Les contaminations virales repartent à la hausse depuis le mois de juillet, comme les passages aux urgences, boostés par un nouveau variant baptisé Éris. Provoquant fortes fièvres, fatigue, courbatures… le virus qu’on avait un peu oublié gâche même les vacances de certains. L’été est propice aux rassemblements ainsi le Covid a fait son grand retour.
On connaît des gens infectés par le Covid. Mais au-delà de l’ « Impression » d’une résurgence de cas, l’épidémiologiste Mircea Sofonea analyse les rares données encore disponibles sur l’évolution du virus. Pour ce chercheur de l’université de Montpellier, la reprise de sa circulation est indéniable. Sa situation estivale est difficile à cerner car la surveillance mise en place par les autorités est dégradée. Nous avons aujourd’hui à peu près la même visibilité sur le virus qu’avant le premier confinement ! On sait qu’il circule, qu’il y a des poches de contamination, mais il est impossible, avec les moyens actuels, de connaitre son ampleur exacte et donc de se projeter. Mais les rares éléments objectifs dont nous disposons sont clairs : oui, il y a une reprise épidémique.
L’augmentation constatée en juillet se poursuit, en France et en Europe de l’Ouest.
Comment l’expliquer ?
Par l’alliance de trois aspects : en premier lieu, le déclin immunitaire : l’efficacité du vaccin qui s’étiole avec le temps, et donc protège moins bien tout en générant moults effets secondaires.
Ensuite, par l’évolution virale : on relève de nouvelles mutations, comme EG.5.1, en passe de devenir majoritaire.
Enfin, le contexte estival est propice à la diffusion du virus, avec des événements de grande promiscuité tels que les festivals.
Alors que les vacances battent leur plein, le virus revient jouer les rabat-joie. Aux Fêtes de Bayonne (Pyrénées-Atlantiques), qui ont rassemblé début août 1,3 million de personnes, une flambée de cas a succédé aux festivités.
S’il continue de gagner du terrain, et que des épidémies de grippe et de bronchiolite s’ajoutent, la répercussion sur les centres hospitaliers sera réelle. Et même si les clusters actuels concernent surtout les jeunes, les chaînes de transmission vont se mettre en place jusqu’aux plus vulnérables.
Que faire ?
Mettre en garde à nouveau la population qui n’a pas fini de digérer les 3 ans de purgatoire ou d’enfer pour certains !
D’où procéder avec parcimonie, car des messages trop restrictifs ne seraient pas audibles. L’enjeu est dans les coulisses : il faut réinstaurer un système de surveillance plus réactif.
En cette fin du mois d’Août, on est toujours tributaires des données anglaises et suisses. De nouvelles mesures se mettent en place : le masque qui, dans les transports et dans les foules, fait un discret retour sur les visages. L’été est propice aux rassemblements et le virus circule avec les hommes, profitant ainsi des chassés-croisés et du brassage de population pour passer d’un organisme à l’autre. Et aussi, parce qu’il est boosté par la vigueur d’un petit nouveau : EG.5.1, surnommé aussi Éris, un sous-variant d’Omicron qui s’impose en France, aux États-Unis ou en Asie et a été classé comme « à suivre » par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Soupçonné d’être plus contagieux que ses prédécesseurs, il pourrait favoriser encore la prolifération des cas. On observe une nouvelle hausse de passages aux urgences pour suspicion de Covid chez les moins de 2 ans (+ 56 %) et les adultes (+ 34 % par exemple chez les 75 ans et plus). Ce sont les Pays de la Loire qui enregistrent la plus forte augmentation, avec + 210 %, suivis de la Normandie, avec 71 %.
Les questions que l’on se pose avec le retour du Covid
Combien de temps est-on contagieux ? D’où vient le nouveau variant ? Les autotests sont-ils fiables ? Alors que les contaminations repartent à la hausse l’OMS et les autorités sanitaires américaines ont annoncé examiner la souche BA.2.86. Son nombre de mutations et sa détection dans plusieurs pays ont alerté les scientifiques. Une lignée hautement mutée du virus a fait son entrée, vendredi 18 août, dans la liste des variantes « sous surveillance » de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Aux États-Unis, les GDC (centres pour le contrôle et la prévention des maladies) le surveille.
