Notre monde a connu de grandes périodes depuis les débuts de l’ère chrétienne : le Moyen Âge, la Renaissance, la Belle Epoque, celle des premières années du 20ème siècle considérées comme particulièrement heureuses, les « trente glorieuses » après la 2ème guerre mondiale.
Aujourd’hui, nous sommes plongés dans ce qu’on peut considérer comme une période luciférienne où domine Lucifer : étymologiquement « lux » est la lumière, ferein (φέρειν) en grec ancien signifie « porter », c’est l’ange qui porte la lumière, un ange déchu après sa révolte contre Dieu.
Les événements fâcheux qui illustrent la période satanique actuelle ne manquent pas. Les nouveaux « guides » sont puissants, directement ou indirectement, ils possèdent les médias et ils ont réussi à prendre le contrôle de tous les organismes internationaux : ONU, UNESCO, GAFAM, Commission européenne, OMS, Cour européenne des droits de l’homme et tutti quanti.
« Wokisme », « transgenrisme », « réchauffement climatique » « intelligence artificielle », « écriture incluse », « transhumanisme ».
- Ces mouvements culturels et intellectuels internationaux sont puissants et déstructurants, leurs principales armes sont :
- Les idéologies destructrices des individus et de la civilisation occidentale que sont le « wokisme » et le « transgenrisme », des constructions intellectuelles qui ne reposent sur aucune réalité biologique ou sociale et qui sont imaginées dans les cerveaux malades d’universitaires à la solde de Bill Gates et de ses amis ;
- Le faux réchauffement climatique d’origine humaine (et animale, puisqu’il veulent empêcher les vaches de roter et de péter) et la peur de mourir à cause du soleil et du manque d’eau ;
- Les futures données numériques individuelles centralisées par les politiciens et les fonctionnaires (identité numérique, carnet « va xi nal » numérique, euro numérique).
Les véritables dangers de l’intelligence artificielle et des nouvelles technologies dont elle prendrait le contrôle en recourant à :
- La réalité virtuelle (VR) ;
- L’impression 3D ;
- L’internet des objets (IoT) ;
- La robotique avancée/autonome
Nous subissons une véritable campagne de propagande qui nous alerte insidieusement des terribles et mystérieux nouveaux dangers qui menaceraient l’espèce humaine.
Le wokisme
Le wokisme est un mouvement social qui se développe aujourd’hui en France. Inventé pour dénoncer les discriminations envers les minorités, son sens est aujourd’hui bien plus large, ce qui lui apporte des critiques ainsi que des détracteurs.
Né aux États-Unis, le wokisme est un mouvement social qui a connu une évolution notable, que ce soit vis-à- vis de son sens ou de ses revendications. Aujourd’hui, cette idéologie suscite un intérêt grandissant dans notre société, mais aussi de nombreux opposants. Certains évoquent le fait que le wokisme représenterait un danger.
Issue de l’anglais « woke » pour « awake », qui signifie « éveillé », cette idéologie désigne le fait d’être conscient des problèmes de justice sociale et de racisme au sein de notre société. Les personnes qui se revendiquent du « wokisme » sont donc considérées comme étant « woke ».
Le wokisme définit aujourd’hui un mouvement beaucoup plus large. Il dénonce l’ensemble des injustices sociales telles que celles concernant les femmes, la communauté LGBT et les immigrés. La particularité de ce mouvement est qu’il s’attaque aux injustices non évidentes qui se répandent au sein de notre société. Elles se manifestent par de petites discriminations qui créent un sentiment de racisme ou de sexisme. Il peut s’agir d’actes plus ou moins conscients, tels que le fait que certains recruteurs, à profil égal, vont recruter un homme plutôt qu’une femme. Ainsi, ce sont ces comportements involontaires qui sont dénoncés par le wokisme. Ces formes de discriminations sont beaucoup plus subtiles et moins visibles que celles d’un militant raciste ou sexiste.
L’objectif de ce mouvement social est de sensibiliser les populations, notamment blanches, à ces préjugés qui ont été intégrés inconsciemment. Le terme de « privilège blanc » (ou white privilege en anglais) désigne le fait que les populations blanches, et particulièrement les hommes blancs hétérosexuels, sont visés par moins de discriminations que les autres groupes d’individus.
