La médecine officielle, sous la pression des lobbies pharmaceutiques, donne aux médecins les directives quant à la thérapie et les techniques à appliquer. C’est ainsi que des médecins consciencieux et courageux entrent dans la résistance.

Pour ceux qui appliquent une médecine naturelle de terrain, la médecine officielle allopathique est iatrogène. Pour être en adéquation avec la médecine officielle et ne pas subir l’épée de Damoclès brandie par l’Ordre des médecins, quelle solution adopter ? Subir et priver les patients d’une thérapie efficace et sans effets délétères ? Ces médecins sont condamnés à traiter en catimini et dans la plus grande discrétion. Pour illustrer leur condition de vie, je recours à une allégorie : celle des catacombes, ces cavités souterraines transformées en repaires souterrains dans lesquels les premiers chrétiens, fuyant les persécutions, pouvaient célébrer leur culte.

Au début de l’ère chrétienne à Rome, les chrétiens furent persécutés jusqu’en l’an 312, date de la conversion de l’Empereur Constantin par sa femme chrétienne, c’est ainsi que le premier ethnocide de l’ère contemporain prit fin.

Parmi les persécutés, saints Come et Damien, on les dit jumeaux, on les sait médecins, on les appelait «anagyres», «sans-le-sou» (ils soignaient gratuitement). En soignant les pauvres, leur exemple n’avait pas seulement un pouvoir sur leur corps, mais aussi dans leur âme. Beaucoup se convertissent. Tout prosélytisme étant interdit, ils sont arrêtés. Ils auraient subi le martyre en 305 ; torturés et décapités sur l’ordre du préfet Lysias. Leur réputation fut si grande que dès le Ve siècle, Côme et Damien construisent des églises à Edesse, Jérusalem, Rome, en Égypte, Cappadoce et Syrie. Aujourd’hui le corps médical les honore : ils sont devenus les saints patrons des médecins, des pharmaciens et des dentistes.

Liste des remèdes bannis par la médecine dominante

Les huiles essentielles : « totalement dépassées » ?
Voici ce que répondait la plupart des médecins interrogés dans les années 1960 sur les huiles essentielles et le pouvoir de l’aromathérapie : « C’est une méthode totalement dépassée »

« Vouloir s’attaquer aux maladies avec des essences aromatiques alors que l’on dispose de toutes les ressources de la chimie moderne serait aussi ridicule que de partir en guerre de nos jours avec une arquebuse ou un tromblon »

Notons que c’est rigoureusement l’inverse qui s’est produit. Alors que la « chimie moderne » a fait la démonstration de ses limites dans la lutte contre le cancer, contre Alzheimer, contre la douleur chronique, contre la dépression etc., « l’arquebuse » de l’aromathérapie, au contraire, révèle une puissance et une efficacité que quelques scientifiques courageux applaudissent chaque jour un peu plus.

De grands noms de la médecine ont en commun d’avoir développé une compréhension scientifique des plantes et des huiles essentielles, et la conclusion de leurs recherches est sans appel : les traitements par les plantes et les essences aromatiques sont tout sauf une « coquetterie de grande dame voulant jouer à la bergère ». Il s’agit d’une thérapeutique de pointe, qui révèle une formidable puissance, dans des maladies parfois extrêmement lourdes et invalidantes !

Des huiles essentielles dans la maladie d’Alzheimer

La maladie d’Alzheimer est un champ de recherche important pour l’aromathérapie olfactive. Déjà de très nombreuses études montrent l’intérêt des huiles essentielles pour cette pathologie. Ainsi au Japon, des chercheurs ont observé que la diffusion d’huiles essentielles de romarin et d’essence de citron le matin ainsi que d’une synergie de lavande et de Néroli le soir restaurait le système olfactif au bout de 28 jours. Les patients retrouvaient la capacité de formuler des idées abstraites et de récupérer le sens de l’orientation des patients.