Son nombre de mutations élevé – plus de 30 – avec la variante actuellement dominante (XBB.1.5) et sa détection sur plusieurs continents, ont alerté les scientifiques. Repéré pour la première fois fin juillet, il a été signalé en Israël, aux Etats-Unis et au Royaume-Uni. Les mutations portent sur la protéine spike, qui permet au SARS-Cov-2 de pénétrer l’ensemble des organes de l’hôte.
Risque d’échappement immunitaire
Selon une évaluation des risques publiée par l’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA), «il existe suffisamment d’informations pour s’attendre à un changement antigénique significatif. Il existe également des mutations dans la Spike qui peuvent être associées à des modifications d’autres propriétés virales. En d’autres termes, le risque d’échappement immunitaire est important. Ce variant sera-t-il plus ou moins virulent que les précédents ? Rien ne permet aujourd’hui de le dire.
La similitude des séquences génétiques du nouveau variant suggère une « émergence relativement récente et une croissance rapide », selon l’UKHSA, qui rappelle toutefois que cette « analyse est provisoire », au regard du faible nombre de séquences étudiées. Les trois experts interrogés jugent « tout à fait possible » la présence du virus en France. « C’est très probable que le virus se soit déjà installé dans nombre de pays mais, comme la plupart des pays ont baissé la garde de la veille sanitaire, ils risquent de ne le découvrir qu’assez tardivement », avance le virologue Antoine Flahaut. BA.2.86 sera-t-il étouffé par les autres variants ou gagnera-t-il du terrain ?
Aujourd’hui nous sommes dans une période d’élucubration : une épée de Damoclès plane au-dessus de notre tête. Attendons septembre pour suivre l’évolution.
Que faire en attendant ?
Depuis plus de 3 ans nous avons vécu des périodes de souffrance physique et morale. N’oublions pas les 170.000 morts ! Certaines familles restent désespérées de n’avoir pas tout essayé pour s’en sortir. Aujourd’hui les 50 à 70% des Français qui recourent aux médecines alternatives savent que la clé centrale est l’immunité. Ainsi, ils ont blindé leur système immunitaire avec la prise de STIMU+. Ce produit qui recèle 3 champignons, l’Échinacée, 4 huiles essentielles immunostimulantes, les vitamines B, le fer, le zinc, le cuivre et le sélénium.
Prendre 3 fois 2 gélules durant la période d’attaque virale.
STIMU+ est le produit naturel le plus performant pour booster les défenses naturelles.
Ajouter un probiotique ORTHOFLORE, 1 gélule le matin à jeun, un mois.
L’algue Aphanizomenon (AFALG) qui recèle une centaine de principes actifs. 3 à prendre en posologie progressive (3 fois 2 gélules)
Ainsi vous survolerez la pandémie dont on ne sait quand elle va s’arrêter.
Labo phyt-Inov tel : 0041324668914, une naturopathe pourra répondre à vos interrogations.
Je vous rappelle que la grippe espagnole qui a fait 80.000 morts en 1914 et 1918 s’est étalé sur 3 ans avec 3 phases.
J’allais oublier, le ministère de la santé qui veille sur vous et vous rappelle qu’il reste quelques vaccins à subir : le dernier variant du covid, la bronchiolite, le papillomavirus… Derrière ce vaccin « gratuit » contre le papillomavirus se cache une bombe sanitaire. A la rentrée, un millier d’élèves de 5e, garçons et filles, vont gratuitement bénéficier du vaccin contre le papillomavirus. Et pourtant le Gardasil a toujours suscité une intense controverse depuis sa commercialisation en 2006 (accidents neurologiques nombreux, pancréatite, maladies auto-immun, ménopause précoce…) Pourquoi vacciner aussi les enfants de 12ans-14ans ? Alors qu’il existe des huiles essentiels aptes à le remplacer. Vous trouverez ce traitements naturel dans mon livre Tout savoir sur les virus et y faire face (14€).
Vous y trouverez aussi :
- Atteinte ultérieure de la maladie d’Alzheimer
- Comment prévenir la maladie ?
- Traitement du covid long
- Retrouver le sommeil, clé de voûte de l’immunité
- Huiles essentielles pour le retour de la mémoire
- L’immunité cellulaire
- Les compléments alimentaires
Ainsi vous êtes paré et prêt à faire face…Tout logiquement, porter un masque lorsqu’il y’a une foule.
ejjkxo