Si la culture woke a connu un grand succès dans son combat contre les discriminations et les inégalités, elle a été critiquée pour sa tendance à diviser les gens et à polariser les débats sur les réseaux sociaux. Certaines personnes accusent ce mouvement de censure et de politiquement correct, tandis que d’autres soutiennent que c’est un moyen nécessaire de promouvoir l’égalité et la justice.
Malgré les critiques, cette culture continue d’influencer la culture populaire à travers le monde. De nombreuses entreprises et organisations ont adopté des initiatives en ce sens pour montrer leur engagement en faveur de l’égalité et de la justice, et de nombreuses conversations sur les réseaux sociaux et dans les médias mainstream portent sur les questions de discrimination et d’inégalité.
Parmi les autres critiques du wokisme, on retrouve aussi la division de la société en plusieurs groupes distincts, ce qui aurait pour effet d’exacerber les tensions sociales. Autre reproche vis-à-vis de ce mouvement : l’uniformisation de la pensée, cette fameuse « pensée unique » ou « bien-pensance », encline à réprimer les opinions divergentes. Certains vont même jusqu’à avancer que le wokisme encourage ou provoque une « victimisation » des individus. Il peut aussi mener à une simplification excessive de questions sociales complexes.
Cela dit, une approche manichéenne du sujet doit être évitée. Si les excès sont à proscrire, cette vision a mené à de nombreuses avancées sociales et pousse les personnalités à être irréprochables au sein de leur propre communauté.
Le faux réchauffement climatique
Spécialiste reconnu des avalanches, le Suisse Werner Monter planche nuit et jour depuis trois ans sur le réchauffement climatique. Et pour lui, l’homme n’y est pour rien !
« C’est de l’arrogance de croire qu’en 150 ans d’industrialisation nous avons changé le climat ! Précisons tout d’abord que je ne conteste pas le réchauffement lui-même. Je l’ai d’ailleurs constaté en tant que guide de montagne en voyant les glaciers reculer.
Ce que je remets en cause, ce sont les causes de ce réchauffement. Elles n’ont rien à voir avec l’homme ou avec le CO2 comme on nous le serine. Je suis arrivé à cette conclusion grâce à trois observations. »
1/ La première, c’est tout simplement l’analyse des données climatiques reconstituées sur des millions d’années. Rien que dans les 10.000 dernières années, il y a eu cinq pics de températures comparables à celui que nous vivons. Ces « optima » correspondent à des cycles naturels. Au Moyen Age, il était par exemple possible d’aller en vallée d’Aoste depuis Arolla avec les troupeaux car le glacier n’existait plus. Lors des deux premiers pics, le Sahara était une savane avec des lacs, des arbres et des éléphants. Avant cela, pendant des centaines de milliers d’années, il a fait plus chaud qu’aujourd’hui. Et parfois jusqu’à 7 degrés plus chaud ! Or le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) se concentre sur les 150 dernières années.
Les reconstructions paléoclimatiques montrent aussi que, pendant des centaines de millions d’années, il n’y a pas eu de corrélations entre le CO2 dans l’atmosphère et la température sur terre.
2/ La seconde observation : Soit dit en passant, le CO2 est un gaz vital et non pas un poison. Sa concentration dans l’atmosphère est négligeable : un peu moins de O,5 %, dont au maximum 5 % sont imputables à l’homme. Pour un million de molécules d’air, il y a seulement 20 molécules de CO2 produites par l’homme. Chaque année, notre industrialisation rajoute 4 molécules de CO2 pour chaque million de molécules d’air, mais la moitié est absorbée par les océans et les plantes. Et on veut nous faire croire que cette infime proportion due à l’homme est une catastrophe ! Pourquoi dès lors la thèse officielle fait quasi consensus ?
Ces théories visent à nous culpabiliser. Quand des scientifiques comme ceux du GIEC disent qu’ils veulent sauver la planète, je dis qu’ils ne sont pas crédibles. Ils mentent pour préserver des intérêts économiques dont les leurs. Car il y a tout un business derrière la lutte contre le réchauffement. Il y a une volonté de faire peur aux gens en dramatisant la montée des océans, alors que ceux-ci ne s’élèvent que de 2 à 3 mm par an !