En France, une première étude à grande échelle a démarré dans trois hôpitaux de l’Assistance publique, visant à mesurer l’impact des diffusions aromatiques sur les troubles du comportement et du sommeil de ces patients. Une autre étude à Nice, menée au sein du Centre de la Mémoire du CHU vise, entre autres, à évaluer l’impact de la diffusion d’huiles essentielles sur le comportement, la cognition et la motricité des malades d’Alzheimer. Pour ce faire, ils disposent d’une gamme importante d’huiles essentielles permettant de colmater l’ensemble des signes cliniques de la maladie d’Alzheimer et des pathologies nerveuses (stress, insomnie, agitation, dépression, chute de l’humeur…) et rhumatismales.

Les huiles essentielles réaniment l’hôpital

Discrètement mais sûrement, l’aromathérapie s’installe dans un nombre croissant de services hospitaliers français. De la simple diffusion relaxante à de vraies réponses thérapeutiques, son usage se professionnalise et transforme cet univers médical, pour le plus grand bien des patients, des familles et des soignants.

Il y a quelques années encore, les rares infirmières ou médecins hospitaliers utilisant l’aromathérapie préféraient rester discrets, tant la pratique semblait licencieuse en France. Mais, petit à petit, sous la pression du grand public, avec l’appui des premières études scientifiques et grâce aux expériences probantes d’autres pays européens, les hôpitaux français s’ouvrent, et de plus en plus de services officialisent l’utilisation de fragrances entre leurs murs blancs.

Les services de gériatrie et de soins palliatifs ont été les premiers à s’intéresser à l’aromathérapie. Les personnes âgées sont souvent polymédicamentées, donc plus sensibles aux effets secondaires des traitements, ce qui nous incite à intégrer d’autres types de prises en charge.

Dans de nombreux EPHAD on recourt aux huiles essentielles pour traiter l’ensemble des maux ressentis par les patients d’Alzheimer.

Iatrogénèse (dégâts causés par les médicaments)

Dans de nombreuses newsletters et dans mon livre ‶pollution et santé″ aux éditions Dangles, j’ai évoqué une partie des produits chimiques qui causent des ravages dans l’organisme, avec peu d’effets thérapeutiques. Vous connaissez tous le destin funeste du Médiator, dénoncé par une consœur pneumologue.

Je vous révèle un autre, non moins redoutable, il s’agit du CIFLOX un antibiotique de la famille des quinolones (le Ciprofloxacine) qui est utilisé dans le traitement des maladies infectieuses. Pour se protéger des éventuelles plaintes des patients victimes de cet antibiotique prescrit « larga manu », le labo Bayer Pharma les énumère dans le Vidal, livre référence des médecins.

C’est ainsi, qu’on peut lire, après une page réservée aux indications et quatre pages aux contre-indications et autres méfaits.

Attention ! « Les antibiotiques de la famille des quinolones peuvent provoquer des lésions des tendons, parfois graves. Toute douleur ou gonflement évoquant une tendinite doit vous conduire à arrêter le traitement et à consulter immédiatement votre médecin il jugera alors des mesures à prendre. Les lésions tendineuses peuvent survenir dès les premiers jours de traitement et jusqu’à plusieurs mois après son arrêt. Pensez à informer votre médecin si vous avez une activité sportive soutenue ou si vous prenez un traitement prolongé par les corticoïdes

Ne poursuivez pas le traitement, sans avis médical, en cas de perte d’appétit, de démangeaisons, de jaunisse, d’urines anormalement foncées et de troubles hépatiques potentiellement graves.

Des précautions sont nécessaires en cas d’antécédent de tendinite lors de l’utilisation d’une quinolone, d’insuffisance rénale, de myasthénie, de situations favorisant les torsades de pointes (hypokaliémie, anomalies de l’ECG, bradycardie par exemple), de déficit en G6PD, de dépression, de psychose ou d’antécédent de convulsions ».

