A Paris, depuis quelques semaines, c’était la douce odeur du retour à la vie d’avant qui parfume les rues. Les néons des bars qui illuminent les façades, les tables qui envahissent les trottoirs, le brouhaha jusqu’à tard le soir. Pourtant, le virus, lui, est toujours là. Et son variant, venu d’Inde, le fameux Delta, ultra contagieux, inquiète les autorités sanitaires. De là à dire qu’il préoccupe tout autant les jeunes buveurs en terrasse ?

Il faut être débile ou complice pour autoriser les night-club !

Un coup de tonnerre dans un ciel serein

Plus d’un an et demi après son apparition, l’épidémie de Covid-19 ne cesse de battre de tristes records. Ces dernières 24 heures, le nombre de contaminations a explosé en France à 18000 cas, contre moins de 7000 une semaine auparavant. Cela signifie que nous avons une augmentation de la circulation du virus de l’ordre de 150 % sur une semaine : nous n’avons jamais connu cela, ni avec le Covid (la souche historique du virus), ni avec le variant anglais, ni avec le sud- africain, ni avec le brésilien.

On est en train de découvrir le fonctionnement d’une épidémie à transmission respiratoire, c’est la première fois que l’on à l’occasion de suivre si précisément l’évolution d’une pandémie, en fonction des contextes des comportements de la population et des mutations des souches.

Quand l’épidémie s’emballe ?

Les variants donnent le ton de l’épidémie. Parmi eux, le variant Delta, devenu majoritaire en France, menace l’été et celui de nos voisins européens.

Quand ils infectent nos cellules, tous les virus se multiplient et fabriquent des copies d’eux-mêmes. Pour résumer, le père va donner naissance à plein de virus fils. Ce processus n’est pas parfait et les copies peuvent comporter des erreurs sous forme de mutations.

Le matériel génétique des copies virales, les fameux variants, diffère alors du matériel génétique du virus de départ, sa souche historique. La majorité des mutations n’ont aucune conséquences certaines ont même un effet négatif sur le virus. D’autres, en revanche, peuvent augmenter la transmissibilité du SARS-CoV-2 ou la gravité de la maladie. Si les mutations favorisent la circulation du virus, comme dans le cas du variant Delta aujourd’hui en France, 60 % plus contagieux, elles entraînent alors l’implantation du nouveau variant, qui peut en quelques semaines seulement devenir dominant. C’est ce qu’on appelle « la pression de sélection ».

Il faut distinguer les variants qui apparaissent de ceux qui deviennent majoritaires. Parmi les premiers, on en trouve de toutes les sortes. Il existe des milliers de versions du virus SARS-CoV-2.

Par ailleurs, plante, humain, animal, virus… tout être vivant mute. Mais certains variants vont tirer leurs épingles du jeu, parce qu’ils ont une ou plusieurs mutations qui vont permettre au virus d’être plus contagieux ou parce que nos anticorps naturels ou induits par la vaccination résistent moins bien. Le plus transmissible va prendre le pas sur les autres. Et plus il y a d’infections, plus le virus circule, plus il va se répliquer et pouvoir effectuer des mutations et donner lieu à des variants pouvant être plus contagieux. Il faut donc limiter le nombre en recourant au masque.

Le grand objectif du variant Delta c’est de se répandre et de maintenir la pandémie sans causer de ravages. Tandis que pour le virus Ebola c’est d’exploser comme une grenade dégoupillée sur une surface réduite. Il est localement très meurtrier et ne peut générer de pandémie.

Au seuil de la 4ème vague

« La quatrième vague, on y est. On va compter les morts dans une dizaine de jours. C’est une catastrophe sanitaire annoncée, et on ne sait plus à qui s’adresser. Il faut que les gens se vaccinent sans discuter au plus vite, se protègent et mettent des masques. Personne ne fait rien ni n’anticipe, nous réclamons une démocratie sanitaire », s’alarme un chirurgien de Fort-de-France.

Le déferlement des contaminés va envahir les hôpitaux, on va retrouver le passage obligé de la réanimation qui représente l’épée de Damoclès suprême. Ces EHPAD sont des lieux de souffrance physique et morale.

