Le ministre de la santé vient de donner la liste des 450 médicaments concernés. C’est un stock plancher, première étape d’une stratégie qui reste encore flou. Sur les 12000 classes de médicaments en France 6000 sont considérés d’intérêts thérapeutiques majeurs. Les industriels devront avoir 4 mois de stock.
J’ai fait le tour de ces produits iatrogènes. Dans une newsletter récente, j’ai abordé les anxiolytiques, les antidépresseurs et autre benzodiazépines. J’en ai décrit la pléiade d’effets secondaires. Il en va de même pour les IPP, alpha et béta bloquants, statines, les analgésiques et la molécule paracétamol : les gamma GT et les transaminases en matérialisant les dégâts au niveau du foie, quant au vaccin, il faut laisser parler ceux qui est en subissent les effets délétères au quotidien.
Cette pénurie de médicaments chimiques réjouit les médecins de terrain, qui disposent d’une grande gamme de remèdes naturels et de 75% de Français adeptes de médecines alternatives.
Enquête de Santé : aromathérapie
Quel ne fut pas ma surprise de voir Marina Carrère d’Encausse réserver une soirée sur l’aromathérapie dans « Enquête de santé », alors que les huiles essentielles sont bannies depuis l’apparition de la Covid.
Parmi les intervenants des naturopathes et aucun professeur d’aromathérapie. Durant 2 heures des universitaires ont orienté les débats et insisté sur les aspects négatifs des huiles essentielles (HE).
On n’a jamais évoqué les HE dans les maladies virales. Aucune allusion au Covid. Une démonstration destinée à oublier les effets positifs des huiles essentielles. L’essentiel de la rencontre se résumait en détails techniques :
- Les produits naturels sont-ils efficaces et sans danger ?
- Les études scientifiques sont rares.
- Manque de contrôle de qualité, absence de mise en garde, risque de toxicité les huiles essentielles qui peuvent exposer à des dangers insoupçonnés.
Et rien sur l’action exceptionnelle des HE ! On est resté dans le bla-bla… Bref, ils ont noyé le poisson.
Ils auraient dû savoir qu’il y a des « containers » pleins de travaux scientifiques sur l’aromathérapie !
Pourquoi n’ont-ils pas invité des professeurs d’aromathérapie qui assurent une formation dans les universités (avec délivrance de diplômes officiels).
L’Ordre des Médecins et les trusts pharmaceutiques doivent être satisfaits de cette « Enquête de santé ». Mission accomplie !
J’ai été invité dans cette émission de la V, coanimée par le docteur Michel Cymes, il y a 10 ans lors de la présentation de mon livre, relatif à ma biographie, ce personnage m’a insulté : « Monsieur ! vous êtes un charlatan ! ». Il avait dénigré aussi les professeurs Joyeux, Debré, Even, pour leur déviation vers une médecine non conforme à l’officielle, Le comité d’éthique n’a pas réagi !
Je rappelle que cet arriviste a raté son bac et son concours d’entrée en médecine ! (Paris Match, Canard enchainé, Le Parisien).
Où trouver l’information ?
– Sur Beur FM tel : 01 53 48 30 00 (AVS Philippe ROBICHON)
– Dans les livres de médecins spécialistes.
« Alzheimer et odorat : quand les arômes restaurent la mémoire ». Ed. Trédaniel.
Traduit en anglais, c’est le premier livre de vente aux États-Unis.
Tout savoir sur les virus et y faire face. Ed. Dauphin. (Traitement du Covid long).
– Formation à l’aromathérapie par correspondance : faculté libre de médecines naturelles FLMNE.
Tél. : 09 73 54 53 81. Site Internet : www.flmne.org Email : contact@flmne.org
64 vidéoconférences (prix sacrifié 250€).
Si l’information officielle ne vient pas au secours d’une majorité des Français qui souffrent de moult maux nous pouvons compter sur la rédaction de livres permettant de se soigner efficacement et sans danger.
Je viens de recevoir « Le grand livre pour se soigner au naturel », du docteur Philippe MATTMANN, interne des hôpitaux et diplômé de phyto-aromathérapie clinique.
Soigner au naturel implique de répondre au moins à deux questions : «Quoi ?» et «Comment?» En pratique, le professionnel ou le praticien de santé font appel aux connaissances actuelles de la science et les utilisent dans la recherche du «Quoi ?» Quel est le diagnostic le plus probable dans la situation donnée ? Ils sont des acteurs responsables et souvent des éducateurs compétents dans cette première approche, nécessaire et indispensable, et ils bénéficient de la confiance de leurs patients.
