Amis lecteurs, ne considérez pas cette lettre à la légère. Elle vous concerne tous. Nous sommes tous intoxiqués par ces poisons redoutables. Certains d’entre nous en ont relevé les dégâts, d’autres ne les soupçonnent pas et pourtant en lisant cette lettre vous en découvrirez les effets sournois.

Les métaux lourds sont naturellement présents à de faibles doses dans la nature et dans les organismes vivants. Mais, dépassé un certain seuil, ils deviennent d’autant plus dangereux qu’une fois dans l’organisme, ils s’éliminent très difficilement.

Plutôt que «métaux lourds », l’appellation « métaux toxiques » serait plus correcte. Elle englobe l’ensemble des métaux et métalloïdes présentant un caractère toxique pour la santé et l’environnement: plomb (Pb), mercure (Hg), arsenic (As), cadmium (Cd), nickel (Ni), zinc (Zn), manganèse (Mn), brome (Br) pour ne citer que les plus dangereux. Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, nous vivons dans un environnement chimique : des milliers de produits métallo-chimiques baignent notre quotidien : des sources de pollutions diverses encrassent l’organisme en permanence par différentes infiltrations. Et le plus terrible, c’est que nous nous polluons principalement en respirant, en mangeant et en nous soignant. Aujourd’hui, le squelette d’un Européen contient 500 fois plus de métaux lourds que celui d’une personne ayant vécu au Moyen Âge. Il ne nous reste qu’à vivre sous cloche.

Nous nous imprégnons de métaux toxiques en respirant les gaz d’échappement des automobiles, les émissions aériennes des processus industriels, de la combustion du pétrole, du charbon, des végétaux, les émanations des incinérateurs d’élimination d’ordures ménagères, des déchets miniers et industriels.

Nous ingérons des toxiques en mangeant des aliments contaminés, résultats des pratiques agroalimentaires modernes stimulantes à excès, par l’utilisation à long terme de composés chimiques pour la protection des plantes.

Ce qui a mené à l’explosion des quantités de cuivre, de mercure, de cadmium et de plomb dans les sols et les cours d’eau, contaminant les aliments.

Il n’y a plus de poisson sans mercure et pas de pain sans cadmium, plomb et mycotoxines, de pâtes sans aluminium, de café sans cuivre, de lait et de fromage sans plomb…

On ne trouve plus de frites et chips sans mycotoxines et beaucoup d’acrylamides (principe cancérigène), ni de vin (même bio) sans sulfites (noyau métallique soufré) en quantité.

Aujourd’hui, quotidiennement, nous sommes intoxiqués. Des recherches effectuées en laboratoire sur des sujets volontaires ont mis en évidence la présence de plus de 70 produits chimiques dans toutes les personnes soumises à l’examen, sans exception.

Nous empoisonnons notre Organisme avec des métaux lourds et des toxiques en nous protégeant préventivement contre les virus par les vaccins dont les adjuvants contiennent du mercure et/ou de l’aluminium ou en subissant depuis des générations l’obturation des caries par des amalgames dentaires.

Pourtant, toutes étaient en bonne santé apparente. Même si nous faisons très attention, nous sommes tous intoxiqués : d’innombrables substances diverses et variées s’insinuent dans notre quotidien et nous ne savons, en réalité, rien de leurs effets délétères.

Il a été démontré que dans le domaine biologique, l’action de ces perturbateurs explose lorsqu’ils s’additionnent dans le corps. Ils engendrent dans l’organisme de gros dérèglement de santé. Et ce malgré l’absence de risque de chacun des toxiques considéré isolément.

Les effets des métaux lourds sur le microbiote intestinal

Chez toute personne en bonne santé, la flore intestinale, également appelée microbiote, est composée d’un ensemble de micro-organismes (bactéries, champignons…) non pathogènes, vivant en parfaite harmonie dans l’intestin grêle et le côlon, et faisant partie intégrante du système de défense de notre organisme. Lorsque cette flore subit un déséquilibre, on parle alors de dysbiose.

