Chers amis,

À quelques jours de l’ouverture des Jeux olympiques et paralympiques, la Région Île-de-France est pleinement mobilisée pour faire de cet événement une grande fête populaire. Peut-on faire le pari de la gagne collective ? Lorsque la Flamme olympique embrasera la vasque, l’engouement et la fierté seront au rendez-vous. Combien de fois allons-nous entendre notre marseillaise guerrière ?

A la veille de l’ouverture des Jeux Olympiques de Paris, il est intéressant de parler de la performance sportive. Comment préparer au mieux notre corps à l’exercice ? Comment se mettre en condition mentalement pour bien performer ? Comment anticiper ou se remettre d’éventuels problèmes de santé liés au sport ?

Je suis bien placé pour vous en parler : durant 20 ans, j’ai été coach médical des champions d’athlétisme et de boxe.

A titre personnel, je suis devenu, il y a quelques années, champion de France sur 60, 100 et 200 mètres chez les séniors (+ de 80 ans) sans avoir été trop assidu à l’entrainement, hormis dans les 6 derniers mois avant la compétition : quelle ne fut pas la surprise des autres compétiteurs qui s’entrainaient 3 fois par semaine depuis 50 ans !

Les bienfaits santé de la pratique d’un sport

La pratique d’une activité physique et sportive régulière contribue à améliorer l’état de forme général, à tous les âges. 95 % de la population adulte en France est à risque sanitaire par manque d’activité physique ou à cause d’un temps trop long passé en position assise ! Il faut donc se bouger…

En plus d’agir sur le bien-être physique, l’activité sportive favorise les interactions sociales ainsi que l’épanouissement mental. Elle joue également un rôle dans la prévention de maladies chroniques (obésité, diabète, pathologies cardiovasculaires, cancer) et peut même ralentir leur évolution. De plus en plus souvent, le sport fait partie intégrante de la prise en charge thérapeutique.

Que vous soyez pratiquant en loisir ou en compétition, il y a toujours chez chacun d’entre nous une notion plus ou moins présente de performance, de progression, d’exploit, d’envie d’aller plus loin et, pour certains, de tester leurs limites.

La performance sportive est le résultat d’un entraînement complexe. Tous les facteurs déterminants de la performance doivent être connus et intégrés dans le processus d’entraînement pour que la performance soit maximale : entraînements réguliers, conditionnement mental, respect des règles, suivi de sa progression, mise en place d’actions pour progresser.

L’athlète, professionnel ou amateur, devra alors solliciter toutes ses aptitudes physiologiques et musculaires pour arriver à se surpasser et à performer.

Le rôle de l’alimentation dans la préparation physique

En premier lieu, il ne faut pas oublier le terrain, ce qui suppose de restaurer l’ensemble des failles métaboliques qui représentent le premier des facteurs limitant toute performance sportive.

Notre alimentation moderne est trop pauvre en aliments vivants et fortement carencée à cause de l’agriculture intensive qui appauvrit les sols et des processus industriels d’ultra transformation qui dénaturent la qualité nutritionnelle des aliments.

Une bonne nutrition sportive doit permettre de réduire la fatigue ainsi que le risque de maladies et de blessures. Elle permet également d’optimiser les effets de l’entraînement et favoriser une complète récupération.

Pour cela, il est capital de veiller à l’équilibre des apports énergétiques afin de prévenir un déficit (perte de masse musculaire, fatigue, …) ou un surplus énergétique (stockage dans le tissu adipeux).

Les glucides sont les principales sources de carburant pour les personnes qui font du sport car ils leur fournissent le glucose d’où elles tirent leur énergie. Les grains entiers, les légumes et les fruits sont de bonnes sources de glucides. Il est conseillé de s’orienter vers les glucides lents.

Les protéines permettent principalement de développer et de réparer la masse musculaire. Elles peuvent servir de source d’énergie pour les efforts de longue durée. La viande maigre, la volaille, le poisson, les œufs, les légumineuses et les noix sont de bonnes sources de protéines.

Les graisses ou lipides permettent notamment l’absorption des vitamines liposolubles (A, D, E, K) et la fourniture des acides gras essentiels nécessaires aux membranes cellulaires. C’est une source d’énergie riche en calories. Les poissons gras comme le saumon, les noix, les graines ainsi que les huiles végétales (olive, noix, colza, …) sont de bonnes sources de lipides.

A côté de ces macronutriments, il faut veiller à un apport adéquat en micronutriments (vitamines et minéraux) : fer, calcium, manganèse, cuivre et la vitamine D qui est nécessaire à la santé osseuse et contribue à l’absorption intestinale ainsi qu’à la régulation du calcium.

