Le monde entier a été surpris par cette crise inédite, massive, brutale. Il semblerait que le covid-19 soit retourné dans sa tanière. Qu’en est-il en réalité ? Assiste-t’on à des clusters (foyers infectieux) ou à une 2ème vague ? Les yeux sont tournés vers la Chine. Les Chinois nous ont montré à plusieurs reprises leur savoir faire face à cette pandémie. Ce sont de bons élèves comme l’ont été la Corée du Sud, Hong Kong qui ont dépisté massivement. En revanche la situation des Etats Unis, du Brésil et de la suède reste très problématique. Pourquoi se focaliser sur la Chine ?

Suite à l’approche chaotique des services de santé en France, on n’a pas tardé à procéder à un règlement de compte. La France n’a pas brillé, plus particulièrement nos grands experts qui se sont précipités sur les différents plateaux : les virologues, les infectiologues, les épidémiologies, ont montré leurs limites.

La tour de Babel

Durant trois mois le monde des médias s’est enthousiasmé. Tous les plateaux des télés étaient garnis d’experts en toute discipline. On assiste à un défilé de virologues, infectiologues, urgentistes, épidémiologistes, anthropologues, mathématiciens et même rhumatologues…j’allais oublier le médecin de salons Michel Cymes qui s’illustre dans tous les domaines ! Toute cette cohorte de chercheurs (mais non découvreurs) qui surfent sur tous les plateaux et offrent leur meilleur profil avec le verbe le plus percutant pour devenir star et être à nouveau sollicité par les grands médias. Comme le résume Roselyne Bachelot, ex-ministre de la santé, qui n’a pas brillé lors de la gestion de la crise H1N1 en 2009. « Ces coronalogues à deux sous » parlent de ce qu’ils ne connaissent pas ».

Je regrette qu’on n’ait pas donner une place aux anthropologues qui disposent de clefs pour apprécier la réalité des événements et procéder à des commentaires instructifs. Mais dès lors qu’il est interdit de faire référence aux « statistiques ethniques », les anthropologues et sociologues n’ont plus raison d’être.

L’article 226-19 du code pénal punit de cinq ans d’emprisonnement l’établissement de profilages ethniques ou religieux.

La messe est dite… Si l’on résume l’ensemble des commentaires de « ceux qui savent » comme les nomment notre président, on reste sur notre faim. Il arrive que leurs saillies verbales soient divergentes voire contradictoires. Ce qu’on appelle la « babelisation » selon la métaphore de la Tour de Babel, les langages des hommes sont devenus incompréhensibles. Quant à la question essentielle, posée en fin d’interview. « Qu’en est-il du traitement ? la réponse est invariablement négative. Nous ne disposons d’aucun médicament ! ». Alors pourquoi les a-t-on invités ? Les médecins de terrain auraient su enrichir le débat et diminuer le nombre de décès (30.000 morts).

Décidément l’évolution de ce virus se déroule telle une saga digne d’un thriller.

Nous devons examiner minutieusement non seulement les actions du gouvernement mais aussi celles de la communauté scientifique, de manière à être prêts lors d’une seconde vague. Il faut mettre un processus en place pour tirer les leçons. Ce processus, à l’heure actuelle, n’existe pas, rien ne se passe, on n’analyse pas les bonnes stratégies, on ne tire aucune leçon. Le système a failli et nous devons en tirer les leçons.

On considérait la médecine française comme une des meilleures au monde ! La France a été le 5ème pays à comptabiliser le plus de décès ! Par ailleurs, tous ces universitaires, dont certains connectés à Big Pharma (qui récompense royalement ses serveurs), ont passé une grande partie de leur intervention à se déchainer contre le professeur Raoult dont la prescription planétaire d’hexachloroquine aurait bloqué la sortie de produits prétendus plus efficaces et rentables ; ils n’ont pas pu les promotionner, mais de quels produits s’agit-il ?

Big Pharma est en manque d’inspiration !

Au-delà des rapports d’argent, l’idéologie et les convictions des chercheurs peuvent parfois les aveugler tout autant. Pour éviter ces nombreux biais présents dans la science, des règles de transparence, d’évaluation objective et d’indépendance des experts gagneraient à être renforcées.

Tandis que les populations attendent des résultats tangibles et rapides, la société occidentale ne comprend pas pourquoi, face à un phénomène infectieux d’une telle envergure, nos pays riches dotés de moyens techniques avancés ne peuvent agir en conséquence. On va sur la lune, on se prépare à visiter Mars et on est désarmé face à l’attaque de virus !