Si cette liste des effets secondaires est déjà impressionnante :

En réalité les dégâts sont plus étendus et ravageurs : le CIFLOX attaque les tendons, autrement dit toutes les fibres du corps, ce qui donne à l’arrivée :

  • Rupture du tendon d’Achille, partielle ou totale
  • Pubalgie : toutes les fibres de l’abdomen sont atteintes et génèrent une viscéralgie (douleur des viscères, constipation opiniâtre).
  • Atteinte des valves cardiaques.
  • Bradycardie : ralentissement de la fréquence des battements du cœur à moins de 60 par minute.
  • Hypokaliémie : baisse de la kaliémie (taux de potassium dans le sang) pouvant provoquer des troubles du rythme cardiaque.
  • Insuffisance rénale : incapacité des reins à éliminer les déchets ou les substances médicamenteuses. Une prise de sang et le dosage de la créatinine peuvent révéler cette maladie.

On retrouve assez souvent l’ensemble de ces symptômes chez ceux qui ont pris cet antibiotique maléfique. Personnellement j’ai eu connaissance de 10 cas dont les plus dramatiques surviennent chez les sportifs et athlètes atteints : ils doivent renoncer à toute activité physique (valves cardiaques altérées) par ailleurs ils doivent prendre des laxatifs à vie.

On peut faire le tour de milliers d’autres produits chimiques dont les patients ne soupçonnent pas à quoi ils s’exposent.

Voir le livre des prof. Bernard DEBRÉ et Philippe EVEN : Guide des 4000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux. Ed. Cherche Midi

Médecins et vétérinaires : même combat

Il en va de même pour le traitement naturel des animaux…En lisant le Parisien du 16 Novembre 2019 je tombe sur ce titre « Soigner ses bêtes avec des plantes, c’est entrer en résistance »

C’est ainsi que 1052 agriculteurs, dont Eric Guihery, publient un « manifeste des éleveurs hors la loi ». Ils assument utiliser des huiles essentielles pour guérir leur bétail alors que c’est souvent illégal.

« Les antibiotiques ne marchent plus, on va tranquillement mais sûrement dans le mur », commente Eric Guihery, qui soigne ses 70 vaches laitières avec des plantes, même si c’est illégal. Avec plus d’un millier d’agriculteurs dont beaucoup estampillés bio ; comme lui, cet éleveur de Mayenne a signé un « manifeste des éleveurs hors la loi ». En fait, tout médicament pour les animaux comme pour les humains doit subir des tests pour obtenir une autorisation de mise sur le marché. Or très peu d’huiles essentielles ont passé cette épreuve parce que les tests coûtent cher et qu’ils sont plus complexes.

Les éleveurs esquivent en inscrivant dans leur « cahier d’élevage », mis à disposition de toute inspection, « usage aromatique » ou « complément alimentaire ». Pour le vétérinaire Michel Bouy, « la réglementation est paradoxale et hypocrite, le même flacon sera interdit s’il y est inscrit « traitement » et autorisé si l’on indique « parfum ».

L’usage des médecines « alternatives » n’est pas marginal selon l’institut technique de l’agriculture biologique. En bio, ils sont 70 à 80% à utiliser ces thérapies sous le manteau. Dans l’élevage conventionnel, la demande est grandissante. « Soigner ses bêtes avec des plantes c’est entrer en résistance », grogne Eric Guihery. Sur son exploitation, il utilise des huiles essentielles en continu pour les bobos du quotidien. « L’huile essentielle du géranium sur les inflammations des pis, l’hélichryse italienne contre les saignements.