Mais la réponse au «Comment ?» peut aussi faire intervenir le soigné dans la recherche des thérapeutiques les plus adaptées et naturelles pour optimiser les soins et limiter les effets secondaires. Comment soigner sans intoxiquer ? Cette démarche nécessite des réponses à plusieurs questions liées à la personne, à sa demande, aux plantes ou autres produits proposés. S’agit-il d’un adulte ou d’un enfant ? D’une femme enceinte ou allaitante ? Quelles sont les pathologies associées ? Quelles sont les contre-indications ? Quelles plantes ou quelles parties du végétal faut-il utiliser ? Quels sont les composants actifs, dans le cadre d’une relation structure-activité ? Cette indication a-t-elle été validée, ou est-elle simplement reconnue par un usage traditionnel ? Quelle est la forme galénique préférentielle ? Est-ce une tisane ou un extrait sec, une forme sèche ou liquide, une HE, une gélule ou un comprimé ? L’association est-elle déjà commercialisée ou s’agit-il d’une préparation, d’un complément alimentaire, ou d’un médicament à base de plante ? Quelle est sa disponibilité, l’état de sa ressource ? Peut-on la trouver en pharmacie, en magasin bio ou sur Internet ? Dans ce dernier cas, quelle est la qualité du produit, son origine, et quel est son coût ?
Les réponses à ces différentes questions font l’objet du présent ouvrage, travail de recherche et de synthèse encore jamais publié sous cette forme. C’est à la fois le résultat d’une expérience personnelle et d’une pratique de médecin généraliste de plus de trente ans d’exercice, mais également le fruit de la lecture (émérite) de la revue Prescrire et des documents sur ce thème, dont la bibliographie en fin d’ouvrage reflétera la diversité.
Il envisage dans ce livre, les principales pathologies rencontrées dans l’exercice médical. Ce Grand Livre vous propose des solutions thérapeutiques élaborées en fonction de ces situations et dans lesquelles la prescription de produits à base de plantes et d’huiles essentielles se révèle très utile en soins de soutien, et parfois plus efficace que les traitements conventionnels. La place de plus en plus importante des compléments alimentaires est aussi abordée. Des associations commercialisées, parmi les plus pertinentes, sont également proposées, sans aucun conflit d’intérêt avec les laboratoires mentionnés.
Une médecine globale
Dans le cadre de cette médecine globale, il rappelle l’importance primordiale d’une hygiène de vie adéquate, avec souvent une modification des habitudes alimentaires, et par conséquent une approche diététique raisonnée. Se soigner au naturel commence toujours dans l’assiette. Le docteur MATTMANN précise la place de la prescription homéopathique, de la gemmothérapie – notamment pour les enfants -, de l’utilisation des oligoéléments et de l’intérêt ponctuel des interventions non médicamenteuses.
Le Grand Livre se veut aussi un guide pratique. On trouvera donc une présentation habituelle thématique, et par ordre alphabétique, des domaines thérapeutiques, même si celle-ci ne correspond pas tout à fait à une prescription dans la pratique courante. Certaines maladies bénéficient uniquement de soins de soutien naturels. Dans la plupart des cas cependant, le fonctionnel précède le lésionnel. Les indications préférentielles restent donc ces pathologies de dysfonctionnement, préludes aux pathologies organiques. Une stratégie de prévention et de traitement individualisé devrait en effet permettre de restaurer les fonctions habituelles de l’organisme, en évitant les prescriptions purement symptomatiques.
L’aromathérapie une médecine à part entière
Quelques associations synergiques en aromathérapie sont aussi proposées. Il semble pertinent d’apprendre à mieux connaître les principaux composants des huiles essentielles et les familles chimiques auxquelles elles appartiennent pour les utiliser plus efficacement. Par exemple, Lavandula vera et Petitgrain Bigarade ont quasiment la même composition. Les associer n’apportera pas de bénéfice particulier.
Après un bref rappel des approches thérapeutiques, vous trouverez un modèle d’«ordonnance» simplifiée évolutive dans près de 50 situations cliniques : Mycose, acné, acidité gastrique, endométriose, maux de la grossesse, insomnie, infections ORL,Covid19 et autres viroses, le stress, burn out, troubles de la mémoire, polyarthrite, ostéoporose, fibromyalgie, goutte, prostate, cancer…
Tout l’intérêt de l’approche globale et naturelle présentée dans ce livre est de proposer un traitement individualisé et de prévenir les dysfonctionnements en fonction de votre terrain. Mais se maintenir en bonne santé, c’est aussi rappeler l’importance d’une hygiène de vie et d’une approche diététique raisonnée. Ce guide pratique rassemble en un seul livre : des conseils d’application faciles, des entrées par domaines thérapeutiques, un index, des pistes de prescription sous forme d’« ordonnances », des infos pratiques sur toutes les solutions en homéopathie, phytothérapie, aromathérapie, gemmothérapie, compléments alimentaires…
« Et leurs fruits serviront de nourriture et leurs feuilles serviront de remède ».
Ezéchiel 47 : 12 -La Bible.
Puisse ce travail de synthèse, naturellement évolutif, servir d’aide pratique au thérapeute ainsi qu’au patient novice ou averti.
L’éclectisme du Dr Mattmann est le fondement même de cet ouvrage riche et passionnant que je vous invite maintenant à découvrir.
439 pages. Prix : 24,90€