C’est aussi une manipulation intellectuelle de parler de CO2 en tonnes plutôt qu’en proportion.
Des tonnes, ça impressionne, mais rappelons que l’atmosphère pèse cinq millions de milliards de tonnes !
3/ Le dernier argument est que la thèse officielle contredit les lois de la physique.
Celle de la thermodynamique en particulier. Pour faire simple : la terre fait 15° de température en moyenne. L’atmosphère censément polluée de CO2 est grosso modo à – 30° C à 10 kms d’altitude.
La thermodynamique, qui étudie les propriétés des systèmes où interviennent les notions de température et de chaleur, nous dit que la chaleur va toujours vers le froid et jamais dans le sens inverse, ce qui correspond à notre expérience quotidienne. Alors au final, comment expliquer ce fichu réchauffement ? Les hypothèses abondent. Je soupçonne par exemple les variations de l’intensité du rayonnement solaire – qui répondent à des cycles – de jouer un rôle central, tout comme les processus nucléaires complexes et méconnus qui sont à l’œuvre au centre de notre Terre.
Quoi qu’il en soit, c’est de l’arrogance de croire qu’en 150 ans d’industrialisation nous avons changé le climat. La nature est bien plus forte que l’homme, nous ne sommes pas les maîtres de la Terre !
Et si le réchauffement climatique n’était que le prétexte à la création de nouvelles taxes ?
Et si le fait que la Sibérie devienne cultivable n’était pas une catastrophe ?
Et si ceux-là même qui sont incapables de prévoir la météo à plus de 5 jours et qui prétendent savoir le temps qu’il fera dans 50 ans, nous prenaient pour des débiles ?
Et si la sagesse consistait à dire qu’on n’en sait rien ?
Et si on commençait à raisonner par nous-mêmes au lieu de gober tout ce qu’on veut nous imposer ? Dans « imposer », il y a « impôt » !
L’écriture inclusive
Apparue dans les années 2010 sous l’impulsion de mouvements féministes, l’écriture inclusive vise originellement une égalité de représentation entre les hommes et les femmes dans les textes.
Elle recouvre l’«expression» inclusive, qui utilise les doublets et les termes épicènes (ces mots dont la forme ne varie pas selon le genre) ainsi que l’« écriture » inclusive qui introduit des codes typographiques comme le point médian, grand objet de crispations. Si le « étudiantes et étudiants » est devenu ordinaire sur les sites internet des universités, le « étudiant-e-s » y est de plus en plus fréquent dans des établissements tels que Paris-VIII (Saint-Denis), Rennes-II ou Toulouse II-Jean-Jaurès.
« Votre réponse (…) peut se faire en français standard ou inclusif, avec la forme d’inclusivité que vous maîtrisez. Dans l’énoncé, les mots présentant une marque de genre non binaire ou commun sont suivis lors de leur première occurrence d’un astérisque. » Deux professeurs de l’Université Lumière Lyon 2 ont proposé à leurs étudiants en droit un cas pratique comportant les termes « als » (comprendre « ils » ou « elles »), « touz » (« tous » ou « toutes »), ou « auz » (« eux » ou « elles »). La bataille idéologique autour de l’écriture inclusive vient de franchir un nouveau cap avec l’arrivée de l’écriture « non binaire » dans un examen. Un langage fait de néologismes – sur le modèle du fameux « iel », entré en 2021 dans l’édition numérique du Robert -, pensé pour représenter des personnes « non binaires » (qui ne se sentent ni homme ni femme). Il se propose de « dépasser l’hétéronormativité », qui « reproduit la bicatégorisation des sexes », et d’« adapter la langue à leur réalité », expliquent les militants de la cause.
Statisticien, Cyrille Godonou a relevé la présence du point médian et ses variantes typographiques sur les pages d’accueil des universités françaises. Menée pour l’Observatoire du décolonialisme, son étude, publiée en février 2023, montre qu’un étudiant sur quatre est « exposé » à cette écriture inclusive. Avec des différences selon les territoires. Très présente en Bretagne (54 % des étudiants exposés), la pratique est absente en Corse ou dans le Grand Est.
Pour les personnes non-binaires, qui « veulent voir la fin de l’invisibilisation de leurs existences », les titres de civilité doivent être adaptés : « Mix » (abrégé Mx) est le plus populaire, emprunté à l’anglais. Le blog « La vie en queer » suggère aussi « misix, monestre (version vieillie de “mon être ») »… Au lieu de papa et maman, pourquoi pas « mapa » ?
