Alzheimer : maladie iatrogène ! (déclenchée par les médicaments)
Alzheimer causé par les médicaments
Les médicaments chimiques seraient à l’origine de la maladie d’Alzheimer. « La nouvelle risque de provoquer un coup de tonnerre dans le domaine de la santé publique », déclare sans ambages le Professeur Bernard Bégaud, l’un des pharmacologues et épidémiologistes français les plus respectés. Ce cri d’alerte puissant, après une étude épidémiologique, montre une association significative entre consommation de benzodiazépines et risque de démence de type Alzheimer : 30 000 cas supplémentaires chaque année sont attribuables à l’effet de ces médicaments. « Alzheimer », le nom de cette affection neurodégénérative est lâché. C’est « LA » maladie qui, depuis quelques années, semble avoir rejoint le cancer au panthéon des fléaux les plus redoutés. Il y a de quoi frémir à l’aspect quantitatif, et de santé publique : 200 000 nouveaux cas recensés chaque année.
Qui n’a un proche ayant eu recours – ou ayant toujours recours – à un de ces anxiolytiques ou somnifères aux noms presque devenus communs : Valium, Mogadon, Temesta, Lexomil, Aricept… ?
Tout en rappelant, un comble, ce que dit la loi elle-même depuis 2001 : certains médicaments incriminés ne devraient pas être prescrits plus de deux semaines !
C’est ainsi que : « L’industrie pharmaceutique s’est retirée de la recherche sur le cerveau parce que c’est trop complexe. » Rappelons que les molécules incriminées ont été, pour certaines, mises sur le marché.
Le vaste domaine de la toxicologie, notamment professionnelle et environnementale, ainsi que le recueil des effets indésirables des médicaments de synthèse pris au long cours, nous offrent des modèles expérimentaux spontanés de toutes les maladies d’encrassage, et en particulier des maladies neurodégénératives.
La détérioration cérébrale peut être perceptible cinq ans après les premières prises.
Tous les médicaments chimiques consommés au long cours induisent en un premier temps une hyperperméabilité intestinale et un stress oxydant par production de radicaux libres oxygénés. Le stress oxydatif est un effet pervers du mécanisme d’élimination et de la phagocytose (destruction) des substances étrangères à l’organisme. C’est le prix à payer pour la détoxination.
Les traitements symptomatiques retardent l’échéance d’un vrai traitement de la cause et finissent par induire un phénomène d’échappement thérapeutique (loi d’inversion) qui annonce une polymédication, laquelle prise d’autres produits antigéniques ne fait qu’aggraver le stress oxydatif. Toutes ces substances qui appartiennent à la grande famille des inhibiteurs de la chaîne respiratoire mitochondriale, ou du cycle de Krebs finissent par produire l’apoptose et la mort cellulaire. On a identifié plusieurs médicaments de synthèse pharmacologiques inhibiteurs de la chaîne respiratoire, autrement dit inducteurs de mort cellulaire.
Nos cinq barrières
Pour nous protéger de l’ensemble des éléments étrangers agressifs, l’organisme dispose de cinq niveaux successifs :
1) les cellules intestinales : ce sont les cellules dendritiques des entérocytes. C’est la barrière immunitaire intestinale où veillent les cellules présentatrices d’antigènes (CPA), véritables chiens de garde à l’affût de la moindre molécule étrangère comme par exemple l’ensemble des médicaments de synthèse ou molécules toxiques induites par la cuisson (molécules de Maillard, acides aminés oxydés…). L’intervention des CPA (macrophages, lymphocytes B) et des lymphocytes T pour éliminer ces molécules étrangères induit la production de radicaux libres qui annonce l’inflammation et la mort cellulaires.
Dès son contact avec la muqueuse intestinale, le peptide antigénique est présenté aux lymphocytes T par les CPA, en particulier les cellules dendritiques : ce sont les vraies CPA de l’intestin; elles sont abritées dans les poches infra-épithéliales des cellules M, sortes d’entérocytes spécialisées dans la présentation d’antigènes (Ag). Elles vont chercher elles-mêmes les Ag dans la lumière intestinale à l’aide de leurs prolongements (dendrites) en ouvrant les jonctions serrées entre entérocytes, ce qui accroît encore le risque de passage de macromolécules, de substances étrangères, de minéraux (calcium, magnésium) de vitamines qui vont mobiliser la lignée blanche (macrophages, leucocytes) et le système immunitaire
2) les cellules du tissu réticulo-endothélial composées de monocytes et de macrophages
3) les cellules vasculaires composées de cellules endothéliales vasculaires
4) les cellules sanguines composées de monocytes et de lymphocytes B
5) Enfin la dernière barrière qui compose les cellules du système nerveux central.
Un seul organe échappe dans un premier temps à l’assaut des antigènes : c’est le système nerveux central, qui comprend le cerveau et la moelle épinière, et le système nerveux périphérique. On sait que le système nerveux est indispensable à la transmission de l’influx nerveux, et à ce titre est protégé par une barrière immunitaire anatomo-physiologique, la barrière hémato-encéphalique (BHE) très similaire d’ailleurs à la barrière immunitaire intestinale.
