Seul Arte a eu le courage de s’attaquer à Big Pharma. Le documentaire intitulé « Big Pharma : labos tout puissants » vient d’être diffusé pour la 2e fois. Le journaliste d’investigation Luc Hermann s’attaque à l’industrie pharmaceutique, présentée comme aussi puissante qu’un État.

On les surnomme les “Big Pharma” : à eux seuls, Novartis, Roche, Pfizer, Johnson & Johnson ainsi que Sanofi, contrôlent la majeure partie de la fabrication de médicaments.

Cette enquête internationale menée par l’ex-chroniqueur de « C politique » dénonce les nombreuses dérives et conflits d’intérêts autour des grands laboratoires, dont le français Sanofi.

Tout au long du documentaire on découvre des gens cupides et sans scrupule. Leur objectif : amasser des fortunes pour les actionnaires. Quant aux malades c’est le cadet de leur souci.

Tous ces labos sont protégés par leur différent gouvernement. Autrement dit c’est le peuple qui paye les dégâts causés par leur produits !

La recherche n’est pas leur pain quotidien. D’autres s’en chargent. En premier lieu ils ne sont intéressés que par les maladies qui atteignent une majorité de gens. Depuis presque deux ans, on les a vu à l’œuvre pour sélectionner des vaccins face au Covid-19. Pour promouvoir leurs produits, ils disposent de réseaux d’influence et l’appui des journalistes et du corps professoral.

Que devient la recherche ?

Rappelons qu’elle est financée par les fonds publics. Par ailleurs, la recherche est une loterie ! Comment découvrir la bonne molécule qui va traiter des millions de malades ?

Ainsi, les innovations proviennent de la recherche publique, les découvreurs de la jeune entreprise innovante créent une start-up, que ces gros labo rachètent pour une poignée de dollars.

Ainsi fonctionne toute société capitaliste avec ses règles capitalistes : tout pour les actionnaires ! Le modèle économique est détraqué.

Une litanie de scandales

Big Pharma a le monopole sur certaines maladies. Évidemment les maladies orphelines ne les intéressent pas. Pour cela il y a les téléthons qui sollicitent les âmes généreuses !…

Par ailleurs, la plupart de ces produits chimiques sont iatrogènes : on relève une litanie d’effets secondaires.

On a tous en mémoire le Médiator qui a semé la mort particulièrement en France. Il a été retiré 30 ans après le début de la commercialisation.

La Dépakine, découverte en 1967 et exploitée par le labo Sanofi, est le remède de l’épilepsie, malheureusement personne n’a évoqué la contre-indication majeure à savoir la grossesse. Résultat : des milliers de bébés handicapés mentaux et physiques. Et pourtant le labo était au courant depuis 1970. C’est en 2015 qu’il a enfin dévoilé l’information : un demi-siècle après la mise en circulation !

Qui va indemniser les victimes ? Sanofi n’est ni responsable ni coupable ! On connait la chanson…

Seule consolation : l’agence européenne du médicament a pu faire mettre un pictogramme en couleur sur les boîtes de Dépakine.

Et la valse macabre continue… On allait oublier la DMLA : la dégénérescence maculaire liée à l’âge, il s’agit de la première cause de malvoyance en France : plus d’un million de Français de plus de 65 ans sont touchés, chiffre qui sera multiplié par 3 d’ici 25 ans. Faites le calcul pour l’ensemble de la planète.

C’est le labo Genentech qui a décroché le jackpot. Le produit est l’Avastin qui traitait au départ le cancer du côlon, le flacon coûtait 50$. Cette molécule pourrait être essayé dans la DMLA. Son action est positive. Ainsi commence l’information auprès des ophtalmo : il suffit de l’injecter dans l’œil (Aïe Aïe !), on l’appellera Lucentis.

Deux labos suisses sont vivement intéressés. Le labo Novartis le commercialisera pour l’ensemble des indications. Le labo Roche qui le rachète 12 milliards, ne peut le prescrire qu’en Europe, cela fait quand même de la monnaie.

Aux États-Unis c’est le pompon !

Les fabricants imposent leur prix.

C’est ainsi que la survenue de l’épidémie d’hépatite C fut une bénédiction. C’est le labo Gilead qui hérite de la molécule. 600000 Français infectés par l’administration de produits sanguins en sont atteints, 4 personnes sur 5 avec une évolution chronique de la maladie.

Sovaldi – le nom du remède – guérit tous les infectés. Mais ne vous réjouissez pas trop vite ! On peut vous sauver pour 84000 dollars la cure (1000 dollars le comprimé)… je répète, 1000 dollars le comprimé.