Il n’en demeure pas moins que nous allons devoir vivre ou survivre avec une épée de Damoclès au-dessus de nos têtes. Nous avons eu l’occasion de vérifier depuis un siècle qu’une pandémie ne surgit pas du jour au lendemain, que souvent elle est précédée de fausses alertes : des pics infectieux suivis d’une pause qui pourrait s’éterniser durant plusieurs mois durant laquelle nous risquons de relâcher la garde. Et pendant ce temps, le virus reste silencieux, il pourra se modifier, s’adapter, s’activer pour finalement déclencher brusquement, en quelques jours, une autre pandémie redoutable.

Il ne s’agit pas de créer une psychose qui ne peut que compliquer la situation. Mais il faut être réaliste et analyser la situation évolutive.

« Notre instinct de survie nous a permis de développer nos sens pour détecter des risques visibles et proches de nous, ce qui est une bonne chose. Cependant, aujourd’hui, l’information n’est plus directe mais médiée. Elle nous parvient, via les organes de presse et Internet », affirme le Pr Didier Raoult.

« Notre cerveau n’a pas été conçu pour recevoir des informations médiées. Cette surabondance d’images et de messages en continu, le plus souvent négatifs, a des conséquences importantes. L’Homme n’est pas adapté à un tel flot de stimuli. C’est comme s’il était soumis en permanence à des décharges électriques ! Ce qui pourrait expliquer en partie le sentiment d’affolement sur le Covid-19. La seule solution serait d’éteindre la télévision et d’arrêter de lire la presse ! On peut néanmoins espérer que les jeunes générations, tombées toutes petites dans le bain des nouvelles technologies, y seront moins sensibles. »

La valse des virus

Charles Nicolle, infectiologue, proclamait en 1930 « Les maladies infectieuses sont les compagnes constantes de notre vie »

C’est ainsi qu’il va réellement falloir apprendre à vivre différemment avec des risques récurrents d’épidémies. Après la Seconde Guerre mondiale, les populations ont, en effet, eu le sentiment d’être enfin débarrassées des microbes. L’arrivée des antibiotiques a donné l’impression d’un véritable miracle. Des maladies qui auraient fauché des millions de personnes disposaient enfin de traitements efficaces. Des vaccins performants devaient même faire disparaître à jamais ces épidémies virales qui terrorisaient les populations !

Ainsi, en trente ans, trente nouvelles maladies virales pour lesquelles il n’existe ni vaccin ni traitement sont apparues. D’Ebola au SIDA, la liste ne cesse de s’allonger. Certaines émergent, d’autres réémergent. Nous devons vivre en fait avec ces nouveaux risques et nous adapter à eux avec des mesures de protection efficaces.

Les maladies infectieuses représentent désormais la première cause de mortalité dans le monde.

Les barrières entre les espèces sont franchies bien plus souvent que par le passé entre l’animal et l’Homme ; ce danger étant accru avec la concentration des populations, le réchauffement climatique et le développement des transports aériens. Une épée de Damoclès vibre au-dessus de nos têtes.

Or les agents microbiens et virus évoluent sans cesse, s’adaptent à de nouvelles conditions, apprennent à résister aux traitements, métamorphosant les antiviraux actuels non pas en panacée mais en une solution temporaire. Dès lors, un virus peut parfaitement vivre chez un animal hôte sans que celui-ci présente le moindre signe de maladie, et provoquer un désastre chez l’Homme.

Un nouveau virus

Des chercheurs viennent d’identifier un virus responsable d’une inflammation du cerveau avec la même technique qui a permis aux Chinois de découvrir le Covid-19.

Les chercheurs l’ont baptisé Cristoli virus… un patronyme clin d’œil à son lieu de découverte car il s’agit du « virus découvert à Créteil » ! Son séquençage, comme on dit dans le jargon, a permis de se rendre compte qu’il appartient à une famille déjà connue, celle des bunyavirus. « Ils sont transmis par des insectes, souvent des moustiques mais sont rarement responsables de maladies graves. La plupart des transmissions sont asymptomatiques », relève le médecin.

Si on en parle comme d’un « nouveau » venu, c’est que sa structure a beau être proche des membres de sa fratrie, il possède tout de même des différences qui le rendent unique. C’est donc bien le premier cas observé et référencé dans le monde de ce virus neurologique.