L’été sera encore plus éprouvant. Touchés par le Covid-19, rincés par une crise sans fin… Le taux d’absentéisme chez les soignants est passé de 8 à 10 % en 2021 avec des pics à 17 % dans certains services. Et aux postes vacants s’ajoutent désormais les départs en congés. « On a besoin de bras », crie-t-on de Paris à Marseille. D’un côté, la pénurie de personnel s’aggrave, de l’autre le variant Delta poursuit son ascension : hausse des contaminations, seuil d’alerte franchi au niveau national et retour possible du couvre-feu dans les zones les plus touchées… Face à la menace d’un acte IV à la rentrée, une course contre la montre s’est engagée.

Comment expliquer une telle vitesse de propagation du variant Delta ? Tout simplement parce qu’il aurait acquis un léger avantage, considéré anodin mais déterminant : une personne contaminée serait contagieuse deux jours plus tôt qu’avec la souche originelle. C’est un des enseignements de l’étude menée par le Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies. Leurs travaux viennent d’être prépubliés sur medRxiv, un site Internet rassemblant des rapports préliminaires.

Grâce au traçage et à l’isolement des cas contacts les chercheurs ont suivi des personnes contaminées en cascade par le virus issu de la même personne, la « patiente zéro » du variant Delta en Chine, détectée le 21 mai. Des tests PCR ont été réalisés tous les jours sur les personnes mises à l’isolement. Résultat : il ne faut que quatre jours en moyenne avec le variant Delta contre six pendant l’épidémie de 2020, pour contaminer d’autres personnes.

Une charge virale exponentielle

Quant à la charge virale du variant Delta, elle est 1260 fois supérieure à celle de la première souche « On est probablement plus contagieux et plus précocement parce que le virus se multiplie plus vite et la quantité de virus dans le nez est beaucoup plus élevée », avance Sandrine Sarrazin, chercheuse à l’Inserm.

Le nombre de contaminés ne peut que s’amplifier pour atteindre sous peu 100.000. Sans être bon en maths, on peut affirmer qu’il devient inutile de vacciner, la contamination est directe. Ainsi la situation sanitaire va se décanter et l’immunité collective pourra atteindre 80 voire 90%. On pourra se dispenser de la vaccination disponible tardivement et le pass sanitaire.

Ainsi, nos vacances ne rimeront pas avec insouciance. L’été 2020 avait été un temps de relâchement après le traumatisme du premier confinement. L’été 2021 sera celui de la mobilisation contre le variant Delta. Ce qui a changé en un an, ce sont les vaccins. Et certains s’abstinent à proclamer urbi et orbi que c’est LA solution à l’épidémie. Il n’y a donc plus à tergiverser ! N’est-ce pas messieurs les professeurs ! Faussement convaincus que seuls les vaccins enrayeront ce fléau planétaire ! On en reparlera dans un temps proche !

Le vaccin obligatoire pour tous n’est plus un tabou

Avant d’en arriver là, le gouvernement mise tout sur l’été pour encourager les récalcitrants. Désormais, avec l’explosion du virus, il n’est plus exclu de rendre obligatoire le vaccin anti-Covid pour tous les Français.

La décision d’Emmanuel Macron de rendre la vaccination obligatoire, peut-elle être la goutte d’eau qui fera déborder les plannings des hôpitaux et des maisons de retraite ? Vaccin versus travail, la majorité des hésitants a tranché.

A côté de l’urgence sanitaire, il y a aussi la question de l’acceptabilité de la population. Les gens sont saturés et redoutent des contraintes lourdes pour leurs vacances.

« Le président est sur une ligne de crête », estime l’un d’eux. Ligne d’autant plus sensible que lui-même n’a jamais caché son attachement aux libertés individuelles. « C’est constitutif de sa personnalité. Il déteste les verrous, les contraintes », reconnaît un intime qui rappelle la passion du président de la République pour Alexis de Tocqueville, « grand défenseur des libertés individuelles, dont il est un lecteur assidu. Il ne s’attendait pas à un retour si rapide du virus, c’est en tout cas la douche froide. Lui qui espérait projeter « positivement » les Français sur la fin du quinquennat et en finir avec les mesures de restriction.

