L’électrosensibilité regroupe une multitude de symptômes physiques et psychiques provoqués par les champs électriques et magnétiques de notre environnement sur l’organisme humain.

La fréquence de l’électrosensibilité serait de 2à 5% de population. Aucun chiffre fiable n’existe concernant la France. Mais la réalité est plus près de 20 à 40 % dès lors que le monde médical et universitaire n’effectue aucune statistique.

Bien que l’on estimait au début que ces symptômes pouvaient avoir une origine psychique, ils sont maintenant rapportés par des témoignages sans cesse croissant de personnes antérieurement en bonne santé ; un phénomène qui a engendré une évaluation plus resserrée des origines des plaintes concernant l’hypersensibilité électromagnétique.

Au cours des premières années du xx siècle, de nombreux rapports, dans le monde, font état de personnes et de groupes de personnes se plaignant de symptômes divers, consécutifs à des expositions minimes journalières de radiations électromagnétiques.

Aujourd’hui on admet que n’importe quelle matière, notamment les éléments que nous portons sur nous (bijoux, lunettes, bagues, piercing, teinture de cheveux …) peuvent contribuer à la charge électrique, sans oublier les métaux lourds, les nanoparticules et les cristaux de magnétite qui inondent notre organisme.

L’approche scientifique

Cette méthode, rigoureuse et outillée, a été suivie par l’Artac, (l’Association Recherche Thérapeutique Anticancéreuse), présidée par le professeur d’oncologie Dominique Belpomme, un pionnier en France de la médecine environnementale, pour étudier les personnes malades des ondes.

Depuis 2007, cette association a trouvé différentes anomalies dans les analyses sanguines et les scanners cérébraux effectuées sur les personnes intolérantes aux ondes.

Dans l’analyse sanguine on note un taux de :

  • Vitamine D diminuée (70 %);
  • Taux d’histamine augmentée (inflammation);
  • Anticorps anti-o-myeline augmentées (stress cellulaire) :
  • Mélatonine diminuée dans l’analyse urinaire ;
  • Substance P (assure la transmission des impulsions douloureuses) :
  • Déficience des neurotransmetteurs (dopamine, sérotonine, noradrénaline).

L’imagerie médicale

L’encéphalo-scanner est un scanner de doppler pulsé, intra-cérébral, qui permet d’étudier la vascularisation du cerveau. On a démontré que les patients souffrants d’hypersensibilité aux champs électromagnétiques présentent une hyperviscosité du sang, laquelle entraîne un trouble de la perfusion du parenchyme cérébral, et par conséquent une diminution de l’oxygénation du cerveau.

Les symptômes

Parmi les signes précoces fréquents, notons : maux de tête acouphènes, mal à l’oreille ou sensation de chaleur dans l’oreille après une conversation sur un téléphone sans fil ou mobile, tachycardie ou palpitations cardiaques, étourdissements, réveils brutaux dans la nuit, sommeil non réparateur, troubles cutanés, saignements du nez., grande fatigue…

Tous les hypersensibles identifient ces symptômes, mais ne pouvant se mettre à l’abri de ces ondes suffisamment tôt, leur tolérance s’effondre, occasionnant d’importants problèmes de santé : troubles du sommeil récurrents, douleurs en étau (écrasement à la tête), au cou, picotement ou brûlure à l’intérieur du corps, sensation d’irradiation, d’étouffement, de décharges électriques, troubles cardiaques (oppression, tachycardie, arythmie, palpitations.…), troubles de l’humeur, de la mémoire et de la concentration, visuels, vertiges ou perte de connaissance, fatigue extrême.

Certaines personnes, atteintes de longue date de troubles chroniques, ressemblant souvent à la fibromyalgie, finissent par faire un lien entre leurs troubles et leur exposition aux ondes, en expérimentant la réduction de leur exposition sur le moyen terme.

Ces gens sont très souvent des spasmophiles. Les ondes nocives et les métaux lourds font chuter leurs minéraux : calcium, magnésium et potassium échangé avec le sodium dans les cellules, par le phénomène de la pompe à sodium/potassium des membranes. Le potassium est important car il intervient au niveau des cellules de l’oreille interne et du cerveau.