Deux types cellulaires composent la BHE : les cellules microgliales et les astrocytes, qui sont des CPA (cellules présentatrices d’antigène) de la barrière hémato-encéphalique. C’est la rupture de cette barrière sous l’assaut des antigènes qui est responsable de la mort neuronale. De topographie exclusivement périvasculaire et organisées en réseau, ce sont elles qui forment la véritable BHE du système nerveux central. Leur rôle est de protéger les neurones des substances étrangères susceptibles de pénétrer dans le cerveau ou la moelle épinière par le liquide céphalo-rachidien et donc par le sang. Pour ce faire, les astrocytes forment un épithélium « très étanche » en jonctions serrées qui tapisse les parois des ventricules cérébraux et du canal de l’épendyme de la moelle épinière. Outre leur fonction de protection, les astrocytes jouent un rôle majeur dans le maintien du fonctionnement des synapses neuronales et dans les processus de myélinisation des fibres nerveuses. Les astrocytes interviennent également dans la recapture des neurotransmetteurs et dans leur dégradation.
L’introduction de substances étrangères cause des dégats irréversibles car non seulement elle induit la production de radicaux libres oxydés toxiques pour les molécules biologiques qui deviennent inaptes à l’exécution de leurs fonctions, mais de surcroît elle surconsomme du tryptophane, des vitamines B3 et B6, du calcium et du magnésium qui compose l’attelage immuno-modulateur, et neutralise enfin le fameux système antiradicalaire mitochondrial : composé de la co-enzyme Q10, de la superoxydase-dismutase (SOD), de la glutathion péroxydase à sélénium, enfin de la vitamine B3 qui constitue le quatuor antiradicolaire.
La membrane et les échanges cellulaires
La communication et les échanges cellulaires ont une importance primordiale pour assurer l’équilibre de l’organisme. Le couple membrane-récepteur doit donc parfaitement fonctionner.
La membrane est la porte de la cellule, les récepteurs en sont les clefs. Encore faut-il que cette porte soit fluide. Si la fluidité membranaire n’est pas assez importante, les échanges se font mal et les cellules souffrent de malnutrition. La cellule reçoit et produit. Un perpétuel va-et-vient existe entre l’intérieur et l’extérieur. La membrane agit comme une barrière à perméabilité sélective pour des petites molécules, jusqu’ à l’incorporation ou l’éjection de vésicules pour les plus grosses molécules qui sont solubles dans les lipides.
Les transports transmembranaires peuvent être plus ou moins faciles. Le transport actif est plus complexe. Il met en jeu la polarité électrique des molécules et de la membrane, et va à l’encontre des gradients de concentrations.
Les différentes pompes ioniques
Le modèle le plus courant, commun à toutes les cellules, est la pompe à sodium/potassium (Na+/K+). Elle permet la concentration du K+ dans la cellule et du Na+ à l’extérieur, contre les lois physiques de diffusion. La protéine responsable subit une succession de déformations, son environnement doit donc être souple.
ll existe d’autres pompes (à calcium/potassium/phosphore) dont l’importance est insoupçonnée. Le fait qu’une augmentation du calcium intracellulaire soit associée à l’action neurotoxique du peptide β-amyloïde a conduit certains auteurs à considérer les inhibiteurs calciques comme pouvant jouer un rôle neuroprotecteur au stade précoce de la maladie d’Alzheimer : il n’en est rien, car l’inondation intracellulaire par le calcium est déjà synonyme de mort cellulaire ! Ce constat confirme, d’une part, le bien-fondé de la responsabilité du trouble du métabolisme du calcium dans la mort cellulaire, d’autre part, qu’il convient dans ce cas d’optimiser en amont la biodisponibilité du calcium, objectif impossible à atteindre par les inhibiteurs calciques, et plus généralement par tous les traitements symptomatiques. Rappelons que c’est le mécanisme d’inhibition calcique qui est mis en jeu au cours de la rigidité cadavérique !
Rappelons également que le phosphore métalloïde indispensable à la vie de la cellule qui entre dans la composition de l’acide triphosphorique (ATP) et des acides nucléiques (ADN, ARN) a une extraordinaire avidité pour l’oxygène lui-même indispensable à la vie et se comporte, lorsqu’il est présent en excès dans les milieux biologiques, comme un bloqueur des canaux K+, et par voie de conséquence un inhibiteur calcique. Le phosphore est surtout contenu dans les protéines alimentaires (laits animaux, céréales à gluten, œufs, soja), certains médicaments (biphosphonates) et, bien sûr, dans les conservateurs, les pesticides et autres polluants environnementaux. C’est la raison pour laquelle le phosphore en excès empêche l’utilisation du calcium par la cellule et induit une inhibition calcique. C’est le cas des laitages et fromages qui récèlent 80% des phosphoproteines dans les caséines.