Avant d’autoriser ces traitements alternatifs, il faut notamment établir les limites maximales de résidus, soit vérifier que des molécules potentiellement dangereuses ne restent pas dans la viande ou le lait, ensuite consommés par des humains. « Mais certaines plantes, comme le pissenlit et l’ail, sont de toute façon broutées par les animaux, les contrôles sont absurdes », pointe le vétérinaire Michel Bouy. Il propose une liste de 323 plantes peu préoccupantes. « Nous avons noté la demande de nombreux agriculteurs mais nous n’avons pas encore trouvé la méthodologie idéale », glisse le directeur de l’Agence nationale du médicament vétérinaire.

Le manifeste

« Nous, éleveurs bovins, caprins, ovins, porcins, équins, de volailles, apiculteurs »; que nous soyons en agriculture biologique ou en conventionnel, en montagne ou en plaine, nous utilisons des plantes pour prévenir les maladies et pour les soins de nos animaux. Nous privilégions l’usage des plantes, plutôt que des antibiotiques ou tout autre produit chimique. Et nous sommes dans l’illégalité !»

En valorisant un savoir-faire traditionnel basé sur la nature, en protégeant ainsi nos animaux et nos concitoyens de l’antibiorésistance, en préservant l’eau de contaminations par des médicaments chimiques de synthèse, nous sommes hors la loi. L’usage généralisé des antibiotiques pose aujourd’hui un problème de santé publique. Chaque année, en France, plus de 150.000 patients développent une infection liée à une bactérie multirésistante, et plus de 12.500 en meurent ».

Face à cette urgence, il est incohérent que l’usage des plantes en élevage se voit imposer un tel carcan réglementaire. En effet, pour pouvoir utiliser des plantes en élevage, elles doivent disposer d’une autorisation de mise sur le marché (AMM), comme les médicaments, et être prescrites par un vétérinaire. Or, très peu de médicaments à base de plantes disposent de cette AMM, procédure lourde et inadaptée. Au mieux, nous avons le droit d’utiliser des préparations lorsque aucun autre médicament n’est disponible ! ».

Impossible donc, pour nous, d’utiliser des orties, du romarin, du pissenlit de la lavande… pour les soins à nos troupeaux. La loi nous contraint à leur préférer des antibiotiques, anti-inflammatoires ou antiparasitaires issus de la chimie de synthèse !»

Parce que nous voulons continuer à nous former.

Parce que nous voulons expérimenter, échanger et débattre librement sur ces pratiques avec nos collègues.

Parce que nous ne voulons plus être hors la loi ! L’Etat doit en urgence définir un cadre réglementaire spécifique pour mettre un terme à cette situation »

Les humains et les bêtes doivent être traité humainement et naturellement.

A une époque où l’écologie est préconisée urbi et orbi, il est grand temps que les Verts (association écologique) s’intéressent aux humains et aux bêtes dans un contexte écologique et mutuel.

Techniques mises à l’index

L’Ozonothérapie

Beaucoup de médecins et thérapeutes disposent d’un appareil d’Ozonothérapie. Il est plutôt employé dans le domaine de l’esthétique. Aucune inquiétude pour ceux qui l’emploient dans cette indication…. En revanche quand la situation devient plus grave, l’Ozone s’avère utile.

Selon la concentration utilisée, l’Ozone a diverses propriétés : il favorise la circulation sanguine, stimule le système immunitaire, induit une régénération tissulaire, exerce une action cicatrisante et stérilisante (détruit bactéries, virus, levures, parasites), il freine les réactions immunitaires indésirables (maladies autoimmunes).

Le mode d’administration de l’ozone médical dépend du terrain et du désordre existant : bains d’Ozone, Infiltrations (intramusculaires, sous-cutanées, intradiscales, paravertébrales et intra-articulaires)

Insufflation dans des cavités naturelles (rectum, vagin, sinus maxillaires), fistules, petite autohémothérapie.

L’Ozone médical est un mélange de 5% maximum d’Ozone et de 95% d’oxygène ; grâce à sa capacité à favoriser la libération d’oxygène par l’hémoglobine, il améliore la circulation sanguine périphérique et l’oxygénation des tissus.