On concède un discount pour l’Europe qui obtient le remède pour 40000 dollars la cure pour finir par 24000 dollars.

Je signale qu’en France nous disposons d’une thérapie naturelle sous forme de compléments alimentaires qui enraye cette maladie virale. C’est le Silydium, il contient de l’huile essentielle de carotte cultivée et des extraits secs de chardon Marie, de Desmodium et de Chrysanthellum.

En 2 à 3 mois le Silydium guérit toute hépatite dont l’hépatite C. La boîte de 100 gélules coûte 42€. On le trouve au labo Phyt-Inov. Il ne reste plus qu’à l’expérimenter en milieu hospitalier. Mais qui va oser ! Cela causerait une énorme brèche dans la stratégie de Big Pharma, si les résultats seraient là. Et ils sont là ! je l’expérimente depuis 20 ans !

Un rebond inquiétant

L’Europe est en pleine reprise de l’épidémie quasiment tous les pays sont touchés.

Le Vieux Continent est confronté à une recrudescence du Covid-19, plus ou moins intense selon les pays. Restrictions, vaccinations de rappel… Chacun réagit à sa manière.

Le gouvernement français ne parle pas encore de « cinquième vague », mais de « léger rebond ». Le nombre de cas positifs recensés chaque jour est repassé, au-dessus de la barre symbolique des 5 000. La hausse est certainement sous-estimée en raison de la fin du remboursement des tests dits de confort pour les non-vaccinés. Le nombre d’hospitalisations quotidiennes a aussi augmenté, de 14 % en une semaine. On en dénombre 220 par jour, ce qui reste très loin du pic atteint fin août (900). Même chose pour les admissions en soins critiques : 51 par jour, en hausse de 12 % en une semaine.

Peu à peu, la carte de l’Europe se colore de rouge. Le nombre de cas de Covid-19 recensés chaque jour a augmenté d’une semaine à l’autre dans la quasi-totalité des pays du continent La hausse est parfois contenue et part d’un niveau assez bas, comme en France, mais la tendance est générale : + 37,2 % en Italie, + 48,5 % en Allemagne, + 57% en Autriche, avec des pointes à 95 % en Pologne et même plus de 120 % en République tchèque…

Pour expliquer cette reprise, on évoque l’arrivée de la saison froide, propice aux contaminations car on se réunit davantage en lieu clos, et la baisse d’efficacité des vaccins s’observe au fil des mois.

Vers un reconfinement en Bulgarie ?

La Bulgarie compte demander de l’aide à ses voisins pour hospitaliser ses patients, et n’exclut pas un reconfinement comme dans une bonne partie des Balkans et de l’Europe de l’Est, une « flambée » des contaminations a démarré dès le mois de septembre.

En Autriche, un plan en plusieurs étapes a été annoncé en dernier recours, si le nombre de patients covid-19 en soins critiques dépasse 600 (soit deux fois et demie plus qu’aujourd’hui), les habitants non-vaccinés pourront être confinés. Une mesure choc, loin de faire l’unanimité. « Cela constitue une marche trop importante et les inconvénients pourraient être pires que les avantages espérés, notamment par rapport au vivre-ensemble et à la cohésion de la société », juge un épidémiologiste.

En Allemagne, des règles différentes selon qu’on est vacciné ou pas. Autre piste : imposer un pass vaccinal. Dans ce cas, un test négatif ne suffit plus pour aller au restaurant ou au cinéma, il faut être vacciné. Quatre mois, c’est la durée du confinement que la ville de Moscou vient d’imposer à tous ses habitants non-vaccinés de plus de 60 ans. « La vaccination à elle seule ne suffit pas »

En France, depuis le 15 octobre, la fin du remboursement des tests pour les non- vaccinés (sauf s’ils disposent d’une prescription médicale ou s’ils sont cas contacts) les a déjà largement pénalisés. Le gouvernement compte se garder la possibilité d’imposer le pass sanitaire jusqu’au 31 juillet. En parallèle, certains journalistes, le corps professoral et les ministres ne cessent d’appeler les personnes éligibles à recevoir leur dose de rappel, censée « booster » leur immunité et leur protection contre l’infection.

