Cinq ans après la foultitude de méfaits causés par le virus et la vaccination, cinq experts se sont penchés sur le virus. Alors que le SARS- COV-2 circule depuis 2020, beaucoup d’autres virus pourraient provoquer une nouvelle pandémie. Peut-être sera-t-il possible de mieux gérer ces différentes épidémies.

C’était il y a pile cinq ans, une « mystérieuse pneumonie » faisait ses premiers morts en Chine. Le Covid-19 a provoqué depuis au moins 7 millions de décès dans le monde, dont 170 000 en France, mais il n’y a pas vraiment eu de retour d’expérience grandeur nature, Ce serait pourtant utile pour mieux anticiper la prochaine pandémie, jugée inéluctable par la communauté scientifique – sans savoir quel virus en sera à l’origine. C’est ainsi que cinq experts (un épidémiologiste, une immunologiste, un infectiologue, une géographe et un virologue) se sont penchés sur la question et nous livrent la principale leçon à retenir du Covid.

1 – « Mieux connaitre le vaste monde des virus »

Bruno Canard, directeur de recherche au CNRS « Être préparés si une autre pandémie survient. Jamais nous n’avons entendu autant la même incantation de la part des pouvoirs politiques et de structures nationales et internationales. Pour éviter les erreurs d’appréciation, mauvaises décisions, les stocks défaillants, les confinements, l’arrêt de la société, les potions miracles, les croyances et les charlatans, la confusion politique, les dépenses dans l’urgence, l’eau de Javel et les amulettes. Mais que connait-on des virus, acteurs principaux de ces films catastrophes ? Aurait-on pu à l’avance écarter certains médicaments inutiles, en découvrir d’autres qui ont sauvé beaucoup de vies, prévoir que des variants allaient émerger, trouver le vaccin optimal ? La liste des découvertes en virologie qui auraient fait gagner un temps fou et un pognon de dingue est extrêmement longue. Notre meilleure assurance est un investissement à long terme, réfléchi, planifié, soutenu sur la connaissance du vaste monde des virus. Cela a un nom : la recherche scientifique.»

2 – « Commencer par le renforcement du système de santé public »

Lucie Guimier, autrice de « Géopolitique de la santé » (Éd. du Cavalier bleu). L’une des leçons majeures de la pandémie réside dans la manière dont les inégalités structurelles – socio-économiques, raciales, de genre – ont exacerbé les conséquences de la crise. Les personnes touchées par le mal-logement, les travailleurs précaires, les personnes racisées et les femmes sont autant de populations qui ont été survulnérabilisées, certaines cumulant plusieurs facteurs de vulnérabilité. La santé ne doit pas être considérée que comme une question biomédicale, mais aussi comme le résultat de déterminants sociaux et de décisions politiques. La préparation aux prochaines pandémies devrait commencer par le renforcement du système de santé public à travers des investissements massifs dans les hôpitaux, dans les soins de santé primaire et la santé mentale, mais aussi une humanisation des conditions de travail des soignants, tout en garantissant un accès universel aux soins pour ne laisser personne de côté.

3 – « Renforcer l’éducation scientifique »

Sandrine Sarrazin, immunologiste de l’Inserm au centre d’immunologie de Marseille-Luminy « La pandémie de Covid-19 a révélé un problème clé : la qualité inégale et parfois désordonnée des prises de parole des scientifiques.

En période de crise, le public, les médias et les décideurs exigent des réponses rapides, alors que la science nécessite du temps pour établir des consensus solides. Il aurait fallu désigner, dès le début, des porte-parole fiables et légitimes selon leur spécialité, choisis par la communauté scientifique, pour répondre aux attentes, ajustant leur discours au fil des découvertes. Si certains ont brillamment rempli ce rôle, d’autres ont semé la confusion avec des propos décalés, érodant la confiance envers la science. Il n’y a rien de plus scientifique que d’admettre que l’on s’est trompé à la lumière de nouveaux résultats ou que l’on ne sait pas encore. A l’avenir, il faudra aussi renforcer l’éducation scientifique auprès des jeunes et des décideurs, en expliquant les mécanismes des découvertes et en développant un esprit critique face aux fausses informations.»

4 – « Prendre des mesures précocement »

Mircea T. Sofonea, épidémiologiste au laboratoire maladies infectieuses et vecteurs de l’université de Montpellier « S’il ne fallait en garder qu’une leçon de la crise Covid, ce serait celle relative aux contre-mesures non pharmaceutiques, c’est-à-dire le port du masque, la distanciation sociale et l’éducation sanitaire. La pandémie nous a montré qu’elles sont efficaces et complémentaires pour limiter la propagation d’un nouveau virus respiratoire, dans l’attente d’un vaccin. Cependant, et il s’agit du point le plus important, le bénéfice sanitaire de ces mesures (vies sauvées, hospitalisations et séquelles évitées) est d’autant plus important qu’elles sont décidées précocement – ce qui revient aussi a les territorialiser de façon dynamique.

