On a connu et on continue de souffrir de la canicule, de la sécheresse qui anéantit les cultures, de la litanie des variants de coronavirus, de l’insécurité et aujourd’hui de la variole du singe (qui nous vient d’Afrique).
Comme une majorité des Français j’ai pris plaisir à regarder le Tour de France. Seules les étapes de montagnes m’intéressaient. C’est là où l’on peut admirer les véritables champions. Les deux premiers du Tour ont incontestablement été les meilleurs. On les reverra durant la prochaine décennie ! En l’an 2023, le prochain vainqueur sera le belge Wout van Aert, sauf s’il continue à être « porteur d’eau ». Voilà pour le Tour qui, par ailleurs, a permis aux Français d’enrichir leur culture en admirant le patrimoine français. Sans oublier l’arrivée de futurs touristes séduit par un tel environnement majestueux.
Par ailleurs, nous sommes toujours harcelés par la multitude de variants du virus !
L’abandon des soignants non vaccinés
Faut-il réintégrer les soignants non vaccinés contre le Covid ? Face au manque de bras inédit à l’hôpital, le ministre de la Santé, François Braun, fraîchement nommé, avait entrouvert la porte et saisi les instances scientifiques, mi-juillet, sur ce sujet épineux. Il y a un an pile, souvenez-vous, son prédécesseur Olivier Véran indiquait que les soignants ne pourraient « plus travailler » et ne seraient « plus payés » s’ils ne se protégeaient pas !
Pour la majorité des Français, la question est de savoir si les 75 médecins, 600 infirmières hospitalières, et plus de 100 en Ehpad, suspendus depuis, vont finalement pouvoir renfiler leur blouse ? la Haute Autorité de santé a tranché, et c’est « non », a-t- elle répondu, favorable au maintien de l’obligation vaccinale. L’Académie de médecine, le conseil scientifique et la Haute Autorité de santé ont un avis convergent comme prévu, il est négatif. « On suit l’avis des scientifiques », a déclaré dans la foulée le ministre François Braun, précisant qu’il réunirait les organisations syndicales pour leur expliquer la situation.
Le conseil scientifique s’était dit : « réservé » quant à leur réintégration, rappelant qu’un « soignant doit privilégier l’ensemble des gestes et procédures pour ne pas contaminer les patients souvent fragiles qu’il prend en charge et pour limiter la survenue des clusters ». Certains « sages » estiment que leur réinsertion n’aura « probablement pas d’impact sur l’amélioration de l’organisation hospitalière » et craignent que leur retour ne soulève « des problèmes de rejet au sein des équipes ».
Finalement l’avis du Comité consultatif national d’éthique sur la réinsertion est NIET ! Qui aurait cru le contraire ? Ce serait désavouer tout le déploiement sanitaire imposé depuis le début de la pandémie. Pfizer est aux anges !
Rappelons que 5000 pompiers ont connu le même sort ! Depuis leur canapé, en « se rongeant les sangs », ils ont assisté aux méga-feux du Sud-Ouest.
La liberté n’est-elle pas inscrite sur le fronton de toutes les mairies : Liberté ! Liberté chérie…
LA VARIOLE DU SINGE
La question a divisé les scientifiques. Faut-il déclencher le niveau d’alerte maximale pour la variole du singe (monkeypox), signe d’un événement extraordinaire ?
C’est la 7e fois que l’OMS active ce seuil depuis 2009, preuve d’un message fort envoyé au monde et d’un appel à un sursaut collectif. Avec plus de 17 000 cas recensés dans 74 pays depuis mai, l’épidémie est, selon le directeur, limitée, « mais compte tenu de l’accélération des cas, on ne sait pas si cette maladie va se diffuser plus largement ».
Dans l’Hexagone, 1835 cas sont confirmés, dont la moitié en Île-de-France. Si aucun mort n’est, pour l’heure, à déplorer, mois après mois, les discours rassurants laissent place à des constats inquiets. Pour l’épidémiologiste Yves Buisson, « il faut prendre cette maladie au sérieux ! Certes, cette épidémie n’a pas la même ampleur que celle du Covid, mais le nombre de contaminations atteint des proportions très importantes ».