Le fer est important pour le transport de l’oxygène jusqu’aux tissus musculaires lors de l’effort. L’épuisement des réserves de fer est courant chez les athlètes, en raison de régimes mal adaptés ou de pertes excessives (sudation, cycle menstruel, …).

Le cuivre est impliqué dans la production d’énergie dans nos cellules ainsi que dans la formation de l’élastine et du collagène, deux constituants majeurs de nos tissus, tendons et cartilages.

L’oxygène que nous respirons est vital et nécessaire pour la fabrication d’énergie dans nos cellules. Malheureusement, les déchets de cette production, appelés radicaux libres, sont dangereux pour l’intégrité de notre organisme. Chez le sportif, cette production de déchets est accrue et nécessite une bonne prise en charge par nos défenses antioxydantes pour éviter des blessures, une fatigue, une baisse de l’immunité ou encore des dommages irréversibles. Le manganèse et le cuivre contribuent à la bonne neutralisation de ces radicaux libres.

L’importance du mental pour de bonnes performances

Le nageur Michael Phelps, multi champion mondial de natation a évoqué publiquement la manière dont la pression pouvait affecter sa santé mentale, jusqu’à induire une dépression.

On estime qu’entre 20 et 35% des sportifs de haut niveau souffrent de divers problèmes de santé mentale comme des troubles anxieux ou dépressifs. Dans une enquête menée lors des Jeux Olympiques de Tokyo de 2021, les équipes médicales des délégations olympiques estimaient que 8 % des athlètes souffraient d’anxiété et que jusqu’à 30% d’entre eux étaient en burn-out.

Le Comité international olympique (CIO), a pris le problème à bras le corps et tente d’assurer une conciliation entre le sport de haut niveau et le maintien d’un bon équilibre mental. Le CIO a notamment mis en place le SMART, un outil permettant de mesurer la santé mentale d’un sportif de haut niveau via un questionnaire rapide.

Durant les prochains Jeux Olympiques de Paris, les athlètes seront invités à s’exprimer sur leur santé mentale et des messages de prévention seront diffusés auprès des sportifs.

Beaucoup d’analystes sportifs estiment que le facteur mental est ce qui distingue un bon sportif d’un excellent sportif. Le mental englobe une intelligence émotionnelle de soi, de son équipe et de son adversaire et de tous les facteurs connexes à la performance sportive. Cela permet alors de diriger ses émotions dans le bon sens et de ne pas laisser perdre bêtement de l’influx nerveux qui sera nécessaire pour gagner.

L’entraînement mental, communément appelé préparation mentale, a pour but d’aider l’athlète à développer différentes qualités psychologiques : confiance en soi, motivation, stratégies de contrôle de l’attention et de l’anxiété. Tous les sportifs désireux d’atteindre leur meilleur potentiel se doivent d’affûter leur condition mentale par ce biais.

La gestion de l’anxiété passera par des séances de relaxation. L’imagerie mentale permet d’améliorer l’acquisition, la réalisation et le perfectionnement de gestes (athlétisme, patinage, gymnastique). Dans les sports collectifs, elle a pour objectif d’optimiser le positionnement et la vision du jeu de l’athlète.

Enfin, le dialogue interne favorise le contrôle des émotions et renforce la motivation de l’athlète. Ce dialogue est une sorte de communication avec soi-même, que ce soit au travers de la mise en mots par une petite voix intérieure ou encore par l’intermédiaire d’une verbalisation à voix haute. Vous savez les fameux « Allez ! » « Come on ! » « Vamos ! » que l’on entend souvent de la bouche des sportifs à la télévision…

Lorsque l’émotion surgit, ce peut être la catastrophe ! Lors des grandes compétitions sportives, je regarde notre équipe nationale de foot, quel n’est pas mon désarroi quand je vois nos champions face au but, envoyer le ballon 4 fois sur 5 dans les nuages ! Avec un « pointu » (frappe au milieu du ballon), le projectile va directement dans l’encadrement des buts C.Q.F.D

C’est ainsi que je recommande avant le match ou les compétitions la prise de gélules de QUIET-FULL pour réguler leur état psycho-émotionnel (au labo Phyt-Inov) .

Comment performer et récupérer au mieux, en toute sécurité

Je vous parle régulièrement de l’alimentation vivante qu’il faut privilégier autant que possible.