En fonction de la gravité du stress oxydant. Le docteur F. Affoyon qui a explicité les vrais mécanismes de la maladie d’Alzheimer, a identifié trois grades d’inhibition de la pompe à calcium :
– le premier grade, c’est l’inhibition calcique modérée : elle concerne les maladies allergiques, la déminéralisation, les troubles anxio-dépressifs (fibromyalgie)
– le deuxième grade résulte de l’inhibition calcique sévère : elle s’étend aux maladies auto-immunes sans atteinte du système nerveux.
– le troisième grade concerne les maladies auto-immunes touchant les structures neuronales depuis les nerfs périphériques (neuropathie, polyradiculoneuropathies : Guillain-Barré) ou les jonctions neuromusculaires (maladies des récepteurs : myasthénie) en passant par les axones des nerfs du système nerveux central (sclérose en plaques) jusqu’aux corps cellulaires des neurones (Parkinson ; Alzheimer ; Sclérose latérale amyotrophique). C’est le stade de blocage des canaux potassium et de la rupture de la barrière hémato-encéphalique synonyme d’attaque des structures neuronales.
Il est permis d’élaborer une hypothèse sur l’origine et la cause des maladies neurodégénératives et des autres maladies de stress oxydant : celle de l’inhibition plus ou moins complète des canaux calciques.
Le flot incessant d’antigènes favorise le dépôt de complexes immuno-circulants et aggrave le mécanisme d’inhibition calcique, ce dernier finit par s’inverser entraînant alors un blocage des canaux potassium avec une rupture de la BHE par un mécanisme ischémique à l’origine de la souffrance des structures neuronales. Aucune neurogenèse n’est possible en cas de rupture de cette barrière et les neurones détruits sont irrémédiablement perdus (maladie d’Alzheimer, SLA, Parkinson, SEP).
La rupture progressive de la BHE sous l’assaut des antigènes est proportionnelle à la gravité du stress oxydant, depuis l’atteinte des axones des nerfs périphériques, en passant par les axones des nerfs du système nerveux central, jusqu’à l’atteinte des corps neuronaux.
C’est ainsi qu’on peut affirmer qu’en partie la maladie d’Alzheimer est une maladie iatrogène résultant de la prise au long cours de produits chimiques (statines, biphosphonates, IPP, pilules contraceptives).
Le donépézil (Aricept), traitement conventionnel contre Alzheimer
Paradoxalement, c’est le remède donné aux patients atteints de la maladie d’Alzheimer sous le nom commercial Aricept. L’arme fatale serait le mécanisme anticholinestérasique qui bloque l’enzyme acétylcholinestérase (empêchant ainsi la destruction de l’acétylcholine après le passage de l’influx nerveux). C’est ainsi qu’il ne permet plus au récepteur de se détacher de l’acétylcholine pour se préparer à recevoir une nouvelle molécule d’acétylcholine. Il en résulte une accumulation d’acétylcholine au niveau de la fente synaptique et interruption de la transmission de l’influx nerveux, qui occasionne de nombreux signes d’hyperexcitabilité de la fibre nerveuse par dépolarisation intempestive de la membrane post-synaptique. Le récepteur cholinergique sollicité en permanence par ce médiateur chimique parasympathique finit par se détacher de celle-ci.
Médicaments de synthèse mis en cause
- les inhibiteurs calciques dans leur ensemble
- les β bloquants
- les neuroleptiques
- les antidépresseurs imipraminiques
- les statines (hypolipémiants : Tahor, Crestor)
- les IPP (Inhibiteurs de la pompe à protons) dans les gastrites + RGO
- la plupart des anticoagulants
- les diurétiques
- les biphosphonates (ostéoporose)
- les additifs et colorants identifiables par la lettre E suivie d’un chiffre. Nombre d’entre eux consommés régulièrement (et parfois même intégrés aux médicaments : colorants) sont délétères pour la membrane cellulaire.
En conclusion on peut affirmer selon le Dr Affoyon que : la maladie d’Alzheimer est une maladie protéique hétéro-immune au même titre que l’athérosclérose, la sclérose en plaques, la sclérose latérale amyotrophique (SLA), la maladie de Parkinson, les cancers, les diabètes et autres endocrinopathies, et les maladies dites « auto- immunes ».
Alors que la maladie d’Alzheimer est déclarée cause nationale, il serait intéressant que le corps médical et universitaire relève dans l’anamnèse la présence de ces médicaments de synthèse et autres agresseurs antigéniques. C’est ainsi que l’on pourra progresser dans la recherche et les solutions thérapeutiques. Je rappelle qu’un million de Français sont atteints de cette pathologie neuro-dégénérative irréversible.
Dans un prochain article, nous proposerons une thérapie.
Mise en page et relecture : Romain Olivier
Etant donné que je suis intoxiquée au mercure et a l’aluminiun je m’inquiète car je vois sur internet que j’ai de fortes chances d’avoir cette maladie.
