Selon le Conseil Scientifique, l’épidémie de coronavirus n’est pas terminée : une deuxième vague serait même « extrêmement probable » selon les dernières données.

L’épidémie de coronavirus est-elle bientôt terminée ? Rien n’est moins sûr, selon une note du Conseil Scientifique Covid-19 parue le 21 juin 2020.

Les experts (sous la direction du Pr Jean-François Delfraissy) affirment d’abord que 5% de la population française « seulement » a été exposée au coronavirus Sars-Cov-2 : un chiffre jugé « très insuffisant » pour atteindre la fameuse immunité collective censée empêcher la propagation du virus.

« Aujourd’hui, rien n’est plus urgent que de contrôler le tsunami sanitaire et économique qui a frappé le monde. Mais rien ne garantit notre succès dans ce domaine. Si nous n’arrivons pas à le contrôler, nous aurons des années très sombres à venir. D’un autre côté, la survenance d’une catastrophe reste incertaine, et pour que nous puissions l’empêcher, nous devons regarder loin, devant nous et derrière nous, afin de comprendre exactement ce qui se passe dans le monde ».

La France “meilleur système de santé du monde” n’est plus ! Cette oraison funèbre est une des révélations de la crise sanitaire historique qui a touché plus de 200pays dans le monde au premier semestre 2020, sous contrôle en Asie et partiellement en Europe, mais qui s’étend avec vigueur en Amérique.

Avec près de 39 000 décès au début juillet, officiellement recensés victimes du Covid-19, la France se positionne en 5e position mondiale en termes de densité de décès par million d’habitants. Seuls la Belgique, l’Espagne, le Royaume-Uni et l’Italie ont fait pire que nous.

La France dispose d’une médecine de haut niveau qui a été à l’origine de nombreuses premières médicales en chirurgie, en cardiologie et dans bien d’autres domaines. Cette excellence médicale fait de la France un des pays qui disposent d’une des meilleures qualités de soignants médicaux et paramédicaux au monde. Globalement, cette qualité se retrouve dans toutes les spécialités, même si elle est beaucoup plus développée en médecine curative que préventive.

Il peut sembler facile, aujourd’hui, d’accabler l’impréparation des pouvoirs publics durant les premières semaines de l’épidémie en France, où le manque de tout ce dont les services médicaux avaient un besoin impérieux obligeait les porte-parole de l’État à justifier, maladroitement, l’absence du matériel indispensable par son inutilité relative.

Le ton a changé par la suite, mais on a dû subir alors cette omniprésence des pontes médicaux, souvent pas d’accord entre eux mais monopolisant la parole officielle. L’Université, les CHU, les académies, la Haute autorité de santé, l’ANSM, voire le Conseil de l’Ordre, tout ce petit monde de l’entre-soi dans une profusion verbeuse… tandis que l’on envoyait des malades en réanimation à l’autre bout de la France pour soulager les services engorgés d’Ile-de- France ou du Grand-Est alors que les établissements de santé privés, sur place, voyaient leur offre d’accueil de lits disponibles superbement ignorée pour ne pas dire méprisée !

Bref, on n’a pas encore tout vu, la crise s’est apaisée mais peut ressurgir dans quelques mois, et sa gestion pourrait alors faire naître d’autres surprises !… Toujours est-il que l’on a vécu une dure réalité, à savoir le « passé d’une illusion », le mantra répété à satiété devenant une vérité établie que la France avait la « meilleure médecine du monde ».

La comparaison avec l’Allemagne pour la gestion de cette crise sanitaire a révélé une France centralisée, bureaucratique, lente, inadaptée à la situation et une Allemagne décentralisée, réactive, pragmatique et adaptée. Par exemple, alors que les compétences en virologie sont proches des deux côtés du Rhin, la France a tant tardé à labéliser les tests PCR que la stratégie basée sur un dépistage massif des personnes, un traçage rigoureux des contacts et un isolement strict des cas a été impossible à instaurer.

C’est aussi aux citoyens de se mobiliser dans les prochaines semaines pour proposer des solutions d’avenir et mettre la pression sur les pouvoirs publics pour agir et enfin donner la parole et les moyens d’interventions aux médecins du terrain recourant aux médecines naturelles et en particulier les huiles essentielles antivirales.