Les signes d’une hyperélectrosensibilité sont très hétérogènes et disparates. Comment les identifier ? on peut le vérifier en changeant l’environnement ou en enlevant les éléments agressifs qui parasitent électromagnétiquement.

I/ Omniprésence des métaux lourds

Les électrosensibles eux-mêmes pensent souvent qu’une des causes de leur pathologie provient de la présence de métaux lourds dans leur organisme qui endommage notamment les systèmes nerveux et immunitaires.

Un amalgame dentaire contient environ 50 % de mercure métallique. La poudre d’alliage est constituée, dans des proportions variables, d’argent, de béryllium, de cuivre et, dans des proportions plus faibles, d’autres métaux tel le zinc.

Selon le docteur Gérard Dieuzaide, chirurgien-dentiste, l’appellation de fibromyalgie devrait être remplacée par « électromyalgie » dès lors que toutes les observations convergent vers l’électrosensibilité et qu’il suffit dans certains cas de retirer tout plombage au mercure et de chélater l’organisme pollué pour que les symptômes disparaissent.

Pour le professeur Belpomme, l’éthylmercure libéré par les amalgames pénétrerait dans la gaine de Schwann du nerf olfactif, à partir de ses terminaisons nasales, et passerait dans le bulbe olfactif pour atteindre le système limbique qui recèle l’hippocampe et l’amygdale. Cela favoriserait l’ouverture de la barrière hémato-encéphalique avec toutes ses conséquences délétères (maladie d’Alzheimer).

Scientifiquement, on a constaté que tous les organismes des occidentaux étaient imprégnés de métaux lourds. Tous les poissons, légumes, fruits en contiennent. Avec l’appareil Oligoscan, on peut le vérifier.

Les objets métalliques captent préférentiellement ces ondes comme les plombages dentaires, les prothèses métalliques (hanches, genoux), les armatures et des gaines des soutiens-gorges, les stérilets (cuivre), les lunettes, les verres, les montures (maillechort, bronze), les miroirs (aluminium) et même les cosmétiques.

On peut donc légitimement estimer que ces ions métalliques, aux propriétés électrochimiques connues et répartis dans l’ensemble des tissus organiques, modifient la conductivité du corps et sont susceptibles d’être mis en mouvement, « entraînés » par des champs électromagnétiques pulsés, provoquant des phénomènes inflammatoires.

II/ Les nanoparticules

Cosmétiques, emballages, automobiles, textiles : les nanoparticules ont envahi notre quotidien. Les industriels y voient la solution à de nombreux problèmes, car ces toutes petites particules possèdent des propriétés physico-chimiques que n’ont pas les plus grosses. Pourtant elles suscitent des inquiétudes.

Les nanoparticules sont des éléments dont la taille est comprise approximativement entre 1 et 100 nanomètres- c’est-à-dire qu’elles peuvent être jusqu’à 10 000 fois plus petite qu’un cheveu.

Les nanoparticules instaurent une nouvelle étape de la chimie industrielle inédite à ce jour et qui nous met face à deux sentiments divergents à la fois émerveillés et inquiets, parce que des biotechniciens géniaux ou des démiurges sont susceptibles aujourd’hui de générer des propriétés physicochimiques spécifiques à des particules de dimension infinitésimale.

Les nanoparticules sont très répandues, surtout dans le domaine qui regroupe les produits de soin, les cosmétiques, les crèmes solaires, les vêtements, les articles de sport, les produits pour le jardin et la maison, les boissons, le bâtiment, l’automobile, l’électronique, la médecine, la chimie, le textile, la pharmacie, l’agroalimentaire, l’optique, etc. Dans quel domaine n’apparaissent-elles pas ?

On trouve des nanoparticules dans nombre de matériaux : carbones, céramiques, métaux, etc. Doit-on encore parler de façon générique des nanoparticules ? Chacune a ses propres caractéristiques, notamment en ce qui concerne la toxicité et la pénétration.

Ces nanoparticules se comportent comme de puissants facteurs d’accrétion (capture de matière) avec la plupart des métaux lourds, et rendent possible par leurs propriétés chimiques -leur dimension imperceptible- de traverser aisément les cinq barrières qui protègent l’organisme agressé, depuis la muqueuse intestinale jusqu’à la dernière, la barrière hémato-encéphalique.

