LE RHUME

Le rhume (ou rhinite aiguë), anciennement « rhume de cerveau », est une infection virale aiguë des voies respiratoires (nez, sinus maxillaires ou frontaux, gorge, larynx, trachée et bronches), habituellement sans fièvre. Il se déclare fréquemment comme une épidémie survenant avec les premiers froids, sur un terrain favorable : coup de froid, surmenage, fatigue physique et psychique ou vie en collectivité (crèches, écoles, lycées).

ATTENTION AUX VASOCONSTRICTEURS !

C’est parce qu’ils diminuent la sensation de nez bouché qu’on les prend en cas de rhume. Ils existent sous deux formes : en comprimés ou en gélules sans ordonnance, et en spray sur prescription. Par voie orale, le principe actif phare retrouvé dans les formules (Dolirhume, Humex Rhume, Actifed Rhume…) est la pseudoéphédrine. Les sprays sont connus sous le nom d’Aturgyl, de Deturgylone ou encore de Pemazène. Le problème ? Tous ces vasoconstricteurs peuvent entraîner des problèmes cardiaques et neurologiques. D’où l’importance de faire attention à leurs contre-indications (hypertension artérielle, confusion, maladies cardiaques…) et de ne pas dépasser cinq jours de traitement. D’autant plus que, par voie nasale, ils peuvent entraîner une véritable addiction. Leur utilisation immodérée due au soulagement qu’ils provoquent – le nez se débouche instantanément – altère alors le fonctionnement de la muqueuse nasale et induit ce que l’on appelle une « rhinite vasomotrice ». Ce trouble se manifeste par un afflux de sang (muqueuse gonflée) et des écoulements assez importants.

ATTEINTE DU CARREFOUR O.R.L

L’O.R. L : nez, gorge, oreilles

Les trois organes sensibles de la petite enfance sont les cibles favorites des virus et des bactéries, et le souci permanent des mamans. Dès les frimas de l’automne, les affections ORL se déclarent, particulièrement dans les crèches et les écoles maternelles. C’est la ronde des rhinopharyngites, otites, bronchites, angines, etc.

Mais les adultes ne sont pas épargnés : rhumes et « coups de froid » frapperont jusqu’à la fin de l’hiver.

OBSTRUCTION NASALE

Le nez bouché est un des grands classiques de l’automne et de l’hiver. Il fait froid et sec et, sans que rien n’ait pu le laisser prévoir, vous perdez soudain l’odorat, vous êtes obligé de respirer par la bouche et vos essais pour vous moucher demeurent infructueux…

Bébé, quant à lui, est grognon et a du mal à dormir autrement qu’en gardant la bouche ouverte. Il est gêné pour téter.

Ce ne sont pas là forcément les symptômes d’une vraie grippe ; il s’agit plutôt d’un banal début de rhume ou de rhinite.

LA RHINITE

Le « rhume de cerveau », alias « coryza aigu » ou rhinite est une des affections habituelles de la période automnale et hivernale. Il n’est pas anormal qu’un adulte en bonne santé s’enrhume deux ou trois fois par an.

Chez les enfants, rhinites et rhinopharyngites sont un phénomène habituel ; si le nouveau-né est protégé des infections par les anticorps transmis par sa mère pendant la grossesse ou l’allaitement, ceux-ci disparaissent ensuite progressivement de l’organisme. Le corps du bébé doit alors « apprendre » à se défendre lui-même en produisant ses propres anticorps à chaque nouvelle rencontre avec un virus ou une bactérie. Cela se traduit presque toujours par une maladie ORL.

Autrement dit, les rhinites à répétition du jeune enfant ne sont pas un signe de fragilité, mais une nécessité d’adaptation pour son organisme. En effet, même le rhume le plus banal est provoqué par plus d’une centaine de virus…

Ces rhinites présentent cependant quelques risques :

  • elles peuvent s’aggraver ou se surinfecter, les bactéries envahissant les oreilles (otite), la gorge (angine, pharyngite), les sinus (sinusite) ou les bronches (bronchite).
  • elles peuvent récidiver très souvent.
  • elles gênent de toute façon l’enfant, perturbent son sommeil et provoquent parfois des vomissements.

Le rhume banal par lui-même n’est pas grave. Il se manifeste avant tout par l’écoulement nasal d’un liquide clair plus ou moins fluide, appelé « rhinorrhée ». Ce phénomène apparaît souvent après une première phase d’obstruction nasale. Il correspond à un mode de défense des fosses nasales dont la muqueuse sécrète un mucus qui la défend contre les agressions. Hormis cet écoulement, les autres symptômes du coryza aigu sont bien connus : picotements et démangeaisons du nez, éternuements, diminution de l’odorat et du goût, parfois un peu de fièvre, de fatigue, de perte d’appétit… Rien d’alarmant, mais rien de très agréable non plus.