Malgré nos efforts pour avoir une diète équilibrée et variée, il arrive que des carences nutritionnelles s’installent, d’autant plus que les plus sportifs d’entre nous ont des besoins plus élevés que la population générale.

Certains compléments alimentaires peuvent être d’une bonne aide dans ces situations. Ils sont une source concentrée de nutriments et ces apports sont faciles et reproductibles.

Parmi ceux que j’ai consommé pour me préparer et bien récupérer physiquement, en voici quelques-uns qui me semblent intéressants :

Stimulation de la masse musculaire et récupération : le SEAPIAX

Ce complément alimentaire étonnant vient de la seiche, ce petit céphalopode dont les peuples méditerranéens raffolent. Il contient plus de 2000 peptides différents, facilement assimilables, dont des acides aminés essentiels et des acides aminés branchés, bien connus des sportifs.

Ceux-ci participent à la synthèse protéique et favorisent la croissance et le maintien de la masse musculaire.

On les trouve dans le SEAPIAX qui contient aussi des minéraux qui assurent la synthèse normale d’énergie (phosphore), à la lutte contre le stress oxydatif (sélénium) et au maintien d’un bon métabolisme général. Il apporte aussi des acides gras polyinsaturés (phospholipides et oméga-3) qui participent au bon métabolisme de nos cellules.

C’est pourquoi de nombreux sportifs de haut niveau l’ont adopté dès lors qu’il est d’origine naturelle et conforme à l’éthique sportive (des analyses montrent qu’il ne contient aucune substance interdite par l’Agence Mondiale Anti-Dopage).

Quels sont les bienfaits de SEAPIAX ?

Qu’ils soient sportifs amateurs ou champions en activité, les athlètes qui ont recouru à SEAPIAX ont vu leur performance augmenter de 10 à 15% ! Son action est simultanée sur la masse grasse (action de sèche) ainsi que sur la masse maigre (les muscles). Il favorise la croissance de la masse musculaire par une action directe sur les fibres.

Il agit de manière globale (entraînement, performance et récupération), ce qui évite de consommer plusieurs produits.

Ma recommandation : 4 à 6 gélules par jour (2 matin, éventuellement 2 midi, et 2 soir), pendant les repas. Cure de 2 à 3 mois (renouvelable).

On le trouve au Labo Le Stum (02 97 88 15 88).

Un boost d’énergie : le CO-QTION 10

Le co-enzyme Q10 (CoQ10) est une molécule liposoluble présente dans toutes les cellules de l’organisme. L’Acide Tri Phosphorique = ATP, contribue à la production d’énergie dans les mitochondries mais également à la protection des membranes biologiques soumises à un stress oxydatif permanent (les fameux radicaux libres).

Le CoQ10 existe sous 2 formes au sein de nos cellules : une forme oxydée (l’ubiquinone) et une forme réduite (l’ubiquinol). Seule cette dernière possède une activité antioxydante.

La réduction du taux de CoQ10 est principalement liée au vieillissement, ainsi qu’à divers facteurs tels que l’effort physique intense, le stress, le tabagisme, certaines maladies ou traitements spécifiques qui induisent un blocage de la synthèse du CoQ10 (notamment les statines et les bétabloquants). Il s’agit d’un antioxydant majeur dont l’effet se manifeste en particulier sur les centrales énergétiques de nos cellules, les mitochondries. Sans lui, il n’y a plus de production d’énergie et donc moins de performances car les muscles perdent en efficacité.

On comprend dès lors la nécessité que le sang contienne assez de coenzyme Q10, sous sa forme active (l’ubiquinol).

CO-QTION 10 apporte à l’organisme ce co-enzyme Q10 directement sous sa forme bioactive ainsi qu’un extrait de raisin de haute qualité et de l’huile d’olive.

La complémentarité de ces composés permet de stabiliser l’ubiquinol (qui est d’ordinaire instable) et contribue à son assimilation.

Ma recommandation : 2 gélules par jour (matin et soir) pendant les repas. Cure de 1 à 2 mois (renouvelable).

A partir de 10 ans.

Disponible auprès des Labo Le Stum (02 97 88 15 88)

Influx nerveux et relaxation musculaire : le MAGNETIONE

Le magnésium est un minéral essentiel à notre organisme qui participe en tant que cofacteur à plus de 300 réactions métaboliques.

Il contribue notamment à la bonne transmission nerveuse et à la relaxation musculaire après contraction.

Il joue un rôle important au niveau de la régulation de la tension artérielle et du rythme cardiaque.

Il est important pour l’équilibre psychique et émotionnel ainsi que pour la gestion du stress.