Le cas des porteurs d’amalgames

Il est bien connu que le mercure contenu dans les amalgames (aux côtés d’autres métaux ; Zinc, cuivre, argent, béryllium) est capable d’induire un phénomène d’auto-immunité et d’électrosensibilité. Par ailleurs ceux qui procèdent à des implants recourent au dioxyde de titane (à la place du zircon, légèrement moins cher). Là aussi on observe des effets délétères.

Une proportion importante de patients n’ont pas vu leurs troubles s’amender sensiblement après la dépose. La dépose d’amalgames n’est donc pas la panacée d’autant que les matériaux de remplacement (composites, qui ne sont autres que des matières plastiques !) semblent plus antigéniques encore que les composés de l’amalgame ; en effet les monomères des composites sont à la base de méthacrylate, sorte de résine acrylique (issue de la grande famille des matières plastiques) mais aussi du fameux bisphénol A des plastiques souples. Ils sont neurotoxiques, allergisants et mutagènes.

III/ Les cristaux de magnétite

On a identifié la présence de ces cristaux fortement magnétiques sous forme de particules microscopiques, dans plusieurs espèces (bactéries, abeilles, vertébrés supérieurs).

Dans les cellules du cerveau humain, on a relevé la présence de centaines de milliers de cristaux de magnétite microscopique. Cela fut mis en évidence par le microscope électronique en 1992 par le chercheur américain J. Kirshvink de l’institut de technologie de Californie. Ainsi, il y a 5 millions de cristaux de magnétite par gramme de tissu dans le cerveau. Les enveloppes méningées entourant le cerveau en contiennent plus de 100 millions par gramme de tissu.

Le professeur Rocard, grand physicien et mathématicien a conduit de nombreux travaux sur l’électromagnétisme confirmés par les appareils qui peuvent détecter et envoyer les ondes subtiles qui régissent l’univers biologique du vivant. C’est lui qui apportera une explication scientifique sur la faculté qu’ont certaines personnes à déceler et ressentir les variations magnétiques : en passant les mains au-dessus du sol, d’un corps minéral, végétal ou humain. Le sens magnétique humain est dû aux cristaux de magnétite ou oxydes naturels du fer ; découverts il y a 2500 ans par Thalès de Milet dans les eaux du Pactole, petite rivière de Lydie baignant Sardes.

C’est le biologiste anglais Robin Baker qui localisera les cristaux de magnétite chez l’homme au creux de la selle turcique, au niveau hypotalamo-hypophysien sous les arcades sourcilières, le long des 4°, 5°, 6° et 7° vertèbres cervicales (attaches cartilagineuses du cou), dans le creux des coudes, des genoux, sous les ongles des doigts et des orteils, dans le calcanéum qui forme la saillie du talon et chez les animaux dans les coussinets des pattes, les ailes, les nageoires et toutes les palettes membraneuses

La magnétite matérialise au microscope électronique un cristal percé de trous par lesquelles passent des terminaisons nerveuses qui font office de microrécepteurs et de neurotransmetteurs.

Pour l’homme et l’animal, elle représente un matériel intégré et fait office d’aimant dont l’aimantation permanente crée des champs magnétiques sans dépense d’énergie.

La magnétite présente chez les oiseaux et les abeilles, leur permet de s’orienter par rapport au champ magnétique terrestre.

Chez les animaux, le pigeon semble posséder le biomagnétisme le plus infaillible. Il réagit aux champs magnétiques, terrestres et cosmiques, enregistre la position du pigeonnier, la garde en mémoire, il utilise les champs magnétiques pour ses déplacements et revient, sa mission accomplie, vers un pigeonnier comme s’il possédait une carte magnétique, une sorte de GPS.

Selon J. Kirschvink, les baleines s’orienteraient en fonction des champs magnétiques des fonds marins et s’échouent le plus souvent sur des plages situées près d’anomalies géomagnétiques.

Le sens de l’orientation de certains oiseaux migrateurs est perturbé par des anomalies géomagnétiques et/ou par les hyperfréquences générées par les technologies modernes. La survie d’espèces migratrices pourrait donc être compromise.