D’après une étude, la présence de métaux lourds se trouve directement en cause dans la dysbiose. À terme, cette perturbation de la flore bactérienne entraîne des modifications au niveau de la muqueuse intestinale qui a un rôle essentiel dans la fonction de barrière de notre intestin. Celle-ci devient hyperperméable (« leaky gut Syndrom »), laissant aussi bienpasser les molécules indispensables au bon fonctionnement de l’organisme, que les molécules étrangères ou inhabituelles. Par la suite, ces éléments sont reconnus par notre système immunitaire, dont l’emballement est à l’origine de nombreuses maladies, notamment celles étant pourvues de mécanismes auto-immuns et inflammatoires.

Plusieurs études démontrent que le risque de développer la maladie d’Alzheimer est 8 fois plus élevé chez les personnes hui absorbent une quantité anormalement élevée d’aluminium. Dans les vaccins, l’hydroxyde d’aluminium est utilisé comme un adjuvant qui permet de mieux stimuler la réponse immunitaire des patients. Le problème est qu’il reste dans les cellules et continue de stimuler le système immunitaire au point de le dérégler, ce qui peut être à l’origine de maladies auto-immunes et neuro-dégénératives.

Dans mon livre, paru sur Amazon (Alzheimer, la maladie décryptée), j’ai démontré le mécanisme et les moyens de les neutraliser.

Les principaux métaux lourds

Et tout d’abord, ceux qui paraissent les plus dangereux et/ou les plus courants, et auxquels nous sommes tous très exposés.

L’aluminium

Ce sont les sels d’aluminium de synthèse et non l’aluminium que l’on peut trouver dans la nature sous forme d’alun. Pourquoi et comment cet ingrédient serait à l’origine de maladies à la fois musculaires et neurologiques. Que ce soit l’alu de synthèse des crèmes ou l’hydroxyde d’aluminium des vaccins. La forme synthétique de ce sel destiné en théorie à renforcer les vaccins, se retrouve maintenant mise en cause.

Un chercheur a montré comment les souris, vaccinées à l’aluminium vont ensuite avoir des particules de ce sel chimique qui se déposent dans les cellules du cerveau. Et d’expliquer comment, peu à peu, vaccin après vaccin, les cellules nerveuses s’enflamment et dégénèrent. Vraisemblablement vers l’Alzheimer. Et, si cela se confirme, on peut se poser des questions quant au calendrier des vaccinations !
On comprend, au rythme des injections et des rappels, qu’après vingt ans de vaccins à répétition, le cerveau puisse contenir vingt fois plus d’aluminium et autres adjuvants toxiques. Et qu’on trouve chez les personnes qui sont atteintes de ce type de démence ;

L’aluminium, métal léger pénétrant facilement dans le cerveau, est retrouvé fréquemment dans les plaques amyloïdes. C’est un neurotoxique présent dans l’eau du robinet de certaines régions, certains médicaments, des ustensiles de cuisine, les contenants alimentaires, les aliments industriels (E173), les déodorants, les filtres de cigarette…

Certains médicaments, dont beaucoup d’antiacides, contiennent de l’hydroxyde d’aluminium, parfois en forte dose comme le Maalox (200 mg).

Mercure (Hg)

Ils’agit ici de mercure organique, généralement de méthylmercure (Ia forme la plus toxique du mercure organique), qui estproduit lorsque des micro-organismes méthylent le mercure.
Le mercure a surtout tendance à se localiser dans la matière grise du cerveau, et sa toxicité est telle qu’on lui attribue les normes de sécurité les plus strictes. De faibles doses de mercure suffisent à altérer le système nerveux et le métabolisme humain. Nous sommes exposés à ce métal lourd et à ses composés lorsque nous mangeons des poissons qui en contiennent de grandes quantités. Plus le poisson est gros, plus il vit longtemps et plus il contient de mercure : le thon, l’espadon, l’empereur et le requin sont donc particulièrement préoccupants (le saumon, le maquereau, l’anchois, la sardine et le hareng, les SMASH, en possèdent moins).