Tandis que les populations attendent des résultats tangibles et rapides, la société occidentale ne comprend pas pourquoi, face à un phénomène infectieux d’une telle envergure, nos pays riches dotés de moyens techniques avancés ne puissent agir en conséquence. On va sur la lune, on se prépare à visiter Mars et on est désarmé face à l’attaque des virus !

Actuellement la crise sanitaire est incompréhensible. Seule une prise de recul, nous permettra de comprendre ce qui est en train de se passer. Mais en tant de crise, nous n’avons pas le temps de prendre du recul.

Un sursaut moral

En plein cœur de l’épidémie, le plus important est de garder le moral. Certes nous avons sous-estimé l’importance du coronavirus et il nous a fait peur…

Tous les passionnés d’histoire le savent : l’humanité recule d’un pas pour avancer de trois.

Le progrès de l’humanité c’est de survivre à ses propres coups d’arrêt.

Pour paraphraser Franklin Roosevelt, la seule chose dont nous devons avoir peur, c’est la peur elle-même.

C’est la plus mauvaise conseillère, et celle qui peut nous conduire aux pires erreurs individuelles et collectives si nous la laissons gagner.

Selon toute probabilité, cette maladie plus contagieuse que dangereuse devrait être circonscrite dans un temps raisonnable. Ce qui se passera après relèvera de la politique et de l’économie mais pas de la santé.

Car nous ne sommes pas à l’abri d’autres vagues de contamination, notamment s’il reste des poches d’infection irréductibles sur le territoire. Par ailleurs le virus continue à envahir la planète.

La prévention passée aux pertes et profits

Nos décideurs politiques ont ouvert la porte à la pandémie du Covid-19 et au tsunami de décès en méprisant la prévention et en démantelant le système de soins. Ils devront être en mesure d’y répondre. Négliger la santé publique est un crime d’État. Nul ne doit plus jouer avec nos vies et nous abandonner à des sacrifices humains massifs. Recherche de profits et gestion à court terme n’excusent rien.

Ce mépris de la prévention est d’autant plus honteux que les épidémiologistes rappellent régulièrement que la diffusion des maladies émergentes ou réapparues s’amplifie avec l’accroissement des populations, la concentration urbaine et les flux de personnes. La liste des pandémies planétaires montre qu’elles sont désormais fréquentes et souvent redoutables.

Les infectiologues, eux-mêmes, ont souvent répété, lors des pandémies des deux dernières décennies, que la leçon urgente à tirer était de renforcer la veille sanitaire et la réactivité des autorités pour prévenir la diffusion du virus, sans oublier d’assurer une prise en charge adaptée pour éviter de mettre en danger les soignants.

Selon Roger Langlet « La pandémie nous aura rappelé aussi que les pensionnaires des maisons de retraite et des EHPAD, dont la vulnérabilité s’aggrave avec l’âge, doivent être attentivement protégés et entourés par un personnel suffisant, bien formé et correctement rémunéré. Il est inadmissible que ces établissements soient si propices aux épidémies, outre la mortalité liée à la maltraitance insidieuse. De leur amélioration aussi les élus doivent répondre par une meilleure réglementation de la gestion de ces établissements et un vrai contrôle.

La pandémie qui paralyse les nations porte elle-même les indices des futures catastrophes sanitaires. Elles seront plus ravageuses encore si nous n’exigeons pas de nos élus qu’ils assument avant toute chose la mission de nous protéger et qu’ils en acquièrent la culture et les valeurs. Sans quoi nous serons voués à passer notre santé aux pertes… et profits !

Quid de la médecine officielle ?

On sait aujourd’hui qu’aucun médicament n’a, de toute façon, pu éradiquer la peste de manière permanente, puisqu’elle fait actuellement partie des épidémies ré-émergentes contre lesquelles aucun vaccin n’a jamais pu être découvert.

Il en va d’ailleurs de même pour certains virus et bactéries inquiétant l’humanité depuis le siècle dernier, comme le VIH (HIV) et la maladie de Lyme, par exemple.