On pourrait aussi imaginer que les métaux lourds chargés électriquement pourraient altérer leur cerveau et enrayer leur GPS.

Pourquoi sommes-nous sensibles aux variations du champ magnétique terrestre ?

Ces cristaux de magnétite appelés « magnétosomes » se comportent comme des aimants. Sous l’effet des micro-ondes ces aimants se mettent en vibration et engendrent un foyer irritatif qui, à long terme, est susceptible d’induire des perturbations physiologiques neuronales plus ou moins graves :

Toutes les régions du cerveau contiennent de la magnétite. La présence de ce métal sensible aux champs magnétiques réagit plus d’un million de fois plus fortement à un champ magnétique que tout autre matériau biologique, y compris le fer des globules rouges.

Le rôle des membranes cellulaires :

Afin de mieux appréhender qualitativement les effets des micro-ondes sur certains types de cellules, il nous faut redéfinir les éléments de base de la membrane cellulaire.

Les membranes biologiques constituent des frontières permettant de séparer mais aussi de mettre en communication différents compartiments au sein de la cellule. Les membranes sont principalement constituées de lipides et de protéines. Les lipides constituant l’organisation de base des membranes sont des phospholipides auxquels sont associés dans la membrane plasmique le cholestérol qui rigidifie l’ensemble.

La fluidité membranaire est une nécessité pour la cellule, elle est la base de l’équilibre cellulaire, ce qui lui permet d’assurer tous les phénomènes incessants d’échanges avec son environnement. Penser, agir, et tout simplement vivre, ne sont possibles que parce que les cellules communiquent entre elles.

Les fortes intensités de champs électriques et leurs continuels balancements, provoquent de cette manière des vibrations locales d’éléments isolés, constitutifs de la membrane, qui oscillent comme des dipôles électriques.

Si les micro-ondes entrent en résonance avec la membrane, la fluidité membranaire sera fortement perturbée, ce qui entraînera un dysfonctionnement des échanges transmembranaires, avec une pathologie éventuelle à la clé, en fonction de la fréquence du phénomène de résonance qui exacerbe l’effet délétère des micro-ondes sur les membranes.

Effet cocktail

L’industrie chimique ne s’est pas contentée, depuis ses débuts industriels, de ne libérer dans la nature qu’une seule substance susceptible d’être toxique pour l’homme. Ce sont, aujourd’hui, des dizaines de milliers de molécules diverses et variées auxquelles nous devons ajouter les nanomatériaux, dont on ne sait, à vrai dire, pas grand-chose. Ainsi, nos organismes sont soumis quotidiennement à des doses « infinitésimales » de ces cocktails.

Les xénobiotiques, les métaux lourds, nanoparticules, PCB (Polychlorobiphényles) et autres toxiques, créent un cocktail explosif pour l’ensemble des métabolismes par un phénomène synergétique.

Donc, très concrètement, nous ne savons rien de l’effet sur l’organisme humain de la somme des toxiques auxquels nous sommes soumis, contre notre gré, tous les jours, partout où nous nous trouvons et notre propre logement n’est pas l’endroit le moins dangereux, tant s’en faut ! Le calvaire subi par des personnes devenues électrosensibles nous prouve le contraire et nous offre l’occasion de plonger dans les connaissances scientifiques existantes sur ces facteurs qui génèrent une litanie de réactions et de souffrances. Un bruit silencieux en quelque sorte physico-chimique.

Des témoignages de ces symptômes, il en émerge de partout dans le monde et depuis de nombreuses années, des médecins et des scientifiques lancent des alertes sur l’augmentation des cas d’hypersensibilité électromagnétique en relation avec l’accroissement sans précédent des durées d’exposition aux technologies sans fil et de leur précocité. Sans grande réaction des autorités sanitaires et des pouvoirs publics.

Il faut bien admettre que, dans ce dossier sensible avec des enjeux industriels et militaires énormes, l’émergence du doute et de la confusion est le grand prétexte pour éclipser la reconnaissance d’une telle évidence qui était difficile à évaluer il y a quelques décennies.

Les atteintes neurologiques

Les neurones sont des cellules nerveuses qui assurent l’excitabilité, la conductivité et la communicabilité. Cette dernière utilise des substances chimiques appelées neuromédiateurs. La libération de ces substances est précédée de l’entrée d’un courant de calcium dans la partie terminale du neurone.

