L’impensable s’est produit, il y a eu 34000 contaminations en vingt-quatre heures. C’est autant qu’un pic de l’été. En dix jours, le nombre de cas a augmenté de 100 %, donc doublé. Le taux d’incidence (le nombre de malades sur 100000 habitants) devrait bientôt franchir le cap des 200. Encore un symbole. Si on est bien loin des 54000 cas moyens de la 2e vague, l’épidémie déferle à une allure folle, prenant de court les prévisionnistes.

Outre-Rhin, la formule choc du ministre de la Santé sonne comme une ultime mise en garde. « D’ici à la fin de l’hiver dans le pays, chacun ou presque sera vacciné, guéri ou mort », a lâché, Jens Spahn alors que les non-immunisés allemands ne pourront bientôt plus aller au restaurant.

Désormais, c’est au tour de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) d’enfoncer le clou. Elle prédit un sombre avenir à l’Europe, redoutant « 700 000 » décès d’ici au printemps. Cette entrée dans l’hiver ressemble à un vieux cauchemar. Balayée par une vague de Covid, l’Europe boit la tasse. Et si la France a résisté plus longtemps – grâce à un soi-disant meilleur taux de vaccination et aux mesures barrière -, « cela n’a pas suffi ».

Et maintenant les enfants ?

La question du moment en France n’est pas celle d’un reconfinement, d’un couvre-feu ou encore d’un retour au 100 % télétravail. Non ! Le sujet aujourd’hui sur la table, et qui est tout aussi épineux, est la vaccination des enfants âgés de 5 à 11 ans.

Dans les écoles, les classes ferment en cascade : 85 000 selon le ministre de l’Éducation nationale. Dans les familles où un petit est touché, l’ensemble du foyer est considéré comme cas contact et les plus jeunes doivent s’isoler dix-sept jours ! Un tel système est intenable sur le long terme pour les frères et sœurs qui devraient être à l’école et les parents au travail. Pour le gouvernement, immuniser les écoliers du primaire serait un levier puissant pour enrayer cette machine diabolique. Un moyen surtout d’éviter de briser l’élan de la reprise économique.

Bien sûr, les autorités sanitaires européennes et françaises n’ont pas encore donné leur feu vert à la vaccination des enfants. Leurs avis sont attendus courant décembre.

L’équation est à plusieurs inconnues. « Quelle sera l’ampleur de la vague ? De quelle façon la vaccination va-t-elle la freiner ? Quel sera le poids des pathologies hivernales à l’hôpital ? Et l’impact du manque de personnel à Noël ? » liste l’infectiologue Gilles Pialoux qui fait le compte ; les moins de 12 ans, soit 10 millions d’enfants, ne sont pas immunisés, et 6,4 millions des adultes éligibles non plus, soit plus de 16 millions de Français. Les médecins appellent donc à un nouveau tour de vis. « Il est important de renforcer les mesures pour ne pas saturer les services de soins intensifs, prévient Arnaud Fontanet. C’est notre crainte actuelle. »

Un conseil précieux

Pour ceux qui paniquent à l’idée d’attraper ce virus maudit ou qui refusent le vaccin, la parade est simple : le virus ne possède qu’une seule voie de pénétration à savoir les narines. Explication du texte : il suffit de protéger l’entrée par un masque et d’éviter les rassemblements et autres fêtes. Aérez la pièce 10 minutes toutes les heures. Evitez les bises. S’isoler si contaminé…

Par ailleurs, il est impératif de booster l’immunité avec des compléments alimentaires réunis dans un produit : STIMU+, 2 fois 2 gélules durant 1 mois (Labo Phyt-Inov).

Pour compléter le protocole, ajouter :

Le Zinc : (30 mg matin et soir).

L’Ivermectine : 0,2 par kilo de poids, 5 jours de suite.

La Vitamine C liposomale.

La Vitamine D.

Le Glutathion (sublinthion : Le Stum), en prise sublinguale.