Cela a été aussi mon cas. Rien ne vous empêche de faire des « chélations » de métaux lourds chez un médecin compétent (ceci est bien expliqué par exemple dans le livre de Françoise Cambayrac « Vérités sur les maladies émergentes »).
En parallèle, j’ai eau d’excellents résultats par le renforcement du système d’élimination, grace à l’eau enrichie en hydrogène, une découverte scientifique peu connue car assez récente : https://eaukangen.fr/leau-dhydrogene/
Cet article est très intéressant,il faudrait que la médecine conventionnelle prenne en compte tous les effets indésirables des médicaments et cesse de traiter sur le long terme avec ces molécules qui peuvent faire plus de mal que de bien et trouver d’autres alternatives à ces traitements bien souvent sans effets positifs.
depuis 2006 je prends des antidéprésseurs & 1 comprimé pour le cholesterol c’est le générique du crestor suite a un infarctus du myocarde, alors la suite va finir comment ? On soigne d’un côté & on aggrave de l’autre merci la médecine !Car les ennui de santé s’enchainne . A suivre . Bon moral a nous les malades !!!
La publication de Santé Nature Innovation donne des solutions.
Il serait intéressant de lire les solutions dans Santé Nature Innovation de J. Dupuis. Nécessaire de modifier les médicaments chimiques (nuisibles à la santé et au corps) et ses habitudes. Se faire plaisir chaque jour, faire un sport, rire, chanter, bouger son corps et effectuer un travail sur soi. La pratique du Chi gong soigne.
Bonjour à vous tous
Prendre conscience que ces médocs ne font qu’enrichir certains élites pourquoi continuer à la prendre ? Changer c’est aussi changer de méthode de guérison, soit par voie spirituelle, soit par voie naturelle, c’est à dire les plantes, ou une meilleure alimentation Quand j’ai vu les desastre de ces molécules sur les humains, j’ai opté pour la dernière méthode changement radical de ma nourrir. Comme dit un certain dicton, Que ton alimentation soit ton médicament. A prendre ou à laisser. La vie a meilleur sens, et nos idées sont plus claires. plus lucides aussi dans un meilleur bien être. Bonne journée à vous
Très intéressant vos données, et une vulgarisation bien construite et expliquée. Mais pourriez-vous mettre vos références complètes ? Il serait bien de pouvoir avoir les détails complets sur ce que vous expliquez. Merci d’avance
depuis pres de 7 ans je prends du cymbalta mon medecin qui me suivait au centre anti douleurs m’a expliqué que ce medicament entrainait des pertes de memoire mais d’un autre côté il soulage mes douleurs de fibromalgie . j ai diminué beaucoup mes traitements grace a l’art thérapie et la meditation mais je n’arrive pas a me passer du cymbalta. ma memoire s’effiloche et les douleurs se calment
Bonjour Peres,
Pour arrêter le cymbalta il faut peut-être vous faire aider d’un nutrithérapeute, prendre du magnésium en dose importante accompagné d’autres vitamines et minéraux utiles.
Vous partez d’une étude épidémiologique (qui ne permet donc pas de faire de lien de cause à effet, cf l’étude en question expliquée http://www.inserm.fr/espace-journalistes/demence-et-consommation-de-benzodiazepines ) sur les benzodiazépines pour justifier une extrapolation sur la iatrogènie en générale, ce qui est beaucoup plus discutable.
Merci de vérifier vos sources pour éviter toute confusion, ou plutot l’unique source de cette article.
De plus citer un médecin ( ici Dr Affoyon) comme source n’a jamais été un gage de sérieux scientifique. Citer des méta-analyses me paraitrait plus judicieux pour justifier ce qui est écrit. Mais je suppose qu’il n’en n’existe pas car cet article n’a aucune validité scientifique.
PS : L’Aricept cité au début de l’article comme exemple de benzodiazépine est un anticholinestérasique et non une benzodiazépine.
Merci de votre réponse 🙂
Rassurante !
Suite à Ambolie pulmonaire et pb facteur V Leiden je suis sous Xarelto 20mg après 15 ans de Previscan 20mg et Crestor 20mg plus traitement dépression à 63 ans j’avance en essayant de diminuer ce que je peux mais il y a 4 ans mon Papa coronarien a arrêté les statines (dont Crestor) suite à article sur livre Professeurs Debré et ? …
6 mois après il est mort AVC et lendemain Infarctus bloc total …
Alors après lecture d’un tel article certain arrêteront leur traitement prescrit par spécialiste… Moi je vais continuer bien sûr
Qui a raison ?!
Je prend ,non je prenais des statines depuis 20 ans et j’ ai quand même fait une embolie pulmonaire ,et j’ avais des symptomes que j’ai fini par relier au statines, je suis une victime du lavage de cerveau ,la FDA aux États Unis nous donne toute une série de mise en garde sur les statines,des effets secondaires qui peuvent nous tuer , et en même temps ils nous disent n’arrêter surtout pas votre traitement de statines c’est comme si il nous faisait jouer a la roulette russe en nous disant Good Luck !
c’est sur face book que j’ai relevé cette info
Bonjour, quand on sait par qui et comment sont financés les laboratoires et les soi-disant recherches… est-ce un gage de sérieux ?