Le pass sanitaire, une stratégie cynique

Toutefois grâce au pass sanitaire, on a l’outil pour continuer de sortir, de s’amuser, de voir des amis dans les lieux publics. En somme, être libre et continuer de vivre.

Le pass sanitaire, c’est le document qui garantit que vous avez complété votre parcours vaccination ou que vous n’êtes pas contaminé par le virus. Il s’obtient par plusieurs moyens : en étant vacciné avec deux doses (ou une seule pour le vaccin Janssen, ou si vous avez déjà été infecté), ou en étant testé négatif avec un test PCR dans les quarante-huit heures. Que ce soit pour le dépistage négatif ou le vaccin, il vous faudra un code QR qui peut être présenté sur l’application Tous Anti-Covid ou sur une feuille de papier fournie par votre centre de vaccination ou de dépistage.

L’ensemble des professeurs et certaines grandes voies scientifiques soutiennent cette mesure. L’ancien ministre de la santé Bernard Kouchner s’est prononcé en faveur d’une loi pour rendre la vaccination obligatoire, traitant au passage les réfractaires de « traitres » et de « déserteurs » dans une interview au « Journal du dimanche ».

Et pourtant c’est bien le même ministre qui en 2002, si ma mémoire reste bonne, fit un décret pour signifier qu’on peut refuser tout vaccin, dès lors qu’il n’y a pas consentement éclairé. Bernard ! encore une fois, tu retournes ta liquette ! je t’ai connu plus courageux !

Les courageux et les soumis

Les vaccino-sceptiques commencent à rentrer dans le rang. Parmi eux, 3,7 millions ont pris rendez-vous en une semaine sur Doctolib. Attentistes mais raisonnables, ils se sont laissé convaincre : il y a beaucoup de soignants qui ne veulent pas risquer leur emploi, beaucoup de jeunes ou de moins jeunes qui réalisent que la vie va devenir impossible sans pass sanitaire. Mais il y a aussi les irréductibles qui résistent violemment.

Depuis le 14 juillet, ils sortent de l’anonymat des réseaux sociaux pour manifester : ils sont 20000 le 14 juillet, 120000 le samedi suivant. Ils se sont encore donnés rendez- vous les samedis. Une marche qui rappelle celle continue des Gilets jaunes. Ce n’est pas une lame de fond mais un mouvement qui peut se radicaliser. A l’instar de ce qui s’est passé durant la crise des Gilets jaunes, plus le conflit durera, plus le risque est grand que les plus déterminés et les radicalisés parviennent à prendre le contrôle.

Leur mode opératoire est identique à celui des Gilets jaunes, notamment pour les appels à mobilisation qui se font par Internet et les réseaux sociaux. Les pancartes portent quelques messages non percutant et sans grande nouveauté. Doutes sur la nécessité et la sécurité des vaccins, dénonciation de « lois liberticides », exaspération et sentiment antigouvernemental sont décrits comme les mots d’ordre de ces rassemblements, avec des messages parfois très durs, voire radicalisés contre le gouvernement, comme ceux dénonçant une « dictature sanitaire », un « apartheid entre vaccinés et non vaccinés ».

Cet antagonisme entre provax et antivax n’est pas une spécificité française. On le retrouve un peu partout ; le président américain, Joe Biden, est allé jusqu’à accuser Facebook de « tuer des gens » car, selon lui, ses responsables ne font rien pour lutter contre la désinformation en ligne sur le Covid-19. Si le ton monte, c’est que, dans tous les pays, les malades qui entrent à l’hôpital ou en réanimation sont à 96 % des non-vaccinés.

Le vaccin serait-il la seule solution ? That is the question !

Outre que ces nouveaux rassemblements manquaient de dignité, leurs objectifs sont mal définis alors qu’on aurait pu s’attendre à une contestation et une revendication. Il ne suffit pas de brailler « non aux vaccins !». La nouveauté eut été de proclamer un message plus accrocheur « nous avons mieux que ces injections, désormais nous disposons d’huiles essentielles (dont il est interdit de prononcer le nom). Et pourtant, ces petites bombes biochimiques ont sauvé des millions de gens. Samedi prochain, il vous reste à exhiber de nouveaux panneaux « Remballez vos satanées ampoules, le miracle vient de l’aromathérapie ».

