Quand une menace se précise, la sagesse commande de se taire, de mettre entre parenthèses divergences politiques, débats d’idées et querelles d’experts pour privilégier la solidarité et le sens du collectif. Tous les indicateurs statistiques suggèrent que la pandémie de Covid-19 repart à la hausse. On sait, depuis le printemps dernier, combien ce virus peut s’emballer et faire d’immenses dégâts tant humains qu’économiques.

Le virus du Covid-19 est aujourd’hui comme une pièce de monnaie utilisée pour un tirage au sort. Il tourne, il tourne et chacun retient son souffle en attendant de savoir de quel côté il tombera. Pile le Bon Dieu, face la malchance. Fin de l’angoisse ou deuxième vague ? Tous les indicateurs de l’épidémie en France montrent que le moment du verdict approche. De plus en plus de soignants pressentent le pire, mais aucun d’entre eux ne peut affirmer qu’il se produira.

La deuxième vague n’est aujourd’hui qu’une possibilité, pas une certitude, mais elle donne le vertige.

C’est toute la difficulté de ce coronavirus : on le connaît mal, son comportement erratique laisse la place à toutes les interprétations. La seule certitude ne quitte pas notre mémoire depuis le printemps : ce virus peut tuer, bouleverser notre quotidien et saccager notre économie. Il ne devait pas revenir !

Alors retrouvons notre raison, patientons encore un peu avant de retrouver notre vie sociale d’avant. Pour que la pièce ait une chance de retomber du bon côté.

Qui parie sur une seconde vague ?

Si les jeunes récalcitrants s’étaient affublés d’un masque -seule solution pour stopper le virus- nous n’aurions pas cette avalanche de clusters qui atteint 15.000 individus. Ce chiffre aberrant ne semble pas avoir d’effet chez les derniers récalcitrants. C’est ainsi que les séniors et les moins vieux se retrouvent en réanimation avec une épée de Damoclès sur la tête. Les statistiques létales matérialisent cette situation désespérante.

Le moment est sans doute venu de renoncer, provisoirement bien sûr, à notre attrait compulsif pour la polémique, la contestation et la liberté individuelle. Il reste à se serrer les coudes. Porter un masque en permanence n’est qu’un modeste sacrifice au regard de ce qui nous attendrait si la France était contrainte à un nouveau confinement.

Et toujours pas de traitement !

L’hexachloroquine vit ses derniers moments. Durant plus de 6 mois le professeur Raoult a laissé sur les starting blocks tous les labos qui avaient un vieux produit à ressortir. Face à la meute d’experts (épidémiologie, virologues, infectiologues), la grande star planétaire Raoult fait face, telle le cerf haletant, poursuivi lui aussi par une meute de chiens. Le professeur marseillais résiste… jusqu’à quand ? L’arrivée d’un vaccin ?

Casser la dynamique de la pandémie, c’est ce dont rêvent tous les pays, qui voient, impuissants, leur économie flancher et le nombre de malades augmenter. Pour arrêter la course folle du Covid-19, les spécialistes avancent qu’il faut pouvoir créer les conditions d’une immunité collective, avec 60% à 70% de la population protégés contre le virus. Ces vaccins sont-ils pour autant la solution miracle ?

La recherche vaccinale est pleine de chausse-trappes, un échec est toujours possible, on l’a vu avec le VIH. Durant plus de 30 ans et chaque année les spécialistes du Sida annonçaient, urbi et orbi, la sortie d’un vaccin. On attend toujours ! En attendant ils recevaient de fructueuses prébendes, alors qu’ils savaient que ce virus, qui mute en permanence, ne peut être endigué par un vaccin.

Sur la piste d’un spray anti-Covid

C’est une alternative au vaccin dont nous n’attendons rien de positif.

Et si le remède tant espéré n’était pas un vaccin ? Une équipe de chercheurs français affirme avoir trouvé un procédé pour contrer l’attaque de la Covid-19. Sous forme de spray nasal (ou de pastille à placer sous la langue), le traitement tromperait le virus en le détournant des cellules pulmonaires, il l’inactiverait et empêcherait l’infection.