Les effets sur la santé

Les symptômes de l’intoxication évoluent avec le temps, en fonction de l’accumulation progressive du mercure dans l’organisme. Au début on ne remarque que des petits troubles de la santé comme une transpiration plus abondante, une salivation excessive, une fatigue inexpliquée, de l’insomnie, une mauvaise haleine, des vertiges, des maux de tête.
Puis, progressivement, apparaissent des symptômes neurologiques : instabilité émotionnelle, irritabilité, dépression, pertes de mémoire. L’atteinte progressive du système nerveux, cible préférentielle du mercure, va se traduire au niveau physique par des fourmillements dans les mains, une sensation de brûlure avec endormissement des membres inférieurs, un léger tremblement des doigts, des paupières ou des lèvres.

Les amalgames dentaires

Mais la pollution de loin la plus importante provient des amalgames dentaires. C’est ainsi qu’une personne possédant huit amalgames métalliques en bouche (ce qui représente la moyenne de la population française) s’intoxique au mercure à raison de 15 mg par jour. Il s’agit alors de mercure
inorganique.

Les vapeurs de mercure, produites industriellement, mais aussi lors du fraisage des amalgames dentaires, passent extraordinairement vite dans le flux sanguin.

Une fois dans le sang, l’ion mercure (Hg ++) se lie aux globules rouges et autres protéines plasmatiques, largement distribuées au système nerveux, au foie, aux reins et au cerveau. Une très lente et disproportionnelle élimination s’ensuit, par les urines et les fèces, et surtout les phanères et la sueur.

Le mercure est aussi thioprivateur (chélateur du soufre biologique essentiel) protéolytique des enzymes de la respiration cellulaire.

Plus on possède de métaux différents en bouche (zinc, cuivre, argent, beryllium) et plus les risques sont importants, à cause des « effets de pile » engendrés (50, 100, 300 millivolts parfois).

Les porteurs de nombreux amalgames associés à d’autres antigènes sont les plus exposés à l’auto-immunité. Ainsi l’éviction des seuls métaux lourds sans procéder à l’éviction méthodique d’autres allergènes, en particulier alimentaires et médicamenteux chimique, est une opération peu efficace.

La dépose d’amalgames n’est donc pas la panacée d’autant que les matériaux de remplacement (les composites ne sont autres que des matières plastiques) semblent plus antigéniques encore que les composés de l’amalgame; en effet les monomères des composites sont à base de méthacrylate, sorte de résine acrylique (issue de la grande famille des matières plastiques) mais-aussi du fameux bisphénol A des plastiques souples ; le méthacrylate de méthyl est neurotoxiquz, allergisant et mutagène.

Le méthylmercure et le mercure inorganique peuvent être détectés grâce à une analyse de sang ou d’urine : on peut ainsi savoir d’où provient majoritairement le mercure que l’on a dans le corps (plombages ou poissons).

Le mercure peut induire les signes caractéristiques de la maladie d’Alzheimer par la présence de plaques bêta-amyloïdes et d’enchevêtrements neurofibrillaires. L’affinité du mercure inorganique pour l’hypophyse, telle que constatée chez les dentistes, pourrait résulter du transfert direct du mercure à partir des fosses nasales via les voies olfactives.

Sous l’action conjuguée de la salive (dont le pH est acide) et des différences de potentiel électrique entre les amalgames en présence, on observe une insidieuse dissolution des composés mercuriels (et autres composites) conduisant à une intoxication chronique pouvant mener à des troubles métaboliques, lésionnels ou psychiques graves.

Le mercure (Hg) perturbe le métabolisme du fer et la synthèse des globules rouges.

Les Protecteurs naturels sont le zinc (en oligo-élément) et le calcium.