Les micro-ondes, perturbant les courants ioniques de calcium, engendrent un déséquilibre entre les neuromédiateurs excitateurs et les neuromédiateurs inhibiteurs, à l’origine de troubles du comportement : fatigabilité, céphalées, troubles de l’humeur et du sommeil.

Dans l’hyperélectrosensibilité, le système neurovégétatif est atteint, à savoir le système nerveux autonome qui prend en charge tous les fonctionnements automatiques de notre organisme : le rythme cardiaque, la respiration ,la digestion ,la thermorégulation ,la vasoconstriction et dilatation des vaisseaux ,le système tonique postural ce qui explique la variété des symptômes qui accable quotidiennement les électro sensibles qui sont mal de partout et de l’Intérieur.

Les vaccins

Selon les vaccins contenant la valence tétanique, la quantité de sels d’aluminium peut passer de 200 pg à 1250 pg. Si on respecte le calendrier vaccinal, un enfant reçoit au minimum 24 stimulations antigéniques avant l’âge de 2 ans. Si on fait les rappels tout au long de la vie, les doses d’aluminium injectées peuvent être considérables. Ce métal n’existant pas dans notre corps, sa présence ne peut que perturber gravement l’organisme. Il faut signaler que l’aluminium peut se potentialiser en présence d’un autre toxique tel que le mercure.

Or, on sait que le mercure, malgré une demande internationale d’interdiction, est toujours utilisé comme conservateur dans les vaccins au cours du processus de fabrication. Il est un fait que les vaccins antitétaniques contenaient jusqu’en 1990 des doses élevées de mercure. Ces deux métaux sont capables de passer la barrière hémato-encéphalique et d’occasionner des dommages dans le cerveau; ils sont notamment incriminés dans certaines formes d’autisme et dans la maladie d’Alzheimer.

Le bébé va subir un engorgement immunitaire. Une forte dose d’antigène peut provoquer une sidération de l’organisme et une absence de réponse à cet antigène. Par ailleurs, le jeune enfant réagit rapidement à une faible dose d’antigène. Remarquons que les enfants sont vaccinés avec de plus fortes doses d’antigène que les adultes. Ils sont vaccinés contre plusieurs maladies à la fois, leur organisme ne peut sécréter des anticorps spécifiques à partir de ce mélange.

Les conseils

Procéder à une détoxication profonde de l’organisme et renforcer l’hydratation en interne avec une eau osmosée, filtrée ou de source, des jus de légumes, de l’eau de coco ou boisson fraîche à base de macération de fruits et légumes)

  • Alimentation hypotoxique de type Seignalet
  • Mono-diète un soir par semaine ou 2 jours par mois
  • Prendre des douches et se laver les mains fréquemment pour soulager les symptômes (ou marcher dans l’eau de mer ou la rosée du matin)
  • Envisager le retrait d’éventuels alliages dentaires métalliques mais sous contrôle strict afin de ne pas avoir d’intoxication aiguë majeure par les matériaux contenus dans l’alliage.
  • Éviter d’habiter à proximité d’antenne relais, de lignes à haute tension.
  • Ne pas utiliser son portable dans une station essence, risque d’explosion
  • Ne pas porter de synthétique mais coton, laine, cuir.
  • Ne pas porter de monture en métal pour les lunettes, éviter les bijoux, tout métal est conducteur.
  • Procéder à une mise à la terre si présence d’hyperélectrosensibilité. Pour le connecter à la terre, enrouler un fil électrique autour du poignet ou de la cheville et le relier à une prise de terre… l’effet est spectaculaire : les tensions se relâchent, les muscles se détendent, la personne retrouve des couleurs et la sérénité.
    Une autre façon de se décharger est de marcher pieds nus.
  • Séances d’ostéopathie régulières pour soulager les symptômes au niveau de la colonne vertébrale (cervicales) et du crâne. Garder une mobilité maximum semble essentiel. Quand « ça ne circule plus », tout va de mal en pis.
  • Séances d’EMDR pour assimiler les traumatismes émotionnels et faire baisser le stress
  • Pratique de la méditation et de différents exercices de yoga, de Do In, de sophrologie très efficace pour atténuer les symptômes et apprendre à surmonter la douleur sans paniquer, voire faire disparaître la sensation d’être « électrifiée » en cas d’exposition.