Oui certaines études sont un gage de sérieux scientifique lorsqu’elles croisent les données de plusieurs études (= méta analyse) afin d’éviter un maximum de biais, en particulier celui des conflits d’intérêt.
Le mieux??? L’homeopathie… les herboristeries. Les médicaments sont des venins.
Conneries sur conneries, franchement cela devient pénible de lire des articles comme cela, que certains médicaments y contribuent, oui, mais pas pour tous les patients, soignons les plutôt que d’ergotter !!!!!
Médicaments de synthèse mis en cause
« les additifs et colorants identifiables par la lettre E suivie d’un chiffre. »
ça sent le sérieux tout ça . . .
Merci pour vos commentaires. Quelques réponses argumentées :
Cet article intitulé « Alzheimer, maladie iatrogène » avait été publié en 2013 sur un autre site. Il avait interpellé la communauté médicale internationale vivement intéressée par cette approche inédite. Il restait à en vérifier le bien-fondé.
Deux ans après l’information, des articles médicaux surgissent pour corroborer la réalité de cet énoncé.
Dans la publication du 10 Septembre 2014 on peut lire :
« Les chercheurs de l’Unité Inserm 657 « Pharmaco épidémiologie et évaluation de l’impact des produits de sante sur les populations » rendent compte de nouveaux résultats concernant l’association entre les benzodiazépines et la démence. Dans une étude publiée dans le British Medical Journal, ils confirment que l’utilisation de benzodiazépines pendant trois mois ou plus était associée à un risque accru de développer la maladie d’Alzheimer après 65 ans. L’étude cas-témoins révèle que la force de l’association augmente avec la durée de l’exposition. C’est pourquoi les chercheurs recommandent de contrôler la bonne utilisation de ces molécules en limitant les prises ‘aux périodes pour lesquelles elles sont recommandées.
Les benzodiazépines sont prescrites par les médecins dans le cadre de symptômes anxieux et de troubles du sommeil pour une durée recommandée de quelques semaines. En 2012, une étude de l’Unité lnserm 657 « Pharmaco épidémiologie et évaluation de l’impact des produits de sante sur les populations » avait montré, sur une cohorte française, que les sujets consommant des benzodiazépines présentaient environ 50% plus de risque de développer une démence comparés à ceux qui n’en ont jamais consommé. Dans cette nouvelle étude, les chercheurs se sont attachés à confirmer l’association dans une nouvelle cohorte en étudiant en particulier la potentielle relation dose-effet ».
Les chercheurs ont étudié la base de données de la Régie d’Assurance Maladie du Québec (JIA.12Q-) pour analyser le développement de la maladie d’Alzheimer chez un échantillon de patients âgés de plus de 66 ans résidant au Québec (Canada) et ayant eu une prescription de benzodiazépines. Les résultats montrent que l’utilisation de benzodiazépines pendant trois mois ou plus était associée à un risque accru (jusqu’à 51 %) de développer ultérieurement la maladie d’Alzheimer.
« La force de l’association augmente avec la durée de l’exposition et avec l’utilisation de benzodiazépines à longue durée d’action, par opposition aux benzodiazAoines à courte durée d’action » explique Sophie Billioti de Gage, chercheur à l’Inserm.
Voici des communiqués de l’Inserm sur les études cliniques et les résultats sur le rôle des benzodiazépines sur Alzheimer :
http://www.inserm.fr/espace-journalistes/benzodiazepine-et-alzheimer-le-risque-augmente-avec-la-duree-de-l-exposition
http://www.inserm.fr/content/download/84680/639674/file/CP-Billioti-de-Gage-Inserm-BMJ-100914.pdf
http://presse.inserm.fr/benzodiazepine-et-alzheimer-le-risque-augmente-avec-la-duree-de-lexposition/15346/
Le communiqué du Vidal sur le sujet:
https://www.vidal.fr/actualites/14061/alzheimer_les_benzodiazepines_facteurs_de_risque_ou_traitements_des_signes_precoces_de_la_maladie/
Et l’étude qui a été publiée dans le British Medical Journal:
http://www.bmj.com/content/349/bmj.g5205.full.pdf+html
Pour finir, un article qui résume bien l’information :
http://www.vulgaris-medical.com/actualite-sante/le-lien-entre-benzodiazepines-et-maladie-d-alzheimer-est-confirme
D’autres articles sont disponibles pour révéler les autres causes d’Alzheimer, et autres pathologies neuro-dégénératives.
La consommation au long cours des IPP (Gastrites, reflux gastro-œsophagien) des biphosphonates (ostéoporose) des alpha et beta-bloquants, des statines (Cholestérol) des anticoagulants, des diurétiques, des contraceptifs oraux (souvent prolongées par celle de traitements hormonaux substitutifs).