Le mercure a une forte tendance à se lier au soufre. Or le soufre est un composant de nombreuses protéines du corps. En effet, trois acides animés, constituants des protéines, contiennent du soufre : cystine, cystéine, méthionine. Par ailleurs ces protéines sont le composant principal des enzymes et jouent un rôle dans les troubles nerveux (dépression).

Plomb

Le plomb (Pb) est l’un des métaux toxiques présents el grande abondance dans la croûte terrestre, à tous les niveaux atmosphère, hydrosphère, sol… Et naturellement présent lors de la dégradation de l’uranium radioactif, ou même se niche dans le zinc (Zn), le cuivre (Cu), et l’argent (Ag).

Le plomb est un ennemi de notre système nerveux central ; il altère aussi le système digestif et les globules rouges. Une fois qu’il circule dans le sang, le plomb se fixe dans les os et les dents : seule une petite quantité est éliminée dans les urines.

Les sources de pollution au plomb

Le plomb nous intoxique surtout par l’alimentation et par inhalation. Les principales sources de contamination viennent de l’industrie humaine, et plus particulièrement de la production et la consommation d’essence avec les gaz d’échappement des véhicules (voitures, deux-roues, avions.…). De nombreux éléments de notre quotidien contiennent du plomb : l’eau potable, les conduites d’eau en plomb, les nombreuses peintures, le minium, les puces électroniques.
Sans oublier la présence de sels saturniques utilisés dans l’agriculture, l’industrie chimique et pharmaceutique, les piles, les rejets dans l’air des fonderies, certains aliments (le plomb présent dans l’air se retrouve dans les sols, et donc dans les cultures, car il ne se détruit pas!), le tabac (qui augmente l’absorption du plomb dans l’organisme), la peinture, certains cosmétiques (comme le khôl)…

Les effets sur la santé

Le saturnisme génère des troubles neurologiques, des convulsions, anémie, fatigue chronique, coliques abdominales…
Par ailleurs, la toxicité du plomb :

  • agresse les cellules hépatiques en s’attaquant aux membranes et aux mitochondries ;
  • agresse l’ARN des noyaux cellulaires ;
  • inhibe les enzymes nécessaires à la synthèse de l’hémoglobine.

Les protecteurs naturels contre le plomb sont les vitamines C et E, le calcium, le zinc, la fucoïdine contenue dans le varech (algue Fucus) et le fer.

Cadmium

Il est concentré dans les accumulateurs nickel-cadmium (Ni-Cd), la fumée de cigarette, les amalgames dentaires, les engrais phosphatés, les produits d’entretien pour l’argenterie, de nombreux produits phytosanitaires (les pesticides et les engrais). Il diffuse donc dans l’environnement par le sol, puis se diffuse aux cultures et à notre alimentation, les gaz d’échappement, l’huile de moteur, les casseroles émaillée, la vaisselle en porcelaine ou en céramique, les colorants.

On peut également en trouver dans les aliments, et plus particulièrement dans les fruits de mer. Notamment dans les coquilles Saint-Jacques, les homards, les langoustes et les huîtres (qui filtrent l’eau de mer), dans les poissons où il s’accumule principalement dans les viscères (intestins, foie et reins).

Le cadmium est également utilisé dans les peintures, en particulier les jaunes et les rouges vifs (Monet utilisait du jaune de cadmium pour ses tableaux de jardin), mais heureusement, les peintures actuelles sont fabriquées de telle sorte que le cadmium ait un effet beaucoup moins toxique.

Les organes qui les recèlent sont les reins, le foie et les os. Nos émonctoires évacuent difficilement ce métal d’où sa cumulation pathogène. Les deux principales voies d’absorption du cadmium sont l’inhalation et l’ingestion.

Le cadmium entraîne l’apparition de certaines maladies : comme le cancer (en particulier pulmonaire), l’envahissement des poumons avec emphysème ou bronchite chronique, une fragilisation des os, des maladies rénales, de l’anémie, de l’arthrite, des migraines, des problèmes cognitifs, des maladies cardiovasculaires comme l’artériosclérose, de l’ostéoporose ou une perte du goût et de l’odorat que l’on retrouve dans la MA.