Certaines personnes atteintes d’électrosensibilité ne peuvent plus prendre de transports en commun tels trains, TGV, bus, ne peuvent plus aller dans les commerces, salles de spectacles, chez leurs amis, ils doivent demander que tout soit débranché (wifi, portables). Et c’est sans compter avec la sensibilité aux basses fréquences qui s’accroit très vite, leur vie n’est plus la Vie !

En cas de malaise ou d’accident, il est vital d’emmener la personne en urgence dans une zone où les soins pourront être dispensés.

Un véhicule sans fenêtre, une cave, une couverture de survie couvrant entièrement la personne (surtout la tête) peut convenir si aucun autre moyen n’a été trouvé.

Traitement naturel

La chélation des métaux et nanoparticules

* Xénosulf® (complexe phyto-algal) : un comprimé à la fin des 2 repas, 40 jours,

Laboratoire Le Stum

* Kitonorm®, une gélule avant les trois repas, 2 mois, Laboratoire Han Biotech.

2 grands chélateurs incontournables

• Acide fulvique ionique

Il agit comme un échangeur ionique et empêche l’intoxication minérale tout en favorisant l’assimilation des minéraux vitaux.

Flacon de 59 ml = 59 jours (1ml par jour). A jeun. Native Delicatessa SAS, tel : 09 82 25 05 06

La zéolithe

PMA-Zéolithe 410 mg (Panaceo-Micro-Activation). Panaceo MED

Aide à protéger l’intégrité de la paroi intestinale en liant les métaux lourds et l’aluminium présent dans le tractus gastro-intestinal. Prendre 2 gélules avant les 3 repas (boîte de 180 gélules).

Surtout éviter les chélateurs chimiques (DMPS, DMSA, EDTA) qui anéantissent les malades : mortalité, sclérose en plaque.

Autres produits conseillés :

+ Detoxik (formule sans FODMAP), 1 sachet par jour,

+ Gemmophytol Detox, 3 fois 10 gouttes.

+ Permea-Regul, 1 sachet par jour (après la cure Detoxik)

Ces trois produits sont chez labo Copmed.

Stimuler le foie (désintoxication)

* Sylidium®, une gélule avant les 2 repas, un mois, labo Phyt’Inov

Renforcer le terrain

* Afalg® (algue alphanizomenon contenant 115 micronutriments) 1 gélule 2 fois par jour, puis 2 gélules 2 fois par jour, puis 2 gélules 3 fois par jour, 1 boîte.

* Stimu +, 2 fois 2 gélules, pendant 3 semaines.

Protéger la muqueuse intestinale

* Orthoflore® (pré et probiotiques), une gélule le matin à jeun.

Antioxydants

* Radicolyse (alphalipoïque, ubiquinol, glucathion réduit, méthionine de sélénium), 2 gélules 2 fois par jour, 3 semaines, puis 2 fois 1 gélule, 15 jours.

Ces 5 produits au labo Phyt’Inov (0041 32 466 8914)

La Chlorophylle

Sans la chlorophylle la photosynthèse ne peut se produire. La chlorophylle est donc indispensable à la survie des plantes, un peu comme l’est le sang pour les humains. D’ailleurs la structure moléculaire de la chlorophylle et de sang présentent bien des similitudes en dehors de leur couleur et leur composant principal. Si le sang contient du fer, la chlorophylle contient du magnésium.

Elle est fréquemment qualifiée de miraculeuse pour la santé, comme le montre tous ses bienfaits :

  • Régénérateur sanguin ;
  • Aide à maintenir le bon équilibre acido-basique du sang ;
  • Oxygène les cellules et l’organisme ;
  • Favorise l’élimination des métaux lourds, des nanoparticules et des produits radioactifs
  • Améliore le système immunitaire, un véritable atout pour les personnes immunodépressives ;
  • A des vertus anti-cancer ;
  • Accélère la cicatrisation des plaies ;
  • Fait baisser le taux de mauvais cholestérol LDL ;
  • Équilibre la flore intestinale ;
  • Favorise le transit intestinal ;
  • Effectue un véritable nettoyage du côlon ;
  • Permet de lutter contre la constipation ;

Ainsi la chlorophylle aide à détoxifier notre organisme.