La contraception orale multiplie par 9 le risque d’ischemie cérébrale, de thromboses et d’infarctus du myocarde. Elle induit une réduction de l’enzyme à cytochrome P.450, métabolisant les substances et chélate partiellement (rend indisponible) le magnésium, le zinc, les vitamines A, B3, B6 (pyridoxine), B9 (folates) B12 E, et F.
Toute cette grande famille de médicaments chimiques sont tous des inhibiteurs calciques. Ces hétéro-antigènes effondrent les cinq barrières protectrices Les intestins qui représentent le premier filtre ne sont donc pas « sélectifs » mais partiellement «perméables » à leur contenu : un « encrassement » progressif du côlon favorisant la déstabilisation de la flore intestinale, une rupture de son précieux écosystème, et une perturbation de ses effets « barrière» indispensables, la dernière étant la barrière hémato encéphalique (BHE)
La rupture progressive de la BHE, sous l’assaut des antigènes, est proportionnelle à la gravité du stress oxydant ,depuis l’atteinte des axones des nerfs périphériques en passant par les axones des nerfs du système nerveux central, jusqu’à l’atteinte des corps neuronaux.
À ce niveau, l’affinité de l’antigène pour tel ou tel récepteur (ou voie de neurotransmission) induit une atteinte préférentielle :
– des récepteurs nicotiniques médullaires (SLA ou Maladie de Charcot)
– des récepteurs nicotiniques corticaux (Alzheimer)
– des récepteurs dopaminergiques (Parkinson)
– de l’ensemble des récepteurs (syndrome de Guam et autres syndromes organiques cérébro-spinaux : maladie de CreutzfeldtJakob.
Autres polluants environnementaux neurotoxiques
1) Les métaux lourds
Il en existe six principaux ; ce sont l’aluminium, le baryum, le plomb, le mercure, le phosphore et le manganèse. Mais trois sont de véritables fléaux : il s’agit du mercure, du phosphore et du manganèse. La liste s’allonge de jour en jour avec l’arrivée des produits de synthèse.
L’aluminium occupe une place à part : son caractère ubiquitaire en fait l’élément le plus répandu dans la nature après l’oxygène et le silicium (presque toujours associé à l’aluminium). L’homme en ingère même quotidiennement dans son alimentation de 20 à 160 mg/jour). Les carottes peuvent contenir jusqu’à 400 mg d’aluminium/kg!. Dans une étude publiée en 2011, des chercheurs se sont intéressés à la quantité d’aluminium présente dans les aliments que nous consommons quotidiennement.
L’équipe de scientifiques a analysé près de 1500 échantillons de nourriture. Sur l’ensemble des produits alimentaires testés, la poudre de cacao est celle qui contenait une moyenne de 165 mg par kilo !
L’aluminium des anciennes batteries de cuisine, et, plus rarement, celui des emballages pouvant libérer des oxydes d’alumine (longs stockages à la chaleur humide d’aliments enveloppés dans des feuilles d’aluminium), peuvent se cumuler aux traces absorbées dans divers toxiques (additifs, engrais, sel de table ordinaire, déodorants, fromages en boite, cosmétiques, peintures (eau du robinet, certains médicaments comme les anti-acides, vaccins, produits cosmétiques…). La lente intoxication à l’aluminium conduit à des troubles nerveux paralysants, à des troubles de mémoire, à l’épilepsie, et à une insuffisance hépato-rénale chronique.
Le mercure est un polluant environnemental omniprésent à l’échelle planétaire. Il est contenu dans les rejets industriels les amalgames dentaires.
Le mercure pollue les sols, la nappe phréatique, les cours d’eau, les micro-organismes aquatiques (plancton, algues) qui peuvent biosynthétiser du méthylmercure organique (hautement toxique) à partir du mercure métallique inorganique des rejets industriels; le méthylmercure à son tour contamine les poissons, les crustacés de telle sorte que la pollution mercurielle humaine est essentiellement alimentaire en particulier par tous les poissons.
L’affinité du mercure inorganique pour l’hypophyse, telle que constatée chez les dentistes (Nylander, cité par R. Lauwerys), pourrait résulter du transfert direct du mercure à partir des fosses nasales via les voies olfactives.
L’intoxication mercurielle (et plus généralement l’intoxication par les métaux lourds), induit pêle-mêle
Une Glomérulonéphrite auto-immune
Une atteinte du système nerveux périphérique (dont le syndrome de Guillain-Barré une maladie auto-immune)
Une perte de mémoire (de survenue précoce) pour les faits récents.
Une sclérose latérale amyotrophique (SLA), ce que semble confirmer une expérimentation animale chez le rat (Schionning et al., cité par R. Lauwerys) exposé pendant plusieurs semaines à 50 µg/m3 de vapeurs de mercure.
On observe chez l’homme la dégénérescence des neurones de la corne antérieure (motoneurones) caractéristique de la SLA mais également de la poliomyélite dont la résurgence (syndrome post-polio) peut poser des problèmes diagnostiques avec la SLA.