Les sportifs sont davantage exposés à un manque de magnésium. En effet, la transpiration et la production d’adrénaline contribuent à la fuite de ce minéral pourtant indispensable au métabolisme énergétique et au tonus musculaire.

MAGNÉTIONE apporte une forme de Magnésium très bien assimilée et favorise son utilisation optimale par les cellules de l’organisme.

MAGNÉTIONE est composé d’une forme brevetée de magnésium : le bisglycinate de magnésium. Sous cette forme le magnésium est « encapsulé » entre deux molécules de glycine (un acide aminé classique) par un procédé de biosynthèse douce.

Dans MAGNÉTIONE, la vitamine B6 favorise également l’assimilation du magnésium et du calcium et agit, en tant que cofacteur enzymatique, à la bonne synthèse des neurotransmetteurs.

La vitamine B8 renforce l’intégrité intestinale, de par son action positive sur les muqueuses et intervient également dans le bon fonctionnement du système nerveux.

L’avantage de cette forme bisglycinate est de ne pas provoquer d’inconfort digestif ni de diarrhées, ce qui n’est pas le cas de certaines formes classiques de magnésium (le chlorure de magnésium est à l’origine un laxatif !).

Ma recommandation : 2 gélules par jour (1 matin et soir), pendant les repas. Cure de 1 à 2 mois (renouvelable).

Labo Le Stum.

Préserver ses défenses antioxydantes : le SUBLINTHION

Le glutathion joue un rôle crucial dans les défenses de notre organisme contre le stress oxydatif, dans le métabolisme et l’élimination des toxines, dans la stimulation du système immunitaire et dans la régulation des mécanismes essentiels à l’homéostasie (fonctionnement des enzymes, synthèse des protéines, expression des gènes, intégrité de la mitochondrie).

Naturellement présent dans les cellules de notre corps, ce composé indispensable est synthétisé par l’organisme à partir de trois acides aminés : l’acide glutamique, la cystéine et la glycine.

Sa concentration décline avec l’âge ainsi que lors de situations de stress oxydatif.

Lors d’exercices physiques intenses et répétés, l’intestin est soumis à des perturbations sévères dues au stress ischémique provoqué par l’activité physique, qui peut multiplier par 15 la consommation en oxygène pour répondre aux besoins en énergie de l’organisme.

Elle peut conduire à un stress oxydatif qui génère un excès de radicaux libres et de peroxydation des lipides.

L’intérêt de SUBLINTHION réside dans son procédé breveté d’obtention ainsi que dans son mode de prise par voie sublinguale (sous la langue).

En effet, la muqueuse buccale est richement irriguée, ce qui permet une assimilation facile et une rapide distribution du glutathion dans l’organisme, sans passer par l’intestin et le foie où il serait dégradé.

Ceci explique que le SUBLINTHION soit beaucoup mieux assimilé que les autres formes de glutathion (démontré par une étude clinique).

Ma recommandation : 2 comprimés par jour (1 matin et 1 soir), à laisser fondre idéalement sous la langue ou contre la joue, en dehors des repas.

Cure de 2 mois (renouvelable).

Labo Le Stum

Préserver et soutenir ses articulations : l’HYDROLYSAT DE COLLAGENE

Le collagène est une protéine la plus abondante dans le règne animal ; 28 types de collagène ont été identifiés jusqu’à présent, chacun ayant des fonctions spécifiques et une distribution variable dans le corps.

Le collagène est une protéine majeure, présente dans de nombreux tissus de l’organisme, notamment dans les cartilages, les tendons, les ligaments, la peau et les os.

Il assure la structure, la résistance mécanique et la régénération de tous ces tissus. Il est également indispensable à la cicatrisation.

L’avancée en âge, un stress non canalisé, une alimentation particulièrement pauvre en protéines animales ou une activité physique intense peuvent mettre à mal l’intégrité du collagène.

Cela peut entraîner une réduction de la mobilité articulaire et des problèmes de renouvellement du cartilage, avec comme conséquence le développement de douleurs et d’arthrose.

Les sportifs sollicitent énormément leurs articulations et devraient prendre du collagène en prévention pour éviter plus tard des soucis articulaires. Il n’est pas rare de voir des quadragénaires se trainer ou se plaindre de leurs articulations à cause d’un sport qu’ils ont pratiqué intensivement quand ils avaient 20 ans.

Derrière le terme « Collagène » se cache une multitude de produits différents, selon l’origine du collagène ou son degré d’hydrolyse, et l’efficacité est donc très variable.