  • Par autohémothérapie majeure, la principale technique utilisée en raison de la rapidité et de l’intensité de son action, qui consiste à réinjecter 150-200 cc de sang prélevé au préalable sur le patient puis ozonisé, à travers un circuit fermé.
  • Par autohémothérapie mineure. Le sang est prélevé avec une seringue, puis ozonisé et réinjecté par voie intraveineuse.

L’Ozonothérapie est donc très intéressante à bien des niveaux : allergologie, cancérologie, cardiologie, chirurgie, dermatologie, endocrinologie, gastro-entérologie, gynécologie, infectiologie, parasitologie, sphère ORL, rhumatologie.

Seul un médecin formé à la pratique pourra recourir à un traitement adéquat selon la pathologie, après une anamnèse complète tenant compte des antécédents familiaux et des médications en cours.

La thérapie à l’Ozone est encore malheureusement méconnue du grand public, alors qu’elle est pratiquée depuis de très nombreuses années dans une centaine de pays. C’est une alternative extraordinaire que thérapie oxydative des cellules intoxiquées, malades ou cancéreuses.

Seuls de rares médecins pratiquent la thérapie à haute dose (OHT). On ne trouve pas de médecins pratiquant cette technique en France ; peut-être quelques-uns l’appliquent dans « les catacombes », pour éviter l’épée de Damoclès qui plane sur leur tête, à savoir l’exclusion de l’Ordre des médecins. Pour cela il faut se rendre en Allemagne, Portugal, Maroc ou Belgique. Selon la bonne formule « ce qui est rare est cher » il faut débourser 190€ la séance ! le traitement du cancer n’est plus à la portée des pauvres accablés par ce malheur.

Le Gamma Knife

La désignation de cet appareil comprend les gamma, ce sont les radiations émises et knife, qui signifie en anglais : le scalpel ou le bistouri. Cet appareil de radio neurochirurgie réalise un traitement stéréotaxique en diffusant des rayons gamma à travers le crâne sans causer de brulure. Seule la cible est atteinte.

Le Gamma Knife est un outil qui permet d’opérer dans le cerveau sans ouvrir la boîte crânienne, sans anesthésie générale, ce qui réduit considérablement les risques de complications et améliore le confort du patient.

Avec l’acquisition d’un nouveau Gamma Knife, l’hôpital La Timone à Marseille devient le premier centre au monde à disposer de 2 appareils Perfexion de dernière génération.

En premier lieu le Gamma Knife permet de traiter certaines lésions du cerveau et de la sphère ORL sans ouvrir la boîte crânienne.

Épilepsie, maladie de Parkinson, troubles obsessionnels compulsifs (TOC), névralgies faciales, métastases cérébrales, tremblements sévères, neurinomes de l’acoustique, méningiomes, adénomes hypophysaires… les indications de la radiochirurgie par Gamma Knife se multiplient.

Leader mondial pour plusieurs pathologies, dont le neurinome de l’acoustique et l’hamartome hypothalamique (maladie orpheline de l’enfant associée à une épilepsie extrêmement grave), l’équipe travaille en collaboration étroite avec d’autres services de pointe de l’AP-HM : neurologie, radiothérapie, ORL, dermatologie, oncologie, etc.

L’AP-HM est l’un des centres les plus actifs au monde grâce à sa reconnaissance scientifique internationale, son plateau technique unique et son niveau d’activité très élevé.

L’unité dirigée par le Pr Jean RÉGIS au sein du pôle Neurosciences Cliniques coordonné par le Pr AZULAY, a effectué plus de 11 000 interventions depuis sa création, il y a 25 ans.

En France on dispose de 4 machines Gamma Knife : 2 à Marseille, 1 à Lille, 1 à Paris.

12000 patients ont été traités en 22 ans. Et pourtant peu de patients ont été traités avec cet appareil dont les possibilités thérapeutiques sont vastes et facilement accessibles.