Un tremblement cérébelleux (Parkinson) et une maladie d’Alzheimer : pour Yakahata et al., cité par R. Lauwerys.
2) Les pesticides, herbicides, et insecticides
Les engrais chimiques déséquilibrent les sols, et entretiennent une «escalade» inexorable : les traitements appauvrissent les sols qu’il faut de plus en plus traiter. Les fruits et légumes, subissant aussi ces agressions chimiques, voient leurs immunités faiblir : il faut donc les traiter aussi chaque année un peu plus.
a) Le insecticides, malathion, parathion, diazinon ou diméthoate. Ce sont les « organophosphorés ». Ils sont dangereux par leur très longue rémanence… de 15 jours à 5 ans !
Les autorités sanitaires françaises reconnaissent le statut de «maladie professionnelle »aux agriculteurs qui en sont victimes. Les composés organochlorés seraient les respcnsables et leur dangerosité serait décuplée quand ils sont associés à certains insecticides et herbicides. Leurs différents mécanismes d’action peuvent se potentialiser l’un l’autre et ils sont tous très toxiques pour le système nerveux.
L’exposition chronique à de faibles concentrations sur de longues périodes concerne tout un chacun, et pour certains chercheurs, ce serait la cause de l’apparition des maladies neuro dégénératives (Alzheimer, Parkinson, SEP)
3) Les pollutions alimentaires et additifs
Plus de 2 000 additifs ont été répertoriés. Après 20 ans d’emploi de ces produits, on a commencé à déchanter : pathologies aiguës, maladies auto-immunes, hormonales, neuro-dégénératives jusqu’au cancer. Quelques-uns de ces produits, tels que le D.D.T., que l’on a retrouvé dans les glaces du Groënland, ne se détruisent pas ou très mal, et l’accumulation de ces produits dans les tissus graisseux des phoques, via les poissons servant de nourriture à l’homme, ont mené les autorités à les interdire ou les réglementer de toute urgence.
Voici, selon les ouvrages cumulés de Roig, M.E. Venaille, et M. Violet, une courte synthèse indicative des addictifs suspects :
Tous les additifs ci-après sont actuellement autorisés en France. Toutefois ils sont toxiques- cancérigènes et génèrent des pathologies neuro-dégénératives
E102-110-120-127-131-142-210-211-212-213-214-220-225-230-250-251-252-311-330-407- 450.
E 330 le plus dangereux que l’on trouve dans : Schweppes citron, Canada Dry, certaines limonades, certains apéritifs Banga, moutarde Amora, crème de fromage « La Vache qui rit’
À éviter : les bonbons, la pie qui chante, le pastis Duval, les apéritifs Picon et Martini, leCoca Cola.
Le glutamate de sodium :
Le Mono Sodium Glutamate (MSG) est un poison lent, ce qui permet de bien éloigner dans le temps les liens de cause à effets pour mieux l’innocenter. Son action sur la glycémie est apparue au fil des années à tel point que les scientifiques s’en servent à cet escient sur les animaux de laboratoires pour recréer artificiellement le diabète afin de l’étudier
Ce produit est d’abord un exhausteur de goût. C’est un agent d’appétence, c’est-à-dire qu’il donne envie de manger encore plus et toujours plus. Il crée un effet de dépendance vis-à-vis des aliments. Et là, pour les Industriels de l’agroalimentaire, il s’agit de l’outil absolu!
La FDA prétend pourtant que ce produit additif peut être ajouté aux aliments sans dosage limite et qu’il n’est pas dangereux pour la santé…
Les méfaits du MSG sur la santé sont en effet connus depuis longtemps et d’autres études ont même démontré le lien entre la consommation de ce produit chimique et certains troubles de santé chroniques comme les migraines, les allergies, l’autisme et certaines pathologies cérébrales comme la maladie d’Alzheimer et autres démences frontales.
Nous évoquerons ultérieurement les effets délétères de l’aspartame, des nano particules et autres antigènes.
Wang, A., Cockburn, M., Ly, T., Bronstein J.M., Ritz, B. (2014). The association between ambient exposure to organophosphates and Parkinson’s disease risk. Occupational Environmental Medicine 71: 275-281
Pezzol, Cereda E. Exposure to pesticides or solvents and risk of Parkinson disease. Neurology. PuhMed PMID: 23713084
Ascherio A, Chen H, Pesticide exposure and risk for Parkinson’s disease. Ann Neurol 2006 Aug;60(2):197-203.
David. Devos et all Targeting Chelatable troll as a Therapeutic Modality in Parkinson’s Disease – dol :10.1089/ars.2013.5593
La seule prévention qui vaille ne peut donc être que l’éviction d’un maximum possible d’antigènes, notamment ceux auxquels on est exposé au long cours :
– les aliments antigéniques (laitages, fromages, céréales…)
– les médicaments de synthèse
– sans oublier les expositions aux toxiques professionnels et environnementaux… Tous ces corps induisent une hyperperméabilité intestinale, un stress oxydant. L’effondrement des 5 filtres destinés à nous protéger, finit par déborder la dernière parade : la barrière hemato-encephalique.