Pourquoi la médecine officielle piétine-t-elle ? Elle aboutit de plus en plus régulièrement à des impasses que ses praticiens n’osent plus regarder en face.

En plus de cinquante ans, les molécules chimiques qu’elle propose, comme uniques traitements, ont affaibli les systèmes immunitaires, pollué les organismes, et invité les virus à muter plus fortement, comme l’explique le Dr Louis De Brouwer dans son « Dossier noir des médicaments de synthèse » fort bien documenté.

En Chine : découverte d’un nouveau virus de grippe porcine

À l’heure où la planète se débat face l’épidémie de coronavirus, une nouvelle menace va (peut-être) faire son apparition. Des chercheurs de la China Agricultural University, viennent en effet de découvrir une nouvelle souche virale chez le porc : baptisée « G4 », il s’agirait d’une grippe porcine génétiquement proche de la grippe H1N1. Pour rappel, la grippe A (H1N1) a provoqué une pandémie entre 2009 et 2010, surtout sur le continent africain.

Les chercheurs chinois – qui ont publié leurs travaux dans la revue spécialisée Proceedings of the national academy of Sciences (PNAS) – ont réalisé 30 000 prélèvements nasaux sur des porcs dans les abattoirs de 10 provinces chinoises et dans un hôpital vétérinaire, entre 2011 et 2018. Ils ont ainsi réussi à isoler 179 virus de grippe porcine ; parmi eux, les virus de la famille G4 étaient majoritaires. Malheureusement ces virus G4 « possèdent tous les traits essentiels montrant une haute adaptabilité pour infecter les humains » et pourraient donc être à l’origine d’une future pandémie. D’ailleurs, les virus G4 ont déjà commencé à infecter l’Homme puisque 10,4 % des ouvriers et personnes travaillant dans la filière porcine testés avaient été contaminés…

Haro sur les vaccins !

« Bille en tête » j’affirme ne pas être contre les vaccins. Le hic, c’est la présence de produits iatrogènes dont on ne peut se débarrasser après l’effet positif recherché du vaccin.

On se garde bien de nous avertir qu’outre les virus de la grippe ou du coronavirus, le vaccin contient des antibiotiques, de l’aluminium (auparavant), des protéines de poulet, du thiomersal (dérivé du mercure très toxique) et du formaldéhyde, classifié dans le même groupe de drogues que le cyanure et l’arsenic, qui crée également des dommages dans certaines protéines des cellules comme les enzymes, les microtubules et autres composants qui pourraient détériorer l’ADN, accroître l’activité carcinogène et générer des effets mutagènes.

Il fut une époque où notre société actuelle favorisait les vaccins. Nous étions devenus des consommateurs dépendants, toujours désireux d’en « avoir plus ». Les fabricants avaient bien compris qu’ils n’avaient qu’à entretenir cette dépendance.

Le vaccin, en effet, reflétait bien à lui seul notre conception de la maladie, du rôle du médecin et de la prise en charge de la santé au niveau individuel et collectif. « Le vaccin évite de se responsabiliser, de s’investir », écrit Sylvie Simon dans son livre « Vaccination, l’overdose ». Au départ, on a procédé aux vaccinations sans connaître les mécanismes des microbes, des bactéries, des virus et encore moins du système immunitaire. Malgré cette absence de connaissances, la vaccination s’était très vite généralisée dans la pratique médicale.

Elle était devenue culturelle, telle une idéologie pour laquelle on devait être prêt à immoler un petit nombre afin de sauvegarder le groupe.

Mais depuis plusieurs années, la vaccination connaît un certain recul. Les médecins sont moins convaincus et hésitent à pratiquer le rituel de la vaccination. Par ailleurs, le carnet vaccinal des enfants s’est considérablement rallongé.

« Parmi les nombreux effets secondaires, dont parfois ceux de la grippe elle-même, il faut citer les péricardites aiguës, les problèmes cardiaques, les pathologies neurologiques, (encéphalite, myélopathie, occlusion de la veine centrale de la rétine, paraplégie, radiculite) sans compter l’aggravation de l’arthrite inflammatoire dont sont atteints la plupart des gens âgés » affirme Sylvie Simon.