RHINOPHARYNGITES (chez l’enfant)

Elles sont la continuation et la complication d’un rhume. L’écoulement des sécrétions nasales se fait par le nez, mais aussi dans la gorge, d’où une irritation du pharynx et de la toux grasse ou sèche.

L’arrière-gorge est rouge, congestionnée, l’enfant a parfois des difficultés pour avaler ; il a souvent de la fièvre.

La rhinopharyngite est particulièrement fréquente chez le nourrisson et le très jeune enfant, encore incapables de se moucher, ce qui facilite l’écoulement des mucosités dans l’arrière-gorge et provoque parfois des vomissements.

Le risque majeur des rhinopharyngites est la complication découlant d’une surinfection microbienne.

OTITE

C’est sans doute la complication la plus fréquente et la plus redoutée des rhinopharyngites. L’otite est une inflammation ou une infection de la partie moyenne de l’oreille, située au fond du conduit auditif, derrière le tympan. Les microbes ou virus atteignent l’oreille moyenne en remontant la trompe d’Eustache depuis 1’arrière-gorge.

L’otite aiguë débute souvent brutalement. Si un grand enfant ou un adulte est capable de dire qu’il a mal dans 1’oreille, ce n’est pas le cas pour le bébé. Cependant, un certain nombre de signes permettent de soupçonner la maladie :

  • l’enfant crie, pleure, perd l’appétit
  • il a de la température, plus ou moins élevée
  • il tourne la tête d’un côté ou de l’autre, se frotte l’oreille
  • parfois, un écoulement purulent ou aqueux signale que le tympan est perforé et que le liquide ou le pus qui s’y était accumulé sort à l’extérieur.

SINUSITE

Encore une complication de la rhinopharyngite… Cette fois, ce sont les sinus, cavités osseuses remplies d’air et tapissées par une muqueuse, communiquant avec les fosses nasales, qui sont atteints par l’infection. Ils sont situés dans les os du front, de part et d’autre de la ligne médiane, et dans les maxillaires supérieurs, derrière les pommettes.

La sinusite, exceptionnelle chez le petit bébé, dont les cavités sinusiennes ne sont pas encore complètement formées, affecte plutôt l’adulte et l’enfant. Elle a deux causes principales :

  • un rhume surinfecté (sinusite frontale surtout)
  • une infection dentaire (sinusite maxillaire).

Elle se manifeste essentiellement par une douleur : mal de tête (sensation d’avoir le crâne « comme dans un étau », concentré dans la région frontale ou maxillaire. La douleur est souvent aggravée quand on se penche en avant. En outre :

  • la zone derrière laquelle se trouve le sinus infecté est sensible à la pression du doigt
  • un écoulement nasal peut se produire, plus ou moins purulent, jaunâtre ou verdâtre, avec parfois de petits filets de sang
  • la fièvre est fréquente.

ANGINE

On désigne habituellement sous ce nom les amygdalites, c’est-à- dire l’inflammation des amygdales à la suite d’une atteinte virale ou microbienne.
Fréquente chez l’enfant, l’angine peut également toucher l’adulte. L’inflammation des amygdales peut s’étendre à l’ensemble du pharynx et affecter toute l’arrière-gorge.

L’angine est due huit fois sur dix à un virus. Elle est douloureuse, gênante, mais sans gravité. Cependant, il peut arriver que les amygdales soient infectées par un microbe. Le plus souvent, il s’agit du streptocoque, bactérie responsable de la scarlatine (qui débute d’ailleurs par une angine) ; il présente la particularité de pouvoir s’attaquer à d’autres organes que la gorge, en particulier les reins (néphrite), les articulations (rhumatisme articulaire aigu ou RAA), le cœur (inflammation des valvules cardiaques). Ces complications sont sérieuses.

LARYNGITE

La laryngite aiguë est une inflammation aiguë du larynx ayant pour conséquence un gonflement (œdème) de la muqueuse qui entraîne un rétrécissement et une gêne du passage de l’air respiré. La cause habituelle est une infection virale. La forme la plus fréquente touche la région des cordes vocales. Le symptôme principal en est la modification de la voix, sous forme de dysphonie ou d’aphonie. On note également un sensation de chatouillement du larynx. Dans les cas plus importants on note de la fièvre, des douleurs, voire une dyspnée.

STRATÉGIE THÉRAPEUTIQUE

L’ensemble de ces pathologies hivernales est le résultat d’une infection virale ou bactérienne.

Nous disposons de remèdes composés d’huiles essentielles dont on connait l’efficacité et la rapidité d’action pour juguler toute infection.

ans toute médecine naturelle, il est vivement conseillé de restaurer le terrain pour obtenir un résultat définitif et éviter ainsi toute rechute, ce qui est souvent le cas avec la médecine officielle (chimique).