Les sempiternels effets secondaires

Les professeurs experts en épidémiologie, virologie, pharmacologie… accourent dans l’ensemble des médias. Evidement ils sont vaccinés et ne jurent que par le vaccin. Une fausse conviction, va jusqu’en proclamer : 3 milliards ont été vaccinés et on n’a relevé que quelques effets secondaires ! de quoi faire piaffer de rire un singlet !

Les effets secondaires des vaccins sont de deux sortes :

  • Effets indésirables mineurs : réaction locale, épisode fébrile, convulsion après vaccination, éruption cutanée, arthralgies, arthrites dues à la rubéole et à l’hépatite B, parotidite, réaction méningée : oreillons…
  • Accidents graves : Infarctus, choc anaphylactique (œdème de la face), maladie de Guillain-Barré, Sclérose en plaques, maladie de Charcot… Sans oublier la mort.

Il faut savoir qu’aux États-Unis il existe un tribunal des vaccins. En 2019, 4,2 milliards de dollars ont été versés en indemnités aux « victimes » des vaccins… Mais, au-delà de tout un panel d’effets secondaires à plus ou moins court terme, surgissent d’autres sujets d’inquiétude au sujet de la vaccination.

Où sont les experts de la pharmacovigilance ?

A ce jour, on relève une litanie d’effets secondaires et de morts.

La toute première autopsie d’une personne vaccinée contre le COVID-19, a révélé que l’ARN viral était présent dans presque tous les organes du corps. Le vaccin, tout en déclenchant une réponse immunitaire, n’a pas empêché le virus de pénétrer dans tous les organes du corps.

Cet ARNm viral a été trouvé dans presque tout l’organisme, ce qui signifie que l’origine des problèmes sont les protéines Spike.

On identifie des anticorps (comme ceux que le « vaccin » est censé créer), mais ils ne sont pas pertinents car, d’après une étude japonaise, c’est la protéine spike SI qui cause les dommages. Cela signifie que tout le monde — finalement — aura des effets indésirables, dès lors que ces protéines Spike se lient aux récepteurs ACE2 partout dans le corps.

Dans France soir, publiée le 22/07/2021 on peut lire :

« 5.522 personnes sont décédées dans les 28 jours suivant un vaccin Covid-19 en Écosse sur 5.500.000 habitants selon Public Health Scotland !

Après 7 mois d’efforts de vaccination de masse contre la COVID-19 dans le monde, nous recevons de plus en plus de rapports sur la gravité des pertes causées par l’injection de ces vaccins expérimentaux à tant de personnes, et les efforts massifs de censure pour essayer d’empêcher le public de comprendre toute l’étendue des décès et des handicaps que ces injections ont causés. »

Le rapport fourni par PHS comprend le nombre de décès par type de vaccin et leur date d’occurrence :

  • 1 877 décès suivent à l’injection ARNm de Pfizer
  • 3 643 décès suivent l’injection à vecteur viral AstraZeneca
  • 2 décès suivent l’injection d’ARNm de Moderna

« Avec ces chiffres enregistrés on arrive à 1 mort pour 1000 habitants, et comme tout le monde n’est pas vacciné, ni les enfants, on serait plus proche de 1 mort pour 500 personnes vaccinées et s’il y a des sous déclarations on pourrait être à 1 morts pour 100 injections, ce qui devient considérable !

C’est une estimation réaliste, quand on entend le Professeur Christian Péronne dire que dans ses connaissances il a déjà 4 morts et de nombreux handicapés ! (On a en général une centaine de connaissance ou quelques centaines lorsqu’on est une personnalité publique !)

Son témoignage montre qu’on est au moins à 1% de décès suite aux injections en France ce qui donnerait 660.000 décès pour les 6 premiers mois de la campagne de vaccination, ce qui donnera en fin d’année plus qu’un doublement de la mortalité habituelle que l’on découvrira seulement en 2022 lorsque les statistiques seront discrètement publiées !

