et « chasseurs » d’antigènes
- Les lymphocytes B (producteurs d’anticorps après activation des lymphocytes T4 par l’antigène) : Ce sont les supports de l’immunité humorale
- les fibroblastes du collagène : ils sont stimulés de façon excessive par IL4, ce qui expliquerait la fibrose pulmonaire observée lors de la réanimation.
Les principales caractéristiques de l’IL6 sont : d’activer l’endothélium vasculaire en augmentant ses propriétés pro-coagulantes, ce qui n’est pas sans rappeler les embolies pulmonaires observées lors de la réanimation et même après la guérison. On assiste ainsi à une hausse des maladies thrombo-emboliques veineuses.
L’interleukine 10 (IL10)
C’est une cytokine produite par les lymphocytes Th2. L’IL10 inhibe la production de nombreuses cytokines pro-inflammatoires dont l’IL1, l’IL2, l’IL6, les interférons (IFN) et les TNF en diminuant la capacité des macrophages à présenter l’antigène : c’est donc une cytokine anti-inflammatoire.
A noter une singularité de l’IL10 : elle possède une forte homologie (environ 70 %) avec un gène d’EBV Epstein-Barr virus (virus de la mononucléose infectieuse et du syndrome de fatigue chronique) « suggérant que ce virus exploite l’activité biologique d’un gène de l’IL10 pour faciliter sa survie dans l’hôte » : ainsi s’explique peut-être la persistance d’EBV dans l’organisme et sa possible réactivation à l’occasion d’un stress, d’une vaccination ou d’une immunodépression. Le virus Covid-19 ne pourrait-il pas disposer de cette même capacité ?
Le programme thérapeutique
Dans ce concept systémique, la clef de la réussite thérapeutique est d’attaquer simultanément tous les mécanismes pathologiques à travers différentes approches thérapeutiques. L’enjeu d’une thérapie systémique adaptée aux besoins individuels du patient est de prendre en considération chaque maillon d’une chaîne causale complexe et de s’y attaquer non pas à travers une ou deux mesures, mais à travers un très grand nombre de mesures agissant de manière variée, de sorte que se créent des effets synergiques bénéfiques. C’est là le seul moyen de guérir la maladie.
I/- Restaurer le terrain
Les bienfaits de la phycocyanine sont multiples :
La spiruline, l’un des premiers maillons de la chaîne de la vie, est l’aliment le plus complet avec l’aphanizomenon avec plus de 60 % de protéines, tous les acides aminés, les oligo-éléments, les vitamines… Elle doit sa particularité à un pigment bleu, la phycocyanine, qui lui donne des propriétés si particulières.
La phycocyanine est l’un des plus puissants antioxydants connus (70 fois la superoxyde-dismutase SOD naturelle, vingt fois la vitamine C, seize fois la vitamine E). Elle constitue une protection contre les méfaits des radicaux libres en excès dans notre organisme.
Le système immunitaire est optimisé grâce à la phycocyanine. D’une part, cette substance facilite la différenciation des cellules souches de la moelle osseuse en favorisant la production des globules blancs (qui constituent notre système immunitaire), des globules rouges (qui assurent l’oxygénation des cellules) et des plaquettes. D’autre part, la phycocyanine, comme immunomodulateur, dynamise les fonctions du thymus (organe lymphoïde important dans l’immunité cellulaire) pour favoriser son activité. L’immunité s’en trouve ainsi améliorée.
Elle protège le foie et les reins :
Plusieurs études ont montré son action protectrice sur le foie :
Il a été démontré in-vitro son rôle détoxifiant.
La phycocyanine aide à éliminer les métaux lourds (aluminium, mercure, cadmium, plomb, arsenic) et autres substances chimiques que l’on retrouve dans notre environnement quotidien.
La phycocyanine agit également sur la lassitude mentale, la fatigue psychique, le vieillissement cellulaire, la récupération après des efforts physiques intenses et elle apaise aussi les enfants hyperactifs. La phycocyanine est sans doute l’un des plus puissants antioxydants. ».