De même, la sclérose en plaques était quasiment inconnue chez le jeune adulte avant l’introduction du vaccin contre l’hépatite B, tout comme le diabète insulinodépendant. Quant à la fréquence de l’arthrite juvénile chronique, elle a plus que doublé depuis la mise en route de cette vaccination de masse qui empêche l’installation de l’immunité naturelle conférée par la confrontation avec les virus et les microbes et qui se transmet d’une génération à l’autre.

À présent les mères n’ont qu’une immunité vaccinale qui est loin d’être permanente ; elle ne peut se transmettre à leurs enfants et elle permet ainsi aux maladies de l’enfance de se manifester à des âges où elles sont beaucoup plus dangereuses.

Nombreux sont les médecins qui ont constaté que ce sont les enfants non vaccinés qui se portent le mieux, surtout parmi les populations bien nourries et qui vivent dans de bonnes conditions d’hygiène.

Trois exemples démonstratifs

  • C’est à Bergame, une ville du Nord de l’Italie atteinte par le Covid-19, que l’on a observé le taux de mortalité le plus élevé. Les Italiens de cette ville, avaient subi une vaccination anti-méningocoque 2 mois avant l’irruption du coronavirus !
  • Lors de la grippe espagnole qui fit 60 millions en 1915-1916, on observa l’hécatombe de soldats Américains devant partir à la guerre. Ils avaient reçu cinq vaccins.
  • Le vaccin contre la grippe augmente les risques de coronavirus de 36% selon une récente étude du Pentagone selon Julie Levesque (Mondialisation.ca du 26 avril 2020)
  • Une étude étasunienne de 2018 appuyée par le Centres for Disease Control (CDC), a conclu que la vaccination contre la grippe augmentait de 4,8 % les risques de maladies respiratoires non grippales chez les enfants de moins de 18 ans.

Vous qui suivez quotidiennement, sur les différents médias, la saga du Covid-9, aucun universitaire, aucun journaliste n’évoquera ces différents exemples et malheur à celui qui dit la vérité… chantait Guy Béart.

Se taire c’est accepter…

Que l’on soit pro-vaccin ou anti-vaccin, ou ni l’un ni l’autre, comment expliquer un engouement pour les vaccins (financièrement, médiatiquement, mobilisation de la recherche), alors qu’il existe des traitements simples et efficaces contre le Covid-19 qui sont appliqués en catimini à peu près partout dans le monde sauf en France ? Pourquoi ces traitements sont-ils interdits en France et ne font pas l’objet d’autant de recherche et de financement que le vaccin ? Pourquoi l’OMS qui affirme qu’il n’existe pas d’immunité pour le Covid-19 se lance à fond dans le vaccin ? Pourquoi subissons-nous une gestion sanitaire à la fois contre-productive et liberticide (interdiction de traitements naturels, mensonges et conflits d’intérêts dans les médias et au sein du gouvernement, etc.) ?

Conseils

Depuis l’irruption du Covid-19, les différents experts virologues et foultitude de laboratoires ont été incapables de mettre à notre disposition un remède efficace, dans l’attente d’un vaccin hypothétique.

En revanche, l’occultation des approches alternatives fut mise en route dès le départ. Rappelons que 40 à 50% des Français font appel aux médecines naturelles. C’est par milliers qu’ils ont survécu grâce aux huiles essentielles dont des milliers de travaux ont prouvé leur efficacité dans le domaine de l’infectiologie et plus particulièrement dans les pathologies virales (excepté pour le HIV).

On déplore la disparition de 30.000 Français. Mais combien auraient-ils pu être sauvés si tous les messages circulent librement !

Et quand il s’agit de tous ceux qui se sont aliénés à Big Pharma, ils échappent à la condamnation pour non-assistance à personne en danger !

Je félicite mes confrères qui pratiquent la médecine de terrain, la seule vraie médecine efficace, et ont eu le courage de l’affirmer, malgré les nombreuses menaces et l’exclusion de l’Ordre des médecins.