Les neurologues devraient pouvoir traiter davantage de tumeurs cérébrales (glioblastome) et de maladie de Parkinson.

Il y a 25 ans le docteur André Gernez, radiologue avait proposé un protocole radiologique à suivre notamment pour le Parkinson. Il consistait à restaurer la boucle nigro-striée en réduisant la réceptivité du striatum pour la conformer au potentiel du NIGRUM.

Neutraliser le cancer

Il avait aussi proposé l’arrêt du cancer, en détruisant la somathormone (hormone de croissance), c’est ainsi que toute division cellulaire est stoppée et nettement les cellules tumorales. La cancérisation est corrélée à la sécrétion de l’hormone de croissance.

Il procède de l’évidence qu’il suffit de supprimer l’hormone de croissance pour supprimer la cinétique de l’embryon de cancer et entraver celle du cancer cliniquement émergé. Cette inhibition ne provoque pas de maladie, ni d’effets secondaires sensibles (Schaub).

Les cellules cancéreuses ont une avidité pour l’hormone de croissance proportionnelle à leur potentiel mitotique qui est grand. L’inhibition hypophysaire leur est donc plus défavorable qu’aux cellules orthoplasiques (mémoire La carcinogenèse : mécanisme et prévention, groupe Nihous, 1969).

L’incidence du cancer décroît après 70 ans, du fait du déclin de l’hormone de croissance avec l’âge.

Malheureusement la mode actuelle est de présenter cette hormone de croissance, comme un moyen de retrouver vitalité et jeunesse. Il n’en est rien.

L’hormone de croissance provoque :

  • D’une part, l’accélération du tarissement des cellules souches. Dans un premier temps, l’absorption d’hormone de croissance va stimuler la division des cellules souches entraînant la création de « tissu neuf » et peut ainsi procurer une sensation de jouvence qui risque d’être seulement provisoire. En effet, une fois le stock de cellules souches épuisé, le vieillissement se manifeste, avec un raccourcissement de l’espérance de vie ou la flambée d’une maladie dégénérative (Alzheimer, Parkinson…). Pour vivre vieux et en meilleure santé possible, il faut préserver son stock de cellules souches, tout en favorisant le fonctionnement optimum de ses cellules fonctionnelles.
  • D’autre part, l’hormone de croissance entraîne la prolifération cellulaire, notament des cellules tumorales.

Les faits biologiques suivants ont été démontrés depuis longtemps, par de nombreux chercheurs :

Une personne dont l’hypophyse ne sécrète plus de somathormone pour différentes raisons ne contracte pas de cancer. Les animaux auxquels on a supprimé l’hypophyse ne se cancérisent pas (Courtial).

L’hormone de croissance stimule la prolifération cancéreuse, in vitro comme in vivo (Sibilly, Weill, Sühler).

Voir mon livre « Le secret des peuples sans cancers » Ed. Dauphin

Il en va de même pour d’autres pathologies (acromégalie, maladie d’Alzheimer, sclérose en plaques, schizophrénie, insuffisance rénale, chorée de Huntington …), qui correspond à des états d’hypersécrétion de l’hormone de croissance. J.HEIM lettre médicale 1979.

Pour enrayer toutes ces pathologies, il suffit d’inhiber tous les états d’hypersécrétion de l’hormone de croissance inutile à l’âge adulte. Or à cet âge, son inhibition n’entraîne aucun effet pathologique ou physiologique, ni immédiat, ni retardé (Schaub). Son tarissement est obtenu par une procédure simple consistant en un flash d’irradiation hypophysaire dont la dose est définie : 13,5 mCi ou son isodose.

Réalisable au moyen de Gamma Knife, cette brève irradiation inhibe sélectivement l’hormone de croissance sans qu’aucune autre stimuline ne soit concernée ; l’effet est acquis après une latence de 6 à 18 mois.