À l’issue du premier confinement, nous avions estimé que si ce dernier avait été avancé ou reculé d’une semaine la mortalité Covid aurait été, respectivement, diminuée de 13 000 et alourdie de 46 000 décès.

Des comparaisons plus récentes entre pays ont depuis confirmé que la précocité des mesures était cruciale pour casser la vague épidémique, mais aussi contenir l’impact socio-économique de la crise.»

5 – « Anticiper la transformation rapide de tous les services hospitaliers »

Nathan Peiffer-Smadja, infectiologue à l’hôpital Bichat (AP-HP) « Lorsque les hôpitaux ont été submergés, nous avons mis trop de temps à augmenter les capacités d’accueil de patients avec un Covid sévère. Il me semble primordial d’anticiper la transformation rapide de tous les services hospitaliers en unités capables d’accueillir des patients avec une infection grave. Afin de retarder la saturation des réanimations, certains services devraient pouvoir être convertis à tout moment en unités de soins continus, avec du personnel formé et du matériel adéquat.

Parallèlement, la recherche de traitements efficaces a été trop lente. Nous devons renforcer la recherche clinique, y compris à l’échelle européenne, avec des protocoles préétablis en soins ambulatoires qui permettent d’évaluer des traitements à la phase précoce de l’infection, avant la nécessité d’un recours hospitalier.

L’ANRS maladies infectieuses émergentes, agence créée durant la crise, a un rôle primordial pour anticiper et coordonner la recherche.»

La conclusion est donnée par Sandrine Sarrazin « Il n’y a rien de plus scientifique que d’admettre que l’on s’est trompé ».

Dans son livre « Les apprentis sorciers », Alexandra Henrion Caude, généticienne, l’une des plus renommées donne les 3 étapes des essais cliniques et dresse la liste d’une litanie de pathologies.

Les essais cliniques préalables

En général il faut une bonne décennie avant qu’un vaccin soit mis sur le marché. Après l’étape de la recherche viennent les expérimentations sur les animaux, puis sur les hommes. Cette étape est celle des essais cliniques, qu’on appelle des « phases ». Il y en a trois. A chaque étape, on affine la recherche et on ajoute des participants, afin de garantir la sécurité des futurs utilisateurs du vaccin.

La phase 1 évalue la toxicité du produit.

Elle implique peu de patients, quelques dizaines en général. Le candidat vaccin est injecté afin de vérifier qu’il ne pose pas de problème de taille. En un mot, qu’il ne tue personne. Lors de cette phase, on regarde aussi ce que devient le produit dans l’organisme – cela s’appelle la cinétique. Enfin, cette étape permet de définir la dose que l’on injectera plus tard, celle que le corps peut tolérer. En temps normal, ce stade dure entre un et deux ans.

La phase 2 évalue l’efficacité du candidat vaccin.

Elle se réalise sur un échantillon de patients plus large, en général sur 100 à 400 personnes. Généralement, c’est là que les laboratoires lancent les essais comparatifs. Ils séparent les groupes de patients en deux. L’un se fait injecter le vaccin, l’autre un placebo (une substance sans aucun principe actif), bien évidemment à leur insu, afin de pouvoir se servir de leur état comme d’une base de comparaison entre vaccinés et non-vaccinés. C’est cette étape qui détermine l’efficacité du vaccin. Et c’est aussi là que l’on ajuste plus finement la dose qui sera administrée si le vaccin est à l’avenir commercialisé. C’est également durant cette étape que l’on commence à scruter d’éventuels effets secondaires.

Normalement, cette phase dure entre trois et cinq ans

La phase 3 élargit le panel de patients.

On en teste maintenant plusieurs milliers, de différentes populations, mais aussi avec différents dosages. Elle dure, comme pour la phase 2, entre trois et cinq ans. Ça, c’est la généralité. Mais pour le Covid, les laboratoires ont testé plus de patients. Moderna en a testé 30 000, AstraZeneca, 40 000, Pfizer, 44 000 et Johnson & Johnson, 90 000, sur deux essais. Le but de cette phase est crucial, car il permet d’évaluer le rapport bénéfice-risque du vaccin juste avant sa commercialisation… ou juste après dans le cas du Covid, parce que cette fois ils ont fait les choses à l’envers. Ils ont mis le vaccin sur le marché, et l’ont injecté à tout-va sans avoir terminé la phase 3 « On vaccine à fond ! » sans expliquer que la phase 3 n’était pas terminée !

Les labos n’ont pas fait une batterie d’examens réglementaires européens et internationaux incontournables, qui s’assure que les effets du « candidat médicament » ne sont pas nocifs pour les fonctions vitales.