Ces antigènes sont omniprésents dans le modèle socio-économique de tous les pays occidentaux ou qui ont adopté le mode de vie à l’occidentale. Compte tenu des exigences et de l’ampleur des défis que requiert cette prévention (à moins de devoir retourner à l’âge de pierre), l’indispensable prise de conscience ne peut être être qu’individuelle.
Voir mon livre : « Les métaux lourds » Ed Guy Trédaniel.
Lors de votre émission du 10/02/16 sur radio courtoisie; vous avez évoqué la possibilité de freiner l’évolution de la maladie d’alzheimer par le biais de l’aromathérapie.
Vous nous encouragiez à visiter votre site. Je ne trouve cependant aucune source récapitulant un traitement .
Il est écrit « traitement thérapeutique à venir »à la fin de l’article relatant les causes de la maladie .
Quand aurons nous accès à cette information? Où se trouve t’elle?
Ma maman qui a 72 ans a la maladie d’alzheimer et je cherche bien évidemment, des portes qui s’ouvrent, des mains qui se tendent, de l’aide, un peu d’espoir; des solutions .
Pouvez vous m’aider monsieur?
Il faudrait quand même rassurer cette dame qui s’inquiète, comme beaucoup d’autres personnes sans doute à la lecture de cet article, parce qu’elle prend des anti-dépresseurs. La dépression est une des causes principales de l’apparition de troubles cognitifs chez la personne âgée. Lorsqu’elle est diagnostiquée et qu’un traitement anti-dépresseur est mis en place, on assiste à une amélioration très nette des facultés cognitives (ceci est une réalité clinique de terrain). Souvent pour un temps certes, ceci car le facteur avéré de risque de la maladie d’alzheimer est l’âge (à part pour sa forme génétique qui apparaît bien plus jeune). Il faudrait trouver normal que le corps vieillisse et non le cerveau!
Si l’on se fie à cet article: le mieux est de ne plus se soigner! Vous éviterez peut être la maladie d’alzheimer, mais peut être beaucoup moins les complications engendrées par une gastrite ou une cholestérolémie non traitée! (Ironie quand tu nous tiens!)
http://www.rebelle-sante.com/search/node/alzheimer
Ma mère est Alzheimer depuis 10 ans, sa propre mère l’a été à partir de l’âge de 75 ans. Toutes les deux étaient allergiques aux médecins et n’ont jamais pris de médicaments…comme quoi…
L’article est particulièrement intéressant, c’est une mise en garde contre l’excès de médicaments, donc le médicament ne doit en rien rendre caduque une bonne hygiène de vie, néanmoins comment se passer de statines si on souffre d’hypercholestérémie, comment se passer d’IPP si on souffre de RGO; faudra que les prochains articles précisent par quoi remplacer ces médicaments dangereux.
Bonjour,
Mon frère, 69 ans, vient décéder… diagnostic : maladie de Charcot diagnostiquée une semaine avant sa mort alors qu’on cherchait depuis le début de l’année. Il était sous anticoagulant (NOAC) Xarelto depuis 2012… depuis le début de l’année, il a perdu 20kg et a souffert de différents maux,dont une invalidante dysarthie… A t-on déjà fait un lien entre ces NOAC et la maladie de Charcot ? Y a t-il des gens qui ne supporte pas ces NOAC (Xarelto & cie) ? Merci
Depuis quatre mois, j’ai été diagnostiqué (a mes 62 ans) souffrir de la maladie d’Alzheimer, suite a mes plaintes concernant la perte de mémoire. Cette maladie induit une modification drastique de ma vie ; mise Incapacité de travail car risque de faire des erreurs, conseil de limité au maximum la conduite de le voiture.
J’ai un passé médicale assez important. (Perforation de l’estomac, cancer de la prostate, opération cardiaque (vanne mitrale).
Mon épouse et moi supposons que la raison principal en est la prise du médicament « Crestor » (pour diminuer mon taux de cholestérol depuis dix ans.) Certains médecins et plus particulièrement mon neurologue et cardiologue n’accepte pas cette hypothèse.
Quelqu’un a-t-il une expérience avec l’utilisation d’un complément alimentaire (à base de poudre de levure rouge de riz), aidant à « maitriser le taux de cholestérol » commercialisé (en Belgique) sous le nom « CHOLESFYTOL » au lieu du Crestor.
Les statines détruisent le cerveau,Les tendons les muscles,Le foie et les reins.
Si vous voulez absolument baisser le cholestérol prennez du citrate de magnésium sans tous les effets secondaires graves des statines.
Il est évident qu’ une personne parce qu’elle est âgée ne s’appartient plus et qu’elle devient un objet ( voir un cobaye tout désigné) pour servir la médecine criminelle dont les maisons de retraites sont les églises.