Mais alors que la pandémie de Covid-19 continue son tour du monde meurtrier, cette découverte d’un nouvel ennemi doit-elle nous inquiéter ? « Sûrement pas, on ne décrit pas une nouvelle épidémie, balaie le professeur Jean-Michel Pawlotsky, chef du pôle de biologie médicale à l’hôpital Mondor, invitant à la plus grande prudence. Il s’agit là d’un seul cas, isolé, sans la moindre commune mesure avec le coronavirus. Pour l’instant, rien n’indique qu’il circule sur le territoire ». La prochaine étape : garder un œil attentif sur son évolution et attendre de voir, si au regard de l’étude publiée, d’autres équipes repèrent ce nouveau virus.

« Cela n’est ni rare ni courant ». Cet universitaire fait référence au médiatique professeur marseillais Didier Raoult qui en a découvert plusieurs millions. Mais pour Jean-Michel Pawlotsky, il ne fait aucun doute que la tendance va s’accélérer. « La métagénomique va permettre de découvrir, beaucoup de nouveaux virus », croit-il savoir. Et ainsi, poser davantage de diagnostics sur des maladies jusqu’alors inexpliquées.

Pour la petite histoire, la première trouvaille de ces organismes dont on ne savait pas vraiment s’ils étaient vivants, ou non, date de 1892 (le virus dit de la « mosaïque du tabac » qui infectait les plantes) et leur première observation au microscope électronique, de 1930. Si on connaît les plus célèbres, comme la grippe, le VIH, Ebola, ou désormais le SARS-CoV-2, il en existe des millions. « La grande majorité ne sont pas agressifs et ont, au contraire, un effet bénéfique sur notre organisme », reprend le virologue. L’enjeu des années futures ? « Repérer ceux qui peuvent se révéler dangereux et mettre, plusieurs mois durant, la planète à terre ».

La métagénomique

Il faut retenir ce nom de procédé dont on risque d’entendre parler dans les prochaines années ; la métagénomique. Et pour cause, le Cristoli virus a été identifié grâce à cette technique, exactement la même qui a permis aux équipes chinoises de découvrir le coronavirus à l’origine du Covid- 19. Elle est fondée sur ce qu’on appelle le séquençage de nouvelle génération. Elle consiste en 4 étapes :

  1. Les chercheurs prélèvent des échantillons naturels (sang, urine, salive, etc.).
  2. Ils extraient les ADN et les ARN contenus dans ces échantillons et les découpent en morceaux. Une machine appelée séquenceur (ou organe de commande d’un ordinateur qui déclenche les différentes phases de l’exécution), analyse la séquence de chacun des morceaux.
  3. Ces séquences sont ensuite triées et réassemblées informatiquement.
  4. Chaque séquence est comparée à une base de données pour être identifiée. Si le génome d’un virus non référencé dans la base de données est présent dans les échantillons, il est alors repéré.

Le séquençage complet du génome de ce virus a révélé une expression de haut niveau d’un facteur de vigilance expliquant la gravité de cette atteinte virale.

Dans cette immense botte de foin, la technologie permet d’identifier des morceaux appartenant soit à des agents infectieux déjà connus, soit étrangers », décrit le professeur Pawlotsky qui nous décrypte cette découverte, publiée dans la revue scientifique « Emerging Infectious Diseases ». A l’heure de l’épidémie de Covid-19, elle suscite forcément beaucoup d’interrogations.

Une infinité de stratégies

Pour assurer leur pérennité, les virus déploient une infinité de stratégies qui leur permettent d’envahir les cellules cibles, de s’y multiplier, d’infecter des organismes vivants, et de passer d’un sujet infecté à un autre de manière assez directe. Du virus de la grippe à celui de l’hépatite, du zona, du papillomavirus, de l’herpès et du SIDA, leurs voies de transmission sont multiples : respiratoire, digestive, cutanée, traumatique, transplacentaire, sanguine ou par les muqueuses. Du lieu de pénétration jusqu’aux tissus cibles, le virus devra ensuite parcourir un trajet plus ou moins long, dans le sang ou caché dans une cellule, ou encore le long des nerfs, comme le font les virus responsables de la rage, de l’herpès et du zona.

Une fois la cellule atteinte, le cycle de réplication du virus se fait en plusieurs étapes, depuis l’attache sur un récepteur à la surface membranaire de la cellule, jusqu’à la libération de centaines de particules virales. Mais, là encore, chaque virus développe une stratégie qui lui est propre.