L’omerta sur ces problèmes et décès permet de continuer l’œuvre génocidaire des vaccins afin que plus de personnes acceptent la piquouze du diable qui les feront passer dans un autre monde ! »

Le sprinteur Christophe Lemaitre ne défendra pas ses chances au JO de Tokyo. Cette décision a été prise avec son staff technique, car l’athlète n’est pas à 100 % de ses moyens physiques, suite notamment à de mauvaises réactions aux vaccins contre le Covid-19 », a-t-il fait savoir dans un communiqué.

« Il y a eu une période où ses tests étaient excellents, au même niveau qu’avant et puis il s’est fait vacciner, on ne l’a plus reconnu », explique Pierre Carraz, l’un de ses entraîneurs.

L’immunité naturelle a disparu

Selon la médecine officielle, la santé est l’absence de maladies, ce qui a généré ce que l’on appelle « la médecine préventive ». Toutefois, la véritable prévention ne consiste pas à multiplier les vaccins pour « prévenir » les maladies. Nous devrions abandonner cette logique de guerre contre les microbes, car sans eux la vie n’existerait pas.

En outre, la vaccination de masse empêche l’installation de l’immunité naturelle conférée par la confrontation avec les virus et les microbes, immunité qui se transmet d’une génération à l’autre. À présent, les mères n’ont qu’une immunité vaccinale, qui est loin d’être permanente et qui ne peut se transmettre à leurs enfants. Si bien que l’absence d’immunité naturelle permet aux maladies de l’enfance de se manifester plus tard.

Rappelons quand même que 40 à 50 % des Français font appel aux médecines naturelles. C’est par millions qu’ils ont survécu à diverses pathologies grâce à l’usage de certaines huiles essentielles, dont des milliers de travaux ont prouvé l’efficacité dans le domaine de l’infectiologie, et plus particulièrement dans les pathologies virales (excepté pour le HIV).

On a tous remarqué autour de soi une litanie d’effets secondaires consécutifs au vaccin. A quand la transparence de nos politiques, de la presse (= pensée unique) de la hiérarchie médicale.

Il viendra un jour où les premiers courageux évoqueront l’aromathérapie, puis ce sera un déballage… avec des règlements de compte.

La messe est dite… Ite missa est

Dans ma dernière lettre j’ai demandé au Pr Jean-Louis Montastruc, responsable du centre de Pharmacovigilance et d’information sur le médicament au CHU de Toulouse, de recenser, dans l’ensemble des EHPAD (ce qui représente 700.000 personnes) les effets secondaires consécutifs à la vaccination, y compris les morts !

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Je ne peux terminer cette lettre, peu réjouissante, sans proposer une expérimentation sur une vingtaine de contaminés se portant volontaires.

Ces expérimentations pourraient être faites dans des hôpitaux universitaires qui disposent d’un professeur d’aromathérapie.

Le protocole est très simple. Il est constitué de quatre huiles essentielles antivirales. La durée du traitement ne dépasse pas deux semaines. Ces huiles essentielles, petites bombes biochimiques sont bio, pas chères et non brevetables ; elles représentent un concurrent « déloyal » pour Big Pharma.

Ce protocole est déjà appliqué dans certains EHPAD en France, dans des instituts en Chine. Les demandes affluent de certains pays qui ont reçu l’information. Mes deux livres relatifs aux virus et à la maladie d’Alzheimer ont été traduits en Chine, aux Etats Unis, au Brésil et bientôt en Russie.

« Tout savoir sur les virus et y faire face ». Ed. Trédaniel.
« Alzheimer et odorat : quand les arômes restaurent la mémoire ». Ed. Trédaniel.

Je vous conseille de signer la pétition Transparence Vaccins covid19. Ces actions collectives sont estimées à protéger nos droits fondamentaux. Composée d’avocats indépendants et émanant de plusieurs Etats de l’Union Européenne, l’équipe entend apporter une défense efficace au plus grand nombre.

Rendez-vous ici pour remplir votre plainte : https://www.divizio.fr/recours-obligation-vaccinale-pass-sanitaire/