Cela fait 2 ans que je traite tous les aspects du Covid. Pour rafraichir mes neurones et booster mes synapses, j’avais l’intention d’aborder d’autres thèmes. Mais cette pandémie a déstabilisé le monde politique et surtout le monde médical. Chaque jour on assiste à une funeste hécatombe. Ce qui nous aurait le plus protégé, c’est évidemment le masque, la barrière la plus accessible et la moins chère.
Les clusters restent le point de départ de la propagation du virus, et pourtant on retire le masque au sein de la famille, quand les enfants rentrent de l’école, aux différentes fêtes familiales, lors des rave-parties et des surboums…
A l’arrivée on déplore 141.000 morts. La liste n’est pas close, les variants et sous-variants continuent à s’enchainer. Quant aux remèdes miracles annoncés, il faut encore attendre : Les comprimés anti-Covid font flop. La France a acheté 500.000 doses de Paxlovid. Seuls 3500 patients l’ont utilisé !
Alors que les huiles essentielles salvatrices sont là et vous attendent !
Tandis que je me préparais à rédiger une lettre sur un personnage haut en couleur, l’actualité médicale me rattrape. Il me reste à me replonger dans le monde mystérieux et impitoyable des virus. Cette saga se transforme en thriller. C’est ainsi que j’ai été le seul à rédiger un manuel pour pouvoir vous traiter « Tout savoir sur les virus et y faire face ». Ed. Dauphin. Pour 14€ on peut sauver un contaminé…
Quand deux épidémies se côtoient
La pandémie de Covid-19 a occulté la grippe et nous l’avait fait oublier. Alors que cette infection saisonnière s’est montrée discrète ces derniers hivers, soudain elle fait un retour inquiétant. Presque totalement éclipsée par la pandémie de Covid-19 ces deux dernières années, la grippe saisonnière, dont le virus est resté discret pendant la majeure partie de l’hiver, est bien toujours là. Pis, elle s’offre depuis quelques jours un retour remarqué et même plutôt inquiétant. Selon les chiffres du bulletin hebdomadaire publié par Santé publique France, la métropole connait une forte augmentation de l’ensemble des indicateurs permettant de suivre, jour après jour, l’évolution de cette pathologie.
La grippe, très tardive, menace aussi les plus âgés. La circulation du Sars- CoV-2 et le port du masque ont sans doute contribué à retarder cette épidémie saisonnière. La souche A (H3N2) qui circule touche les plus fragiles et les plus âgés. Et comme la vaccination antigrippale a été faite il y a six mois, le risque d’infection est plus important qu’en janvier ou février. Toutefois bien que loin d’être anodine, la grippe reste cette année une menace moins dangereuse que le Covid-19.
Quand nous chanterons le temps des cerises…
Le Covid-19 est revenu avec le printemps. Ou plutôt, on se rend compte qu’il rôdait, invisible et dangereux pour les plus fragiles. Deux ans après le début de la pandémie, nous avions voulu croire que la menace pouvait disparaître comme par magie, parce qu’on n’en pouvait plus, et que le calvaire des Ukrainiens nous enseignait ce qu’était une vraie « guerre ».
Les éternels signes avant-coureurs d’un rebond sont pourtant là : des proches affrontent la fièvre au fond de leur lit ; le nombre quotidien de nouveaux cas positifs bondit : un pic à 180.000 contaminés qui s’est stabilisé à 148.000.
Petite saillie (verbale) du Dr Jean-Paul Hannon : « on ne va pas s’emm… à prendre le moindre risque, si leur état dégénère, je préfère qu’ils soient hospitalisés, j’ai rangé le Paxlovid au placard. »
Les trois causes de la persistance virale
Aux yeux des spécialistes, il existe trois causes principales à cette cinquième vague qui n’en finit pas.
- Premièrement, le remplacement du sous-variant d’Omicron BA.1 par BA.2, assez semblable mais plus transmissible. « Omicron, un virus terriblement contagieux qui cause en général peu de symptômes, mais engendre depuis début janvier une vague monstrueuse dont on ignore la taille réelle, analyse le professeur Pittet. Même en France, où l’on teste encore beaucoup, il y a probablement cinq à dix fois plus de personnes contaminées que dépistées. »
- Deuxième raison de ce rebond : la multiplication des contacts sociaux, des bises matinales, des dîners entre amis comportements qui ont démarré bien avant la levée de l’obligation du port du masque à l’intérieur et du passe vaccinal le 14 mars. « Le facteur humain a une grande influence sur le niveau de circulation du virus, nous avons repris une vie normale et nous sommes très peu nombreux à garder le masque dans les lieux clos », observe Dr Anne-Claude Crémieux.
- Troisièmement, la baisse, au fil du temps, de la protection immunitaire conférée par la vaccination. C’est pour cette raison que l’exécutif propose une quatrième dose aux plus de 65 ans.
Décidément il ne fait pas bon d’être vieux en France ! Haro sur les papis et les mamies !