La perversité des virus

La grande force des virus, c’est bien leur capacité à se multiplier rapidement et donc à muter mille fois plus vite que les bactéries et un million de fois plus rapidement que l’Homme. Ainsi, le virus du SIDA change pratiquement plusieurs fois par an. Son profil varie non seulement d’un individu à l’autre mais aussi, au fil du temps, chez un même individu ce qui explique l’impossibilité de réaliser un vaccin.

Les modifications peuvent être des mutations, c’est- à-dire des « fautes de frappe » produites au cours de la réplication virale, comme le remplacement d’une base azotée par une autre.

Ce peut être aussi l’échange de matériel génétique de virus à virus ; c’est ainsi que le virus de la grippe humaine emprunte parfois des gènes à des virus de grippe porcine.

À l’origine d’une épidémie causée par l’un de ces virus, on trouve souvent la rupture d’un équilibre écologique provoquée par l’Homme (barrage, élevage intensif, déforestation, guerre…). Dans leur grande majorité, ces maladies sont dues à des agents pathogènes présents depuis très longtemps dans l’environnement.

Si de tels virus arrivent aujourd’hui à sortir de l’ombre, la faute en incombe souvent – mais pas de façon systématique – à l’Homme lui-même. Par son action, il perturbe l’environnement du virus et facilite son transfert de l’animal à l’Homme ou son introduction dans une population jusque-là épargnée, puis sa dissémination au sein de cette population.

La psychose

Les épidémies ont toujours été considérées comme des périodes d’incertitudes collectives et d’angoisse individuelle. On suspecte le voisin d’être porteur, à son insu, du mal contagieux. On redoute que la panoplie de mesures plus ou moins coercitives prises pour endiguer le mal soit d’une quelconque efficacité ; on se sent démuni face au déferlement parfois excessif ou chaotique des services de santé ou de la communication, on recherche des boucs émissaires : et si cette grippe n’était pas à l’initiative de malfaisants pour s’enrichir ? Tout ce contexte participe au désordre social que des scénarii alarmistes contribuent à attiser.

Une épidémie représente le mal absolu et cristallise les peurs omniprésentes de la contagion mortifère.

Les réactions face à la pandémie sont différentes lorsqu’il s’agit d’un premier contact à la pandémie lorsque les populations atteintes en ont déjà eu l’expérience.

La première prise de conscience d’un tel événement dramatique passe par une phase d’étonnement ou une consternation : la tragédie est grave, rien ne peut s’opposer à l’arrivée de la catastrophe. Le savoir des experts et des universitaires est inefficace. Les médecins généralistes, en charge des malades, seront les premiers à contracter la maladie, et parfois à en mourir.

Cette pandémie a été une provocation morale de la société, pas seulement un défi technique ou une catastrophe sanitaire. Le virus a à la fois unifié le monde, et il nous a divisés encore plus. Il a accéléré et amplifié les divisions et inégalités dans notre société. Ce que ce virus a fait, c’est brandir un miroir à la face de notre société qui a révélé les disparités, les inégalités, les injustices. Nous savions tous qu’elles existaient, mais nous leur avions tourné le dos. Nous devons utiliser la mémoire de cette pandémie comme un aiguillon pour la recherche de la vérité. Cette vérité est que la plupart des dizaines de milliers de morts auraient pu être évitées. C’est une blessure abominable pour notre société que nous ne devons pas ignorer.

Elle contamine également ceux qui – les prêtres, les autorités civiles, les infirmières et les proches – sont au contact des mourants. Ces professions peuvent payer un lourd tribut à la maladie. Certains seront emportés laissant ainsi la société désorganisée, ce qui pourrait entraîner une anarchie. La vie économique pourrait s’asphyxier, les métiers désorganisés, la famine survenu. Les années qui viennent seront décisives.

La vaccination

Le combat officiel contre un virus inclut en premier lieu la vaccination, les antiviraux spécifiques, les thérapies symptomatiques, les mesures de protection et la mise en confinement.

Sans oublier les remèdes nécessaires pour juguler les complications, et autres surinfections bactériennes.

La thérapie peut être préventive ou curative. La vaccination prévient l’apparition de l’infection en stimulant les défenses immunitaires et en lui offrant la mémoire immunitaire qui permettra à l’organisme d’identifier les intrus et combattre ainsi le virus contre lequel le vaccin aura été réalisé.

Parmi toutes ces approches : seule la vaccination accorde une mémoire biologique. Si la protection vaccinale était de 100 %, autrement dit si elle évitait à tous les sujets vaccinés de développer la grippe, ce serait idéal. Tel n’est pas le cas.