«Il ne s’agit pas d’une MST au sens strict car sa transmission n’est pas que sexuelle », il reste de nombreuses interrogations. Cette maladie circulant d’ordinaire en Afrique centrale et de l’Ouest, pourquoi l’Europe est-elle l’épicentre de la flambée de variole du singe ? « On ne sait pas », admet l’immunologiste Frédéric Batteux. Quant à l’infection, l’épidémiologiste de l’OMS, le docteur Tedros, lui-même évoque de « nouveaux modes de transmission que l’on comprend trop peu ». Un article du « New England Journal of Medecine » montre que 95 % des contaminations résultent d’un contact sexuel.
Quand le mystère s’épaissit
C’est une petite musique qui monte. Pourquoi est-il si difficile de trouver un rendez- vous de vaccination contre la variole du singe ? Les stocks sont-ils vraiment suffisants ? Même si le ministre de la Santé, François Braun, a assuré que la France disposait d’un « stock très conséquent » ? L’information « secret-défense » suscite de nombreuses interrogations.
« La classification repose sur le fait que la variole est un agent pathogène aujourd’hui éradiqué et susceptible de constituer un agent de la menace bioterroriste », répond le ministère de la Santé. Autrement dit, délivrer l’état des stocks pourrait donner une information précieuse à l’ennemi en cas d’attaque et se retourner contre nous.
Une chose est sûre, elle s’attrape par contact avec les lésions cutanées, les symptômes de la maladie, et plus rarement par les postillons ou du linge. Mais contrairement au Covid, l’échange doit être prolongé et rapproché.
Quelle stratégie adopter ?! Vacciner plus massivement ? On a ouvert 118 vaccinodromes dédiés à la variole du singe et cela va monter en puissance !
Si 42 000 doses ont été déstockées, il en faudrait dix fois plus, met en garde Eva Vocz, chargée de mission à Act Up : « On estime que 500000 doses seraient nécessaires pour protéger les hommes ayant des relations avec des hommes, les transsexuels, les travailleurs du sexe…».
Aujourd’hui, plus de 7000 patients ont reçu une dose, destinée aux homosexuels, aux transsexuels multipartenaires et aux prostitué(e)s.
Par ailleurs, Act Up (l’association de lutte contre le sida) demande de pouvoir indemniser les travailleurs du sexe, public à risque, pour qu’ils puissent arrêter de travailler et s’isoler et de débloquer des hébergements pour les plus précaires.
Il existe plusieurs antivarioliques, seuls ceux dits de « troisième génération », qui présentent une meilleure tolérance que leurs ancêtres sont recommandés contre la variole du singe
A qui s’adresse cette vaccination ? Les papys et les mamies seront-ils épargnés de ce vaccin ? Je ne pense pas qu’ils fréquentent les clubs d’échangistes !
Parallèlement la 7ème vague du coronavirus suit sa course folle. Plus de de 50.000 nouveaux cas de coronavirus par jour
« Aujourd’hui on navigue à vue, on va dans un brouillard et au bout de ce brouillard, il y a un iceberg », conclue le Dr Benjamin Davido, infectiologue.
Si le pic de la 7e vague est derrière nous, plus de 50.000 Français sont encore contaminés chaque jour par le coronavirus. Le sous-variant BA.5 est devenu largement dominant en France depuis début juillet. Or, ce nouveau sous-variant provoque un symptôme inconnu pendant la nuit…
Le professeur Luke O’Neill, immunologiste au Trinity College de Dublin, a pointé du doigt un nouveau symptôme provoqué par le sous-variant BA.5 : les sueurs nocturnes. « Ce mélange de système immunitaire et de virus légèrement différent pourrait donner lieu à une maladie légèrement différente, les sueurs nocturnes devenant assez étrangement une caractéristique ». La cause en serait une perturbation anormale du système immunitaire. Il est inutile de se précipiter sur les anti-transpirants, mais de restaurer au préalable les défenses naturelles.