A conseiller dans les cas suivants :
- Perte de tonus et de vitalité.
- Fatigue physique et/ou intellectuelle.
- Renforcement des défenses naturelles et de l’immunité.
- Protection antioxydante contre le vieillissement, les remèdes chimiques iatrogènes.
- Récupération totale lors des infections virales, bactériennes et des maladies récurrentes.
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II/- Restaurer le microbiote (flore intestinale) et la dysbiose
Le système immunitaire intestinal a pour fonction de reconnaître les particules alimentaires étrangères susceptibles de reproduire du « soi » sans conflit et de les laisser passer au travers de la muqueuse intestinale en les tolérant. S’il les identifie comme indésirables ou ennemies, il a les moyens de s’en débarrasser et de les éliminer. L’idéal est de laisser passer des nutriments qui ne provoquent ni intolérance, ni allergie et qui pourront nourrir cellules et tissus et d’arrêter les « indésirables », en les refoulant en aval ou en les détruisant. L’équilibre à chaque instant est délicat et va induire un « bruit de fond » inflammatoire physiologique nécessaire pour un fonctionnement optimal.
L’atteinte d’une ou de plusieurs muqueuses est le signe d’une faiblesse des organes du MALT (Mucosa Associated Lymphoid Tissue ou tissu lymphoïde associé à la muqueuse). Le MALT est un ensemble d’organes lymphatiques secondaires disséminés dans l’organisme (intestin, bronches, nez, larynx, peau…) qui participe à la protection ou à la défense de l’organisme.
Lactospectrum est une préparation symbiotique qui associe 10 souches bactériennes probiotiques à une matrice spécifique composée d’un prébiotique (l’inuline de chicorée enrichie en Oligo fructose), d’enzymes et de minéraux permettant de stimuler les bactéries, d’améliorer leur stabilité et de renforcer leur activité biologique.
Lactospectrum assure une protection efficace vis-à-vis des bactéries, virus toxiques et allergènes présents dans la lumière intestinale.
1 sachet par jour. A diluer dans un verre d’eau à température ambiante (éviter l’eau froide) pendant 10 minutes et à boire sur un estomac vide (le soir au coucher ou le matin au lever). Cure de 20 jours (à renouveler). Boite de 20 sachets de 3 g – Prix : 28,50 €. Labo Le Stum. Tel : 02-97-88-15-88
Les bienfaits du charbon actif
Le charbon actif ou charbon activé ou encore charbon végétal activé est une poudre noire, légère, constituée essentiellement de matière carbonée à structure poreuse. C’est, en fart, une sorte de charbon de bois présentant une très grande surface spécifique qui lui conféré un fort pouvoir adsorbant.
La liste est longue des poisons éliminés par le charbon activé les stupéfiants, les alcaloïdes, les additifs alimentaires, les produits chimiques agricoles (pesticides, organophosphorés), les métaux lourds, les gaz toxiques, les détergents, les solvants organiques.
Le charbon activé est aussi efficace pour le mercure, le plomb, les insecticides, les herbicides, les hormones, certaines substances radioactives et les mycotoxines que l’on trouve dans les aliments à cause des antibiotiques.
Il est conseillé en cas de mauvaise hygiène alimentaire qui provoque des gaz intestinaux. Il contribue à réduire l’excès de flatulences.
Dans les maladies rénales : la prise de charbon activé a permis d’éviter la dialyse.
C.B.C Complexe B charbon, 4 à 6 gélules par jour en 2 prises 30 mn avant les repas.
Boite de 200 gélules 26€. Labo Fenioux. Tel : 02-54-27-54-12
III/- Restaurer la masse musculaire
Le fait d’être alité fait fondre les muscles ce qu’on appelle la sarcopénie.
SEAPIAX apporte des protéines de seiche hydrolysées qui contribuent à l’augmentation de la masse musculaire et au maintien de celle-ci (notamment chez les sujets âgés).
Ce nutriment du muscle s’utilise en reprise d’activité physique et sportive. Il est courant de constater chez les athlètes, des performances de 10%. Prendre 6 par jour (2 matin, 2 midi et 2 soir) 10 minutes avant les repas.