Un système immunitaire renforcé se joue des intrus : exposé pour la première fois à un agent pathogène, l’organisme est apte à produire les armes spécifiques sous forme d’anticorps qui inondent l’organisme. Lors de l’infection suivante, l’agent pathogène est automatiquement identifié et neutralisé grâce à la mémoire immunitaire. La protection sera différée mais durable.

Un dogme sécurisant

Il fut une époque où notre société actuelle favorisait les vaccins. Nous étions devenus des consommateurs dépendants, toujours désireux d’en « avoir plus ». Les fabricants avaient bien compris qu’ils n’avaient qu’à entretenir cette dépendance.

Le vaccin, en effet, reflétait bien à lui seul notre conception de la maladie, du rôle du médecin et de la prise en charge de la santé au niveau individuel et collectif. « Le vaccin évite de se responsabiliser, de s’investir », écrit Sylvie Simon dans son livre Vaccination, l’overdose.

Au départ, on a procédé aux vaccinations sans connaître les mécanismes des microbes, des bactéries, des virus et encore moins du système immunitaire. Malgré cette absence de connaissances, la vaccination s’était très vite généralisée dans la pratique médicale.

Convaincus que la vaccination était une panacée, les tenants de cette pratique l’ont imposée dans le monde entier sous forme de campagnes vaccinales, de calendriers vaccinaux, de programmes élargis de vaccinations, de lois d’obligation vaccinale, etc.

La vaccination était devenue culturelle, telle une idéologie pour laquelle on devait être prêt à immoler un petit nombre afin de sauvegarder le groupe.

Solution de facilité, approche sécurisante, la vaccination offre une alternative commode que nulle autre pratique médicale ne possède. Certes, sa mise au point a nécessité un investissement chiffrable, mais qui a vite été amorti par des bénéfices alléchants qui poussent à une surenchère commerciale incessante.

Depuis plusieurs années, la vaccination connaît un certain recul. Les médecins sont moins convaincus et hésitent à pratiquer ce rituel de la vaccination. Par ailleurs, le carnet vaccinal des enfants s’est considérablement rallongé.

La réanimation : une épée de Damoclès !

Quand on interroge les anesthésistes et les réanimateurs, leur constat est unanime. Au fil de l’épidémie de Covid-19, le profil des patients admis en réanimation se précise. Il s’agit, en général, d’un homme à partir de la cinquantaine et très souvent en surpoids. Ainsi 84 % des patients en réanimation seraient obèses, selon les données recueillies par le Réseau européen de recherche en ventilation artificielle (Reva) révélées par Le Monde.

Le risque d’intubation est plus élevé chez les personnes dont l’indice de masse corporelle est supérieur à 35 (soit au stade d’obésité sévère), indépendamment de l’âge, du diabète, des pathologies cardiovasculaires. En présence d’un embonpoint important, le muscle du diaphragme est bloqué et bloque l’apport d’oxygène. Par ailleurs le stroma des adipocytes recèle des cytokines pro-inflammatoires.

Durant 3 semaines, lors de la réanimation on leur injecte des sédatifs, neuroleptiques, hypnotiques et curare (on se souvient des dégâts causés chez Chevènement qui a échappé à la mort !) pour les endormir, les relaxer et paralyser les muscles, dont les effets délétères s’ajoutent aux nombreux produits que ces patients consomment depuis plusieurs années.

Dès lors, on comprend pourquoi tous ces « ressuscités » ont vu leurs 5 barrières s’effondrer depuis plusieurs années. Mais la plupart n’ont pas dépassé le cap de la réanimation et nous ont quittés. Par ailleurs on peut observer que les rescapés sont déjà atteints de la maladie d’Alzheimer. Ils en présentent tous les signes (trouble olfactif, troubles du comportement, perte de la mémoire, désorientation).

Des candidats à la maladie d’Alzheimer

On peut considérer que la plupart des patients âgés souffrant de multipathologies et qui ont subi l’intubation et la longue réanimation, développent rapidement une maladie d’Alzheimer.

Au fil des mois et des années un ensemble de troubles émerge. Ces signes sont constitutifs de la maladie d’Alzheimer.

Bien souvent, le caractère insidieux des troubles, leur banalité et le peu d’inquiétude de leur proche à leur sujet font que la maladie n’est découverte qu’après un ou deux ans d’évolution, lorsque ses manifestations retentissent clairement sur la vie quotidienne, c’est-à-dire lorsque la démence est constituée.

Rappelons que la perte d’odorat correspond à l’atteinte de la barrière hémato encéphalique. Dans ce cas il est conseillé de surveiller l’apparition des troubles relatifs à la maladie d’Alzheimer dans les prochaines années.