Élimination des métaux lourds

La chélation

Un des meilleurs moyens pour alléger l’organisme de ses métaux lourds s’appelle la chélation, une méthode naturelle et physiologique de détoxication. En chimie, c’est un processus physico chimique au cours duquel est formé un principe nouveau, entre une molécule dite chélatrice et un atome métallique.

Par son tropisme particulier, le chélateur est capable de repérer et de débusquer la molécule néfaste. Arrivé à son contact, il va se fixer à elle grâce à une réaction chimique qui va créer une liaison intermoléculaire entre le chélateur et la toxine. Ce conglomérat (toxine-chélateur) grâce aux propriétés hydrosolubles et pourra voyager dans le sang vers les organes (foie et reins) qui se chargeront de l’éliminer.

Ce principe fondamental est bien évidemment présent en chimie bio-organique : la plupart des organismes vivants produisent par chélation des protéines spéciales riches en soufre qui contribuent à détoxiquer l’organisme.

Chez l’homme, les individus chélatent plus ou moins efficacement selon leur patrimoine génétique. Ceux dont l’organisme ne peut pas se détoxiquer assez vite ont plus de risques de développer des maladies neurodégénératives (maladie d’Alzheimer notamment), en particulier en cas d’exposition constante au mercure inorganique perdu par les amalgames dentaires. Chez les personnes génétiquement moins aptes à la détoxication, le mercure augmente quantitativement et ses effets toxiques sont aggravés (maladies cardio-vasculaires, moindre résistance immunitaire).

L’élimination des toxines hors de l’organisme est essentielle. Il faudra ensuite reconstituer la barrière intestinale (flore intestinale et muqueuse) ainsi que la barrière hémoméningée (éviction des champs électromagnétiques proches).

Le principe de la détoxication est d’aller rechercher la toxine ou le métal dans le tissu où il s’est fixé, de l’accrocher à une substance appelée « chélateur » et de le transporter via le sang vers le foie pour y être métabolisé en produits éliminables, ou bien vers les reins pour y être éliminé dans les urines.

La chlorella

Elle est devenue le principal chélateur utilisé aujourd’hui grâce à sa facilité d’emploi et ses nombreux bienfaits.

Cette micro-algue unicellulaire se développe à l’état naturel dans les lacs et possède des vertus immunostimulantes bien adaptées au traitement de l’intoxication mercurielle, dans la mesure où le mercure est immunodépresseur!

Elle contient du méthylcobalamine (vitamines B6 et B12) qui favorise le bon fonctionnement du système nerveux dont la substance blanche est fréquemment envahie par le mercure : c’est le cas dans la sclérose latérale amyotrophique.

Elle est riche en porphyrine. Elle possède une grande richesse en bêta-carotène, en acides aminés, en vitamines du groupe B, en minéraux, en chlorophylle.

Ainsi, elle mobilise et piège les toxines et autres métaux lourds (plomb, mercure, cadmium, insecticides, dioxine, uranium) et réactive les fonctions de détoxication du corps. Elle élimine ensuite ces toxiques par les voies naturelles. Mais ses bienfaits ne s’arrêtent pas là : elle améliore la digestion, restaure la flore intestinale, renforce le système immunitaire et favorise la régénération cellulaire.

Dans la détoxication des métaux lourds, on petit l’associer à la coriandre, à l’ail des ours, aux alques, à la pectine des fruits, à l’élixir du Suédois… Le produit Detoxik du labo Copmed contient de la chlorella.