Pour les adolescents, 4 gélules par jour. Cure de 2 à 3 mois, à renouveler au besoin.
Boîte comprenant 4 blisters de 20 gélules. Prix de la boîte : 32 €. Labo Le Stum.
IV/- Restaurer l’énergie
Le coenzyme Q10, qui agit comme une vitamine dans l’organisme, active la production d’énergie sur le plan cellulaire. Tous les processus physiologiques qui exigent une dépense énergétique ont besoin de CoQ10. Il est d’ailleurs présent dans toutes les cellules du corps, notamment dans le cœur, dans les muqueuses des gencives et de l’estomac, dans les tissus de tous les organes (qui jouent un rôle dans le système immunitaire), dans le cerveau, les yeux, le foie, les reins, la prostate et les spermatozoïdes.
Il est établi que de nombreuses pathologies et désordres fonctionnels sont associés à une diminution des niveaux de CoQ10 (fatigue, douleurs musculaires, dysfonctionnements du muscle cardiaque, neuropathies, anosmie, convalescence interminable, etc.) Un faible taux de CoQ10 a été mis en évidence dans certaines situations (stress, effort physique intense, pollution alimentaire iatrogène, convalescence interminable).
Co-Qtion10 apporte une forme bioactive et biodisponible de CoQ10. Le complexe breveté OPC de raisin et phospholipides stabilise l’ubiquinol vis à vis de l’oxydation lors de son absorption intestinale et de son transport dans le sang.
Conseils d’utilisation
1 gélule à avaler avec un verre d’eau, matin et soir au cours des repas.
Cure de deux à trois mois à renouveler.
Boîte comprenant 3 blisters de 15 gélules. Labo Le Stum.
V/- Lutter contre le stress oxydatif et neutraliser les polluants
Le glutathion est un tripeptide synthétisé par l’organisme qui existe sous deux formes : une forme réduite (GSH) et une forme oxydée (GSSG). Seul le glutathion réduit (GSH) est biologiquement actif dans l’organisme. Malheureusement, sa concentration décline avec l’âge ainsi que dans les situations de stress oxydatif (exposition au tabac, à la pollution, régime alimentaire déséquilibré, pathologies infectieuses, fibrose pulmonaire, emballement immunitaire et surtout l’intoxication par les métaux lourds qui se lient au groupe thiol dont le mercure qui bloque totalement l’activité du GSH). La forme réduite est instable par nature et présente une biodisponibilité quasi-nulle par voie orale, ce qui limitait jusqu’à présent l’intérêt d’une supplémentation.
Au vu des résultats, SUBLINTHION s’impose comme la nouvelle référence dans la supplémentation en glutathion. Sa formule brevetée permet une biodisponibilité, une stabilité, une rapidité d’action et une efficacité sur le stress oxydatif inégalées.
Avec l’âge, les niveaux endogènes de glutathion s’amenuisent. Dès 40 ans les pertes de glutathion sont de l’ordre de 30% elles peuvent atteindre 50% à partir de 65 ans.
La formulation innovante et brevetée de SUBLINTHION permet une stabilité et une biodisponibilité du GSH supérieures aux formes conventionnelles.
Boite comprenant 6 blisters de 10 comprimés. Prix 28€.
Le comprimé (associant le GSH et l’extrait particulier de grenade) est à placer au contact de la muqueuse buccale (voie perlinguale), ce qui favorise l’assimilation du GSH en évitant sa dégradation.
2 comprimés par jour (1 matin et 1 soir) à prendre en dehors des repas. Ne pas avaler ni croquer le comprimé.
Cure de 2 mois. A renouveler au besoin. Labo Le Stum. Tél : 02 97 88 15 88. E-mail : contact@labo-lestum.com
VI/- Bloquer la cascade inflammatoire
Après avoir tenté d’enterrer l’hydrox-chloroquine avec des études pipées (malades comorbides et intoxiqués par multiples thérapies iatrogènes) pour proposer d’autres thérapies iatrogènes peu efficaces, il reste (outre les huiles essentielles qui ont fait leur preuve sur la planète…en continuum) ou stopper cette tempête intérieur en neutralisant la cascade inflammatoire.