1/ Neutraliser l’infection

Nous disposons de trois formulations d’HE par voie orale et un spray (pulvérisation dans la gorge).

PHYTORL

Ce produit est prescrit dans l’encombrement et l’écoulement nasal, la Rhinite, la Sinusite, l’Otite, les Angines, la Pharyngite et la laryngite.
Il est composé d’huiles essentielles de Niaouli, de cannelle de Ceylan, du thym vulgaire et les feuilles de thé vert.
Posologie :
1. Infections aiguës : 4 gélules de PHYTORL par jour (1 matin/2 midi/1 soir) avant les repas, poursuivre pendant 7 jours avec 2 gélules par jour (1 matin/1 midi)
2. Infections chroniques : 3 gélules par jour (1 gélule avant les repas).
Présentation boîte de 60 gélules

PHYTOLIBRE

On réserve le PHYTOLIBRE à ces affections : Trachéite, bronchite, Toux, Asthme, BPCO (broncho-pneumonie chronique obstructive).
Il est composé de Curcuma, d’huiles essentielles de thym, de cannelle de Ceylan et d’épinette noire.

Posologie :
1. Infections aiguës trachéite, bronchite, toux : 4 gélules par jour (1 matin/2 midi/1 soir) avant les repas jusqu’à disparition des symptômes.
2. Problèmes chroniques (administration de longue durée) : asthme, BPCO, toux chronique : 3 gélules par jour (1 matin/1 midi/1 soir) avant les repas.
Posologie chez les enfants :
– 9 à 15 ans : 3 gélules par jour (1 matin/1 midi/1 soir) avant les repas.
– 6 à 8 ans : 2 gélules par jour (1 matin/1 soir] avant les repas.
Présentation : boîte de 60 gélules.

PHYTOBV

Indications : Infections virales (aiguës ou chroniques), infections bactériennes, grippe, syndrome grippal, refroidissement, insuffisance ou faiblesse immunitaire.
Huiles essentielles : racines de gingembre, écorce de cannelle de Ceylan, clou de girofle, ravintsara, tea tree.
Posologie :
1. Infections virales aigues de type syndrome grippal et grippe : Dose de départ : 2 gélules de PHYOBV, ensuite 1 gélule toutes les 4 heures avec un max. de 5 par jour.
Ensuite : 4 gélules par jour (1 matin/2 midi/1 soir) avant les repas jusqu’à disparition des symptômes.
2. Infections chroniques (administration de longue durée) :
Epstein Barr, les virus de l’hépatite A-B-C, le cytomégalovirus et les virus herpétiques.

A/ Infection primaire : (IgM positif)
15 jours : 4 x 1 gélule par jour (matin, midi, vers 16 h, soir).
15 jours : 3 x 1 gélule par jour (matin, midi, vers 16 h).
1 mois : 2 x 1 gélule par jour (matin, midi).

B/ infection chronique (IgM négatif, IgG positif)
– 15 jours : 4 x 1 gélule par jour (matin, midi, vers 16 h, soir).
– 1 mois : 3 x 1 gélule par jour (matin, midi, vers 16 h).
– 8 mois : 2 x 1 gélule par jour (matin, midi).

C/ Prévention des infections : 2 gélules par jour (1 matin/1 midi).
Présentation : boîte de 60 gélules.

PHYTOSPRAY

Indications : angine et maux de gorge, pharyngite, laryngite, enrouement.
Composition : L’aigremoine, les HE de clou de girofle et de la sauge.

Posologie et conseils d’utilisation :
1. Adultes : 4 pulvérisations de Phytospray (2 de chaque côté de la gorge) 4 à 6 x/jour.
2. Enfants (à partir de 10 ans) : 4 pulvérisations 3x/jour.
Présentation : flocon de 10 m.

2/ Restaurer la flore intestinale

Le KIMCHI et les probiotiques contribuent à rééquilibrer le microbiote intestinal, à renforcer les défenses immunitaires et réduire la charge virale et bactérienne.

PROKIMCHI contient de la poudre lyophilisée de kimchi, une préparation alimentaire traditionnelle coréenne à base de choux, d’ail, de radis, de piments rouges et autres légumes et épices fermentés. Le KIMCHI est considéré comme l’un des 5 aliments les plus sains au monde.

Ces végétaux fermentés sont associés à une base de bactéries probiotiques hautement revivifiables dont l’action biologique est garantie comme ciblée et efficace sur le milieu intestinal.

PROKIMCHI est donc riche en lactobacillus, en ferments probiotiques, en enzymes, en vitamines, en minéraux et en métabolites divers.
L’ensemble contribue à l’installation et au développement d’une microflore équilibrée et biologiquement active.