Deux compléments alimentaires

Kitonorm®

Issu-du laboratoire Han Biotech, il est particulièrement efficace et parfaitement adapté à la détoxication rapide de l’organisme des polluants métalliques y compris radioactifs. . Ses principes actifs sont donc des bêta-chitosans, et aussi des polysaccharides (fibres alimentaires) spécialement traités et conjugués avec des acides aminés pour donner naissance à des principes alimentaires naturels nouveaux, chélateurs séquestrants extrêmement puissants. Ils sont solubles dans l’eau et donc d’une parfaite biodisponibilité. Ils manifestent une affinité très prononcée pour les métaux lourds, le mercure en particulier, et les principes radioactifs qu’ils captent et auxquels ils se lient dans l’organisme ; cela pour constituer des principes nouveaux qui sont facilement éliminés par les voies naturelles (foie, bile, selles, urine) selon le processus de la chélation détoxication physiologique.
C’est ainsi que, en deux à trois mois (3 à 4 capsules par jour), l’organisme est libéré de ses entraves toxicométalliques. Et les résultats sont sensibles et tangibles au niveau de l’état général.

Xenosulf®

Ce complément alimentaire permet alors de soutenir les fonctions hépatobiliaires. Ces composants (algues et plantes), agissent en synergie : ainsi, par exemple, l’extrait de pissenlit aide à supporter la fonction biliaire et la chlorella participe à la détoxification de l’organisme.
Ce produit est particulièrement utile en prévision de la dépose d’amalgames dentaires ou d’intoxication aux métaux lourds : ses composants ont pour leur grande affinité, leur capacité à éliminer les métaux lourds, et pour leur très faible affinité avec les minéraux essentiels présents dans l’organisme (1 comprimé après les deux repas, durant 40 jours, à renouveler éventuellement).

Restaurer l’écosystème intestinal

Charbon végétal activé

Ce produit aurait la capacité d’absorber et de drainer tous les produits toxiques contenus dans l’organisme et liés à l’intoxication médicamenteuse, alimentaire, industrielle ou même radioactive.
Proposé pour lutter contre les dérangements du système usage digestif (aérophagie, ballonnements, flatulences, diarrhée…),  il est idéal contre certaines formes d’intoxication et plus particulièrement lorsque les métaux lourds sont en cause. Son usage est salutaire pour les porteurs d’amalgames dentaires, intoxiqués au mercure de façon chronique.

Choucroute

Des aliments fermentés (par fermentation naturelle, évidemment), la choucroute est en haut du podium (citons aussi le miso japonais). D’abord, le principe de la fermentation permet à l’aliment de devenir particulièrement digeste, l’action des bactéries l’ayant en quelque sorte prédigérée. Elle désinfecte le système digestif et régénère la flore intestinale. Elle donne de l’énergie, désintoxique le corps contre la constipation. Sa richesse en vitamine C permet de mieux résister aux infections, d’améliorer les défenses immunitaires et de lutter contre les coups de fatigue.

Le jus de choucroute bio est une boisson hygiénique, tonifiante et d’un grand intérêt ou niveau de l’intestin pour recréer une excellente flore intestinale saprophyte ; elle donne d’excellents résultats dans les intolérances alimentaires ainsi que dans les affections intestinales d’intoxications.

Persil

C’est surtout un excellent neutralisant des effets négatifs dûs aux métaux lourds et autres toxiques par son effet sur le foie, la rate, le système digestif, voire sur le système immunitaire et les organes endocriniens ou, bien sûr, par la stimulation de la digestion et des reins.

Voir mon livre Pollution et Santé, Ed. Dangles, on y trouve un ensemble de méthodes pour chélater les métaux lourds, pour désintoxiquer l’organisme, pour lever les émonctoires bloqués (rein, intestin, pancréas), pour restaurer le microbiote, pour booster le système immunitaire et le moduler dans les maladies auto-immunes.

Les limites de l’auto-médication

A ce jour, l’expérience clinique se heurte à de réelles difficultés, car plus que de déloger les métaux lourds stockés, le plus difficile est d’en assurer l’élimination via l’un des émonctoires. Il est ainsi parfois plus problématique de gérer la remise en circulation de ces toxiques après une cure « détox naturelle » de chlorella, ail des ours, coriandre, voire par homéopathie.