Gemmothérapie
Le matin 100 gouttes de Ribes nigrum (cassis) Bg. Mac. Glyc. 1D 125 ml.
Le cassis booste notre cortisol. Grâce à son action endocrinienne sur l’activité hypophyso-corticosurrénale, le cassis régularise le syndrome d’adaptation notamment par la relance de l’activité glucocorticoïde. Il stimule le métabolisme général, joue un rôle d’immuno-régulateur, exerce une activité anti-dégénératrice et possède un effet synergique sur la thérapeutique principale. Il facilite l’action des remèdes qui lui sont associés.
Le bourgeon de cassis est le grand remède du système nerveux, rénal, circulatoire, respiratoire, anti rhumatismal, chimio protection.
On peut y associer d’autres bourgeons anti inflammatoires : le rosier, le noyer, la vigne, l’aulne glutineux.
VII/- Privilégier l’oxygénation
En raison du vieillissement des structures tissulaires, des surcharges pondérales et toxiniques, des agressions bactériennes ou virales, du surmenage physique ou psychique, des traumatismes, du stress, de la pollution sous toutes ses formes… les tissus intoxiqués ont de plus en plus de mal à assimiler l’oxygène indispensable ; la capacité oxyphorique du sang est altérée.
Il s’agit donc de privilégier une oxygénation préventive ou curative offrant des ions oxygène libres, très assimilables, pouvant rétablir les échanges vitaux et participer activement à l’équilibre homéostatique. Telle est la vocation de l’oxygénation biocatalytique Jacquier. Le procédé apporte à l’organisme de l’oxygène sous une forme non moléculaire mais atomique, non quantitative, mais dynamique, et ce, sans apport d’oxygène supplémentaire.
Le Bol d’Air peut être utilisé dans les affections aiguës, jusqu’à 3 à 4 fois par séances de 2 à 5 minutes dans la même journée.
Il est impératif de débuter par une courte séance de 1 à 3 minutes, selon le type d’appareil.
On note une optimisation des résultats en associant aux cures des compléments nutritionnels oligométalliques (manganèse, cobalt, fer) qui sont des décomposeurs de peroxydes, du chlorure de magnésium à 20 %o des vitamines A, C et E.
Vous pouvez l’acheter ou le louer (4 types d’appareil).
Les différents appareils peuvent être commandés au laboratoire Holiste 29, bd Henri IV 75004 Paris (Tel : 01 42784209).
L’appareil est portable, d’esthétique agréable et d’une utilisation très simple.
Vous pouvez accompagner ces inhalations d’huile essentielle terpénique (térébenthine naturelle) avec une eau super oxygénée l’Eau Kaqun.
A commander par tel : 01 45 18 50 80. 18 bouteilles pour un coût de 72€, livrées à domicile.
Ce protocole parait surchargé mais nécessaire pour colmater l’ensemble des symptômes causés par l’atteinte compliquée du coronavirus. On peut y recourir dans les convalescences qui trainent (maladies chroniques, grippes…), les cancers et la maladie d’Alzheimer.
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Pour ceux qui veulent approfondir leurs connaissances, je vous recommande la lectures de mes livres :
« Pollutions et santé » Ed. Dangles
« Les huiles essentielles, médecine d’avenir » Ed. Dauphin (un best-seller : 250.000 livres)
« Huiles essentielles antivirales » Ed. Trédaniel
« Tout savoir sur les virus et faire face » Ed. Dauphin (mai 2020).
Bonjour
Merci pour toutes ces indications mais vous énumérez plein de produits
Pour lutter contre ce virus que préconisez vous seul ou associés
Car il est impossible de prendre autant de compléments alimentaires
Pensez vous qu en prenant la spiruline seule ou associée à un autre complément puisse suffire pour se préserver de ce virus ?
Merci de me répondre cordialement.