Les adieux à 2021 n’ont pour beaucoup, pas été déchirants. Après des mois marqués par l’épidémie de Covid-19, le saut dans cette nouvelle année était très attendu. Pourtant, dès ce matin, le virus va une nouvelle fois bouleverser nos habitudes : les tests vont rythmer le quotidien de milliers d’élèves, les salariés vont renouer avec le télétravail, boire ou manger ne sera plus permis dans les transports. Si on ne sait toujours pas si le Covid-19 a pris de bonnes résolutions pour 2022, certains restent optimistes. Et pas des moindres. Le ministre de la Santé estime dans le « Journal du dimanche » que « cette cinquième vague sera peut- être la dernière ».
Le raz de marée Omicron semble aussi traumatisant que le premier confinement il y a deux ans. Pourtant, 90 % de la population en âge de le faire est vaccinée. Alors que les masques, les doses comme les tests sont disponibles. Les Français, qui voyaient le bout du tunnel avec leurs deux premières injections, assistent, sidérés, à ce tsunami qui aura mis quinze jours à tout bousculer et à devenir majoritaire. Nombreux sont ceux qui ont renoncé à réveillonner. Comme si le cœur n’y était pas, alors que les personnes positives ou cas contacts se déclarent partout. Avec la fin des vacances, le retour au travail s’annonce chaotique à partir de lundi. L’absentéisme risque d’être massif, y compris dans les hôpitaux déjà exsangues… Dans ce flot de mauvaises nouvelles émergent néanmoins quelques signaux encourageants et dans l’ensemble de la vie quotidienne (diminution des avions, des trains et envahissement des poubelles à Marseille !).
60 % de gens contaminés le sont désormais par Omicron, et c’est à ce variant, qui est en train de prendre progressivement le dessus du Delta, qu’on doit la vitesse de propagation exponentielle et foudroyante actuelle » Cette flambée de contaminations peut-elle pour autant se transformer… en feu de paille ?
Toute la planète est touchée
« On est actuellement en phase de décrue de Delta, et on verra probablement les premiers impacts d’Omicron entre la première et la deuxième semaine de janvier », avance Philippe Amouyel. « S’il est moins grave que les autres variants et n’entraîne que des rhumes, il n’y aura pratiquement pas d’impact à l’hôpital mais s’il est aussi dangereux que Delta, alors ce sera la cata… », c’est que partout sur la planète, le nombre de cas de Covid-19 explose. Plus de 935 000 personnes en moyenne sont atteintes par le virus chaque jour.
Omicron sera-t-il finalement moins mortifère que Delta ? « Ce n’est pas forcément que ce variant soit moins dangereux mais qu’il circule au milieu d’une population qui vient d’avoir récemment sa troisième dose de vaccin, souligne le spécialiste car, pour l’heure, les cas observés concernent surtout selon elle des «populations jeunes et en bonne santé dans des pays avec des taux élevés de vaccination». Reprenant l’image d’un tsunami en train de déferler, l’épidémiologiste Philippe Amouyel estime qu’il n’y a que trois solutions pour « réduire la vague et l’écraser » : « La vaccination à trois doses, les gestes barrière et l’aération. Il fait incroyablement doux en France en ce moment : profitez-en pour fêter le début d’année et ouvrir les fenêtres. »
L’inquiétude monte néanmoins. Martin Hirsch, le patron des Hôpitaux de Paris, n’est pas très rassurant quand il reconnaît que «ça va tanguer»! L’autre nouvelle intéressante provient d’Israël, où l’on se demande si cette vague ne va pas donner le coup de grâce au Covid. En touchant des millions de personnes, Omicron pourrait permettre d’atteindre l’immunité collective ! On a très envie d’y croire.
Déjà, de nouveaux traitements américains sont annoncés. A la mi-janvier, un médicament de Pfizer (le Paxlovid) et, au printemps, d’autres vaccins pour contrer ce nouveau variant ; 2022 qui commence bien mal nous donne-t-il de bonnes raisons d’espérer ?
Le plus heureux, le patron de Pfizer peut se réjouir d’avoir les bourses pleines (40 milliards). Les pharmaciens ne se plaignent pas trop ! (Les barnums sont fréquentés), tandis que la Bourse de Paris et le Cac 40 sont au sommet malgré le Covid.
Alors que nombre d’experts craignent une paralysie du pays en janvier, voire une embolie des services hospitaliers conventionnels, Olivier Véran semble (un peu) moins pessimiste qu’à l’accoutumée en début de vague. On se prend à rêver quand il prétend que celle due à Omicron pourrait être «la dernière».
Cette cinquième vague sera-t-elle la dernière ? Omicron est tellement contagieux qu’il va toucher toutes les populations du monde. Il va entraîner une immunité renforcée : on sera tous plus armés après son passage. Mais pour mettre un maximum de chances de notre côté, le corps professoral conseille vivement de continuer à vacciner la planète en urgence, notamment dans les pays où l’accès aux doses est plus compliqué, parce que c’est là que peuvent émerger les variants les plus dangereux : les populations y seraient plus souvent immunodéprimées, notamment du fait de l’épidémie de sida.