Je vous conseille l’HYDROLYSAT DE COLLAGENE du Labo Le Stum car il apporte une forme de collagène hydrolysé, permettant d’obtenir des petits fragments facilement assimilables (des peptides).

Après ingestion, ceux-ci sont absorbés en 15 minutes et rapidement distribués dans les tissus cartilagineux.

Ces peptides sont conçus pour agir directement sur les articulations et soutenir la production de nouveau collagène et de protéoglycanes. Cette action stimule le renouvellement harmonieux du cartilage.

Ma recommandation : 2 cuillères bombées par jour, à diluer dans un verre d’eau et à prendre le soir au coucher. Cure de 3 à 6 mois minimum car le cartilage nécessite du temps pour se refaire.

Quand la forme est en berne

Il peut arriver que vous ne soyez pas en forme, patraque « le moral dans les chaussettes » ne cherchez pas plus loin, vos défenses naturelles sont épuisées.

Prendre STIMU+, 2 fois 2 gélules durant 3 semaines. Vous allez péter des flammes !

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Et pour finir, un petit florilège qui nous enseigne qu’en athlétisme comme pour les autres domaines, la tempérance est mère de toutes les vertus ;

« Le corps d’un athlète et l’âme d’un sage, voilà ce qu’il faut pour être heureux (…) » Voltaire

« Baisser les bras dans une compétition sous prétexte qu’on ne peut terminer premier est incompatible avec l’esprit du sport. » Eric Tabarly

« Le sport va chercher la peur pour la dominer, la fatigue pour en triompher, la difficulté pour la vaincre.» Pierre de Coubertin

« Elle avait vingt-quatre ans (.) L’acte athlétique la transfigurait. Elle s’y échappait dans une humanité accomplie. » MONTHERLANT, les Olympiques

« Un beau corps d’athlète en qui la vigueur s’accorde avec la finesse et la sérénité. » TAINE, Philosophie de l’art

Parce que ce moment va être incroyable, parce que son héritage va traverser les décennies, je proclame : merci les Jeux ! Et très bel été à vous tous.

Les vacances sont proches. Vous allez pouvoir respirer, vous désintoxiquer, draguer et que sais-je !

Pendant l’été, n’hésitez pas à parcourir mes découvertes médicales rassemblées sur ce blog. J’y évoque la « maladie de l’homme raide » dont est atteinte Céline Dion. Elle a fait appel à l’IUT de Montpellier devenu spécialiste des maladies auto-immunes. Le patron de cet institut a reconnu son impossibilité de la traiter dès lors qu’il ne disposait d’aucune molécule pour neutraliser les anticorps qui se retournent contre l’organisme.

Nous disposions de ce remède l’IMMUNOREGUL, qui a été interdit et pourtant il était prescrit depuis de nombreuses années dans les 45 maladies auto-immunes (PR, Basedow, Hashimoto, SEP, arthrites réactionnelles, uvéite antérieure, sclérodermie, lupus érythémateux, certaines stérilités, diabète I, pelade…) qui atteignent 5 à 6 millions de Français. J’en ai réalisé un autre produit similaire.

Pour notre chanteuse désespérée, on lui donne des benzodiazépines (valium) depuis de longs mois en guise de spasmolytique, malheureusement cet anxiolytique donne une litanie d’effets secondaires (dépendance au produit, troubles cognitifs…). Par ailleurs, il ne faut jamais dépasser 3 mois d’emploi.

Viendra-t-elle à Paris lors des J.O pour chanter « A Paris » chanson immortalisée par Yves Montand ? Je ne pense pas. Elle sait que trop d’émotion, de stress et un cerveau surstimulé sont facteurs déclencheurs de ses crises de spasme.

Quant aux spasmes qui caractérisent la maladie, la médecine naturelle dispose de remèdes efficaces notamment MAGNETIONE et KAROSHIL du labo Le Stum.

Le patron de ce nouvel Institut des maladies auto-immunes en profite pour faire de la mendicité et demande 10 millions pour réaliser cette thérapie incontournable pour neutraliser les maladies auto-immunes et hétéro-immunes (maladie d’Alzheimer).

Alors ! Céline ! j’ai des solutions, je ne demande pas des millions de dollars, mais de quoi faire mes expérimentations qui démontreront le bien-fondé de mes découvertes ; sans oublier mon association humanitaire (MAPN) qui se bat pour sauver les milliers d’enfants malgaches qui meurent de faim au point où des parents revendent leurs yeux.

Faites connaitre ce blog à vos proches ; ils enrichiront leur culture.