On en trouve dans l’épinard, Le thé vert, l’asperge, le brocoli, le celeri…

Quantaphylle 2 gélules le soir 1 mois. A renouveler

Labo Phytoquant N° vert gratuit 0805110327. Mail : info@phytoquant.mc

L’Oxygène :

Trois approches :

Eau Kaqun : contient 5 fois plus d’oxygène que l’eau du robinet
Ajouter dans chaque flacon la vitamine C liposomale qui potentialise les effets.

Tel : 01 45 18 50 80

Bol d’air Jacquier : Les actions sont trop nombreuses pour les évoquer (polluants des airs, des eaux, des sols, métaux lourds, perturbations d’oxygène électromagnétique et autres…
Les types d’appareil (à acheter ou louer) : labo Holiste 29 Bd Henri IV Paris

Tel : 01 42 78 42 09

L’Ozonothérapie : l’efficacité est immédiate.

Homéopathie

Intoxication au plomb

On sait qu’un manque de calcium, de vitamine D 3, de zinc, de fer, de protéines favorise particulièrement l’intoxication au plomb. Il faut donc apporter tous ces éléments sous forme de compléments alimentaires associés à la vitamine C, et prendre en parallèle les aliments qui en apportent :

Plumbum metallicum 15 (ou 30) CH

Mercurius solubilis 15 (ou 30) CH

Cuprum metallicum 15 (ou 30) CH

Aluminium metallicum 15 (ou 30) CH

Arsenicum album 15 (ou 30) CH

Dix granules (ou une dose) de chaque remettre ensemble, une fois par semaine. Certaines personnes sensibles peuvent avoir des réactions d’élimination (nausée, diarrhée, démangeaisons, brûlures urinaires). Dans ce cas ne donner qu’un seul remède homéopathique à la fois, 2 fois par semaine.

Porteurs d’amalgames dentaires :

Mercurius 15 CH : une dose mensuelle.
Mercurius9 CH : une dose la veille d’une extraction d’amalgame dentaire
Mercurius 30 K : une dose le lendemain.

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Le nomadisme médical

L’électro sensibilité est de cause multifactorielle. Il est ainsi très difficile de s’y retrouver ! La thérapie est loin d’être au rendez-vous. L’interrogatoire est la partie essentielle de l’examen clinique, couplé à un vaste ensemble d’examens. La thérapie est multiple et relève d’une médecine de terrain. Comment l’aborder ? That is the question !

Il y a les ondes invisibles, insaisissables, mal identifiées. Elles envahissent chacun d’entre nous.

Comme le rappelle le Dr Gérard Dieuzaide « le premier point à savoir, c’est que toutes les cellules du corps humain fonctionnent comme de mini piles électriques : elles émettent chacune un champ électromagnétique d’intensité plus ou moins importante. Nous sommes tous électrosensibles à des degrés différents. Ainsi selon notre sensibilité et selon notre environnement, nous pouvons nous charger électriquement. »

Pour obtenir un début d’efficacité : Ne pas oublier tous les produits où éléments agressifs qui sont antigéniques :

  • Les pollutions qui contaminent notre organisme et bloquent les émonctoires
  • Les produits que nous respirons nous absorbons et les remèdes chimiques (iatrogénèse)
  • Les métaux lourds et les nanoparticules qui contribuent à la charge électrique de l’organisme et émettent des signaux électromagnétiques dans un environnement bien chargé. Cette litanie d’éléments agressifs, représente un véritable fléau qui amène des patients à se retrouver en erreur médicale. Ils sont condamnés à consulter tous les spécialistes ce qu’on appelle le nomadisme médical

C’est la raison pour laquelle j’ai rédigé un livre ‟Pollution et santé”  qui récapitule l’ensemble des éléments qui agressent l’organisme et je propose différents traitements naturels.

Voire mes deux livres :

Les dégâts des metaux lourds- Ed Tredaniel
Pollution et santé, faire face à toutes les pollutions et les enrayer – Ed Dangles