L’hypoxie est le terme médical utilisé pour décrire le contexte où les tissus corporels ne reçoivent pas suffisamment d’oxygène.
L’oxygénothérapie est un traitement qui apporte de l’oxygène supplémentaire aux poumons lorsque le taux d’oxygène dans le sang est trop faible.
Le Bol d’air Jacquier augmente l’oxygénation tissulaire : c’est le joker anti-âge.
L’oxygène est notre source d’énergie
L’oxygène est essentiel pour chacune des cellules de notre corps. Sans oxygène, nos cellules ne peuvent pas produire l’énergie dont elles ont besoin pour fonctionner et leur métabolisme est moins efficace.
L’hémoglobine des globules rouges assure le transfert de l’oxygène depuis l’appareil respiratoire vers le reste de l’organisme. Les cellules ainsi livrées en oxygène peuvent l’utiliser pour produire de l’énergie essentielle à leur fonctionnement.
Des milliers de petites centrales électriques nommées mitochondries, sont présentes dans chacune de nos cellules ; ce sont des organites cytoplasmiques, limités par une double membrane qui synthétise l’adénosine triphosphate (ATP) source universelle d’énergie pour les êtres vivants. L’ATP capture l’énergie chimique obtenue à partir de la dégradation des molécules alimentaires et la libère pour alimenter tous les processus cellulaires nécessaires à la vie.
Ainsi l’ATP offre à chaque cellule un approvisionnement énergétique constant afin de remplir ses fonctions normales et de rester en vie.
Lorsque les cellules privées d’oxygène n’exercent plus leurs fonctions, les organes se détériorent et la maladie s’installe, générant un processus de vieillissement et des maladies dégénératives telles que la démence, une atteinte rétinienne, une réduction de la capacité pulmonaire, un durcissement et une obstruction des artères qui amplifie un apport réduit d’oxygène aux tissus.
Les causes d’hypoxie
L’hypoxie peut être présente chez chacun d’entre nous pour diverses raisons. Elle est associée à différentes situations médicales.
- Une diminution de l’oxygène respirable dans l’air (en avion ou en haute montagne).
- Une diminution de la capacité du sang à transporter l’oxygène vers les tissus organiques, on la constate dans l’anémie, la thalassémie, les pertes importantes de sang, ou quand les artères ou les capillaires sont obstrués.
- Une diminution de la capacité des tissus à absorber l’oxygène, telle la maladie pulmonaire, la BPCO.
- Lorsqu’une personne vieillit, la réduction de la capacité pulmonaire, le durcissement et le blocage de ses artères et des petits vaisseaux peuvent compromettre la capacité d’oxygéner complètement les tissus corporels.
- La pollution de l’environnement, le tabagisme et les schémas respiratoires sous-optimaux peuvent réduire les niveaux d’oxygène dans le corps.
L’oxygénothérapie en médecine officielle
Elle recourt à deux types d’oxygénothérapie : normobare ou hyperbare.
L’oxygénothérapie normobare est une méthode qui consiste à fournir artificiellement à un patient de l’oxygène à la pression atmosphérique. Le dispositif d’administration consiste au recours à une sonde nasale, ou à un masque. Le plus souvent, il s’agit de corriger une hypoxémie (diminution de la quantité d’oxygène transportée dans le sang) ou une hypercapnie (présence excessive de CO2 dans le sang).
Tandis que l’oxygénothérapie hyperbare consiste à faire respirer de l’oxygène à un patient qui se trouve placé dans un caisson prévu à cet effet (on parle de caisson hyperbare). L’oxygène administré se situe à une pression supérieure à la pression atmosphérique normale.
On recourt à l’oxygénothérapie hyperbare dans les contextes médicaux particuliers.
- Les accidents de décompression (accidents de plongée sous-marine) ;
- Les intoxications au monoxyde de carbone ;
- L’embolie gazeuse, c’est-à-dire la présence de bulles de gaz dans la circulation sanguine ;
- Certaines infections (comme l’ostéomyélite – une infection de l’os) ;
Une séance d’oxygénothérapie hyperbare dure le plus souvent 90 minutes et se déroule en suivant plusieurs étapes.
- Une compression lente, correspondant généralement à une descente d’un mètre par minute – c’est le cas du plongeur dans les profondeurs, à cette vitesse, la pression augmente doucement ;
- Un pallier pendant lequel le patient respire de l’oxygène. Selon la pression et la durée, de nombreux patients souffrent des effets secondaires tels que les lésions de l’oreille induites par la pression (barotraumatisme de l’oreille moyenne) : douleurs dentaires, difficultés de concentration visuelle, risques de cataracte et augmentation de la tension artérielle.
Le barotraumatisme de l’oreille moyenne est l’un des effets secondaires les plus courants de l’oxygène hyperbare. Le risque d’AVC est aussi important ; il ne convient pas à tous les patients. Il crée également des radicaux libres et de fait un stress oxydatif important, il est donc prescrit uniquement par des secouristes ou des médecins.