Conseils d’utilisation de PROKIMCHI :
De 4 à 6 gélules par jour en 2 ou 3 prises :
1 à 2 gélules avant le petit déjeuner.
1 à 2 gélules avant le repas de midi et 1 à 2 gélules avant le repas du soir.

Une utilisation régulière de PROKIMCHI pendant 4 mois par an à raison de 4 gélules par jour sera particulièrement bénéfique lors des changements de saisons (printemps – automne). Cela favorisera l’adaptation du milieu intestinal aux changements alimentaires, immunitaires et climatiques liés aux saisons.
Conditionnement boîte de 120 gélules.

3/ Ecourter la convalescence avec la vitamine C liposomale

La vitamine C liposomale est une vitamine C qui est encapsulée dans un liposome, une particule entourée de lipides. Les liposomes sont donc de minuscules véhicules liposolubles qui transportent des nutriments dans le corps. Les liposomes sont créés à partir de phospholipides.

Le procédé liposomale rend la vitamine C liposoluble, c’est-à-dire soluble dans les graisses. Les liposomes traversent les membranes cellulaires en emportant avec eux la vitamine C liposomale, la transportant ainsi au cœur même des cellules.

5 ou 6 grammes de vitamine C liposomale seraient plus efficaces que 50 grammes de vitamine C délivrée en intraveineuse. On parle d’une biodisponibilité de près de 98% pour les principes actifs absorbés sous forme liposomale.

La vitamine C est utile dans tous les cas d’infections : bactériennes, virales, mycotiques, parasitaires ou lors de contamination par des levures puisque :
• les leucocytes en contiennent beaucoup, près de 60 fois plus que le plasma sanguin. Un déficit peut donc se répercuter sur leur nombre et sur leur efficacité.
• Elle est indispensable à la synthèse d’anticorps et permet une meilleure mobilisation des globules blancs en général et des neutrophiles en particulier.

Vitamine C liposomale + est une vitamine C liquide présentée sous forme liposomale. Elle peut être associée à toute autre prise de médicaments ou autres compléments alimentaires.

Elle n’occasionne aucun effet secondaire et elle peut être conseillée pour tous.

Prendre une dose de 3,00 millilitres par jour, en une prise. Soit trois pressions. Une pression délivre 1,00 millilitre.
Conditionnement : flacon de 109ml.

Pour commander ces 5 produits :
Perfect Health Solutions. N° gratuit 0805080420 Tel : 01 76 38 20 18
Par internet : https://www.perfecthealthsolutions.eu/

Voir mes livres :
« Les huiles essentielles, médecine d’avenir » Ed.Dauphin
« Les HE et la grippe A » Ed. Dauphin »
« Les HE antivirales » Ed. Trédaniel » (Traitement de 60 maladies virales : coronavirus, grippe, Ebola, Hépatite…)

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Seules les huiles essentielles sont aptes à neutraliser les virus (grippe, coronavirus…), dont la presse ne fait aucune mention.

L’O.M.S a confirmé qu’on ne dispose d’aucune thérapie face à ce virus. On a bien proposé le sempiternel interféron, molécule dite antivirale, naturellement produite par l’homme et prescrite lors des épidémies de Sras et Mers mais pas de miracle à l’arrivée !!

Certains chercheurs expérimentent des anticorps monoclonaux extraits du sang de personnes guéries. Un professeur britannique se prépare à tester un nouveau vaccin contre le coronavirus. Est-ce crédible ? Il faut savoir qu’il faut au minimum 1 à 2 ans pour mettre au point et distribuer un nouveau vaccin. Par ailleurs tout virus peut muter. Ainsi la mise au point d’un vaccin peut virer à la catastrophe.

N’oublions pas les 70 millions de morts causés par la grippe espagnole, laquelle grippe a frappé 3 fois en 1918-1919.

La saga du coronavirus n’a pas fini de donner des sueurs froides.

Par ailleurs, la grande inquiétude est sa diffusion. Cette pandémie est présente dans 30 pays. Quelle serait la réaction des experts internationaux (O.M.S) si ce virus commençait à se développer dans des pays aux structures sanitaires fragiles ? Ce serait vrai en Inde, où trois cas ont déjà été identifiés. Ce le serait sans doute également en Afrique subsaharienne. Et les risques sont loin d’être nuls eu égard à ses importantes relations commerciales avec la Chine. Les pays africains sont tout aussi inquiets que nous. Les réseaux de surveillance de la grippe y ont été réactivés pour l’occasion et sont appelés à redoubler de vigilances quand ils seront confrontés à des personnes présentant des difficultés respiratoires et/ou susceptibles de voyager en Chine.