La NAC (N. Acétylcystéine) stoppe la réplication du virus et enraye les toux grasses, 2 sachets par jour.

L’Huile de Haarlem 2 capsules au diner.

Les HE : Eucalyptus radié et globulus, Ravintsara et Laurier noble, par voie orale (gélules), par voie cutanée ou par diffusion atmosphérique (LYSO HOME et LYSO SPRAY, labo Phyt-Inov)

Des faux vaccins !…

Même en prenant la calculette on ne s’y retrouve pas avec la multitude de chiffres qui envahit les réseaux sociaux et notamment ceux qui concernent le nombre de vaccinations dans chaque pays, l’évolution de la pandémie, les différences dans les tableaux sanitaires de tel ou tel pays selon le type de vaccination.

Apparemment il n’y a plus de logique dans cette cascade de chiffres, que se passe-t-il ? La réponse est toute simple ! Ce qu’on appelle « vaccins » Pfizer et Moderna n’en sont pas. Ces ARN messagers sont, en quelque sorte, des logiciels qui modifient les molécules. C’est ainsi que le labo réserve ces 2 ARN messager pour traiter le cancer et le sida ! Ce n’est pas répétant comme un mantra « grâce à la couverture vaccinale, on a obtenu de tels résultats positifs ». En quoi sont-ils positifs ! En guise de performance l’Europe totalise 67% d’infections, qui dit mieux ?

Pour la 3ème dose, notre ministre de la santé nous rassure « Nous disposons de 16 millions d’ARN messager ! ». Attendons quelques mois pour quantifier l’hécatombe !

Dans les pays du tiers-monde, où l’on vaccine peu, on relève peu de morts. Ainsi au Viet Nam, on se réjouissait que tout se passe bien ; jusqu’au jour où l’on a vacciné la population qui a connu une flambée de graves effets secondaires.

On connait moins ces problèmes avec le vaccin de la grippe, qui reste un « vrai » vaccin. Avec 65% de vaccinés, on bénéficie d’une immunité collective, les effets secondaires sont moindres. La virulence du virus s’atténue d’une année à l’autre.

Qui recensent les effets secondaires ?

La Commission européenne, un organe international qu’on ne peut soupçonner de complotisme, a compté les morts suspectes dues aux vaccins.

L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) recense tous les effets secondaires des vaccins en France. Chaque semaine, elle met à jour ses données.

Il y a 60 fois plus de morts suspectes après vaccination par les vaccins Pfizer et AstraZeneca qu’après le vaccin contre la grippe.

Il y a 400 fois plus de morts suspectes après vaccination par le vaccin Moderna qu’après une vaccination contre la grippe.

Depuis les débuts de la vaccination jusqu’au 2 septembre 2021, on a recensé en France :

  • 48923 cas d’effets secondaires sur le Pfizer
  • 24852 cas d’effets secondaires sur le AstraZeneca
  • 10121 cas d’effets secondaires sur le Moderna, Rappelons que ce « logiciel » a été moins appliqué en France.
  • 605 cas d’effets secondaires avec le Johnson & Johnson

De quoi perdre son latin !

Tant que le vaccin n’avait pas été mis en vie réelle, il était impossible de savoir quelle serait son évolution, surtout face à un variant Delta ultra- contagieux. Par ailleurs, ces observations ne sont pas propres à la France, comme le rappelle Antoine Flahault « Ce que l’on a vu cet été au Royaume-Uni, et qui était mis par certains sur le compte du vaccin d’AstraZeneca, se reproduit aujourd’hui aux Pays-Bas, en Autriche ou en Allemagne, où les vaccins à ARN messager (Pfizer et Moderna) sont prédominants. » Plusieurs études ont été publiées sur la baisse d’efficacité du vaccin entre les injections, et en particulier sur la transmission virale, toujours possible malgré la piqûre. Celle menée en Angleterre conclut que les vaccinés présentent un pic de charge virale similaire à celui observé chez les non-vaccinés, et qu’ils peuvent transmettre le virus au sein de leur foyer familial, y compris aux membres vaccinés.