Le Bol d’air Jacquier
Cette méthode naturelle et physiologique n’est pas invasive contrairement aux approches médicales classiques, ne crée pas de stress oxydant (au contraire !) et ne génère aucun effet délétère.
Dans le bol d’air de Jacquier, il n’y a pas d’oxygène, l’appareil procède à l’assimilation de l’oxygène respiré naturellement.
L’appareil Bol d’air Jacquier génère des terpènes volatils peroxydés extraits d’une huile essentielle biologique et écocertifiée de térébenthine spécifique (résine de pin des Landes), appelée Orésine. Ces terpènes peroxydés sont inhalés puis pris en charge par l’hémoglobine qui transfère l’oxygène à l’ensemble des tissus.
Le groupe instable composé par l’hémoglobine, le pinène et l’oxygène, améliore la libération de l’oxygène au niveau cellulaire, plus efficacement que l’hémoglobine elle-même. La finesse des particules gazeuses générées est telle qu’elle passe aisément la membrane alvéolaire pulmonaire.
Le peroxyde d’alpha-pinène inhalé sans effort durant quelques minutes se dissocie au contact des radicaux de l’hémoglobine du sang, sous l’action du fer, et fait apparaître un atome libre d’oxygène actif, qui va améliorer les combustions physiologiques.
Le complexe formé : oxyde d’alpha-pinène/hémoglobine dans lequel l’oxygène revêt une forme oxonium peut être considéré comme une véritable vitamine d’assimilation de l’oxygène respiré.
Le métabolisme général étant optimisé, aucune fonction ne peut échapper aux bienfaits de la méthode.
L’appareil est portable, d’esthétique agréable et d’une utilisation très simple.
Les bienfaits de l’appareil Bol d’air
L’action habituellement constatée depuis plus d’un demi-siècle pourrait se résumer aux indications bénéfiques suivantes :
- accroissement substantiel de la vitalité et des capacités de récupération ;
- développement des défenses immunitaires ;
- optimisation des fonctions nerveuses et hormonales ;
- optimisation des fonctions cardio-pulmonaires ;
- réduction des taux de lipides et de cholestérol ;
- prévention et accompagnement du vieillissement ;
- soins complémentaires des pathologies de civilisation (cancers, thromboses, diabète, artériosclérose, Alzheimer, sida…) ;
- optimisation « non dopante » des performances sportives.
En raison du vieillissement des structures tissulaires, des surcharges pondérales et toxiniques, des agressions bactériennes ou virales, du surmenage physique ou psychique, des traumatismes, du stress, de la pollution sous toutes ses formes… les tissus intoxiqués ont de plus en plus de mal à assimiler l’oxygène indispensable ; la capacité oxyphorique du sang est altérée.
Il s’agit donc de privilégier une oxygénation préventive ou curative offrant des ions oxygène libres, très assimilables, pouvant rétablir les échanges vitaux et participer activement à l’équilibre homéostatique. Telle est la vocation de l’oxygénation biocatalytique Jacquier. Le procédé apporte à l’organisme de l’oxygène sous une forme non moléculaire mais atomique, non quantitative, mais dynamique, et ce sans apport d’oxygène supplémentaire.
Soulignons l’impact délétère des innombrables pollutions atmosphériques :
- physiques (particules et poussières, amiante…) ;
- chimiques (oxyde de carbone, gaz carbonique, anhydride sulfureux, ammoniac, chlore, oxyde d’azote, composés nitreux, ozone…) ;
- biologiques (acariens, pollens, spores, microbes…) ;
- électriques (ions positifs).
L’homme entre en hyposphyxie s’il séjourne trop longtemps dans une atmosphère dont le taux en gaz carbonique dépasse 0,06 %, c’est le cas de nombreuses rues urbaines où les taux atteignent 0,10 %, voire 0,14%. Par conséquent, le danger provient beaucoup plus d’un léger excès de CO2, que d’un défaut d’oxygène même relativement important, et ceci, par blocage de la fixation d’oxygène.
L’huile essentielle de térébenthine : un joker anti-âge
Le Bol d’Air Jacquier n’est pas un médicament ni un traitement spécifique mais une aide sans danger et sans accoutumance qui permet simplement d’utiliser au mieux l’oxygène naturellement respiré.
À ce titre, il est utilisé en préventif comme en accompagnement d’une thérapeutique, pour lutter contre le facteur limitant qu’est l’hypoxie, ainsi que pour accroître la vitalité.
On recommande des séances respiratoires :
- pour les enfants (+ de 36 mois) et adolescents, les adultes et en gériatrie ;
- pour les personnes malades, les convalescents et les bien portants ;
- dans le cas de maladies métaboliques, nerveuses, allergiques, bactériennes ;
- pour lutter contre la fatigue physique et nerveuse, voire contre les affections neurologiques ;
- pour améliorer les cicatrisations en général, et celles des brûlures en particulier ;
- pour toutes les pathologies, de quelque origine qu’elles soient, aux niveaux des sphères ORL, pulmonaires, cardio-vasculaires, hépato-digestives et les cancers.