Une maladie hétéro-immune…

Je pense aussi à tous les patients qui ont subi ce satané virus, et ne peuvent récupérer. Ils continuent à souffrir. Il faut savoir que ce virus a généré un état inflammatoire suivi d’une réaction immunitaire, transmise par les lymphocytes et les anticorps, contrôlée au départ puis submergée pour donner lieu à une maladie auto-immune.

Cette réponse immunitaire « excessive » est dirigée contre diverses cellules ou constituants de l’individu. Elle est agressive, susceptible de créer des lésions ou des anomalies de fonctionnement de divers organes, ce qui se traduit par des anomalies cliniques et biologiques permettant le diagnostic de la maladie auto-immune.

Dans ce cas recourir à un immunosuppresseur.

Prendre Immuno Régul 2 fois 2 gélules 1 semaine, puis 3 fois 1 gélule (Labo Phyt’Inov. Téléphone : 00 41 32 466 89 14).

Pour se prémunir avant la prochaine vague.

Il reste à renforcer vos défenses naturelles :

Stimu+ 2 fois 2 gélules (cure d’un mois), Labo Phyt’Inov.

Ce complément alimentaire est incontournable et empêche toute atteinte ultérieure.

Les toxines

L’atteinte virale et la prise de médicaments chimiques a généré des toxines qui ont empoisonné l’ensemble de l’organisme.

Chaque jour, nous contractons de multiples toxines, des métaux lourds (mercure, plomb, aluminium…) et autres polluants divers. Ces éléments toxiques, stockés dans les cellules graisseuses sont très difficiles à éliminer. Le rôle essentiel de la transpiration est seulement d’éliminer les toxines métaboliques de l’organisme tandis que l’accumulation, la diversification et la nocivité des déchets dépassent nos capacités naturelles d’élimination. Seuls des rayonnements infra-rouge peuvent solutionner le problème.

S’il y a encrassement et accumulation de toxines dans le corps, les liquides interstitiels et nourriciers sont également chargés de déchets et ne peuvent plus remplir pleinement leur rôle de transporteurs nourricier ou éliminateur. L’apport de nutriments au niveau cellulaire sera moindre et l’évacuation des déchets cellulaires deviendra difficile, le métabolisme cellulaire se déroulera au ralenti et ainsi la reproduction cellulaire et tissulaire sera freinée.

Pour dépolluer l’organisme encombré nous disposons de deux techniques : la première consiste à « lever les émonctoires » autrement dit à éliminer les substances toxiques des différents organes dont la fonction est bloquée (le foie, la vésicule biliaire, les poumons, les reins, la peau, l’appareil génito-urinaire, le carrefour ORL…).
On trouve ces techniques naturelles dans mon livre « Pollutions et santé ». Ed. Dangles.

La deuxième technique est plus séduisante et ne recourt à aucun remède, c’est le sauna sec qui commence à connaitre un engouement.
Ce sauna sec n’émet pas de vapeur d’eau mais des rayonnements infra rouges qui diffusent une chaleur douce.

Après quelques séances on obtient l’élimination des métaux lourds et l’ensemble des toxines, suivi d’une relaxation profonde et d’une amélioration de la qualité du sommeil. Sur la serviette on observe différentes tâches, de couleurs différentes selon les éléments toxiques évacués.

En augmentant rapidement la température corporelle, l’organisme renouvelle les protéines, répare les cellules endommagées et déclenche le rajeunissement des cellules. Par ailleurs l’augmentation de température du corps renforce les défenses naturelles (mobilisation des lymphocytes et des macrophages).

Ce type de sauna, certifié par les autorités sanitaires, est très conseillé pour ceux qui ont souffert du covid-19.

Je vous donne l’adresse d’un institut dans le 15e arrondissement de Paris : Tel : 06 30 28 72 55 / 06 30 20 32 31 (Metro Vaugirard).

En attendant protégez-vous ! Ne soyez pas à l’origine d’un « cluster » (foyer infectieux).

Qui peut prévoir la survenue d’une deuxième vague ? Ce virus est tellement imprévisible…, comme le comportement des humains ! Par ailleurs, d’autres virus peuvent surgir et développer un scénario aussi déroutant.

Je vous conseille de lire mon livre « Tout savoir sur les virus et y faire face » Ed. Dauphin. (14€).