Vaccination obligatoire ?

Outre le débat sur la pertinence – ou non – d’une telle mesure, se pose aussi la question de sa faisabilité. Juridiquement, l’article L 3131-1 du Code de la santé publique autorise le ministre de la Santé à prendre « toute mesure réglementaire ou individuelle relative à l’organisation et au fonctionnement du système de santé » en cas de « menace sanitaire grave appelant des mesures d’urgence, menace d’épidémie ». La vaccination obligatoire pourrait faire partie de cet arsenal de mesures.

Juridiquement, « il faudrait une loi qui repose sur devrais motifs de santé publique, et ça m’étonnerait qu’un juge constitutionnel ou administratif le censure si le Parlement adopte une telle mesure », indique Didier Truchet, professeur émérite en droit public à Paris-II… Sur le plan pratique, ce serait un sacré casse-tête. Cela passerait-il par un contrôle du passe vaccinal de n’importe qui dans la rue ? On imagine mal le nombre de forces de l’ordre qu’il faudrait mobiliser. « La vaccination obligatoire chez les adultes, je ne sais pas comment on fait », s’interrogeait d’ailleurs Olivier Véran le 22 juillet dernier.

C. News a osé…

C. News est la première chaine qui a évoqué les effets secondaires des vaccins. Pascal Praud, le meneur de jeu présentait une jeune fille de 16 ans, qui avait reçu une première injection qui lui avait créé quelques problèmes (fourmillements, douleurs musculaires), tandis que la 2ème injection était meurtrière ; cette jeune gymnaste souffre aujourd’hui du syndrome de Guillain-Barré (une polyradiculonévrite démyélinisante aigüe). La maladie s’installe progressivement sur une période d’environ un mois avec une paralysie qui touche d’abord les jambes, puis remonte aux bras et peut atteindre la face et les différents nerfs crâniens qui commandent les muscles de la face, les yeux, la parole et la déglutition. Elle peut être accompagnée ou précédée de troubles sensitifs : fourmillements, douleurs musculaires.

Quant à l’évolution, on peut relever une paralysie des muscles respiratoires et des troubles de la déglutition qui sont les principales complications : leur apparition peut nécessiter une prise en charge en réanimation.

Evidemment tout le plateau, composé de journaliste et d’experts, compatit devant la détresse de cette jeune victime. Mais très rapidement un invité vocifère : maitre Alain Jakubowicz, ex-patron du CRIF, tel « un diable dans un bénitier », il fustige l’animateur Pascal Praud en hurlant par 4 fois : « vous êtes un irresponsable !… Un irresponsable !… Un dégueulasse ! Maintenant comment voulez-vous que l’on aille se faire vacciner ? »

L’ensemble du plateau est sidéré. Seul Ivan Rioufol, un des rares journalistes à ne pas être dans la bien-pensance, lui tient tête et évoque la liberté d’expression.

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De quoi perdre la face…

Michel cymes atteint du covid-19 malgré deux doses de vaccin

Ce “Monsieur vaccin”, fier d’avoir été “parmi les premiers à se faire vacciner dans le but de “médiatiser la vaccination ”, s’est donc retrouvé positif comme Monsieur et Madame tout le monde… Ces “tarés” qui refusent le vaccin, comme il disait.

Lui qui fanfaronnait encore en août :

« Moi je suis vacciné, j’ai mon pass sanitaire et je peux vous dire que si demain je vais au cinéma ou que je retourne au Parc des Princes, je préfère avoir à côté de moi des gens qui sont vaccinés et qui ont leur pass sanitaire et pas des égoïstes qui ne pensent qu’à eux et pas à la collectivité »

Il a vraisemblablement mal choisi son entourage, non ?

Pour en savoir plus sur les différents vaccins et les différentes thérapies, je vous recommande mon livre :

« Tout savoir sur les virus et y faire face ». Ed. Dauphin. (14 euros).