Tandis que Pfizer se pourlèche les babines en caressant les lingots d’or qui s’accumulent (120 milliards) !
Une pandémie à rebonds
« La pensée magique, consistant à prendre pour une réalité notre désir que l’épidémie soit derrière nous, alliée à un manque de culture générale scientifique, a conduit à une erreur de jugement : déclarer que le virus est endémique ne signifie pas que le problème est résolu. Un virus pandémique circule sur toute la planète sans limite dans le temps et l’espace. Puis, grâce à l’édification progressive d’une immunité collective, il change de comportement, basculant peut-être vers un rythme plus saisonnier. Mais il ne s’agit pas d’un voyage sans retour ; cette transition est graduelle ».
Le passage à une phase dite « endémique » semblait porter pour certains la promesse d’un printemps-été sans virus.
Les deux sous-variants
Omicron, variant préoccupant selon la qualification de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), est en fait un terme générique qui désigne sans distinction plusieurs lignages de virus très proches. Dans l’Hexagone, BA.2 vient de remplacer son « frère aîné » BA.1, hégémonique jusqu’en février.
Ce nom de code barbare, BA.2, désigne le nouvel ennemi du printemps : ce sous-variant d’Omicron, qui a remplacé B.A.1 est en partie responsable du rebond épidémique actuel en France. L’épidémie n’est pas finie ; la vague BA.2 est le prolongement de la cinquième vague car nous ne sommes jamais retombés sous le seuil de 500 nouveaux cas positifs quotidiens pour 1.000 habitants. Il représente entre 75 et 95% des infections.
Comment s’en protéger ?
Les gestes barrière que les autorités sanitaires incitent depuis deux ans à observer pour lutter contre le Covid sont exactement les mêmes à observer contre la grippe et contre d’autres maladies comme le virus respiratoire syncytial (VRS), fréquent chez les nourrissons, la gastroentérite ou la varicelle.
Pour ceux qui ont oublié le protocole pour contrer une atteinte sévère et éviter une réanimation :
HECT Ravintsara 7 ml
HECT Eucalyptus radié 2 ml
HECT Eucalyptus globulus 2 ml
HECT Laurie noble 2 ml
HV Noyau d’abricot 5 ml
En premier lieu, faire un embaumement vivant. Appliquer un volume élevé d’HE (5 ml) sur le thorax et le haut du dos, puis 20 gouttes sur chaque face interne des bras 5 fois par jour pendant 5 jours, puis 3 fois par jour pendant 5 jours supplémentaires et 5 gouttes de cette même synergie dans une boulette de mie de pain à avaler 5 fois par jour pendant 10 jours.
La laryngite
Certains pédiatres ont traité des jeunes enfants qui ont dû être hospitalisés à cause du « croup », reconnaissable à son inspiration sifflante la nuit et à ses quintes de toux, semblable au cri du phoque ou à un aboiement aigu.
Plus communément, on parle de laryngite, une inflammation courante du larynx causée par plusieurs virus (rhinovirus) et surtout le para-influenza chez les moins de 6 ans. Cette laryngite est provoquée par Omicron ou par la grippe qui connaît un net regain depuis quelques jours. On a observé que le variant B.A2 causait plus d’affections ORL, à type de laryngites ou de rhino-pharyngites, chez les jeunes enfants.
Rien à voir avec le PIMS, bien plus caractéristique du SARS-CoV-2. C’est un syndrome inflammatoire multi-systémique pédiatrique post-infectieux. Les signes d’appel sont : fièvre élevée + altération marquée de l’état général + diarrhées.
D’autres signes cliniques évocateurs peuvent être associés, notamment un état de choc ou des signes cutanéomuqueux (notamment injection conjonctivale, éruption maculo-papuleuse).
Toute suspicion de PIMS implique une prise en charge hospitalière sans attendre les résultats biologiques. Il s’agit d’une maladie grave avec un risque de décompensation cardiaque à la phase aigüe.
La médecine officielle traite les laryngites classiques, selon les stades d’évolution : lorsque les symptômes sont mineurs et que la toux modifie légèrement le timbre, on conseille d’acheter des humidificateurs d’air qui envoient de la vapeur d’eau dans la chambre. « Une balade avec son enfant emmitouflé dans une couverture, ça fonctionne bien aussi. Il respire l’air froid et humide. », ajoute le Dr Andréas Werner, pédiatre à Villeneuve-lez-Avignon (Gard), quant au docteur Batard, il recommande de sucer des glaces !
La laryngite, chez les petits, peut toutefois être grave et provoquer une détresse respiratoire. « Dans ce cas, on les soigne avec de la cortisone et des aérosols d’adrénaline, précise Robert Cohen. Cela reste une maladie bien connue. Tous les ans, on soigne 20 000 laryngites aux urgences pédiatriques. » Qui propose mieux ?