La liste des Covids longs s’allonge…
J’ai déjà consacré de nombreuses pages pour expliquer le mécanisme immunitaire et plus particulièrement les cinq barrières qui nous protègent. Je me contenterai d’un petit résumé pour vous sortir de ce mal-être qui gâche la vie.
Restaurer l’écosystème intestinal avec des pré et probiotiques.
C’est le premier filtre chargé de cataboliser tous les éléments étrangers agressifs pour l’organisme.
ORTHOFLORE de Phyt-Inov, LACTOSPECTRUM de Le Stum, OPTIFLORUS TRANS de Fenioux, PROBIOTIQUES IMMUNITE de Copmed….
Booster les défenses immunitaires
Le remède le plus efficace est le STIMU+ (2 fois 2 gélules 1 mois) de Phyt-Inov.
Neutraliser les virus
4 HE : Eucalyptus globulus et radié, Ravintsara et Laurier noble (par voie orale, rectale, cutanée : c’est aux choix) et dans une situation désespérée : « l’Embaument vivant ».
Restaurer le terrain
AFALG (Phyt-Inov), la phycocyanine (TOUT EN VIE) de Fenioux, SPIRULINE FORTE de Copmed, VITAMINE C, COENZYME Q10.
Pour vous y retrouver : Lire « Tout savoir sur les virus et y faire face ». Ed. Dauphin.
Un indicateur de risque de décès
Pouvez-vous tenir debout sur une jambe pendant 10 secondes ?
Etrange, et pourtant : la capacité à pouvoir se tenir debout sur une jambe pendant au moins 10 secondes serait un bon indicateur du risque de décès dans les 10 années qui suivent, si l’on en croit une nouvelle étude parue dans le British Journal of Sport Medicine. 1702 participants, suivis pendant 7 ans en moyenne, ont été invités à essayer l’exercice qui consistait à replier leur jambe surélevée en appui sur l’autre jambe, à la manière d’un flamant rose ou de la « posture de l’arbre » en yoga, mais sans aucun support d’appui.
7 % des participants sont décédés dans les années qui ont suivi. Ils étaient beaucoup plus nombreux parmi ceux qui ont échoué à l’exercice : 17,5 % contre 4,5 % chez les participants ayant réussi à rester debout sur une jambe durant 10 secondes.
C’est ainsi que les experts ont constaté que ceux qui ne pouvaient pas tenir ainsi durant 10 secondes avaient un risque de décès accru de 84 %, au cours de la prochaine décennie, quelle qu’en soit la cause.
Quels sont les facteurs qui conditionnent ces chiffres alarmants ? il y avait deux fois plus de diabète de type 2 chez ceux qui échouaient ainsi qu’une proportion plus élevée d’obésité, d’hypertension et de troubles cardiaques.
Les auteurs suggèrent d’intégrer ce petit test d’équilibre lors des consultations médicales classiques chez les 51-75 ans pour se faire rapidement une idée de leur forme physique générale et de leur espérance de vie.
Par ailleurs, je rappelle humblement que ceux qui ont suivi mes recommandations cliniques et thérapeutiques depuis le départ de cette Newsletter, peuvent imiter le flamant rose !
Juguler la peur de la mort
Pour apaiser ceux qui ont échoué et qui redoutent une fin inexorable, je leur conseille de mettre 3 gouttes d’HE de Pruche du Canada sur le plexus cardiaque. Cette huile essentielle énergétique et équilibrante, facilite le lâcher-prise et la dissipation des angoisses. Elle est souvent utilisée pour accompagner les transitions ou les personnes en fin de vie. Elle est aussi connue pour donner de l’inspiration.
Malheureusement on ne trouve plus cette HE exceptionnelle, sinon à des prix inabordables.
Je vous souhaite de belles vacances.
Emportez avec vous : « Alzheimer et odorat : quand les arômes restaurent la mémoire ». Ed. Trédaniel. Ce livre est vendu aux Etats Unis et en Chine.