Et l’épidémiologiste Antoine Flahault de conclure : « sans les vaccins, le Royaume-Uni aurait probablement 1000 décès par jour (contre 130 aujourd’hui). Mais comme le prouve l’exemple de ce pays, la vaccination à elle seule ne suffit pas à contenir la circulation du virus. »

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A la suite de cette reprise épidémique, on devine le nombre de personnes qui vont présenter une série de pathologies mentales ou de suicide. Ce qui va réjouir Big Pharma. C’est un nouveau grand chapitre qui s’ouvre pour ces vampires du dollar. On pourra compter sur les benzodiazépines, les neuroleptiques et d’autres antidépresseurs…

Je n’aime pas terminer sur une note peu réjouissante à savoir ce contexte de souffrance qui ne s’arrête pas ; je vous conseille de prendre Quiet-Full (2 fois 2 gélules) pour atténuer ce mal-vivre (Phyt-Inov).

Parallèlement, la recherche ne chôme pas. Les vaccins et autres vieilles thérapies inexploitées peuvent avoir encore de beaux jours devant eux.

C’est ainsi que la France a commandé de quoi soigner 50000 patients avec le Molnupiravir. Ce médicament développé par la firme Merck est annoncé pour limiter le risque de forme sévère du Covid-19.

En début de semaine, l’Agence européenne des médicaments (EMA) avait annoncé le lancement d’une procédure d’examen accéléré de ce traitement. Comment être persuadé de la fiabilité de ce produit ?

Le Molnupiravir est un antiviral. Il est administré par voie orale à des patients déjà infectés, testés positifs et symptomatiques. En ciblant des protéines virales, il pourrait affaiblir la capacité du virus à se répliquer dans le corps et ainsi réduire l’hospitalisation ou le décès chez les patients atteints du Covid-19. L’efficacité atteindrait 50 %, d’après le laboratoire.

Un remède très intéressant mais « il ne faut pas que les gens non vaccinés se disent : on a un traitement, youpi ! Je ne me fais pas vacciner et j’aurai un médicament si je me fais infecter », exhorte Mathieu Molimard, chef du service de pharmacologie médicale au CHU de Bordeaux (Gironde). Cette pilule n’est pas destinée à protéger de l’infection ni des formes symptomatiques classiques.

Ce médicament ne pourrait pas non plus être administré à tout le monde. Car le Molnupiravir pourrait provoquer des mutations au sein du matériel génétique des cellules. « Si c’est confirmé, il ne faudra pas le donner à des femmes enceintes et s’assurer d’une contraception efficace, pour ne pas prendre le risque de malformations », ajoute Mathieu Molimard. Plus globalement, on manque encore de recul sur les possibles effets indésirables.

Enfin, ce traitement coûte cher (600 € par personne). Un élément qui, s’il n’est pas prioritaire s’agissant de la santé, est aussi à prendre en compte.

Aux 6 autres produits déjà disponibles que nous avons évoqué dans un article, le Molnupiravir qui s’accompagne de nombreux points négatifs que reconnait le fabriquant, ce qui ne pose pas problème pour Big Pharma !

Portez-vous bien ! Vous avez de quoi vous soigner !

Avant de vous quitter, j’ai une excellente nouvelle à vous annoncer :

Décision de la cour européenne concernant l’interdiction de l’obligation vaccinale

L’interdiction de « l’obligation vaccinale » a été adoptée par la Cour Européenne

Date de l’article : 10 juillet 2021

La Cour européenne a enfin statué sur l’interdiction de l’obligation vaccinale. Le lien en français est à la fin avec les articles de loi de la Cour européenne.

Toute obligation de vaccination est désormais illégale par défaut. Le Conseil de l’Europe (à ne pas confondre avec l’UE), auquel appartiennent tous les Etats européens à l’exception du Belarus, du Kosovo et du Vatican qui est le parrain de la Cour européenne des droits de l’homme, a décidé le 27.01.2021 dans sa résolution 2361/2021, entre autres, que personne ne peut être vacciné contre sa volonté, sous la pression.

Les 47 Etats membres sont invités à signaler avant la vaccination que la vaccination n’est pas obligatoire et que les personnes non vaccinées ne doivent pas subir de discrimination.

La discrimination est également expressément interdite en cas de risques sanitaires existants ou si une personne ne souhaite pas être vaccinée. Les fabricants de vaccins sont tenus de publier toutes les informations sur la sécurité des vaccins.

Avec cette résolution, la plus importante organisation de défense des droits de l’homme en Europe a désormais établi des normes et des obligations, ainsi que créé des lignes directrices en vertu du droit international, qui doivent être appliquées par les 47 Etats membres, y compris l’UE en tant qu’organisation.

Les discriminations, par exemple sur le lieu de travail ou les interdictions de voyager pour les personnes non vaccinées, sont donc légalement exclues.

Dans toute procédure judiciaire, contre toute autorité, tout employeur, tout fournisseur de voyages, tout responsable.