Le venin d’abeille

L’apipuncture est un procédé d’injection de venin d’abeille en des points bien précis permettant à l’organisme d’assurer un meilleur fonctionnement cellulaire grâce à une protéine issue d’une abeille.

Le venin montre des effets anti inflammatoires jusqu’à 100 fois plus puissants que la cortisone sans effet secondaire et semble exercer une forte influence sur le système nerveux.

Du latin « apis » pour abeille, l’apithérapie est aussi ancienne que l’apiculture elle-même et consiste à utiliser les produits de la ruche, récoltés, transformés ou sécrétés par l’abeille : le miel, le pollen, la gelée royale et le venin à des fins thérapeutiques et diététiques.

Les connaissances de l’usage médicinal du venin d’abeille remontent à la plus haute antiquité. Des textes chinois vieux de 2 000 ans en font mention.

Charles Mraz, considéré comme un grand maître de l’apithérapie, apiculteur et thérapeute dans l’Etat du Vermont aux Etats-Unis a transmis son savoir-faire partout dans le Monde jusqu’à sa mort en 1999.

Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, une piqûre d’abeille ne peut vous faire que du bien à moins que vous ne soyez allergique. Le venin ne devient toxique pour l’homme qu’à partir de 2,8 mg par kg de poids, ce qui correspond à 1400 piqûres d’abeilles.

Pour autant, se soigner au venin d’abeille n’est pas exactement une thérapie douce !

S’agissant d’un produit toxique, il appartient par essence au champ médical et est interdit à la vente en France.

Bernard Nicollet a procédé à des expérimentations et a noté une amélioration notamment dans la sclérose en plaques et la sclérose latérale amyotrophique. Il est intéressant de lire l’article suivant traitant du tradipraticien Bernard Nicollet.

Ayant obtenu de bons résultats. Que pensez-vous qu’il arriva ! Il fut interdit, son matériel saisi.

Personnellement j’ai eu recours au venin d’abeille il y a 55 ans pour traiter des douleurs de genou, en injectant sous forme de mésothérapie, le précieux venin qui opérait avec efficacité.

Par ailleurs, certaines équipes médicales commencent à s’y intéresser sérieusement. C’est le cas par exemple des travaux de la Fondation Michael J. Fox qui finance une étude menée au sein de l’hôpital de la Pitié Salpêtrière pour mesurer les effets des piqûres d’apivenin sur des patients atteints de la maladie de Parkinson.

Dans ce type de thérapie, le produit utilisé n’est pas du venin frais mais de l’apivenin. Le plus souvent, il s’agit d’un venin séché et lyophilisé qui se conserve mieux.

En Corée cette thérapie est couramment et traditionnellement utilisée. Notamment :

  • Contre l’arthrose. Sont associées des injections d’apivenin et des séances d’acupuncture. Ce traitement vise à limiter l’inflammation du patient et à soulager sa douleur.
  • Pour réguler l’immunité par ses actions anti-inflammatoire et immuno-régulatrice.
  • Pour accompagner le traitement des maladies neuro-dégénératives (Parkinson et Alzheimer, en freinant les dégâts causés par la maladie sur les neurones.)

D’autres effets du venin d’abeille ont été démontrés chez la souris comme son activité anti-tumorale pour certains cancers (côlon, poumon, col de l’utérus), antibactérienne ou protectrice du foie. Pour autant, à ce jour, ces travaux n’ont pas donné lieu à la création de protocoles médicaux correspondant.

Parmi les thérapies interdites, la liste est longue.

Cette stratégie coercitive et sans justificatifs de la médecine officielle n’es pas au service des malades et des citoyens qui paient, mais à celui de l’industrie pharmaceutique qui encaisse, alors que, depuis vingt-cinq ans, elle n’invente plus guère et est devenue la moins éthique et la plus lucrative de toutes les industries, confortée par le silence indifférent ou complice d’une grande part de l’élite médicale universitaire.