Pour comprendre cette potentielle avancée, le coronavirus s’attache à la membrane d’une cellule grâce à l’une des protéines de son enveloppe. Cette protéine, dite Spike, se lie à un récepteur de la membrane cellulaire (ACE2) et permet ainsi au virus de pénétrer la cellule. Ce récepteur représente la « serrure » permettant au coronavirus d’entrer dans la cellule et de l’infecter grâce à sa « clé », la protéine Spike.

L’équipe de Philippe Karoyan affirme être parvenue à imiter la « serrure » ACE2 au moyen d’un bout de protéine, (un peptide) qui se fixe sur la protéine Spike et empêche le coronavirus de se lier aux cellules. Leurré, le virus serait alors mis hors d’état de nuire, sa « clé » étant capturée.

Ce serait une découverte exceptionnelle mais attendons la suite !

L’idée semblait simple, sa réalisation un peu moins. Car pour rendre la manœuvre irréversible, il faut un faux plus vrai que nature. Deux algorithmes ont été nécessaires pour mettre au point 160 « fausses serrures » virtuelles. Parmi elles, 25 ont été synthétisées et trois se sont révélées les candidates idéales, celles dont Spike n’a pu se défaire.

L’équipe s’est assurée que le peptide ne soit pas toxique pour les cellules humaines et ne provoque pas de réaction du système immunitaire. Il reste à attendre l’évaluation et la publication de ces recherches.

Aujourd’hui peut-on enfin évoquer les huiles essentielles ?

Sur les plateaux de télévision quand on interroge des pseudo-experts cathodiques sur le coronavirus ou sur la sortie hypothétique d’un vaccin, tout ce monde caquette et profère des élucubrations dans un brouhaha incompréhensible.

Et pourtant on n’entend jamais parler des thérapeutes de terrain dont l’expérience est incontestable. La presse de la pensée unique les maintient sous le boisseau. Ils sont anonymes, ne polémiquent pas, ne donnent pas de leçon, n’adoptent pas des postures outragées. Eux, ce sont des médecins compétents de médecine globale. Efficaces et discrets, ils appliquent une médecine naturelle. Ce sont les seuls qu’il nous faut suivre aujourd’hui, avec confiance. C’est une immense chance de pouvoir compter sur ces professionnels qui ont su endiguer l’invasion du coronavirus.

Devant leur succès (des dizaines de milliers de Français se sont prémunis du virus avec les HE) les suppôts de Big Pharma ont réagi. Contre des médecins qui osent attester de leur expérience clinique positive, on assiste à la mise en œuvre d’une censure pure et simple ; Censure conduite en France par l’Ordre des médecins, poursuivant les praticiens qui ont osé témoigner que des patients avaient eu le toupet de guérir, et internationalement par le Facebook, Twitter, YouTube et autres qui se portent gardiens du temple du « scientifiquement correct » dans ce qui s’apparente bien à une hallucinante prise de pouvoir sans garde-fous.

Et pourtant les médecins disposent de la prérogative et du droit inaliénable de prescrire, en leur âme et conscience, le traitement qu’ils estiment convenir à leurs patients. Depuis la loi Kouchner, toute décision est prise conjointement par un médecin et son patient, le premier devant expliquer au second les options possibles, avec leurs risques et bénéfices respectifs, avant que le patient donne son « consentement libre et éclairé » à l’option retenue.

La situation va se compliquer avec l’arrivée en novembre de la grippe saisonnière (l’an dernier elle a causé la mort de 10.000 personnes). Rappelons que la porte d’entrée du virus influenza est la même que celle du coronavirus à savoir le système respiratoire. C’est ainsi que le même protocole convient pour la prévention du coronavirus et de la grippe.

Un protocole standard

  • En premier lieu : booster l’immunité avec STIMU+, 2 fois 2 gélules pendant 3 semaines, ce produit recèle trois champignons, des huiles essentielles immunostimulantes, de l’échinacéa (labo Phyt’Inov).
  • Recourir à un spray nasal recélant les huiles essentielles d’Eucalyptus radié et globulus et de Laurier noble. LYSO HOME en spray nasal ou en diffusion atmosphériques (labo Phyt’Inov).
  • H.E par voir orale : LYSOVIR en prévention, 2 fois 2 gélules, 3 semaines. En curatif, 3 fois 2 gélules avant les repas, jusqu’à guérison.