Les remèdes naturels pour diminuer les métaux lourds et l’ensemble des polluants supposent la connaissance du terrain de la personne qui lui est spécifique. C’est ainsi que l’on parle de médecine globale ou holistique, qui mobilise tous les toxiques que l’organisme a stocké durant plusieurs années et déclenchent une avalanche d’effets secondaires.

Certains médecins pratiquent l’injection au DMPS. En premier lieu, éviter de recourir aux chélations chimiques – DMPS, DMSA, EDTA – qui altèrent les organismes.

Les produits « détox » ou régimes « détox » n’ont aucun rapport avec une désintoxication 100% naturelle, médicale et personnalisée des métaux lourds.

La nutrition, la micro-nutrition, les régimes et restrictions alimentaires n’ont aucun effet sur l’élimination des métaux toxiques. Un reportage tv France 5 « Alerte au mercure » a évoqué les nombreuses plaintes concernant les chélations chimiques.

Pour obtenir de réelles améliorations il faut vous aider d’un thérapeute expérimenté. Certains naturopathes sont aptes à « débroussailler » votre situation. Les médecins généralistes en sont inaptes. Je vous recommande une naturopathe qui s’est spécialisée dans l’élimination des métaux lourds : Corinne Allioux Golfarbe, qui dispose d’un appareil destiné aux bilans fonctionnels.

L’Oligoscan est un spectrophotomètre permettant d’analyser dans les cellules épithéliales de la paume de la main tous les éléments biochimiques pouvant s’y trouver naturellement (oligo-éléments, éléments traces, etc.), ou frauduleusement (métaux lourds).

Ce bilan non invasif est totalement indolore, extrêmement rapide (quelques dizaines de secondes), totalement reproductible et permet d’obtenir des résultats en moins de trente secondes. Il se présente sous la forme de tableaux et de graphiques immédiatement exploitables par le praticien qui peut l’utiliser pour donner des conseils aux patients et leur indiquer la thérapeutique adéquate.
Intérêts en médecine alternative :

Ce bilan est très complet. Il permet de connaître :

  • le degré d’intoxication aux métaux lourds.
  • les carences et les excès en oligo-éléments et éléments traces.
  • l’état du stress oxydatif et émotionnel.
  • l’équilibre acido-basique et le fonctionnement des métabolismes.
  • l’état de la muqueuse intestinale (HPI).
  • le fonctionnement des grands systèmes (digestif, nerveux, immunitaire, circulatoire).
  • les prédispositions morbides (diabète, allergies, fonctions cognitives, etc.)

En premier lieu elle procède à un bilan des métaux lourds, aux ratios des oligo-éléments (Co/Mg, Ca/P, K/Na, Cu/Zn), à l’évaluation du stress oxydatif, à la présence de l’ensemble des vitamines, à la qualité de vos phanères, des articulations, du poids, du mental de l’appareil digestif et de l’équilibre général.

Corinne Allioux Goldfarbe vérifie la perméabilité intestinale des amalgames dentaires, corrige le déséquilibre acido-basique, elle relance la capacité de détoxication naturelle, elle utilise la zéolite activée très antioxydante, l’acide fulvique chélateur efficace et non déminéralisant, le souffre, le lithium, des complexes hépatiques et antioxydants. Elle vous prodigue des conseils hygiénistes.

Après ce programme, elle vous conseille de faire un nouveau bilan de contrôle.

Son atelier de naturopathie :

25, passage des Panoramas (Paris 2e), à 100 mètres du métro Grands Boulevards.

Pour les thérapeutes je leur recommande deux livres :

Pollutions et santé aux éditions Dangles, livre incontournable qui décrit l’ensemble des pollutions, leurs conséquences et les différents traitements actualisés.

Les dégâts des métaux lourds, prévention et détoxication naturelles, éditions Guy Trédaniel.
Dans une prochaine lettre j’aborderai l’électro-sensibilité dont les causes sont les métaux lourds et les cristaux de magnétite. Là aussi nous disposons d’un ensemble de remèdes efficaces.