Traitement de la laryngo-tracheite :
Voie cutanée : forme liquide (non grasse)
H.E. Melaleuca alternifolia 1 ml
H.E. Cupressus sempervirens 1 ml
H.E. Eucalyptus citriodora 1 ml
H.E. Lavandula super acétate 1 ml
HV Noyaux d’abricot qsp 15 ml
Bébé : appliquez 3 gouttes du mélange sur le cou et 3 gouttes sur le thorax 3 à 4 fois par jour pendant 7 jours
Enfant : appliquez 4 gouttes du mélange sur le cou et 5 gouttes sur le thorax 4 fois par jour pendant 7 jours
PLUS :
Voie rectale :
Bébé Enfant :
H.E. Cupressus sempervirens 20 mg 30 mg
H.E. Lavandula super acétate 15 mg 20 mg
H.E. Thym saturéoïde 15 mg 20 mg
H.E. Eugenia caryophyllus 5 mg 10 mg
Whitepsol ou ASB2X QS pour faire un suppo de 1 ou 1,2 gr 20 suppo.
Posologie bébé et enfant : 1 suppo 2 fois par jour pendant 5 jours.
Mon “quart d’heure colonial”
Avant de terminer ma lettre, je m’offre une petite récréation en évoquant quelques turpitudes que nous offrent les politiques, notamment en abordant les élections qui approchent à grands pas. Il n’y a pas de grande incertitude, si l’on considère les intentions de vote, Emmanuel en récupère 30 % face à Marine Le Pen (20%) la seule candidate à déconseiller la vaccination aux enfants.
Sur quels critères vais-je voter ?
Considérant que 45 % des Français recourent aux médecines alternatives, le futur président aura-t-il le courage de ne pas les interdire, surtout quand on ne dispose pas de thérapies non iatrogènes. Des médecins prescrivant des médecines naturelles sont rayés de l’Ordre des médecins. Certains même se retrouvent en taule ou à Sainte-Anne !
Voici dans le désordre, une litanie de critères indispensables avant d’élire un président de la république digne de cette fonction suprême.
- Sauver les paysans qui se suicident. Nous avons besoin d’eux ! : Terre, terrain, terroir – Pays, paysage, paysan – Humus, Humain, Humanitaire : cela a du sens !
- Veiller au bien-être des animaux
- Stopper l’élevage en batteries et les expérimentations animales
- Respecter le programme écologique à Paris adopté lors de la COP 21 à Paris, le 12 décembre 2015, entré en vigueur le 4 novembre 2016.
- Privilégier le bio et la permaculture : une méthode excluant le labour et les intrants chimiques afin de préserver l’équilibre des sols et la santé des humains.
- Revoir le programme de l’Éducation nationale dès lors qu’aucun titulaire du ministère, n’a jamais donné satisfaction (les sempiternelles grèves l’attestent).
Il suffit de parcourir les livres d’Histoire pour constater la scandaleuse suppression de chapitres essentiels de notre Histoire). Eric Zemmour pourrait compléter … !
Modifier le baccalauréat qui est aujourd’hui du niveau du certificat d’études (92% admis dont des illettrés).
Augmenter le nombre d’heures d’enseignement de la culture scientifique.
- Supprimer la moitié des députés pléthoriques, contrairement aux autres pays (un député par département suffirait).
- Réprimer le communautarisme et le clientélisme qui font appel à des procédés démagogiques et d’attributions d’avantages.
- Procéder à la renationalisation des autoroutes (5 milliards d’économies) et d’EDF (40 milliards !)
- Promouvoir l’identification des minorités ethniques ; comment peut-on résoudre certains problèmes sociétaux spécifiques en présence d’une forte diversité ethnique ?
- Procéder à la proportionnelle, le gage d’une véritable démocratie.
- Rétablir la conscription qui permet de restaurer la cohésion sociale et de résorber le chômage.
- Réduire l’importante immigration : deux millions d’immigrés ont rejoint l’Hexagone lors du mandat de Jupiter. Attendons la suite ! peut-être macabre.
Amis lecteurs ! Allez voter, faites votre devoir de patriote ! Ne vous plaignez pas si, lors de la prochaine présidence, une litanie de « grèves sauvages » fasse irruption…
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Lors des différents confinements je n’ai pas chômé ; j’ai refait une nouvelle édition de mon livre : revue, augmentée et améliorée par de nouvelles thérapies : « 100 Ordonnances naturelles pour 100 maladies courantes ». Ed. Trédaniel.
Outre les pathologies courantes (arthrite, colite, crampes, troubles de l’érection, glaucome, hépatites, herpes, HTA, insuffisance cardiaque, insomnie, intoxication aux métaux lourds, maladies cardio-vasculaires, prostate, RGO, tendinite, séquelles de vaccinations, vertiges, torticolis…), je privilégie les maladies peu accessibles à la médecine officielle (les maladies auto-immunes, SEP, polyarthrite rhumatoïde, neurodégénératives, algodystrophie, AVC, pathologies thyroïdiennes, endométriose, enfant hyperactif, incontinence urinaire, maladie d’Alzheimer…).