Par ailleurs, l’épidémie de Delta n’est pas terminée. La vague Delta est toujours responsable de la montée des hospitalisations en réanimation dans toute la France, avant même l’impact sanitaire d’Omicron. Ce virus continue de circuler à un niveau élevé, avec 230000 contaminations par jour. « Nous aurions pu espérer un effet de compétition entre les deux variants, qu’Omicron remplace Delta, mais ce n’est pas le cas », confirme un expert. Les deux vagues se cumulent pour former une lame de fond. C’est pour cela que nous avons encore besoin de mesures comme le port du masque, la limitation des rassemblements, le télétravail, pour freiner Delta.
Last but not least
Si toutes ces mesures sont jugées utiles par les épidémiologistes, la messe est loin d’être dite face à ce variant. «Tout va se jouer sur la gravité d’Omicron. S’il est probablement moins grave, on n’en sera certain que dans deux semaines. Durant ce temps, il faut rester très prudent, et tant mieux si on a de bonnes surprises. On joue tellement gros que cela vaut le coup d’aller encore un peu plus loin que les mesures décrétées », reprend un expert.
Inconcevable également pour l’épidémiologiste Antoine Flahault de compter sur l’immunité collective pour sortir de cette cinquième vague. « Si on met les moyens pour lutter contre cette vague qui est d’une force extrême en matière de contaminations, on devrait réussir à reprendre le contrôle. Mais si l’on attend juste que l’immunité collective se constitue, alors cela pourrait mettre du temps, un peu comme un feu de forêt lorsqu’on attend qu’il ait consumé tous les arbres.»
Le Covid long serait dû à un autre virus.
La réactivation du virus d’Epstein-Barr (EBV), responsable de la mononucléose et qui est dormant chez quasiment tous les adultes, pourrait être l’élément déclencheur des Covid longs.
Le virus d’Epstein-Barr est dormant chez quasiment tous les adultes (95%). Il ne provoque pas de symptômes, mais peut se réactiver en cas de stress intense, de déficit immunitaire ou encore d’état inflammatoire. Et c’est justement cet état inflammatoire qui serait en cause dans le cas du Covid long. La réactivation du virus cause de la fatigue, de la fièvre, des maux de tête ou des problèmes neurologiques, autant d’affections qui sont comparables à celles décrites par les patients Covid long.
Les résultats des analyses ont révélé que près des trois quarts (73%) des patients Covid longs ont des anticorps spécifiques à l’EBV qui témoignent d’une réactivation. En y regardant de plus près, les chercheurs se sont rendu compte que cette réactivation s’est produite peu de temps après, voire en même temps que l’infection au virus.
Et pour neutraliser ce virus, nos « petites bombes biochimiques » sont disponibles !
Mononucléose infectieuse (EBV – Epstein Barr)
- Huile Essentielle (HE) Ravintsara 5 ml
- HE Tea tree 3 ml
- HE Eucalyptus radiata 2 ml
10 gouttes sur chaque face interne des bras 2 fois par jour pendant 10 jours. Et, 4 gouttes de cette synergie dans une boulette de mie de pain à avaler 2 fois par jour aux repas pendant 3 semaines.
Après une réanimation ou le perte de l’odorat, recourir à « l’embaument vivant ».
Embaumement vivant
- HE Ravintsara 7 ml
- HE Mentha piperita 2 ml
- HE Eucalyptus radié 2 ml
- HECT Palmarosa 2 ml
- HV Macadamia 5 ml
En premier lieu, faire un embaumement vivant, puis appliquer 15 à 20 gouttes sur chaque face interne des bras 3 fois par jour pendant 7 jours, puis 2 fois par jour pendant 10 jours supplémentaires ET 5 gouttes de cette même synergie sur un support à avaler 3 fois par jour pendant 10 jours.
Des pays adeptes des HE
On oublie de citer les performances de certains pays face au coronavirus et autres infections virales.
La Chine fut le premier pays à traduire mes livres, ainsi, un professeur de médecine a fait appel à mes élèves en aromathérapie pour former leurs thérapeutes. Par ailleurs, j’assure une formation par vidéo-conférence.
D’autres pays ont traduit mes livres : le Brésil qui m’a invité à organiser un congrès sur l’aromathérapie à Bella Horizonte (200 thérapeutes).
Les Etats Unis commencent à appliquer les formules malgré l’opposition de Big Pharma.
On évoque souvent les capteurs de CO2 qui alertent quand une pièce est mal aérée. Son utilité est futile ; je vous recommande le réacteur oxypol, validé par le CNRS, c’est le décontaminateur d’air R-Clean 200 qui élimine les polluants, les poussières, les bactéries et les virus (Covid, grippe…) et renforce les défenses immunitaires. NTAE est le distributeur, tel : 06 99 50 15 72.
Bonjour D. Willem
Comment réalise-t-on un embaumement vivant ?
Merci pour votre retour
Cordialement E.DUBOIS
Copié-collé d’un courriel reçu du Dr Willem:
Lorsqu’une pathologie virale est particulièrement aigüe, un moyen d’exception pour bloquer l’infection virale consiste en l’utilisation d’une technique appelée « embaumement vivant ». Elle consiste à appliquer un volume très élevé d’huiles essentielles (10 ml !) en une seule application sur une surface corporelle étendue. L’huile essentielle fortement antivirale est appliquée pure sur la peau, puis seulement par la suite, un peu d’huile végétale (calendula ou autre) sera posée sur le tissu cutané. Ce soin achevé, les doses appliquées redeviennent normales et conformes au protocole antiviral. Tous les professeurs d’aromathérapie connaissent cette technique.