Oncle et tante deviennent « tonde », et maternité et paternité… « neuternité ». Au désormais fameux « bonjour à tous, tes », il faut préférer « touz », qui ne vise pas à inclure tout le monde, mais à désigner plus spécifiquement des personnes non-binaires. Pour les adjectifs, des formes émergent, dotées d’un « x » final, comme par exemple « surprix ». « Iel était mignonx avec sa cravate et sa jupe », énonce ainsi le Guide de grammaire neutre et inclusive de l’association canadienne Divergenres. Mais quand « cet/cette » devient « cèx », ça coince : « lorsque certains mots deviennent, à l’oral, trop près d’autres mots de la langue française (ici « sexe »), nous allons utiliser la formule épicène par souci de clarté », précise le guide.
« Si la langue française est vivante, pourquoi son écriture n’en serait-elle pas de même ? », interroge une personne intéressée. « Pour permettre à chacun-e de se sentir concerné-e, il est primordial de s’affranchir des normes construites jusqu’ici. Et d’en créer de nouvelles à l’image de nos identités fluides. »
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Si je vous ai imposé (presque !) ces abominations, c’est pour vous mettre en garde. La grande pandémie et ses variants ont déjà sollicité nos méninges. Depuis quelques années on relève des troubles mentaux chez nos jeunes !
« Ouf ! » diront certains lecteurs qui ont tout dévoré. Je vous rejoins. Mes études d’anthropologie ne m’ont pas servi pour décoder ces grands changements sociaux et sociétaux. J’y ai même perdu mon latin. Il m’est arrivé de n’y comprendre que dalle !
Feue ma grand-mère, major du canton au certificat d’études, aurait conclu : « Faut être fada pour pondre tant d’âneries ! »
Le contrôle du cerveau reste un des grands enjeux de notre 21ème siècle. C’est le monde menaçant d’Orwell qui progressivement se développe.
L’humanisme nous invite à apprécier les capacités de l’homme et à utiliser les moyens disponibles pour améliorer le devenir de tous. On peut se fourvoyer dans des considérations confuses ou anachroniques. Qu’elles soient scientifiques, philosophiques, culturelles, religieuses ou politiques, les voies conduisant à l’égarement sont multiples. Cependant, l’homme doit savoir mettre à profit les expériences de contradictions, d’égarements et de déviances pour reconduire l’humanité vers des pensées, des moyens et des actes toujours plus élaborés et plus judicieux.
Parallèlement à ces mouvements déstabilisateurs, d’autres courants prennent une autre direction pour s’orienter par exemple vers le sacré. Les méditations spirituelles restent un moyen fondamental de se tourner vers le divin, assurant la paix de l’âme et du corps.
La journaliste Sonia Mabrouk, qui brille sur CNews, vient de publier « Reconquérir le sacré » aux éditions de l’Observatoire. D’autres ouvrages vont nous remettre sur le droit chemin.
Un florilège
Lorsqu’elle est bien comprise, la Bible est l’histoire du constant effort que fait l’homme pour entrer en contact avec cette Sagesse qui, progressivement, s’exprime à travers lui. Toutes les idées élevées, toutes les aspirations spirituelles de l’homme ont toujours été les doux murmures de cette Sagesse qui s’avance vers un éternel progrès.
Dans la Genèse, la terre était vide et sans forme ; dans l’Apocalypse, la cité carrée est clairement décrite. Dans la Genèse, les ténèbres recouvraient la terre, dans l’Apocalypse il n’y a plus de nuit et la lumière du soleil n’est plus nécessaire. Dans la Genèse tout est chaos, dans l’Apocalypse l’ordre parfait règne. La Genèse parle de larmes et de sanglots ; l’Apocalypse dit que Dieu a essuyé toutes les larmes. Le péché vient au monde dans la Genèse ; il est effacé jusqu’au souvenir dans l’Apocalypse. La Genèse parle de maladie ; l’Apocalypse de guérison. La Genèse évoque la souffrance et la tristesse ; l’Apocalypse nous dépeint l’homme chantant à jamais les louanges de Dieu.