C’est ainsi qu’on peut diagnostiquer 10 ou 20 ans plus tard, cette maladie neuro-dégénérative.

Dans les 7 000 EHPAD qui rassemblent 700000 patients dont une majorité de malades Alzheimer, il serait intéressant de procéder à des algorithmes, voire à l’intelligence artificielle pour recenser tous les événements pathologiques qui ont précédé la survenue de la maladie d’Alzheimer.

Je vous recommande la lecture de mon livre : « Alzheimer et odorat : quand les arômes restaurent la mémoire » Ed. Trédaniel. Pour 21 euros vous serez surpris d’apprendre qu’on peut surmonter la maladie d’Alzheimer et toujours avec nos chères huiles essentielles, ces bombes biochimiques et une alimentation de préférence crue.

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Tous savoir sur les virus et y faire face

J’ai écrit ce livre sur les virus parce que j’ai la prétention de pouvoir parler des différentes grippes et des Coronavirus. Durant mes cinquante années de parcours humanitaire, j’ai été confronté à de nombreuses épidémies virales ou bactériennes (SRAS, Ebola, Mers, Chikungunya, fièvre hémorragique, paludisme).

Au vu de mes expériences, je peux prétendre que nos thérapies naturelles qui tiennent compte du terrain ont fait leur preuve. Faut-il retourner dans les catacombes comme nos ancêtres pour délivrer leur messages ?

La médecine officielle ne tient pas compte :

  • De la flore intestinale, qui représente 70 % des défenses naturelles,
  • Du stress oxydatif qui accompagne systématiquement toute infection majeure et qui bouleverse le métabolisme,
  • De la prévention, qui consiste à renforcer l’immunité,
  • Des effets iatrogènes causés par la prise de produits chimiques destinés à colmater l’ensemble des symptômes des patients souffrant de multiples pathologies (HTA, diabète, pathologies cardio-vasculaires…)

Pourquoi la médecine officielle piétine-t-elle et aboutit de plus en plus régulièrement à des impasses que ses praticiens allopathes n’osent plus regarder en face ?

En plus de cinquante ans, les molécules chimiques qu’elle propose comme unique traitement, ont affaibli les systèmes immunitaires, pollué les organismes, et conduit les virus à muter plus fortement, comme l’explique le Dr Louis De Brouwer dans son Dossier noir des médicaments de synthèse.

La médecine de terrain prend en compte tous ces aspects et c’est la raison pour laquelle notre approche holistique, qui intègre la notion de terrain, est efficace et n’entraîne pas d’effets secondaires.

Plus de 50 % des Français recourent aux médecines naturelles et sont convaincus pour les avoir appliquées, que les huiles essentielles présentent un réel intérêt thérapeutique, notamment par ses propriétés anti-infectieuses, antivirales et immunostimulantes.

Je reçois des centaines de messages de mes lecteurs qui ont pu surmonter leur pathologie virale.

Par ailleurs de nombreux pays ont recouru aux huiles essentielles notamment au Brésil, où j’ai présidé le congrès d’aromathérapies. Dans ce pays, on a consacré une journée officielle dans le calendrier à l’aromathérapie. De même en Chine où j’ai envoyé des spécialistes en aromathérapie. Sans oublier l’Allemagne et le Portugal. Evidement la presse occidentale est restée bouche cousue. En France tout médecin qui fait référence à ces médecines naturelles est exclu de l’ordre des médecins.

Dans mon livre, vous trouverez les différentes prescriptions naturelles relatives aux différentes atteintes virales ou bactériennes.

Je rappelle que le Covid-19 est une maladie auto-immune et dans ce cas prendre Immuno régul, 2 fois 2 gélules.

Pour booster les défenses naturelles : Stimu+9, 2 fois 2 gélules.

Pour restaurer le microbiote : Orthoflore, 1 gélule le matin à jeun.

Pour apaiser l’angoisse et les stress : Quiet Full, 2 fois 3 gélules.

Pour neutraliser le virus : Lysovir (gélules) + Lyso-Home (diffusion) et Lyso-Spray (pulvérisations nasales).

Pour restaurer le terrain : l’algue Aphanizomenon (Afalg).

Tous ces produits au labo Phyt’Inov. Tel : 00 41 32 466 89 14

Pour compléter vos connaissances lire mon livre :

« Tous savoir sur les virus et y faire face » Ed. Dauphin. (Coût 14 euros). Juin 2020