Un début de reconnaissance

Hôpitaux, cliniques et EHPAD commencent à utiliser des huiles essentielles, notamment dans les services de gériatrie et de soins palliatifs.

Si, pour le moment, elles sont surtout utilisées pour la gestion du stress et le bien-être olfactif (l’odeur des chambre, couloirs, salles d’attente), elles interviennent de plus en plus dans la prévention des maladies infectieuses, nosocomiales et neurodégénératives.

Créer une ambiance relaxante avec des odeurs agréables semble en effet bénéfique autant pour les patients que pour les soignants qui voient leurs conditions de séjour ou de soins améliorées.

Malheureusement, il faut reconnaître que nombreux sont les professionnels de santé peu sensibilisés à la pratique de l’aromathérapie, autant par manque de formation que d’informations. Mais le patient peut être une force de proposition et il est très rare que les huiles essentielles soient interdites dans une enceinte hospitalière, à condition toutefois d’utiliser des voies d’administration simples et sans contre-indications.

Ainsi on peut recommander l’aromathérapie à chaque étape de l’hospitalisation (accueil, installation dans la chambre, préparation de l’intervention, réduction des effets secondaires post-opératoires).

Pour connaitre et appliquer l’aromathérapie

Devant les impressionnantes possibilités offertes par les huiles essentielles (HE), je reçois beaucoup de demandes pour apprendre cette médecine naturelle.

J’ai créé la faculté libre de médecines naturelles et d’ethnomédecine (FLMNE) à la Sorbonne en 1985.

Aujourd’hui le siège de la faculté est au 13 Rue Edouard Jacques à Paris 14ème (Métro PERNETY).

De nombreuses formations professionnelles et personnelles en médecines naturelles sont accessibles à tout public. On a réservé deux formations relatives à l’aromathérapie.

I/ Praticien en aromathérapie

Programme certifiant d’aromathérapie sur 510 heures et 2 niveaux.

Ce programme – le plus exhaustif de toute l’offre pédagogique actuelle (y compris les DU de phyto-aromathérapie) – s’adresse à tous ceux qui souhaitent connaitre et maîtriser les arômes dans une démarche thérapeutique, cosmétique et de bien-être.

Ce programme peut être suivi dans sa totalité ou à la carte pour professionnels de santé ou leur propre usage.

II/ Phyto-Aromatologie en 2 ans !

L’étude approfondie des plantes médicinales et des huiles essentielles (aromathérapie et aromachologie) dans leur dimension scientifique (biologie humaine et végétale, botanique) et pratique (stage préparations galéniques et consultations) se déploie en 566 heures.

NB : Cette formation donne lieu au titre Professionnel de Praticien de Santé et de Naturopathe, agrée par l’OMNES (Organisation de la Médecine Naturelle et de l’Education Sanitaire).

Inscriptions jusqu’au 6 octobre 2020.

Pour les inscriptions tardives (Homéopathie, aromachologie, pratique des ventouses, réflexologie), nous contacter.

La FLMNE a une filiale à Nantes.

Contacts :

Site web de la Faculté Libre de Médecines Naturelles et d’Ethnomédecine

Tel : 01 42 50 04 58 / 09 73 54 53 81.

Email : contact@flmne.org.

Ces formations peuvent être prise en compte pour ceux qui sont en recherche d’emploi (fiche pour le pôle emploi). Ouvert à tout public (niveau Bac).

Renseignez-vous sur l’ensemble des formations (Naturopathie, Réflexothérapie, Nutrithérapie, Ethnomédecine, médecine énergétique : par correspondance ou en week-end, voir fiche formations).

Peut-être vais-je vous retrouver comme élève.

A bientôt, je l’espère

Et n’oubliez pas mon dernier livre qu’on trouve aujourd’hui dans beaucoup de librairie : « Tout savoir sur les virus et y faire face ». Ed. Dauphin (14€).