Les dégâts causés par les vaccins

« Regardons sur-le-champ l’étendue de ces effets indésirables, grâce à la «liste prioritaire des événements indésirables d’intérêt particulier» qui provient de la très officielle Brighton Collaboration, partenaire de l’OMS :

  • Désordres hématologiques, notamment des saignements internes ou externes, thrombocytopénies, troubles de la coagulation, thrombose, thrombo-embolie, AVC ;
  • Désordres immunologiques tels que des anaphylaxies dont les formes sont aggravées par le vaccin, les syndromes inflammatoires multisystémiques chez les enfants ;
  • Désordres pulmonaires tels que le syndrome de détresse respiratoire aigu ;
  • Désordres cardiovasculaires aigus dont, myocardite, péricardite, arythmie, insuffisance cardiaque, infarctus ; élévations des d-Dimères.
  • Atteintes rénales et hépatites aiguës ;
  • Désordres neurologiques dont les encéphalo-myélites aiguës disséminées, les syndromes de Guillain-Barré et Miller Fisher, la méningite aseptique, la méningo-encéphalite, les convulsions généralisées, la paralysie du nerf facial, l’anosmie, l’agueusie ;
  • Désordres dermatologiques dont les érythèmes multiformes, l’alopécie, les lésions de type engelures, la vascularite cutanée.

Cette liste est susceptible d’être mise à jour à mesure que de nouvelles preuves apparaissent.

Autre événement indésirable grave : les troubles neurologiques

Des neuropathies à la démence, en passant par des neurodégénérescences, ces troubles sont les plus fréquemment rapportés après la vaccination, dans les bases de données officielles. VigiAccess, la base de l’OMS, liste 1,7 million de troubles neurologiques. Il peut s’agir de troubles cérébraux vasculaires de type AVC ou thromboses veineuses cérébrales, des problèmes cognitifs et de mémoire de type Alzheimer, des troubles de neuropathie périphérique de type paresthésie, paralysie de Bell, épilepsie et convulsions et des neuropathies immunologiques de type syndrome de Guillain-Barré et myélite transverse.

Une étude prospective sur les maladies démyélinisantes inflammatoires, qui sont des maladies d’une gravité extrême, elle affirme que 8,5 % des patients ont développé les tout premiers symptômes dans les mois qui ont suivi leur vaccination anti-Covid ».

170.000 morts furent déplorés lors de l’invasion du virus.

Dans mes Newsletters, j’avais annoncé, le premier, la possibilité de voir apparaitre la maladie d’Alzheimer. Le premier symptôme était la perte de mémoire et la première phase de la MA.

Prévoyant une litanie de conséquences délétères, j’avais rédigé un livre « Tout savoir sur les virus et y faire face », aux éditions Dauphin au prix de 14€.

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Les 80.000 lecteurs qui ont acheté mon livre ont été sauvés. Les familles qui ont déploré un décès m’ont signalé n’avoir pas pris connaissance de ce livre, et pour cause ! des libraires ne sont pas précipités pour le présenter à la population (sur quel ordre !).

Pour ceux qui redoutent la maladie d’Alzheimer, j’ai rédigé un livre « Alzheimer et odorat : quand les arômes restaurent la mémoire ». Ed. Trédaniel.

Ce livre est vendu aux États-Unis, au Brésil, en Chine.

Il y a 40 ans, en prescrivant de l’huile essentielle de romarin à cinéole pour des problèmes ORL, mes patients m’ont signalé un retour de la mémoire.

Aujourd’hui, cette HE s’est répandue urbi et orbi. Les ruptures de stock sont fréquentes.

Je ne voudrais pas radoter mais j’insiste pour vous rappeler qu’une bonne immunité vous met à l’abri de toute infection et du cancer.

STIMU+ 2 gélules 2 fois par jour pendant 1 mois.

On peut constater son efficacité en analysant les immunoglobulines.

+AFALG (Aphanizomenon) qui possède 110 micronutriments qui restaurent l’ensemble des métabolismes.

On le prescrit dans les troubles immunitaires et les maladies auto-immunes où figure la maladie d’Alzheimer.

À commander au labo Phyt-Inov.

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Je serai présent au Salon bien-être médecine douce – porte de Versailles

Samedi 1er février à 17h00

Je traite « Alzheimer et odorat : quand les arômes restaurent la mémoire ».

Aujourd’hui, on voit apparaître le départ de la maladie d’Alzheimer chez ceux qui ont été vaccinés ou souffrent d’un Covid long. Il est possible d’enrayer le processus.

Prévenez vos amis qui ont un proche atteint de cette maladie. Ce livre leur permettra de suivre l’évolution et les troubles du comportement.

Je vous attends au salon. Je dédicacerai le livre.