Plus encore, c’est au plan du métabolisme intermédiaire que l’oxygénation biocatalytique apporte ses bénéfices vitaux. Elle apporte :
- Une meilleure néoglycogenèse (transformation des graisses en sucre) ;
- Une meilleure déshydrogénation du cholestérol en vitamine D (d’où une calcification normalisée) ;
- Une amélioration de l’oxydation du cholestérol HDL et des lipides saturés, mieux éliminés ou utilisés ;
- transformation du carotène en vitamine A (le carotène est un hydrocarbure terpénique naturel devant être oxygéné) ;
- biologie : normalisation très fréquente des analyses sanguines pour ce qui concerne cholestérol, diabète, albumine, inflammation, infection, anémie ;
- clinique : normalisation de la tension artérielle, de l’électrocardiogramme, des radiographies, etc. Spectaculaires résultats dans les cardiopathies (angine de poitrine, AVC,
- infarctus du myocarde), les maladies métaboliques (diabète, anémie cérébrale ou intoxication à l’oxyde de carbone, allergies) ;
- prévention et traitement complémentaire des cancéroses, leucémies, sida, covid, grippe.
Autres indications particulières
- Cicatrisation des plaies.
- Amélioration des pathologies cutanées (acné, psoriasis, prurit, eczéma…).
- Stérilité
- Impuissance masculine
- Troubles menstruels
- Cancer, tumeurs bénignes
- Apnées du sommeil
- Surpoids (obésité)
- Algie vasculaire de la face
- Rides, teint fané ou flétri
- Séquelles du lifting « peau cartonnée »
- Stéatose hépatique
- Fatigue chez le patient obèse.
- Mal des transports.
- Nausées, vomissements
- Séquelles des vaccinations et « Covid long »
Une action locale :
- optimisation de l’autoguérison des sinusites chroniques ;
- idem pour les autres troubles ORL (rhinites allergiques ou non, amygdalites, cavumites, otites) ou broncho-pulmonaires aigus ou chroniques (bronchites, emphysème, asthme, insuffisance respiratoire, pneumonies).
Les oxydes terpéniques sont doués d’un haut pouvoir décongestionnant et balsamique sur les muqueuses respiratoires. Asséchants non sclérosants dans la bronchorrhée, ils fluidifient les sécrétions, alors plus aisément expectorées ou mouchées.
En pratique, les séances d’inhalation s’effectuent généralement par cures de 20 à 30 jours. Le nombre et la durée des séances sont conditionnés selon le terrain, les diverses affections, leur ancienneté, leur évolution, leur gravité. Il est préférable de débuter par une courte séance de quelques minutes puis d’augmenter progressivement. Dans tous les cas, et selon le ressenti de la personne, le temps d’inhalation, tout comme le nombre de séances d’inhalations, doivent être modulés. Holiste bénéficie d’un service client très sympathique, qui propose un accompagnement optimal à ses utilisateurs.
Le Bol d’air peut être utilisé dans les affections aiguës, jusqu’à 3 à 4 fois par jour.
Affections chroniques : il est conseillé d’avoir une pratique régulière, au long cours, sur plusieurs mois, une ou plusieurs fois par jour.
Qui achètent l’appareil du Bol d’air Jacquier ?
- Les gens bien portants (en prévention, pour garder leur potentiel)
- Les sportifs (pour leur préparation et leur récupération)
- Les professionnels du soin, les magasins bio, les centres de bien-être
- Les malades (en soin de support)
- Les entreprises, pour leurs salariés (concentration, mémorisation…)
- Les écuries et certains propriétaires de chevaux, car il y a même un appareil pour eux !
Personnellement j’ai acheté cet appareil il y a 10 ans. J’ai pu colmater toutes mes pathologies.
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Les appareils sont fabriqués par Holiste en Bourgogne et garantis 3 ans. La livraison en France Métropolitaine et en Europe est offerte. Ils peuvent être essayés, loués, achetés, chez :
Holiste Service client, 21 rue des Récollets 71110 Marcigny – Tel : 03 85 25 29 27
Holiste Les ateliers, au 29 bd Henri IV 75004 Paris – Tel : 01 42 78 42 09.
2 catégories d’appareil existent : le modèle classique (TONIC) avec des séances de 3 à 15mn et la dernière technologie (AERO2), encore plus performant en 3x moins de temps de séances et une utilisation simplifiée.
- TONIC, achat à partir de 81€/mois (1750€), location mensuelle dès 95€
- AERO2, achat à partir de 185€/mois (3990€), location mensuelle dès 195€
Des offres d’occasion garantie sont souvent proposées, renseignez-vous.
Nombreuses facilités (locations d’essais déductibles en cas d’achat, paiement en x fois).
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Episode 1 : La maladie d’Alzheimer.
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